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PORTRAIT. Dominique Samson, collectionne « tout ce qui est ancien et fait en terre », à Rouen

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Dominique Samson possède une large connaissance sur tout ce qui est ancien et fait en terre : briques, tessons, tuiles...

Dominique Samson possède une large connaissance sur tout ce qui est ancien et fait en terre : briques, tessons, tuiles… (©André Morelle)

Qui pourrait avoir l’idée d’entasser chez lui des stocks de briques, tuiles, tessons de toute sorte hormis Dominique Samson, du Mont-Gargan, à Rouen (Seine-Maritime) ? Devenu fin connaisseur de tout ce qui touche à la terre, il a plaisir à montrer et à commenter sa collecte, fruit de décennies de recherche sur le terrain, en Normandie. Intarissable sur le sujet !

Lire aussi : Près de Rouen, le texte touchant d’une poétesse sur les attentats de Charlie hebdo

Toute sa vie il a regardé le sol

Toute sa vie- il a 71 ans- il a plutôt regardé le sol que le ciel. Dès l’âge de 17 ans, il observe les champs, les fossés, les chemins de la commune de Bray-et-lu, dans la vallée de l’Epte.

« J’ai vécu dans cette petite commune rurale, dans une famille d’accueil, de ma première année jusqu’à l’âge de 20 ans », raconte Dominique Samson.

Mon père d’accueil était garde-champêtre. Avec l’âge, tout en préparant mon certificat d’études primaires, j’allais sur le terrain pour interroger le passé de Bray-et-Lu. Je devins incollable sur l’histoire de mon lieu de vie dans le Vexin normand. Je finis par découvrir l’emplacement d’un ancien village gallo-romain avec mobilier des IIe et IIIe siècles : tessons de poteries et pièces de monnaie romaine, explique t-il. 

Et de se souvenir : « avec précaution, je plaçais mes trésors dans des petites pochettes. On me trouvait un peu bizarre mais je n’y faisais aucun cas. À l’école des garçons, j’avais appris l’addition, la soustraction sans calculette ! Mais surtout l’écriture et la lecture. Dès mon adolescence, je devins un rat de bibliothèques et de services d’archives. J’avais une passion grandissante pour les livres, surtout les livres d’histoire et d’archéologie. »

Lire aussi : Un chantier de fouilles à Rouen, révèle les vestiges d’une ancienne manufacture de faïence

Il aurait aimé devenir documentaliste

Curieux de tout Dominique Samson ! Il aurait bien aimé devenir documentaliste après son service militaire mais son orientation scolaire en milieu rural ne le permit pas. Il sera employé dans une société de service informatique. Il continuera à enrichir ses connaissances au contact de deux ingénieurs retraités qui avaient travaillé sur le Canal de Suez. Des récits à faire rêver ! Le jeune timide qu’il était, adhérera à l’Association du souvenir de Ferdinand de Lesseps et du Canal de Suez sise à Paris. Il s’intéressera aussi au patrimoine industriel grâce à l’usine de Zinc implantée dans sa commune depuis 1848, le laminoir de Vieille montagne. Oui, curieux de tout le jeune homme !

« Ce que j’ai accumulé, moi simple amateur, comme connaissances à Guiry en Vexin, au Centre de recherches archéologiques du Vexin français et sur le chantier de fouilles d’un temple gallo-romain à Genainville, m’a beaucoup appris et servi par la suite. »

Lire aussi : Un habitat gaulois et une ferme gallo-romaine découverts, près de Rouen

Membre de nombreuses associations

Ayant conscience de tout savoir et de ne rien savoir, il s’inscrit à plusieurs associations de connaissance et de défense du patrimoine : Les Amis des musées départementaux, les Amis des Monuments rouennais, l’Association Patrimoine(s) dès sa création en 1999 à Rouen. Il participe à des colloques, à des journées d’études, à des conférences. Il étoffe son carnet d’adresses…

Sur le terrain, il remplit ses sacs. Un jour, il fait des trouvailles dans le fossé au pied du rempart Philippe-Auguste, avant la construction de la Fac de médecine. Il les propose aux chercheurs officiels. « On n’en veut pas, jetez le tout ! », était souvent la réponse qu’on lui faisait. 

Depuis des années, les placards et armoires de famille n’offrent plus d’espace pour briques, tuiles, poteries et documentations. Les cartons s’entassent. Marié, deux enfants, Dominique Samson n’a pas réussi à communiquer aux siens sa passion pour l’histoire et le patrimoine. Alors en externe, il commence à montrer ses collections et à les commenter à qui veut bien l’accueillir. Il peut notamment parler des anciennes briqueteries de Mont-Saint-Aignan, Oissel et Bonsecours qui ont fourni les bâtisseurs des maisons de la capitale normande.

Après avoir vécu à Notre-Dame-de-Bondeville, il demeure aujourd’hui à Rouen sur le Mont-Gargan depuis 1985. Il écrit régulièrement dans le journal de la Maison de quartier et ne manque pas d’adresser avec insistance ce message aux jeunes : « Soyez curieux, intéressez vous à l’héritage de vos parents et grands-parents. Vous serez étonnés et vous y trouverez du plaisir !

Infos pratiques : 
Contact : domsamson@numericable.fr

De notre correspondant André Morelle


Course à pied. 10 km de Marmande: le lièvre Freddy Guimard intouchable

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C'est parti sur une distance précise de 10 km. Aux avant-postes, se distinguent Patrice Marquis et Freddy Guimard

C’est parti sur une distance précise de 10 km. Aux avant-postes, se distinguent Patrice Marquis (n°43) et Freddy Guimard (dossard n°1), un champion intouchable. (@ Le Républicain – Dominique Empociello)

Un peu frisquet, mais pas de vent à l’horizon, corps découverts, les athlètes sont chauds pour aborder leur course. Ils sont juste précédés de quelques secondes par un handisport Laurent Lebeault (Entente Poitiers), vainqueur du marathon de Tours 2018 en 2h10’…

Sans surprise, intouchable, l’ex-champion de France du 10 000 m Freddy Guimard (Alès Cevennes) s’est envolé vers la victoire, bouclant ses 10 km en 30’15 » (soit une moyenne à 19,83 km/h) ! L’employé de chez Decathlon – Marmande retrouve sa forme nationale, à deux semaines (8 mars) de la finale du championnat de France de cross-country à Montauban.

Les spécialistes de Decathlon montrent l’exemple

A plus de 35 ans, Kamal Bouzakri (Master), licencié à l’Athletic Club Réolais, a réalisé un joli chrono (33’33 »), s’adjugeant la seconde place. Pour Patrice Marquis, gérant parfaitement sa troisième place, c’était sa première sortie en compétition.

Patrice Marquis (Monflanquin Athletic Club) se classe troisième.

Patrice Marquis (Monflanquin Athletic Club) se classe troisième. (© Le Républicain – Dominique Empociello)

Les spécialistes de running du magasin Decathlon (partenaire de l’épreuve) ont prouvé qu’ils sont en jambe. Laurent Souchal et Thomas Laithienne (4e et 6e) ont été les chefs de file du club local de l’USMA. A mentionner le bon classement du sexagénaire bergeracois Christian Lafaurie (master 5) classé 25e en 40’20 ».

Laurent Souchal, premier athlète de l'US Marmande Athlétisme.

Laurent Souchal, premier athlète de l’US Marmande Athlétisme. (© Le Républicain – D.E.))

Doublé néracais sur le 5 km

Dans le tableau féminin, la première place revient à Adélaïde Comblon (44e au scratch) en 42’49 », devançant Fadila Medouni (43’18 ») et Carole Deviers (SU Agen) en 43’29 ». La Bazeillaise Ghislaine Bertelle (Master 4) la talonne de 20 secondes.

"Allez maman, vas-y, montre-leur".

« Allez maman, vas-y, montre-leur ». (©Le Républicain: D.E.)

Sur la course des 5 km, deux athlètes de l’ACJ Nérac réalisent un doublé. Martial Andrieu l’emporte devant l’espoir Ugo Delcayrou. La famille Bouzakri de Sauveterre-de-Guyenne aime les podiums: la place de trois revient au cadet Mehdi, le fils de Kamal… Chez les filles, la triplette Isabelle Cook (Bordeaux Athlé), Clarisse Ducos (SUA Tri), Christelle Depretz (Stade Villeneuvois) se classe dans cet ordre sur la simple boucle de 5 km.

Martial Andrieu (ACJ Nérac) remporte la course des 5 km en 15'40''.

Martial Andrieu (ACJ Nérac) remporte la course des 5 km en 15’40 ». (©Le Républicain – D.E.)

Cette 29e édition a connu un vif succès, 280 concurrents se sont élancés à hauteur du golf, départ réel pour les 10 km. La prochaine course dans la région marmandaise, comptant pour le challenge « Running Decat » aura lieu le 8 mars, entre Marmande et Meilhan (13,2 km).

L'athlète girondin Kamal Bouzakri (AC Réolais) prend la 2e place au scratch des 10 km. Dans la dernière ligne droite, il est heureux, finissant sa course avec sa fille.

L’athlète girondin Kamal Bouzakri (AC Réolais) prend la 2e place au scratch des 10 km. Dans la dernière ligne droite, il est heureux, finissant sa course avec sa fille. (© Le Républicain – Dominique Empociello)

Classements scratch des courses 10 km et 5 km

Belgique, Suède, Finlande... Le Cotentin valorise ses produits locaux à l'échelle européenne

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En visite à la ferme aquaponique de Saumon de France à Cherbourg-en-Cotentin, la délégation a pu partager sur les pratiques et méthodes d'élaboration et valorisation des produits locaux.

En visite à la ferme aquaponique de Saumon de France à Cherbourg-en-Cotentin, la délégation a pu partager sur les pratiques et méthodes d’élaboration et valorisation des produits locaux. (©Thierry Houyel)

Dans le cadre du programme européen Leader, le Cotentin participe à un projet de coopération européenne autour de la valorisation des produits alimentaires locaux. Cette démarche vise à favoriser une alimentation durable et à valoriser les productions locales du territoire.

Autour de ce projet, six partenaires européens s’associent dans le but de concevoir, en s’inspirant de l’expérience et du savoir-faire de chacun, des outils pratiques destinés aussi bien aux producteurs qu’aux acteurs intermédiaires et aux consommateurs.

Lire aussi : Cotentin Terroir : les producteurs locaux et bio doublent leur surface de vente à Cherbourg

Six partenaires européens

Du 11 au 13 février, un premier séminaire était proposé autour de la valorisation des produits locaux. Ainsi, l’Agglomération du Cotentin accueillait une délégation européenne réunissant tous les partenaires, soit une vingtaine de personnes venant de différents pays tels que la Belgique, la France, la Suède ou encore la Finlande.

La délégation se composait donc de la Communauté d’agglomération du Cotentin, du Pays de Saint-Brieuc (coordonnateur du projet), Lundaland et Leader Bohuskust en Suède, l’association de tourisme Tuma de Finlande et le parc naturel Haute-Sure Forêt d’Anlier de Belgique.

Lire aussi : Du producteur au consommateur : depuis 1984, cette ferme de la Manche vend ses produits sur place

La force du local 

Le programme du séminaire était dense. Il se composait en partie de réunions de travail afin de définir la qualité d’un produit local et par la suite apporter des réponses précises aux problématiques concernant sa valorisation. Des visites aussi ont eu lieu chez différents producteurs du Cotentin (ferme du Bonheur est dans le pré à Saint-Sauveur-le-Vicomte, ferme pédagogique aux 5 Saisons à Flamanville). Sans oublier les entreprises locales telles que Lait douceur de Normandie et Saumon de France.

Le séminaire s’inscrit de manière complémentaire au travail mené par la collectivité dans l’élaboration de son projet alimentaire territorial dont la concertation avec la population débutera cette année.

Ce travail entre partenaire se clôturera en septembre 2021 avec un concours culinaire afin de mettre en avant la qualité les produits locaux.

Lire aussi : La Fabrique à Roger : des produits 100 % recyclés faits à Cherbourg

Le Gouray : soirée funky ce samedi

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Les organisateurs ont donné corps et âmé pour tourner un jolie bande annonce de l'évenement

Les organisateurs ont donné corps et âmé pour tourner un jolie bande annonce de l’évenement (©L’Assaut des Oreilles)

Imaginée et portée par L’Assaut des oreilles, la « FunkyParty#4 » est une belle et nécessaire opération de festivité publique. Elle se déroulera au Gouray, dans les Côtes-d’Armor, ce samedi 29 février. Toutes les extravagances sont permises, voire fortement conseillées : coiffures affros, chemises cintrées et pattes d’éph’…, histoire de dérider cet hiver qui n’en finit pas d’inonder la région ! A partir de 21h, salle polyvalente. Billets : 8 € (en prévente dans les commerces du Gouray et sur Yurplan : https//yurplan.com/event/Funky-Party-4/53548), 10 € sur place.

Teaser de l’évenement : https://www.facebook.com/lassautdesoreilles/videos/133629714602163/?t=82

Seine-et-Marne. La bière du Gâtinais est de retour au salon international de l'agriculture

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L'équipe de La Gâtine sera de retour au salon de l'agriculture

L’équipe de La Gâtine sera de retour au salon de l’agriculture (©DR)

Voilà une belle manière de fêter son 20e anniversaire. La Gâtine, bière conçue à partir de l’orge récolté dans le Gâtinais est de retour au salon international de l’agriculture. La Gâtine a en effet été conviée aux côtes d’autres producteurs locaux pour présenter ses produits sur le stand de Seine-et-Marne Attractivité.

« Nous sommes des habitués du salon, nous avons eu notre propre stand pendant de nombreuses années, commente Marie-Noël Hureau, la gérante de l’entreprise. Toutefois, il y a quelques années, nous avons préféré ne plus y aller pour des raisons logistiques ».

Une bière née il y a 20 ans

La Gâtine est née en 2000 à l’initiative d’une dizaine d’agriculteurs du sud Seine-et-Marne. Dans un objectif de diversification, ils ont décidé de se regrouper afin de valoriser le terroir du Gâtinais, célèbre pour ses orges brassicoles et créer leur propre bière. Soutenus par la Chambre d’Agriculture et le Parc Naturel du Gâtinais, ils se sont associés à un malteur et à un brasseur afin d’élaborer leur recette.

La Gâtine se décline également en pack de 6 bouteilles de 33cl

La Gâtine se décline également en pack de 6 bouteilles de 33cl (©DR)

Depuis l’entreprise a bien grandi et malgré le départ d’agriculteurs, elle a élargi sa gamme de bière. « Nous proposons six variétés de bière différentes : blanche, blonde, brune, ambré, IPA et la bière de Noël », précise Marie-Noël Hureau. La Gâtine est conditionnée en bouteilles de 33 cl, 75 cl et en fûts de 20 litres.

« Faire découvrir notre savoir-faire »

Ce retour au salon sur le stand du département permet de s’affranchir de nombreux soucis de logistiques. « Le salon a l’avantage de permettre à la fois de nouer des contacts avec des professionnels comme des grandes surfaces pour des partenariats mais aussi de rencontrer des gens et faire découvrir notre savoir-faire », se félicite la gérante.

Pour l’avenir, l’entreprise espère « résister et évoluer, exprime Marie-Noël Hureau car il y a de plus en plus de micros brasseries locales dans le sud Seine-et-Marne »La Gâtine sera présente sur le stand de Seine-et-Marne Attractivité les 27, 28 et 29 février et le 1er mars.

Météo dans l'Hérault et le Gard : Les conditions météo se dégradent

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Les conditions météo se dégradent

Les conditions météo se dégradent (©Agate France )

Un ciel de plus en plus couvert et menaçant

Les conditions météo vont commencer à se dégrader nettement sur nos deux départements ce mardi. Dans un premier temps, en première partie de matinée, le soleil réussira encore à faire quelques belles apparitions, tant sur le département Héraultais que Gardois. En revanche, les nuages deviendront de plus en plus nombreux au fil des heures et avant la mi-journée, le ciel sera totalement couvert et de faibles pluies commenceront à se produire. 

En seconde partie de journée, le ciel restera tout aussi couvert qu’en matinée mais les pluies resteront relativement rares. D’ailleurs, dès la fin d’après-midi et le début de soirée, le soleil commence à réapparaître. Cependant, malgré un ciel qui se morcelle, le vent se lève et se renforce. Nous observerons des rafales à l’Ouest du Gard et au sein de l’Hérault de l’ordre de 50 à 60 km/h.  

Des températures qui baissent en seconde partie de journée

Concernant les températures minimales, elles sont proches de la barre des 10°C. Les valeurs afficheront 7°C à Nîmes, 8°C à Alès, Le Vigan et Ganges, 9°C à Clermont l’Hérault et Montpellier et les 10°C seront pour Sète. 

Températures minimales de ce mardi

Températures minimales de ce mardi (©Agate France )

Nous fêterons les Roméo

Concernant les températures maximales, elles sont en baisse compte tenu des valeurs que nous avons connu ce week-end et qui dépassaient localement la barre des 20°. Cet après-midi, nous aurons 16°C à Alès, Quissac, Sommières, Uzès, Montpellier et Béziers et 17°C à Sète. 

Températures maximales de ce mardi

Températures maximales de ce mardi (©Agate France )

Le festival Jazz in Mars de retour pour une cinquième édition, près de Rouen

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Le Jazz in Mars revient à Bois-Guillaume pour une 5 édition du 6 au 15 mars à l'espace Guillaume Le Conquérant

Le Jazz in Mars revient à Bois-Guillaume pour une 5 édition du 6 au 15 mars à l’espace Guillaume Le Conquérant (©D.R.)

Durant six soirées, étalées sur deux week-ends, le festival de jazz revient à Bois-Guillaume, près de Rouen (Seine-Maritime) pour le plus grand bonheur des amateurs et des novices de ce genre musical, issu de la culture afro-américaine datant du XIX siècle.

Lire aussi : La programmation du festival Les Pluriels, à Rouen et Mont-Saint-Aignan dévoilée

Pour cette cinquième édition, la commune accueillera le trompettiste de renom Malo Mazurié qui sera accompagné par le Big Band Christian Garros.

Outre ces artistes, l’espace Guillaume-Le-Conquérant verra se produire sur sa scène, le musicien chanteur tout droit venu de Washington D.C, Aaron Myers, qui assurera l’American Night (samedi 7 mars 2020), mais aussi le Sidney Bechet Memory (13 mars 2020 ), le guitariste Jan Vanek quartet (14 mars 2020 ) ou encore le saxophoniste français Michel Pastre quintet (15 mars 2020).

Informations pratiques :
Billetterie disponible sur le site internet de la ville et au service culturelle le mardi et le jeudi de 9 heures à midi et de 14 heures à 17 heures au 1770, rue de la Haie, Bois-Guillaume. Tarifs : 15 euros un billet / 25 euros le pass deux concerts / 30 euros le Pass trois concerts. Tél : 02 35 12 24 55.

Santé. L'hôpital du Mans référent pour le Coronavirus

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Au Mans, l'hôpital de référence en matière de Coronavirus est celui du Mans.

Au Mans, l’hôpital de référence en matière de Coronavirus est celui du Mans. (©Les Nouvelles de Sablé)

L’hôpital du Mans est  « référent » pour le Coronavirus en Sarthe depuis ce lundi 24 février 2020.

Le gouvernement a décidé d’augmenter le nombre d’établissements « référents » dans l’hexagone concernant le Coronavirus. 38 hôpitaux l’étaient. Désormais, la France en compte 70 de plus. 

Initialement, seuls les CHU l’étaient, explique Patrick Dallennes, nouveau Préfet de la Sarthe, désormais tous les centres hospitaliers ayant un Samu le sont ». 

Dès le 27 janvier dernier, l’hôpital du Mans annonçait s’organiser pour accueillir d’éventuels patients atteints du coronavirus. Les services d’urgence sont organisés, avec des circuits spécifiques, pour prendre en charge ces patients.

Lire aussi : Sarthe. Que faire si vous craignez d’être atteint du Coronavirus ? L’hôpital du Mans explique

Le Préfet se veut rassurant « il n’y a pas d’épidémie en France pour le moment. Un dispositif adapté se met en place par anticipation ». 


Pas-de-Calais. Un adolescent de 16 ans transporté à l'hôpital après avoir été percuté par une voiture

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A Haillicourt (Pas-de-Calais), ce lundi 24 février 2020, un jeune homme de 16 ans a été percuté par une voiture. Il a été transféré au CH de Beuvry.

A Haillicourt (Pas-de-Calais), ce lundi 24 février 2020, un jeune homme de 16 ans a été percuté par une voiture. Il a été transféré au CH de Beuvry. (©Actu Pas-de-Calais)

Ce lundi 24 février 2020, vers 14 h, les sapeurs-pompiers de Bruay-la-Buissière et de Lillers sont intervenus à Haillicourt (Pas-de-Calais). Un jeune homme de 16 ans a été percuté par un véhicule léger

Lire aussi : Dans le Pas-de-Calais, trois kilomètres de câbles en cuivre dérobés

L’adolescent transporté au CH de Beuvry

L’adolescent est gravement blessé par le violent contact avec la voiture. Il a été immédiatement transporté médicalisé au centre hospitalier de Beuvry, à quelques kilomètres.

Le chauffeur, âgé de 21 ans, était en état de choc. 

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de l’accident.

Lire aussi : Météo-France annonce quelques flocons de neige sur le Nord et le Pas-de-Calais

Il se met debout sur sa montgolfière à 1 200 mètres d'altitude et établit un nouveau record

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Rémi et Jean-Daniel Ouvrard ont établi un nouveau record du monde vendredi 21 février 2020 : le fils s'est mis debout au-dessus d'une montgolfière à 1.200m d'altitude.

Rémi et Jean-Daniel Ouvrard ont établi un nouveau record du monde vendredi 21 février 2020 : le fils s’est mis debout au-dessus d’une montgolfière à 1 217 m d’altitude. (©Michel Martinet)

Un panorama exceptionnel, une coupe de champagne, et un pied pas possible à 1 217 mètres d’altitude : c’est ce que s’est offert Rémi Ouvrard vendredi 21 février 2020, en entrant par la même occasion dans le livre des records, avec son père Jean-Daniel, pilote de la montgolfière.

Un record établi chez eux, à Châtellerault (Vienne).

Défi relevé il y a 20 ans

Un étonnant record : Rémi Ouvrard est monté sur la montgolfière, s’est levé et s’est permis une coupe de champagne et une petite danse à 1 217 mètres d’altitude. Cet étonnant haut-fait avait déjà été réalisé il y a une vingtaine d’années par le pilote américain Bill Arras, qui ne l’avait cependant pas fait homologuer.

Rémi souligne :

C’est un ami de mon père. C’est lui qui nous a donné envie de tenter le coup, et qui nous a donné des explications de comment faire.

Quatre mois de préparation

Parce que si le fils Ouvrard semble détendu sur les photos, reste qu’il a fallu énormément de préparation pour finir coupette à la main : 

J’ai fait quatre mois de préparation avec le club local de spéléologie pour maîtriser les harnais de sécurité. Pour m’entraîner à aller en hauteur, j’ai dû faire des entraînements… sous-terre !

Rémi s’est donc infligé une dizaine de séances d’entraînements. Des essais ont aussi été faits avant : « On a fait les essais sur le ballon debout, puis en très basse altitude. »

Il détaille les préparatifs : « Nous avons fixé une plaque d’1,50 m2 sur le haut du ballon, harnaché à une boucle du ballon. La chaise rose a ensuite été fixée dessus. D’ailleurs, c’est mon père qui a trouvé l’idée de la couleur… Au début, je devais grimper 20 mètres de corde à la force des mains pour atteindre la plaque. Finalement, je me suis accroché à la plaque du ballon dégonflé, ça m’a fait économiser énormément d’énergie. »

Lire aussi : Originaire de Rouen, l’explorateur Matthieu Tordeur entre au Guinness des records

« J’ai pris un pied pas possible »

A-t-il eu de l’appréhension ? Pas vraiment :

J’ai pris un pied pas possible, et j’en ai pris plein les yeux avec les paysages ! J’ai vu un superbe coucher de soleil… J’ai atteint un taux d’adrénaline que j’aurais du mal à retrouver sur la terre ferme. C’est sûr, on se sent un petit peu moins en sécurité au-dessus du ballon que dans la nacelle, mais c’était génial.

Il avoue cependant qu’il a dû faire des réajustements avant le vol avec son père : « Pendant les essais, quand il mettait un coup de brûleur, la bulle remontait et ça faisait bouger le ballon. J’ai failli en lâcher mon téléphone tellement ça bougeait, alors je lui ai demandé d’y aller plus doucement. Puis, une fois prévenu, ça allait. »

Une fois en l’air, Rémi n’avait plus qu’à profiter :

J’ai même fait ce que j’appelle la danse du ciel ! Je m’étais préparé, j’avais monté une petite enceinte bluetooth pour avoir de la musique avec moi, plus ma coupe de champagne.

Le recordman du monde a même gratifié ses fans d’un Facebook live, qu’il commence avec une touche d’humour : « Je me suis fâché avec mon père, il m’a puni et il m’a mis au coin sur sa montgolfière ! »

Une équipe au sol

Si le fils Ouvrard semble détendu, c’est parce que toute une troupe encadrait l’exploit : le pilote, son père, un spéléologue dans la nacelle : « Il était là pour que, en cas de malaise, il puisse monter me récupérer et me mettre en sécurité dans la nacelle. » Il y avait aussi une trentaine de personnes au sol pour assurer la sécurité et un huissier de justice, présent pour authentifier le record.

L‘aviation civile était aussi bien sûr au courant. « Et ils sont très pointilleux, il faut vraiment penser à tout », précise Rémi.

Lire aussi : Âgé de 112 ans, ce Japonais est le nouveau doyen masculin de l’humanité

Déjà un record en 2019

Le duo Ouvrard n’en est pas à son premier record. Un an jour pour jour avant celui de 2020, le père et le fils en avaient déjà établi un : ils avaient accroché une trapéziste, Isabelle Ponsot, en dessous de leur nacelle, et elle avait enchaîné les figures artistiques… à 3 700 mètres d’altitude.

Par dessus tout, la montgolfière est une affaire de famille. Rémi détaille :

Je suis salarié de mon père. Nous avons une entreprise familiale de montgolfière, ici à Châtellerault pour faire des baptêmes de l’air par exemple. Mon père m’a fait monter dans un ballon pour la première fois quand j’avais deux ans. J’ai été le pilote le plus jeune de France de 2010 à 2012…

La montgolfière, une « affaire de famille »

Et les deux ne sont pas les seuls de la famille à avoir pris la fièvre de l’altitude : 

Cela fait quelques années que mon père et moi sommes adversaires pendant les championnats de France de montgolfière. C’est unique au monde. Mais en plus de cela, son copilote est mon petit frère, et mon copilote est mon grand frère. C’est vraiment une affaire de famille !

On risque d’entendre encore parler de la famille Ouvrard, qui réfléchit déjà à un nouveau record à battre : « On a fait en-dessous, au-dessus, on ne sait pas encore quoi faire, mais pourquoi pas trouver un autre défi… »

En attendant, « si par exemple une émission de télé nous demande de le refaire pour nous filmer, on le refera sans problème. On l’avait fait avec la trapéziste. Donc pourquoi pas. » 

En images. L’exploit de Rémi et Jean-Daniel Ouvrard :

La délinquance en hausse en 2019 en Vendée

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Les violences physiques sont plus nombreuses tandis que les vols stagnent.

Les violences physiques sont plus nombreuses tandis que les vols stagnent. (©Courrier vendéen.)

L’année 2019 marque une augmentation des « atteintes volontaires à l’intégrité physique » (AVIP), des escroqueries, et des infractions économiques et financières par rapport à l’année précédente.
Il faut remarquer que par rapport au nombre d’habitants, la Vendée n’est pas mauvaise élève pour autant puisque tous les faits relevés dans le département restent en dessous de la moyenne nationale.

Une augmentation des violences physiques

Si les « atteintes aux biens » restent stables, les violences physiques, notamment celles de nature sexuelle sont en nette augmentation.
En 2019, sur la totalité des faits commis en Vendée, 3 790 concernent des AVIP. Ce qui représente une hausse de près de 10 % par rapport à 2018.

Lire aussi : Vendée : l’équipe de France de basket s’entraîne au Vendéspace

Ce chiffre reste toutefois à nuancer. Les violences restent presque deux fois moins nombreuses en Vendée que sur l’ensemble du territoire national (5 faits pour 1 000 habitants en Vendée contre 9 au national).
Selon la préfecture de la Vendée, la majorité de ces actes sont commis dans la sphère familiale. Avec pour origine une consommation excessive d’alcool.
Quant aux violences sexuelles, elles se rapprochent dangereusement de la moyenne nationale (0,67 en Vendée ; 0,77 au national) avec une augmentation de 12 %.

Les escroqueries et infractions économiques et financières augmentent aussi au travers de cartes bancaires volées, ensuite utilisées sur internet, ainsi que par la recrudescence des falsifications et usages de chèques volés. Là encore, la Vendée reste pourtant l’un des départements les moins touchés par ce type d’infractions.

Un dispositif anti-cambriolage efficace ?

Bonne nouvelle, le total des infractions lié aux stupéfiants baisse de près de 2 % ! Et si les vols n’ont ni augmenté ni baissé en 2019, ils avaient d’ores et déjà connu un net affaiblissement les trois années précédentes. La Vendée est même l’un des départements le moins criminogène sur ce point.
Des résultats que la préfecture impute à son dispositif anti-cambriolage mis en place depuis fin 2013. Celui-ci met en place une cellule anti-cambriolage renforcée, commune aux services de police et de gendarmerie, des conventions partenariales pour la prévention des vols et cambriolages dans le domaine des assurances, contre les vols de cuivre et sur les chantiers et 80 conventions « participation citoyenne » couvrant le tiers du département. Elle a aussi organisé une sensibilisation auprès des élus, des commerçants et du grand public.

Lire aussi : Un médecin de Vendée interdit d’exercer pendant un mois pour avoir snobé une précédente interdiction

Municipales 2020. Sées : la liste de Jean-Paul Sauvaget

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Autour de Jean-Paul Sauvaget, maire adjoint sortant

Autour de Jean-Paul Sauvaget, maire adjoint sortant (©l’Orne hebdo)

Son nom : « Avenir sagien ».

Elle comprend :

1- SAUVAGET Jean-Paul Maire Adjoint sortant Retraité  64 ans

2- DEBACKER Hélène Professeur 59 ans

3- RICHARD Christian Cadre de la fonction publique 61 ans

4- MARIE Virginie Gestionnaire comptable 38 ans

5- SECHET Christian Retraité cadre comptable 64 ans

6- EUDELINE Adeline Mère au foyer 42 ans

7- ROBIN Yohann Directeur Général 42 ans

8- BARATTE Elodie Chargée de projets culturels 28 ans

10-ROUSSEAU Brigitte Infirmière conseillère technique 60 ans

11-DESHAIES Jean Louis Conseiller sortant Retraité 67 ans

12-HAENTJENS Gwenaëlle En recherche d’emploi Documentaliste 41 ans

13-TIRAND André Conseiller sortant Retraité hospitalier 65 ans

14-BASIER Agnès Aide soignante 58 ans

15-RENAULT Thierry Artisan 48 ans

16-APPRIOU Alexandra Infirmière 38 ans

17-SPRING Thomas Conseiller en santé- sécurité au travail 40 ans

18-OLIVIER Elisabeth Conseillère sortante Commerçante 58 ans

19-BINET Antoine Ouvrier de l’industrie 30 ans

20-LEVEILLE Lucile Agent d’entretien 58 ans

21-TABURET Philippe Conseiller sortant Agent territorial 53 ans

22-DANJON Véronique Salariée en restauration 40 ans

23-IHUELLOU Aurélien Agent prévention sécurité 39 ans

24-LEBLANC Cécile Conseillère sortante Retraitée de la finance 67 ans

25-VANDEWOUDE Dany Expert automobile 50 ans

26-LETOURNEUX Valérie Cadre administratif et commercial d’entreprise 54 ans

27-LORITTE Didier Agent hospitalier qualifié 58 ans

Eure. Le conseil des prud'hommes de Bernay ne fermera pas

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Lors de l'audience de rentrée des prud'hommes de Bernay, le 30 janvier 2020.

Lors de l’audience de rentrée des prud’hommes de Bernay, le 30 janvier 2020. (©FL/Eveil normand)

C’est la bonne nouvelle que se sont empressés d’annoncer, via leurs réseaux sociaux, la députée LREM de la 3e circonscription de l’Eure Marie Tamarelle-Varhaeghe, et le sénateur UC Hervé Maurey. De celles dont tout le monde se félicite. Non, le conseil des prud’hommes de Bernay ne fermera pas, c’est en tout cas ce qu’affirme Nicole Belloubet, la ministre de la Justice, à qui les deux parlementaires avaient écrit.

La ministre de la Justice en réponse à mon courrier concernant l’éventuelle fermeture du conseil des prud’hommes de…

Publiée par Hervé Maurey sur Jeudi 20 février 2020

Retour en arrière. Le 30 janvier 2020, lors de l’audience solennelle de rentrée, l’ancienne puis la nouvelle présidente du conseil des prud’hommes de Bernay s’étaient inquiétées de l’avenir de la juridiction. « La justice est un droit et l’accès à une justice de proximité à taille humaine est un droit tout aussi fondamental dans une république. Non, le conseil de Bernay ne doit pas fermer ! » avait réagi la présidente sortante, Catherine Guimard, après avoir annoncé la fermeture programmée des prud’hommes de Bernay en 2022.

« Dans le cadre de la loi de programmation 2018-2022 et de la réforme de la justice, les conclusions récentes (décembre 2019) d’un groupe de travail mis en place par le ministère de la Justice prévoient à très court terme (fin 2021) la suppression de 22 conseils prud’homaux sur le territoire national, l’objectif étant de réduire drastiquement les effectifs de conseillers prud’homaux et, par conséquent, les effectifs de greffes en éloignant de facto les justiciables de la justice », avait enchaîné Yannique Valin, la nouvelle présidente.

Lire aussi : Bernay. Le conseil des prud’hommes menacé de fermeture en 2022

Regroupement d’activités

Pas de fermeture, donc, mais sans doute, à terme, une réduction du nombre de conseillers par un jeu de chaises musicales, comme l’explique la Garde des sceaux. « L’évolution du conseil de Bernay s’inscrit dans un double contexte, local lié à la création de communes nouvelles et notamment celle des Monts-du-Roumois, qu’il est envisagé de rattacher dans son ensemble au conseil des prud’hommes de Bernay, [ce qui] est de nature à renforcer l’implantation de cette juridiction en étendant son ressort et le nombre de ses justiciables », écrit Nicole Belloubet.

L’autre contexte est national. « Il répond à une demande exprimée dans le cadre du conseil supérieur de la prud’homie pour trouver des solutions à l’impossibilité dans laquelle se trouvent certains conseils de prud’hommes de constituer des sections faute d’effectifs suffisants ». Un groupe de travail se réunit une fois par mois depuis juin 2019 pour travailler sur la répartition des effectifs prud’homaux. « L’objectif est de mieux répartir les conseillers entre les conseils de prud’hommes de façon à réduire la vacance des postes », souligne la Garde des sceaux.

Des simulations de ce groupe de travail envisagent le regroupement de certaines activités, notamment l’agriculture et l’encadrement. Ce pourrait être le cas à Bernay. Le 30 janvier, Yannique Valin terminait son propos sur une note pessimiste :

Dans chacun des scénarios envisagés, les regroupements réduisent de façon importante les effectifs des conseillers prud’homaux.

Coronavirus, tour de France et cosmétique maison : le récap’ de l’actu à Caen du 24 février

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Le coronavirus

Le coronavirus , l’aventure et la beauté sont au programme de ce lundi 24 février 2020. ©(DR)

Que s’est-il passé à Caen et ses environs (Calvados) ce lundi 24 février 2020 ? La réponse en 5 points. 

Coronavirus

Cas suspect de coronavirus au CHU de Caen : patients et visiteurs ont été confinés
Dimanche 23 février 2020, une alerte au coronavirus a été lancée au CHU de Caen. Un témoin évoque un confinement le temps que le patient qui viendrait d’Italie soit pris en charge.

Municipales 2020. À cause du coronavirus, la maire de Mondeville suspend sa campagne
Ce lundi 24 février 2020, la maire de Mondeville, Hélène Burgat annonce qu’elle suspend sa campagne à cause du coronavirus, pour les élections municipales des 15 et 22 mars 2020.

Aventure

Inédit : David se lance dans un tour de France de 6 000 km à pied, en partant de Caen
Près de Caen, David Lebret prend un congé sabbatique de 10 mois pour vivre son rêve : faire un tour de France de 6 000km à pied, sur les sentiers de grande randonnée (GR).

Beauté

À Caen, il est possible de confectionner ses propres produits cosmétiques chez Reine Bow
Un nouveau concept lié à la beauté vient de voir le jour en centre-ville : une boutique pour fabriquer soi-même ses produits cosmétiques. Il s’agit de Reine Bow.

Travaux

À Louvigny, l’effacement des réseaux se poursuit en 2020
C’est le gros chantier 2020 à Louvigny, près de Caen (Calvados) : la reprise de l’effacement des réseaux aura lieu cette année.

Val-d'Oise. Grisy-les-Plâtres : l'association Les Chachous de Chacha prend soin des chats errants de votre commune

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En haut, de gauche à droite : Bertrand, Isabelle, Hélios (le chat !), Gilles et Christiane.

En haut, de gauche à droite : Bertrand, Isabelle, Hélios (le chat !), Gilles et Christiane. (©La Gazette du Val-d’Oise)

Ils s’appellent Minette, Chico, Fabio, Pomme, Pamplemousse ou encore Dragibus, Freddy, Prunus et Wifi.

À des degrés divers, chacun d’entre eux a enduré des moments difficiles dans sa vie de félin. Cependant, tous ont eu la chance d’avoir un nouveau départ.

C’est du moins ce que l’association Les Chachous de Chacha tente de leur offrir au quotidien. Depuis cinq ans, l’association de protection animale, née à Grisy-les-Plâtres (Val-d’Oise), oeuvre à la protection, aux soins et au placement des chats abandonnés et errants sur la totalité du territoire vexinois, mais aussi ses alentours.

Plus de 300 chats recueillis

La cinquantaine de membres de la structure s’investit corps et âme afin de venir en aide à nos charmantes boules de poils. D’autant que la problématique des chats errants concerne quasiment la totalité des communes du secteur. 

« Nous recueillons une centaine de chats errants chaque année et ça monte crescendo. Dans ceux-là, on compte bien entendu ceux abandonnés lors des périodes estivales. Quand ils sont adoptables, nous essayons de les placer. S’ils sont très malades, nous les mettons, sur la durée, en famille d’accueil jusqu’à la fin des soins », précise Bertrand, l’un des fondateurs de l’association.

Pour l’instant, une cinquantaine de ces félins ont été recueillis par des familles d’accueil. « Nous en manquons cruellement, cela devient critique », assure Gilles, autre fondateur de l’association.

Lorsque celle-ci est alertée de la présence d’un chat errant, elle a pour mission de le récupérer, le stériliser puis le soigner. 

« S’ils sont trop sauvages, on les gère en chat libre : c’est-à-dire qu’ils sont remis sur leur territoire mais nous les nourrissons et les soignons quand c’est nécessaire, insiste Bertrand. Cela peut faire peur aux communes mais il y a de nombreux avantages. Les chats réintégrés prennent la place de ceux errants et non stérilisés, cela évite la surpopulation et leur impact sur l’environnement diminue lorsqu’on leur donne à manger (ce qui entraîne une diminution de la mortalité chez les oiseaux notamment, Ndlr). »

Sensibiliser les candidats

Pour mener à bien leur périlleuse mission, Les Chachous de Chacha invitent les communes du territoire à mettre en place des campagnes de stérilisation des chats errants, ce qui permettrait entre autres d’éviter la prolifération et de participer à leur bien-être.

Avec pour objectif de créer un partenariat durable entre les deux organismes. La commune d’Hérouville-en-Vexin est la première à avoir fait appel à l’association pour venir en aide aux félins du village et ainsi limiter leur prolifération. 

« Cela nous a permis de stériliser sept chats entre décembre 2019 et janvier 2020. La stérilisation est payante pour les communes mais elles peuvent faire appel à une fondation qui peut leur fournir des bons », explique Bertrand.

Parallèlement, l’association entend bien sensibiliser les candidats aux prochaines élections municipales à propos du bien-être animal. Une décision prise suite à un sondage demandé par l’association 30 millions d’Amis et mené par l’Ifop. Un sondage qui indique que 56 % des inscrits sur les listes électorales sont prêts à voter pour un candidat qui agit en faveur de la protection animale. 

« Nous aimerions faire en sorte qu’ils signent un engagement pour s’occuper des chats errants de leur commune. De notre côté, nous nous engageons à communiquer une liste publique de ceux qui sont prêts à s’engager dans cette politique », insiste Bertrand.

Cependant, la stérilisation représente un coût non négligeable, que l’association ne peut supporter. Sans oublier les denrées alimentaires et les soins qui doivent être apportés aux boules de poils. 

« Nous n’avons aucune subvention. Les appels aux dons sont effectués par le biais de Facebook et sur notre site. Nous avons besoin de dons, ne serait-ce que pour payer les vétérinaires », souligne Gilles.

Les collectes sont néanmoins légion pour pouvoir nourrir cette armée de félins. Pour ce faire, différents partenariats ont été noués avec le Carrefour Market de Marines,Gamm Vert à Taverny, la Jardinerie Delbard à Soisy-sous-Montmorency et Animalis à Éragny-sur-Oise. 

« Ces animaux ont été sauvés de la rue, nous voulons vraiment qu’ils soient heureux et qu’ils vivent dans des conditions optimales », conclut Christiane, une bénévole.

Rens. : 06 63 88 86 75. Pour faire un don, se rendre sur le site leschachousdechacha.org ou sur la page facebook Les Chachous de Chacha


Le Salon du chocolat et de la gourmandise de retour à Villeneuve-d'Ascq ce week-end

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Le salon du chocolat est de retour à Villeneuve-d'Ascq le 29 février et le 1er mars.

Le salon du chocolat est de retour à Villeneuve-d’Ascq le 29 février et le 1er mars. (©PxHere / Illustration)

Une sortie à faire entre petits et grands gourmands. Tout le week-end, l’odeur du cacao va flotter à l’Espace Concorde de Villeneuve-d’Ascq (Nord). C’est ici que se tiendra la 11ème édition du Salon du chocolat et de la gourmandise, organisé par le Rotary Club de Lille Est, samedi 29 février et dimanche 1er mars 2020.

Lire aussi : De Punta Cana à Lille, la chocolaterie Encuentro est considérée comme l’une des meilleures de France

Concours de sculptures en chocolat

Pendant ces deux jours, les visiteurs pourront découvrir le savoir-faire d’artisans confirmés et de jeunes professionnels issus des centres de formation de la région. Un concours de sculptures en chocolat sur le thème « Le chocolat, de sa civilisation à son art » opposera tous ces talents.

Lire aussi : A Lille, elle lance une box pour vous apprendre à apprécier le chocolat noir

Une trentaine d’exposants seront sur place pour faire découvrir leurs créations chocolatées.

Enfin, des animations sont prévues tout au long du week-end pour amuser petits et grands : jeux traditionnels Flamands, un saltimbanque et échassier qui parcourra les allées du salon.

Comme tous les ans, les bénéfices de la vente des tickets seront reversés à une association. L’édition 2020 soutient ainsi l’association Warrior Enguerrand qui lutte contre les cancers pédiatriques.

Infos pratiques :
Espace Concorde, rue Carpeaux
Samedi de 10 h à 20 h, dimanche de 10 h à 19 h
Tarifs : Entrée : 4 € / étudiants : 2€ / gratuit pour les moins de 12 ans
Plus d’infos sur la page Facebook de l’événement

Publiée par Salon du Chocolat de Villeneuve d'Ascq sur Mercredi 12 février 2020

RER E Paris-Chelles : plus de train après 22h30 durant trois semaines

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Du lundi 2 au vendredi 20 mars 2020, le trafic sera interrompu sur le RER E entre Haussmann Saint-Lazare à Paris et Chelles Gournay (Seine-et-Marne) dès 22h30.

Du lundi 2 au vendredi 20 mars 2020, le trafic sera interrompu sur le RER E entre Haussmann Saint-Lazare à Paris et Chelles Gournay (Seine-et-Marne) dès 22h30. (©Wikimedia)

Trois semaines durant, les usagers nocturne du RER E vont devoir prendre leur mal en patience. Du lundi 2 au vendredi 20 mars 2020, en raison de travaux sur le RER E, le dernier train au départ de Chelles Gournay (Seine-et-Marne) sera à 22h15. Du côté de la gare Haussman Saint-Lazare à Paris, peu de temps supplémentaire : le dernier train quittera la gare à 22h43. Le week-end, le trafic sera normal. 

Bus de substitution

Au départ de Paris, des bus de substitution seront affrétés à la station Bobigny – Pablo Picasso (Seine-Saint-Denis). Pour s’y rendre, les usagers devront emprunter la ligne 5 du métro jusqu’à son terminus.

Des départs sont prévus toutes les quinze minutes, de 23h à 1h. Il faudra alors compter une heure pour rejoindre Chelles au départ de Bobigny, contre 30 minutes pour faire Haussmann Saint-Lazare-Chelles en temps normal. 

1h30 pour faire Chelles-Gare de l’Est

Au départ de Chelles, les bus seront terminus Gare de l’Est. La SNCF prévoit également un bus toutes les quinze minutes, à compter de 22h30. Le dernier bus au départ de Chelles sera à 00h30. Il faudra compter près d’une heure trente pour rejoindre la Gare de l’Est. 

Toulouse. Un bootcamp pour changer de façon de vivre et lancer sa transition écologique

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Le bootcamp Edeni permet de débuter sa transition écolo facilement.

Le bootcamp Edeni permet de débuter sa transition écolo facilement. (©Illustration/Adobe Stock)

Six semaines pour changer de mode de vie, de façon de consommer et mieux respecter la planète. C’est ce que propose le collectif Edeni avec son bootcamp qui se tiendra à Toulouse, à partir du 25 février 2020.

Lire aussi : Toulouse. Ces ingénieurs d’Airbus qui se préparent à l’effondrement du monde

Zéro déchet, climat, éthique, développement personnel

Concrètement, ce bootcamp réunira ses participants une fois par semaine pour des ateliers et conférence pour débuter sa transition écologique.

Cécile Gau est la référente d’Edeni dans la Ville rose. Elle explique :

On va parler de mode de vie zéro déchet, mais aussi de climat, de santé, d’éthique, de développement personnel… Le tout avec des exercices ludiques, simple à faire et qui produisent rapidement des effets

Lire aussi : Zéro déchets. Le Drive tout nu fête ses un an et va ouvrir un nouveau drive au sud de Toulouse

Approche globale

Acheter en vrac, mieux recycler, pratiquer le compostage, faire ses produits ménagers ou ses cosmétiques, cuisiner des plats sains et ethiques… La formation promet une approche globale pour réduire son empreinte énergétique : on y apprend aussi bien à changer des gestes de la vie courante qu’à réfléchir à la collapsologie ou à aiguiser son esprit critique sur la société de consommation.

« Quelqu’un qui suivrait la formation uniquement pour apprendre des gestes zéro déchet pourrait être un peu choqué, prévient Cécile Gau. Par exemple, on met sur la table des données sur le réchauffement climatique qui peuvent vraiment chambouler. »

Une formation née dans la capitale

En plus du cours hebdomadaire, les participants reçoivent un mail quotidien pour compléter leur formation et ont accès à une base de données avec de nombreuses ressources. Cécile Gau précise :

Ce bootcamp s’adresse aux particuliers qui sont déjà un peu sensibilisés aux problématiques écolo, qui ont envie de faire quelque chose au quotidien mais ne savent pas par où commencer. 

Basée à Paris, l’association Edeni a déjà organisé plusieurs bootcamp dans la capitale. Ils ont tous rencontré un grand succès, et Edeni commence à essaimer en région, comme avec cette formation dédiée aux Toulousains. Plusieurs bootcamp de ce type devraient être organisés cette année dans la Ville rose.

Infos pratiques :
À partir du 25 février 2020. Tarif: 399 euros.
Renseignements et inscriptions sur le site d’Edeni.

Municipales 2020. Frédéric Bride candidat à sa succession à la mairie de Val-Suran

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Frédéric Bride a été élu maire de la commune nouvelle de Val-Suran en 2017.

Frédéric Bride a été élu maire de la commune nouvelle de Val-Suran en 2017. (©Voix du Jura)

C’est avec une équipe en partie renouvelée comportant neuf nouveaux inscrits que Frédéric Bride a présenté sa candidature, briguant un quatrième mandat aux élections municipales de mars 2020.

Élu à la fonction de maire en 2008 à Villechantria, après un premier mandat comme premier adjoint, il est choisi comme premier édile en janvier 2017 à la tête de la commune nouvelle de Val-Suran à la suite de la fusion des communes de Louvenne, Broissia, Saint-Julien et Villechantria.

Poursuivre et finaliser les gros projets en cours

Fort des réalisations des mandats antérieurs et très impliqué dans la qualité de vie des habitants de la vallée, Frédéric Bride entend améliorer leur cadre de vie au quotidien et durablement, poursuivre et finaliser les gros projets en cours : réhabilitation de l’ancienne gendarmerie avec sept logements locatifs – deux attribués aux personnes à mobilité réduite, cinq réservés aux familles – avec une vision à long terme réaliste sur le maintien du groupe scolaire ; agrandissement des Maisons d’assistantes maternelles ; revitalisation du centre-bourg (implantation de commerces, création de quatre logements avec toutes les commodités, et en lien avec la communauté de communes l’installation du tiers-lieu et de la médiathèque) ; rajeunissement du camping, projet porté par la communauté de communes avec subvention et participation de la commune.

Cette équipe se présentera aux électeurs le vendredi 6 mars 2020 à 18 h à la salle des fêtes de Villechantria et à 20 h à la salle des fêtes de Bourcia, le samedi 7 mars 2020 à 18 h à la mairie de Louvenne et à 20 h à la salle des fêtes de Saint- Julien.

La liste
La liste présentée respecte l’engagement de la charte conçue lors de la fusion des communes. Elle est composée de quatre représentants pour Bourcia, Louvenne et Villechantria et sept pour Saint-Julien. Bourcia : Michel Bouquerod, Gilbert Brun, Sébastien Caplot et Marielle Redin. Louvenne : Thierry Barron, Jean Louis Bride, Gérard Carraz, Françoise Thomas. Villechantria : Frédéric Bride, Marie France Bouvier, Jean François Marronnier, Cédric Nicod. Saint-Julien : Josiane Etchegaray, Léa Barraud, Myriam Cortés, Damien Gerbe, André Jenoudet, Pierre Lombardet, Patrick Thevenot.

Gironde. Un convoi de l'Airbus A380 part cette nuit de Langon

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Le convoi complet de l’Airbus A380 partira de Langon (Gironde) ce lundi 24 février 2020 à 22h.

Le convoi complet de l’Airbus A380 partira de Langon (Gironde) ce lundi 24 février 2020 à 22h. (©Le Républicain Sud-Gironde)

Lundi 24 février 2020 à 22h, un nouveau convoi complet des composants de l’avion Airbus A380 partira de Langon (Gironde) et prendra la direction de la route de Bazas.

Il transportera six composants de l’Airbus A380 :

  • aile gauche
  • aile droite
  • empennage horizontal 
  • fuselage avant
  • fuselage central
  • fuselage arrière

Et aussi des composants du Beluga XL :

  • deux Caisses WP BXL

Le convoi va emprunter l’itinéraire à grand gabarit et passera notamment par Bazas, Bernos-Beaulac, Captieux, Maillas.

L’arrivée du convoi est prévue à Toulouse-Cornebarrieu le jeudi 27 février 2020.

Lire aussi : Gironde. Retour en images sur le carnaval ensoleillé de Langon

Les horaires du convoi

  • Départ de Langon à 22h ;

  • Puis déviation de Bazas (rond-point) à 23h05 ;

  • Bazas/ Bernos-Beaulac à 23h10 ;

  • traversée de Bernos-Beaulac à 23h28 ;

  • Beaulac-Captieux à 23h38 ;

  • déviation Captieux à 23h51 ;

  • Captieux/Maillas à 0h01

Infos :  www.igg.fr

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