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Verneuil-sur-Avre. Sept champions de Normandie de boxe thaïlandaise

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Bravo à ces boxeurs qui ont osé monter sur le ring.

Saïd Mahdi est fier de ses boxeurs qui ont osé monter sur le ring (©La Dépêche de verneuil)

Belle moisson pour le Siam boxing de Verneuil-sur-Avre (Eure) au championnat de Normandie de muay thaï (ou boxe thaïlandaise) à Bourgtheroulde (Eure) le dimanche 9 février 2020. Il en revient avec sept champions régionaux sur onze engagés.

« Des champions qui sont, par la même occasion, sélectionnés au championnat de France prévu en avril à la halle Carpentier de Paris », précise Saïd Mahdi, fondateur et entraîneur de ce club affilié à la FFKMDA, Fédération française de kick boxing, muay thaï et disciplines associées.

Lire aussi : Boxe thaï de Verneuil. Huit qualifiés aux « France »

En – 28 kg poussin, Tayeb Nait Bouda s’impose sur son camarade de club, Mao Ponnelle, lequel est donc vice-champion de Normandie.

En – 32 kg poussin, Andy Poussin l’emporte, tout comme son frère Tym Poussin en – 45 kg benjamin.

En – 60 kg cadette, victoire de Méline Raimbault.

En – de 78 kg cadet, Lenny Grassin s’impose.

En – 60 kg junior, Idriss Mahdi, entraîneur adjoint, gagne également.

En – 75 kg senior, Kevin Lebrun l’emporte aussi et David Guernon finit 2e.

En – 78 kg junior, Théo Marti finit 2e.

Enfin, en – 70 kg cadet, Anthony Letertre perd en demi-finale et termine 4e.

Bravo à tous.


Municipales 2020. Découvrez les deux listes en lice à Saint-Aubin-sur-Mer

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Deux listes sont en lice à Saint-Aubin-sur-Mer.

Deux listes sont en lice à Saint-Aubin-sur-Mer. (©Liberté le Bonhomme Libre)

A Saint-Aubin-sur-Mer près de Caen (Calvados), deux listes se font face. Celle bicéphale de Jean-Paul Tancrez et Bruno Jumel , issue de l’opposition. Et celle d’Alexandre Berty issue de la majorité.

La liste « Vivons Saint-Aubin » menée par Alexandre Berty:
Alexandre Berty, 48 ans, formateur en milieu professionnel ; Elise Mackowiak, 42 ans, chirurgien ; Hervé Girard, 55 ans, directeur d’une structure de conseil en urbanisme-habitat ; Mathilde Mériel, 34 ans, photographe indépendante ; Jean-Baptiste Niger, 40 ans, responsable financier ; Christine Lesage, 53 ans, conseillère en formation professionnelle ; Antoine Hamon, 60 ans, responsable de formation professionnelle IRTS Caen ; Annie Desleux, 59 ans, responsable formation ; Willem Priou, 22 ans, étudiant en master MEEF EPS ; Isabelle Donadille, 63 ans, assistante de direction retraitée ; Jean-Marie Joly, 57 ans, directeur d’une agence de communication ; Christine Geslain, 59 ans, médecin ; Bertrand Olivetti, 62 ans, caméraman retraité ; Isabelle Frenehard, 67 ans, infirmière retraitée ; Lionel Graff, 55 ans, enseignant en hôtellerie ; Marie-Paule Lévêques, 67 ans, retraitée du secteur social ; Arnaud Rioual, 43 ans, enseignant en sciences économiques ; Nadine Gardie, 58 ans, expert-comptable et dirigeante ; Joël Bréard, 51 ans, enseignant-chercheur ; Marie-Thérèse Jolimaître, 76 ans, professeure retraitée ; Jean-Paul Ducoulombier, 73 ans, cadre supérieur retraité.

Pressentis pour la Communauté de communes : Alexandre Berty, Elise Mackowiak, Hervé Girard.

Lire aussi : Municipales 2020. À Saint-Aubin-sur-Mer, le maire Jean-Paul Ducoulombier arrête, Alexandre Berty candidat

La liste d'Alexandre Berty.

La liste d’Alexandre Berty. (©Liberté le Bonhomme Libre)

La liste bicéphale Jean-Paul Tancrez et Bruno Jumel : « Le bon sens pour Saint-Aubin sur Mer » :
Dans l’ordre de la liste présentée : Jean-Paul Tancrez, 75 ans, directeur de l’administration territoriale honoraire ; Annette Leclerc, 63 ans, inspectrice divisionnaire des finances publiques ; Bruno Jumel, 61 ans, directeur des finances et budget Université de Caen ; Dominique Baudry, 68 ans, juriste fonction publique d’Etat retraitée ; Bernard Dubuisson, 48 ans, policier municipal ; Béatrice Delaune, 59 ans, assistante maternelle ; Jean-Louis Daumas, 60 ans, directeur des services pénitentiaires ; Delphine Lechevalier, 39 ans, agent de maîtrise ; Aurélien Haggiag, 40 ans, responsable commercial ; Maryse Donnet-Mériel, 68 ans, professeur certifié honoraire d’histoire ; Dylan Onorato-Lechevalier, 21 ans, étudiant en licence de biologie ; Christelle Adam, 42 ans, chargée d’accueil sécurité sociale des indépendants ; Michel Rotunno, 73 ans, retraité ; Julie Navet, 37 ans, auxiliaire de vie à domicile ; Jean-Pierre Rouquette, 64 ans, cadre des IEG EDF-GDF retraité ; Emilie Neveu épouse Lesage, 33 ans, commerçante ; Pascal Vancayzeele, 62 ans, agent de maîtrise retraité ; Marie-Françoise Petit épouse Audigié, 78 ans, agent général d’assurances retraitée ; Bryan Baudrit, 28 ans, chauffeur déménageur ; Béatrice Cotte, 45 ans, employée.
Pressentis pour le conseil communautaire : Jean-Paul Tancrez, Annette Leclerc, Bruno Jumel, Delphine Lechevalier.

Lire aussi : Municipales 2020. Une liste à deux têtes à Saint-Aubin-sur-Mer avec Bruno Jumel et Jean-Paul Tancrez

La liste de Jean-Paul Tancrez et Bruno Jumel.

La liste de Jean-Paul Tancrez et Bruno Jumel. (©Liberté le Bonhomme Libre)

À cause de la tempête, un TGV bloqué entre Bretoncelles et La Loupe

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Le trajet Nantes - Paris aura duré plus de 15 h !

Le trajet Nantes – Paris aura duré plus de 15 h ! (©DR)

C’est une des conséquences de la tempête Dennis, qui s’est abattue sur la Normandie, dimanche 16 février 2020 : un TGV a heurté un arbre tombé sur les voies, entre Bretoncelles (Orne), et La Loupe (Eure-et-Loir).

Il était 17 h 50. L’arbre est tombé sur un poteau de soutien du fil d’alimentation électrique.

Lire aussi : En Normandie, 11 000 clients privés d’électricité à cause de la tempête Dennis

Le TGV parti de Nantes pour Paris s’est retrouvé immobilisé.

Le temps que les secours s’organisent, les 750 passagers ont été bloqués à l’intérieur du train, dans le noir.

Lire aussi : Tempête Dennis : le TGV, bloqué par un arbre, met 15 heures à relier Nantes à Paris

La situation était extrêmement compliquée du fait de l’absence d’alimentation électrique et de l’interruption sur les deux voies (arbres et poteaux caténaires affaissés), explique la SNCF à actu Nantes.

Ils n’ont pu monter à bord d’un TER venu à hauteur du TGV qu’entre… 0 h 50 et 3 h du matin.

Lire aussi : EN IMAGES. Tempête Dennis : un arbre détruit une voiture à Caen, des dégâts sur la Côte de Nacre

Tous ont été transportés au Mans, puis ont pu grimper dans un autre TGV, avec un départ à 4 h 15 pour une arrivée à Paris à 5 h 30, lundi 17 février.

Le trajet depuis Nantes aura duré plus de 15 heures.

L’évacuation des passagers, en pleine nuit et en pleine voie, a été possible grâce à l’intervention mutualisée des pompiers, des gendarmes, et de la sécurité ferroviaire.

 

Bourse géante à Nancy : voici comment dénicher les meilleurs CD, DVD, vinyles et livres

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La bourse aux disques de printemps c'est l'occasion de dénicher des petites pépites à prix réduits !

La bourse aux disques de printemps c’est l’occasion de dénicher des petites pépites à prix réduits ! (©Ville de Nancy)

Voilà une nouvelle qui devrait ravir les mélomanes. Dimanche 22 mars 2020, la Face cachée, l’association Mets des disques et l’Autre Canal organisent leur bourse aux disques de printemps.

L’événement se déroulera de 10h à 18h dans la grande halle de l’Octroi à Nancy (Meurthe-et-Moselle).

Lire aussi : Un vide-grenier géant pour geeks à Nancy pour trouver jeux-vidéos et de société

De la musique pour tous

Ainsi, les fans de musique pourront dénicher des pépites à prix réduits et notamment des vinyles, des CD, des DVD, ou encore des livres.

Et que vous soyez fan de Black Sabbath, Françoise Hardy, The Beatles ou encore de Pierre Bachelet, soyez rassuré, vous y trouverez votre compte !

En attendant l'éclaircie, le festival de la création normande, revient à La Cité/Théâtre, à Caen

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Finir chèvre : une des trois pièces à découvrir La Cité/Théâtre, du 17 au 21 favriér 2020, à caen (Calvados).

Finir chèvre : une des trois pièces à découvrir La Cité/Théâtre, du 17 au 21 février 2020, à Caen (Calvados). (© DR)

Co-organisé par La Cité/Théâtre de Caen (Calvados), le Théâtre des Bains-Douches (Le Havre) et L’étincelle (Rouen), le festival En attendant l’éclaircie permet de rendre visible des projets émergents de jeunes créateurs et créatrices basé(es) en Normandie. Du 17 au 21 février 2020, trois pièces originales et une soirée musicale seront au programme.

Le programme à la Cité/Théâtre

  • Débris. Cette pièce de la compagnie Jolie Carcasse s’appuie sur un texte de Dennis Kelly, auteur britannique très à la mode ces dernières années, à qui l’on doit notamment la série culte de Channel 4, Utopia. Ici, Lisa-Marion McGlue met en scène l’histoire de Michael et Michelle, deux frère et sœur qui racontent les événements marquants de leur vie. Deux protagonistes qui cherche avec humour un sens à leur existence, avec leurs armes : une improbable fantaisie et le verbe.
    C’est quand ? Lundi 17 février, à 20h.
  • Finir chèvre. Cette création du Collectif Asymptomatique part de la réalité pour développer une fiction, « repoussant toujours plus loin cette limite floue entre le comédien et le personnage », selon Romain Guilbert, le metteur en scène. Tout commence avec un frère qui attend sa sœur : il regarde le public, nerveux et timide. La représentation doit commencer mais elle n’est pas là. il se met alors à nous livrer des morceaux de son passé, se prend au jeu, et nous entraîne dans ses souvenirs.
    C’est quand ? Le 18 février, à 20h.
  • Rift. Virginie Vaillant du Collectif Le Poney nous propose ici un étonnant solo/duo sur la disparition : « Celle de mon père, perdu dans les limbes de la maladie d’Alzheimer. Celle de mon amour. J’explore ma propre parole, mes souvenirs, mes bribes, mes failles et donc ma fissure pour faire surgir une forme de ce marasme que peut être la vie. »
    C’est quand ? Le 19 février, à 20h.

Une belle soirée de clôture en musique
En attendant l’éclaircie, c’est aussi l’occasion de faire la fête, avec une soirée de clôture avec des groupes originaux.
Le 21 février, on vous invite donc à passer un bon moment en compagnie de « l’electro-rock – néo-punk-décathlon » de Hyène, la « pop punk fitness » de Pineapple (photo), et un DJ set « 90’s, electro et autres vieilleries » de Djettes Moules Frites.
C’est quand ? Vendredi 21 février 2020, à 21h30.

Infos pratiques :
La Cité/Théâtre, 28 rue de Bretagne, à Caen (Calvados).
Tél : 02 31 93 30 40. Tarifs : 5 à 10 euros.

PHOTOS Des images de la tempête Dennis dans le Finistère

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La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020

La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020 (©Gaël Coupeau )

Après Ciara le week-end précédent, puis Ines, une troisième tempête, baptisée Dennis, a balayé le Finistère ce week-end des 15 et 16 février 2020.

Lire aussi : Tempête Dennis : le Finistère et le Morbihan placés en vigilance orange pluie-inondation

Gaël Coupeau, armé de son appareil photo, a capté quelques images du côté du Conquet et du phare du Petit Minou à Plouzané

La tempête Dennis du côté du phare du Petit Minou à Plouzané dans le Finistère, dimanche 16 février 2020

La tempête Dennis du côté du phare du Petit Minou à Plouzané dans le Finistère, dimanche 16 février 2020. (©Gaël Coupeau )

La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020

La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020. (©Gaël Coupeau )

La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020

La tempête Dennis au Conquet dans le Finistère, dimanche 16 février 2020. (©Gaël Coupeau )

Municipales 2020 : que proposent les candidats pour le commerce à Cherbourg ?

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Comment renforcer l'attractivité commerciale.

Comment renforcer l’attractivité commerciale. (©Jean-Paul BARBIER)

La bonne santé économique du Cotentin trouve aussi sa traduction au niveau de l’activité commerciale, en particulier sur Cherbourg-en-Cotentin.

Une évasion limitée… à Ikea

Un des instruments pour le mesurer, c’est le taux de vacance, les cases commerciales vides.

Émilie Bellot, manageuse du centre-ville ( un poste créé durant le mandat qui s’achève et que nombreux, l’UCC en tête, aimeraient voir renforcé), commente :

Dans le centre-ville, il atteignait 17 à 18 % il y a quelques années. Il est de 12 % aujourd’hui, et même 8 % dans l’hyper centre

1 293 commerces actifs

Les enseignes, les marques franchisées, représentent aujourd’hui un tiers des commerces de centre-ville, un ratio considéré comme un juste équilibre. Cherbourg-en-Cotentin compte 1 293 commerces actifs pour 20 800 m2, à comparer aux 2 540 commerces recensés dans le Cotentin. « Cherbourg est le gros pôle de centralité, avec une offre commerciale variée entre la grande surface et le commerce de proximité. » À l’échelle de la Communauté d’agglomération du Cotentin, la capacité de dépense des consommateurs a été évaluée à 1,8 milliard d’euros, dont 791 millions sur Cherbourg-en-Cotentin. Sur ce montant, l’évasion physique est limitée à 2 %, en grande partie sur le magasin Ikea de Caen. Le commerce sur internet, lui, représente 7 %.

Accessibilité, stationnement

Florence Kwiatek, au nom du bureau de l’Union Cherbourg Commerce (113 adhérents) :

Il y a un enjeu d’attractivité. Même si un maire ne peut agir directement, obtenir la venue de locomotives dans le centre-ville profiterait à tout le monde. Autre sujet, l’accessibilité, le stationnement. Les bonnes solutions sont multiples et il ne faut pas s’arrêter sur une. Mais regardez le parking Gambetta, des places réservées aux abonnés restent souvent vides…

Germain Finel, le président de Cap Nord :

Il ne faut plus opposer le centre-ville et les zones commerciales en périphérie. À notre niveau, nous sommes passés au-delà de ça en nous réunissant au sein de la fédération des commerçants de Cherbourg (FCC). Le vrai concurrent, c’est internet. C’est lui qui pose problème et casse des emplois

Cette fédération souhaite déjà être associée par les élus à la construction de projets structurants et des décisions qui la touchent.

« Le vrai concurrent, c’est internet »

Les commerçants souhaiteraient être associés à la coconstruction sur les sujets structurants. En octobre, cela avait été le cas pour évoquer les ouvertures dominicales de 2020. Mais le premier effet a été plutôt ubuesque :

Le premier dimanche des soldes, Tollevast a ouvert, La Glacerie non… On ne peut plus se retrouver, à l’heure de Cherbourg-en-Cotentin et de la Communauté d’agglomération du Cotentin, dans ce genre de situation

Les candidats s’engagent pour les commerces

Les candidats aux élections municipales dévoilent leur programme pour l’un des grands thèmes de la campagne : les commerces (Dans l’ordre : Benoît Arrivé, David Margueritte, Barzin Viel-Bonyadi et Sonia Krimi).

Les candidats aux élections municipales dévoilent leur programme pour l’un des grands thèmes de la campagne : les commerces (Dans l’ordre : Benoît Arrivé, David Margueritte, Barzin Viel-Bonyadi et Sonia Krimi). (©Presse de la Manche)

David Margueritte : « Créer une société d’aménagement »

La qualité de vie et l’attractivité d’une ville dépendent de la vitalité du commerce. Son développement est le fruit de l’investissement d’entrepreneurs et de l’engagement des salariés. La municipalité peut jouer un rôle majeur pour encourager et accompagner les initiatives. De nos centres-villes aux galeries commerciales, nous devons soutenir tous les commerces et veiller à l’équilibre des zones existantes.
Il faut concerter et faire confiance aux professionnels. Le pilotage du poste de manager de centre-ville sera délégué à la Fédération des commerçants pour plus d’efficacité. Les États Généraux annuels du commerce permettront de s’adapter en permanence aux besoins des habitants et à l’attente des touristes. Ils doivent parcourir des rues animées et disposer des services attendus dans une ville moderne afin de retrouver l’envie de consommer local.
Pour redynamiser les rues désertées, une société foncière d’aménagement sera créée. Elle sera chargée d’acquérir et de transformer les locaux abandonnés afin de les mettre à disposition à des loyers attractifs. L’opportunité sera ainsi donnée à de nouveaux commerçants d’oser la création.
À l’aide à la rénovation des commerces sera ajouté un nouveau dispositif d’accompagnement à leur mise en accessibilité. Un nouveau plan de mobilité permettra le stationnement sur les principaux axes avec des zones bleues et nous proposons d’expérimenter la gratuité des bus le week-end afin d’évaluer l’amélioration du trafic urbain et l’attractivité de nos centres-villes.

Benoit Arrivé : « Le commerce local est notre priorité »

Ces dernières années, grâce aux efforts engagés, la vacance commerciale a diminué dans le centre-ville historique et dans les rues piétonnes. Nous amplifierons ce soutien fort aux commerçants de proximité avec la création de nouvelles boutiques à l’essai dans toutes les communes déléguées, l’accompagnement des nouveaux projets par la manager de centre-ville, la promotion touristique, la valorisation de l’artisanat et la concertation permanente avec les associations de commerçants dont nous soutenons financièrement les animations.
Elles seront associées à la rénovation complète du plateau piétonnier et de la place des Halles, au centre de notre ambition pour le cœur de ville, avec des aides financières pour les commerces concernés par les travaux. Avec l’étude pour la restauration totale du grand magasin Ratti, le cœur de ville changera de dimension et gagnera en attractivité. Nous développerons les arrêts-minute, le stationnement de proximité, la desserte des transports en commun, les parcs et les consignes pour les vélos afin de favoriser le commerce local dans tous les centres-villes de Cherbourg-en-Cotentin, de Querqueville à La Glacerie, en passant par Tourlaville et Equeurdreville-Hainneville.
Notre priorité ira à la remise sur le marché des friches commerciales existantes et nous serons sans ambiguïté en limitant la création de nouvelles surfaces en périphérie. Le commerce local est l’âme de nos centres-villes, nous continuerons à le protéger, à le développer et à soutenir les projets novateurs.

Barzin Viel-Bonyadi : « Une pépinière de commerçants »

Les commerces font partie du cœur de vie des centres-villes et participent à l’attractivité et la dynamique de ces derniers. C’est pourquoi la Coopérative Citoyenne s’engagera pleinement à soutenir les entrepreneurs locaux. Afin d’assurer le dynamisme des centres-villes, nous encouragerons les commerçants à s’y installer en proposant la mise en place d’une « pépinière de commerçants ». Cette structure permettra à de jeunes entrepreneurs de louer un espace au sein de locaux partagés pour démarrer leur micro-entreprise. À l’issue d’une période à définir et une fois la viabilité de leur commerce assurée, des aides seront proposées pour une installation pérenne dans un des centres-villes de la commune.
Nous souhaitons également inciter les commerçants à adopter des démarches écoresponsables. Pour cela, nous proposerons un label récompensant leurs bonnes pratiques dans ce domaine. Cela permettra par ailleurs aux consommateurs de soutenir leurs démarches. Les subventions d’aide à la rénovation des vitrines seront maintenues en contrepartie d’engagements écocitoyens. Dans la même logique, nous interdirons les terrasses chauffantes. Enfin, nous souhaitons également soutenir les commerçants locaux lors de l’attribution des marchés publics dans le cadre de la loi. Le tissu économique local sera pris en considération lors de leur définition afin de s’assurer que les entreprises locales seront en mesure de répondre au marché. Toutes leurs candidatures seront traitées équitablement.

Sonia Krimi : « Créer un marché couvert »

Les commerces reflètent le dynamisme et la vitalité d’une ville. La collectivité doit veiller à l’harmonie commerciale en dialoguant avec les commerçants pour leur donner de la visibilité sur la politique municipale et pour recueillir leurs propositions d’améliorations. Nous avons conscience qu’il faut redynamiser les centres-villes, l’hyper-centre et les centres-bourgs. Pour cela nous avons décidé d’instituer des rendez-vous réguliers entre la municipalité et les commerçants pour que notre développement commercial soit partagé. Nous faciliterons ainsi notamment une meilleure coordination avec les commerçants des marchés. Nous moderniserons les centres-villes. En végétalisant les places et les rues, en imaginant à nouveau les secteurs piétonniers, en gérant ensemble les horaires et les ouvertures dominicales ou en protégeant la spécialisation et l’équilibre de l’offre commerciale des centres-villes. Nous veillerons aussi à une meilleure coordination des chantiers de voirie. Nous améliorerons l’accueil des clients. En créant un marché couvert, un service de consigne pour les courses et un accueil privilégié pour les croisiéristes (toilettes publiques accessibles, signalétique, transports). Nous faciliterons les déplacements et le stationnement. En priorité pour les personnes en situation de handicap. L’amélioration et la gratuité des transports en commun, les circulations douces, les vélos en libre-service et les zones bleues contribueront à notre objectif.

Renault n'exclut pas des fermetures d'usines en France : « les salariés inquiets » à Renault-Cléon

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Les 4 400 salariés d’une des usines de Renault, située à Cléon sont inquiets après l’annonce de fermeture de sites dans le cadre d’un vaste plan d’économies.

Les 4 400 salariés d’une des usines de Renault, située à Cléon sont inquiets après l’annonce de fermeture de sites dans le cadre d’un vaste plan d’économies. (©Le Journal d’Elbeuf)

La grève prévue depuis une semaine sur le site de Renault, à Cléon, dans l’agglo d’Elbeuf, lundi 17 février, en rapport avec la négociation des salaires (NAO) au niveau de la direction a pris une autre ampleur plus importante, suite à l’annonce faite, vendredi 14 février, par Clothilde Delbos, directrice générale par intérim.

Renault pourrait supprimer des usines dans le cadre d’un vaste plan d’économies.

Question économie, le site de production de moteurs thermiques et électriques et de boîtes de vitesses en connaît un rayon.

Rassemblement toute la journée

Depuis 2013, le site a subi les effets d’un accord de productivité, avec la suppression de 21 jours de congé. « À l’époque, ils avaient fait 500 millions d’économies », témoigne Pascal Le Manach, secrétaire adjoint du syndicat CGT Renault.

Environ 130 salariés se sont réunis lors d’un rassemblement interne et une cinquantaine était encore présente au niveau du rond-point à 11 h, situé à l’entrée de l’usine, pour témoigner de leur volonté de lutter contre ce vaste plan d’économies dont aucune information n’a encore été dévoilée.

Pascal le Manach insiste : 

La direction a énormément d’argent. Ils ont 5,8 milliards de liquidités disponibles. Ils ont fait dix milliards de bénéfices ces quatre dernières années. Les actionnaires vont toucher des dividendes à hauteur de plus de 300 millions. Et on peut en rajouter une couche avec l’arrivée d’un nouveau PDG au 1er juillet, payé plus que l’ancien président Carlos Ghosn, à hauteur de six millions. Alors, de l’argent, il y en a. Aujourd’hui, les actionnaires en demandent encore plus en expliquant que l’année 2019 n’a pas rapporté assez d’argent. Et ces économies annoncées signifient un recul que la direction va vouloir nous imposer. Ces économies vont être faites sur le dos des salariés, et non en allant piocher dans les 16 milliards d’économies, sur les bénéfices des actionnaires. On ne sait pas de quelles teneurs seront les attaques mais la direction annonce la couleur : économiser deux milliards »

D’où les interrogations des salariés et de leurs représentants sur l’origine de ces économies. « La phrase a été choisie et mesurée par la direction : « il n’est pas tabou de parler de fermeture d’usines. » On sait très bien que la direction quand annonce un plan d’économies, c’est forcément sur le dos des salariés. Elle veut faire peur aux salariés, en parlant éventuellement de fermeture d’usines », ajoute Pascal Le Manach.

800 intérimaires de moins en un an

Et il faut dire que depuis l’année 2019, les salariés du site s’interrogent. « On avait 1 900 intérimaires et ils sont 1 090 en ce début d’année 2020 », indique William Audoux, secrétaire général du syndicat CGT Renault Cléon.

Une annonce qui ne passe pas du tout pour les salariés, déjà en proie à une diminution des effectifs sur le site. Elle sème énormément d’inquiétude. « Sur le site, on a des lignes d’assemblage de moteurs diesel et électriques, sachant qu’il faut sept fois moins de personnes pour produire un moteur électrique qu’un moteur thermique. Alors, on se pose des questions tout de même sur l’avenir », conclut William Audoux.

« Les salariés sont inquiets. Et il faut que cette inquiétude se transforme en colère pour refuser » ces mesures d’économies et la fermeture de sites.

Est-ce qu’il va y avoir des fermetures d’usines ? Ce qu’il faut garder à l’esprit, pour les représentants CGT, c’est « que c’est aussi une question de rapport de force, de mobilisation des salariés. Est-ce que la direction va aller jusque-là ? Qu’est-ce qu’ils vont vouloir nous imposer ? Quels reculs ils vont vouloir annoncer ? Pour l’instant, on n’en sait strictement rien, mais on se prépare moralement à ne pas se laisser faire. De l’argent, ils ont qu’à le prendre dans la poche de ceux qui en ont, les actionnaires, leurs trésors de guerre de 16 milliards. Nous, on a que notre salaire pour vivre. On a déjà donné et on ne donnera plus. C’est ce dont on discute avec les salariés », conclut Pascal le Manach.


"Collabos", "vendus", le local de la CFDT tagué à Châteaubriant

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Plusieurs tags sont récemment apparus sur les murs du local de la CFDT, à Châteaubriant (Loire-Atlantique), en ce mois de février 2020.

Plusieurs tags sont récemment apparus sur les murs du local de la CFDT, à Châteaubriant (Loire-Atlantique), en ce mois de février 2020. (©L’Éclaireur)

« Collabos », « vendus ». Plusieurs tags insultants ont été récemment réalisés en ce mois de février 2020 sur les murs du local du syndicat CFDT, situé au 3 rue Gutenber, à Châteaubriant (Loire-Atlantique).

Lire aussi : Tempête Dennis : accidents, trains déviés, un week-end difficile en Loire-Atlantique

La BNP Paribas début février 2020

Des inscriptions qui font écho aux derniers tags observés début février 2020 sur les vitres de la banque BNP Paribas, située rue Pasteur, où le terme « vendus » avait déjà été tagué.

Plusieurs tags sont récemment apparus sur les murs du local de la CFDT, à Châteaubriant (Loire-Atlantique), en ce mois de février 2020.

Plusieurs tags sont récemment apparus sur les murs du local de la CFDT, à Châteaubriant (Loire-Atlantique), en ce mois de février 2020. (©L’Éclaireur)

Lire aussi : Loire-Atlantique : ivre à 160 km/h au lieu de 80, il évoque sa femme malade restée au domicile

Le Refuge peut aider les jeunes rejetés à cause de leur orientation sexuelle dans le sud-Mayenne

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Les bénévoles de l’association Le Refuge étaient dans les locaux de l’Iliade habitat jeunes à Château-Gontier (Mayenne).

Les bénévoles de l’association Le Refuge étaient dans les locaux de l’Iliade habitat jeunes à Château-Gontier (Mayenne). (©Haut Anjou)

C’est une association reconnue d’intérêt publique qui aide et accompagne les personnes rejetées par leurs parents, leur famille, leurs amis à cause de leur orientation sexuelle. En 2019, Le Refuge s’est installé en Mayenne, à Laval pour répondre aux besoins des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles ou transexuelles (LGBT).

Mardi 11 février 2020, plusieurs bénévoles de cette association sont venus à Château-Gontier (Mayenne), dans les locaux de l’association l’Iliade habitat jeunes pour une soirée d’échanges sur l’homophobie.

Remettre les jeunes sur les rails

Dominique Supiot, correspondant relais du Refuge pour la Mayenne, confie :

« Beaucoup de jeunes n’assument pas forcément ce qu’ils sont. Faire son coming out, révéler son homosexualité, peut déclencher des moqueries, un rejet. Les jeunes LGBT se suicident huit fois plus que les jeunes hétéros ».

Tout l’enjeu, pour cette association, est de permettre au jeune concerné par le rejet, notamment familial, de trouver un lieu pour échanger ou un moyen de se loger.

Lire aussi : En Mayenne, le Refuge recherche des bénévoles

« Si un jeune est mis à la porte de chez ses parents parce qu’il est homosexuel, s’il n’a aucune solution d’hébergement, quelqu’un de l’association peut venir l’aider, le chercher, par exemple à Château-Gontier. L’association peut lui payer un hôtel ou l’héberger dans les appartements du Refuge », ajoute Dominique Supiot.

En moyenne, les jeunes qui font appel au Refuge y restent entre trois et six mois. Dominique Supiot estime :

« Le Refuge fait pour les jeunes ce que leurs parents auraient dû faire . On cherche à les remettre sur les rails ».

Cet accompagnement représente un coût de 300 € par mois et par jeune accompagné. 80 % des finances de l’association proviennent de donateurs.

Des bénévoles de Château-Gontier

Parmi les bénévoles présents mardi 11 février 2020, il y avait un couple de Castrogontériens.

Bernard et Mireille Lagarde sont bénévoles au Refuge depuis septembre 2019. Ils sont tous les deux professeurs d’arts plastiques.

Lire aussi : En Mayenne, Armelle donne la parole aux femmes en situation de handicap

« Nous avons toujours été gay friendly (sans a priori), comme on dit. En tant qu’enseignant, on voit bien que certains élèves présentent une orientation sexuelle différente de leurs camarades. Ce n’est pas toujours évident pour eux. Certains affirment cette orientation et parfois ça tourne mal », déplore Bernard Lagarde.

Pour contacter l’association Le Refuge, il suffit de composer leur numéro d’urgence, qu’il s’agisse d’un appel simple ou d’un SMS : 06 31 59 69 50. Ce numéro est utilisable 24 h sur 24 et sept jours sur sept.

Fédérale 2. Coup d’éclat, déception, bruits de couloir… Le debrief de la poule 1

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Chartres et Sarcelles on offert un véritable feu d'artifice aux spectateurs.

Chartres et Sarcelles on offert un véritable feu d’artifice d’essais aux spectateurs. (©Capture d’écran C’Chartres Live)

Marcq-en-Baroeul roule sur Saint-Denis et conforte un peu plus sa place de leader. Chartres s’offre Sarcelles d’une courte tête dans un match marqué par un feu d’artifice de points. Plaisir sort de la zone rouge en battant et en laissant sa place à Gennevilliers puisque Courbevoie a battu le PUC. Nouvelle défaite à domicile pour Le Rheu contre le Havre, quasi-synonyme de condamnation. La rencontre OrléansBeauvais est repoussée au 5 avril. 

Lire aussi : Fédérale 1. Coup d’éclat, déception, bruits de couloir… Le debrief de la poule 1

La perf’ du week-end : Marcq en Baroeul

Le leader a prouvé qu’il n’était pas le patron de la poule 1 par hasard. Avec la réception du troisième, Saint-Denis, on aurait pu prétendre à un match de haute volée, que nenni, le visiteur, plombé par plusieurs infériorités numériques a pris l’eau de toute part. Résultat des courses, Marcq-en-Baroeul s’impose très largement 62-5 !

La déception du week-end : Le Rheu

Nouvelle défaite pour Le Rheu à domicile qui va devoir se faire à l’idée que la saison 2020-2021 va se passer, sauf miracle, en Fédérale 3. Sur ce match, c’est dommage, car si dans le jeu le Bretons ont brillé un peu plus que le Havre avec deux essais contre un, il n’en est pas de même au niveau de leur discipline, ceci leur a coûté le match !

La stat à retenir : 87

Comme la bagatelle de points que Chartres et Sarcelles ont marqué lors de cette 15e journée ! Plus fort encore les deux équipes se sont séparés avec la victoire de Chartres sur le plus petit des écarts, 44-43 ! Le public a été gâté !

Lire aussi : Fédérale 2. Tous les résultats et les classements de la 15e journée de championnat

Les bruits de couloir

On fait un match sérieux et appliqué pendant 80 minutes. À souligner les performances d’Hugo Strady et de Mendes. On a bien performé en mêlée, ce qui a facilité le score. (Guillaume Potelle, capitaine de Marcq en Baroeul)

C’était un match difficile face à une très grosse équipe de Marcq. On venait avec l’envie de se rassurer sur la prestation de l’équipe, mais le fait de jouer à 13 pendant 20 minutes nous a fait très mal. La logique est respectée. (Nicolas Brosse, capitaine de Saint-Denis)

Nous avons fait un gros match en menant de 20 points, mais nous n’avons pas su tuer la partie, et Sarcelles est revenu grâce à nos erreurs défensives et nos pertes de balles. (Ludovic Mercier, entraîneur de Chartres)

MUNICIPALES. A Saint-Cast-le-Guildo, Marie Madeleine Michel présente sa liste

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Elue au Conseil départemental des Côtes-d'Armor, Marie-Madeleine Michel se présente aux élections municipales.

Elue au Conseil départemental des Côtes-d’Armor, Marie-Madeleine Michel se présente aux élections municipales. (©Le Petit Bleu)

Marie Madeleine Michel, vice-présidente du Conseil départemental, présente officiellement sa liste pour les prochaines élections municipales.

Marie-Madeleine Michel assure que « les membres de ce groupe veulent être à l’écoute et au service de la population de Saint-Cast-le-Guildo, ils sont préoccupés par l’avenir de notre collectivité et entendent œuvrer pour son développement, leurs objectifs communs sont le bien-être et le bien vivre à tout âge à Saint-Cast-le-Guildo. Leur souhait est de tenir un discours concret, sans promesses irréalistes, en prenant en compte les besoins de toutes les générations avec l’exigence de répondre aux impératifs climatiques, écologiques et environnementaux. »

Un élu à Dinan agglo

Pour rappel, de nombreuses compétences communales ont été transférées aux intercommunalités : à Dinan Agglomération pour ce qui concerne Saint-Cast-le-Guildo. L’équipe souhaite donc qu’un élu soit présent au sein de cette intercommunalité, et que le maire reste en priorité dans la commune.

Le programme émanant du groupe, conforté par les résultats du questionnaire qui ont diffusés à l’automne, est en cours de finalisation. Il sera présenté prochainement.

Page Facebook : Réalisons ensemble Saint-Cast-le-Guildo et sur le site internet municipales2020realisonsensemblesaintcastleguildo.fr

La liste

Membres de la liste : BREGAINT Christelle, 47 ans assistante administrative chez Mega +. CHEVET Rozenn, 38 ans, Gérante du tennis-club. DELAMOTTE Guy, 68 ans Retraité : ancien responsable des services techniques de SCLG. DU SORDET Véronique, 62 ans Retraitée : ex-commerciale dans l’emballage alimentaire. FRANCOIS Élisabeth, 41 ans Clerc de notaire. FROSTIN Sylvie, 58 ans Assistante Ressources Humaines. GILBERT Benoist, 66 ans Retraité du groupe La Poste. JEGU Valérie, 51 ans Mère au foyer. KERROMES Charlotte, 38 ans Serveuse. LABBE Jean Baptiste, 28 ans Chef de projet informatique. LEMAITRE Geoffrey, 29 ans Menuisier charpentier. LEMOINE Yann, 58 ans Gérant de sociétés immobilières ? Conseiller municipal sortant. MAKLES Chantal, 63 ans, Acheteuse pour un équipementier automobile. MICHEL Marie Madeleine, 63 ans Retraitée de l’Enseignement ? Conseillère municipale sortante. PLESIER Bernard, 67 ans Retraité : directeur adjoint enseignement. PORTE Didier, 42 ans Chef d’entreprise. QUENOUAULT Barbara, 46 ans Agent territorial en charge de la commande publique ? Conseillère municipale sortante. REBILLARD Maxence, 29 ans Marin Pêcheur. SELMER Brigitte, 64 ans Retraité : ancienne dirigeante de société. TROTEL Soizic, 46 ans Agricultrice. VELLY Germain, 63 ans Hôtelier restaurateur retraité. VILPASTEUR Jean Marie, 70 ans Retraité : ancien directeur du Golf de Saint-Cast. VILT Gérard, 69 ans Militaire retraité ? Conseiller municipal sortant.

Landes. La gendarmerie lance un appel à témoins après la disparition inquiétante d'un mineur à Mimizan

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Âgé de 17 ans, Maël a disparu ce lundi 17 février 2020 à Mimizan (Landes).

Âgé de 17 ans, Maël a disparu ce lundi 17 février 2020 à Mimizan (Landes). (©Facebook : Gendarmerie des Landes)

La gendarmerie vient de lancer un appel à témoins pour une disparition inquiétante, celle de Maël. Le mineur, âgé de 17 ans, a disparu ce lundi 17 février 2020 à 10h à Mimizan (Landes)

Le jeune homme circulerait à pied, selon les éléments de la gendarmerie. 

Lire aussi : Gironde. La gendarmerie lance un appel à témoins pour retrouver Teresa Rodrigues

Il porterait un chapeau noir style borsalino

Mesurant 1,90 m, de corpulence normale à forte, Maël est de type caucasien, avec une barbe naissante. Il serait porteur d’un chapeau de couleur noir, style borsalino. 

Si vous avez vu Maël ou si vous êtes susceptibles de fournir des informations, contactez la brigade de Mimizan au 05.58.09.93.00.

[APPEL A TEMOIN] Disparition inquiétanteMonsieur Maël M, a disparu ce jour, le 17/02/2020 à 10h sur la commune de…

Publiée par Gendarmerie des Landes sur Lundi 17 février 2020

Liste Saint-Chamant Kieffer. Les candidats de « Demain Saint-Céré »

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Au 1 plan, de gauche à droite : Françoise Champ, Laurent Maitre, Colette Cessac Grande, Lysiane Beco, Catherine Descargues, Flora Gouzou, Bruno Lucas, Agnès Audubert, Michèle Saint-Chamant Kieffer, Véronique Rougié, Marie Chevallier, Nadia Guezbar, Dorine Schram.Au 2 plan, de gauche à droite : Maxime Lassus, Nicolas Tillet, Nicolas Lherm, Pierre-Marie Haudry, Frédéric Mazot, Hervé Neuville, Patrick De BernardEn médaillon, de haut en bas : Jean-Luc Mage, Violeta Popovici, Cyril Bordes.

Au 1 plan, de gauche à droite : Françoise Champ, Laurent Maitre, Colette Cessac Grande, Lysiane Beco, Catherine Descargues, Flora Gouzou, Bruno Lucas, Agnès Audubert, Michèle Saint-Chamant Kieffer, Véronique Rougié, Marie Chevallier, Nadia Guezbar, Dorine Schram.Au 2 plan, de gauche à droite : Maxime Lassus, Nicolas Tillet, Nicolas Lherm, Pierre-Marie Haudry, Frédéric Mazot, Hervé Neuville, Patrick De BernardEn médaillon, de haut en bas : Jean-Luc Mage, Violeta Popovici, Cyril Bordes. (©DR)

Après le lancement d’un clip vidéo qui exposait ses grandes orientations, les vingt-trois membres de cette liste aux origines socioprofessionnelles diverses se présentaient un à un (trois d’entre eux étant absents) : deux comptables (public et privé), un agent de maîtrise, quelques assez rares retraités (sage-femme, enseignante) et de jeunes actifs (responsable commercial, ouvrier, médecin), etc., etc. Dont huit sortants, dotés une solide expérience, et une moyenne d’âge de 51 ans pour l’ensemble de la liste.

Toutes et tous engagés auprès de Michèle St-Chamant, pour redynamiser leur ville, attirer de nouvelles populations, réhabiliter le centre-ancien et s’occuper du quotidien de leurs concitoyens.

Ils se sont ensuite prêtés au jeu des questions-réponses avec une salle exigeante : état de la voirie, développement de l’activité économique, rénovation de l’habitat et les soucis du quotidien (ramassage des déchets verts, traitement des eaux usées,…) qui ont trouvé des réponses claires et déterminées.

Prochaine étape, la présentation du projet auprès des habitants avant une prochaine réunion publique, le lundi 9 mars prochain.

Images. La fresque de la tour de l’église restaurée à Saint-Hilaire-du-Harcouët

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Le père Lemieux était attentif aux explications données sur la fresque.

Le père Lemieux était attentif aux explications données sur la fresque. (©La Gazette de la Manche)

« Nous avons commencé les travaux après l’étude du type de restauration, pour savoir de quelle manière nous allions retravailler la fresque », indique Philippe Bouteloup, directeur des services techniques de Saint-Hilaire, lors de son inauguration, lundi 10 février 2020.

Toute en couleurs

La fresque a donc retrouvé toutes ses couleurs à l’aide de seringues où les pigments ont été propulsés par micro-injection.

Le projet a notamment nécessité la participation de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac), de l’architecte Arnaud Paquin. Le père Lemieux a par ailleurs annoncé que le premier baptême s’y déroulerait le 18 avril.
C’est un coût d’un peu plus de 250 000 € dédié à ce bijou du patrimoine et de la religion. « Nous avons obtenu 50 % de subventions, de l’État », précise Philippe Bouteloup.

Lire aussi : La tour de l’ancienne église fait peau neuve à Saint-Hilaire-du-Harcouët


Seine-et-Marne. Des ateliers de fouilles archéologiques au musée de Préhistoire à Nemours

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Le musée de Préhistoire a enregistré des records de fréquentation en 2019

Le musée de Préhistoire a enregistré des records de fréquentation en 2019 (©RSM77/Archives)

Cette année, la préhistoire est à l’honneur pendant ces vacances de février ! Le musée départemental de préhistoire d’Île de France propose aux enfants de jouer aux apprentis archéologues.

En effet des ateliers permettent de s’initier aux fouilles archéologiques et de découvrir le métier d’archéologue grâce à la fouille factice d’un campement de chasseurs. Les enfants pourront se glisser dans la peau d’un archéologue et s’initier à la fouille de terrain. De l’extraction de vestiges (ossements, pierres taillées, coquillages ou encore dents d’animaux) au relevé de leurs découvertes, ils pourront, comme des archéologues, interpréter leurs recherches afin de comprendre comment chassaient les hommes pendant la préhistoire.

Les prochains ateliers auront lieu le mardi 18 février, le jeudi 20 février et le vendredi 21 février au musée de préhistoire d’Île-de-France à Nemours. Ils sont ouverts aux enfants de 8 à 14 ans. Les parents devront s’acquitter de la somme de 2 € par enfant participant. Enfin, la réservation est obligatoire pour pouvoir participer à ces ateliers. Pour cela, contactez le musée au 01 64 78 54 80 ou à l’adresse e-mail : prehistoire@departement77.fr

Renseignements :
Plus d’informations sur le site internet : www.musee-prehistoire-idf.fr

Seine-et-Marne. Com Design a engagé un apprenti moins d'un an après son ouverture à La Ferté-Gaucher

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Ackson Casimir (à droi.) a embauché Thomas Geas en contrat d'apprentissage en début d'année.

Ackson Casimir (à droi.) a embauché Thomas Geas en contrat d’apprentissage en début d’année. (©Le Pays Briard)

Le magasin Com Design Multi Service offre un contrat d’apprentissage à un jeune moins d’un an après son ouverture. Pierre Osé et Ackson Casimir, qui ont ouvert la boutique d’informatique au mois d’avril, s’étaient fixé cet objectif. Ce vœux pieux est réalisé. Thomas Geas, 19 ans, est l’heureux apprenti depuis le début du mois de janvier.

« Je suis à mi-temps dans le magasin, explique le Briard. Je poursuis mes études à l’Utec dans la section informatique et techniques numériques à l’université de Marne-la-Vallée. »

Ackson Casimir ajoute que l’embauche d’un apprenti permet de développer la partie entreprise du magasin : « Nous allons étendre nos interventions sur site et créer un pôle hotline. C’est-à-dire que nous pouvons prendre la main sur l’ordinateur à distance afin de faciliter les entretiens ou la réparation du matériel informatique dans les entreprises, les mairies, les écoles, les commerçants, etc. »

« Ce poste m’enchante »

Le fait d’avoir un apprenti libère du temps aux spécialistes et Thomas Geas effectue les réparations et l’entretien des ordinateurs portables et des tours : « Je suis en filière bac pro. J’étudie les structures du réseau. Ce poste m’enchante car j’obtiendrai un diplôme qui assurera mon avenir. Cela m’encourage à poursuivre mes études dans ce domaine qui me passionne et c’est très motivant de voir les deux facettes du métier : la théorie en cours et la pratique en atelier. »

Ackson Casimir et Pierre Osé notent le bilan très positif depuis presqu’un an d’ouverture : « Nous avons un très bon retour de nos clients. L’ouverture de notre magasin a suscité immédiatement un intérêt toujours grandissant à ce jour. D’ailleurs nous venons de mettre en place une fidélisation de nos clients en leur proposant une carte de privilège. Nous avons une très forte demande en maintenance informatique ou sur les téléphones. »

Municipales à Pont-l'Évêque. Le maire sortant présente l'ensemble de ses colistiers

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Yves Deshayes, maire de Pont-l'Évêque et tête de liste pour les prochaines municipales, a présenté l'ensemble de ses colistiers.

Yves Deshayes, maire de Pont-l’Évêque et tête de liste pour les prochaines municipales, a présenté l’ensemble de ses colistiers. (©DR)

Yves Deshayes, actuel maire de Pont-l’Évêque (Calvados) et candidat à sa succession, a présenté l’ensemble de ses colistiers. « Bon vivre à Pont-l’Évêque » est composée de 29 femmes et hommes, âgés de 23 à 80 ans.

Parmi les colistiers, treize nouveaux noms. Les seize autres siégeaient déjà au conseil municipal, sur la liste du maire ou sur celle d’Eric Huet.

Répondre aux grands défis d’aujourd’hui

La tête de liste explique :

Au regard de la convergence de nos points de vue et de notre vision commune de l’avenir de Pont-l’Évêque, nous avons souhaité unir nos forces et notre énergie au service d’un seul et même projet. J’ai souhaité que la liste soit ouverte et associe aux élus expérimentés, rompus à la gestion locale, des candidats avec de nouvelles idées, qui souhaitent s’investir au service de Pont-l’Évêque.

Yves Deshayes détaillera, dans un second temps, le projet porté par la liste.

Les propositions que nous soumettrons aux Pontépiscopiens et aux Pontépiscopiennes répondront aux grands défis d’aujourd’hui et de demain en matière d’environnement, de qualité du cadre de vie, de bien vivre ensemble, d’attractivité et de sécurité.

La liste complète

Yves Deshayes, 69 ans, maire sortant, directeur d’hippodrome à la retraite ; Sandrine Boire, 44 ans, responsable d’atelier ; Christian Asse, 67 ans, retraité ; Edith Aubert, 74 ans, retraitée ; Emmanuel Bardeau, 60 ans, chargé de mission ; Marinette Lebon, 66 ans, cadre de la fonction publique retraitée 66 ; Pierre Carrel, 80 ans, médecin radiologiste retraité ; Béatrice Jules-Gautier, 51 ans, assistante administrative ; Michel Lepaisant, 65 ans, commerçant ; Véronique Gicquel Auzanner, 57 ans, thérapeute ; Eric Huet, 54 ans, chef d’entreprise ; Precilla Carré, 57 ans, assistante de direction ; Jéremy Roseau, 42 ans, directeur général des services ; Anne-Claire Poignard, 27 ans, assistante de service social ; Jean-Michel Eude, 55 ans, avocat ; Delphine Bachelot, 54 ans, cheffe de service – fonction publique territoriale ; Sylvestre Gout, 43 ans, chef de centre ; Delphine Besson, 47 ans, cadre commerciale ; Christian Grele, 57 ans, directeur général des services ; Catherine Letellier, 48 ans, directrice commerciale et communication aéroport Deauville Normandie ; Thierry Lhuillier, 65 ans, antiquaire ; Emmanuelle Isabelle, 34 ans, assistante maternelle ; Corentin Riou, 27 ans, chargé de mission programme européen ; Julie Morin, 34 ans, aide-soignante ; Laurent Weinreich, 43 ans, paysagiste ; Catherine Saule, 44 ans, sophrologue ; Pierre Cova, 26 ans, acheteur ; Hélène Larose, 54 ans, manager de transition ; Arthur Carpentier, 23 ans, animateur qualité sécurité environnement.

Montpellier. Envolez-vous : une course solidaire ouverte à tous

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La 5e édition de la course Envolez-vous, organisée par le Montpellier Athletic Running Club (MARC), se tiendra le Dimanche 23 février à 10h au départ du Bassin Jacques Cœur.

La 5e édition de la course Envolez-vous, organisée par le Montpellier Athletic Running Club (MARC), se tiendra le dimanche 23 février à 10h au départ du Bassin Jacques Cœur. (©DR)

Suite au succès des quatre premières éditions qui ont attiré plus d’un millier de personnes, la course « Envolez-vous » revient en 2020 pour une cinquième édition sous le signe du partage et de la générosité.

Course solidaire et ouverte à tous, l’événement permettra de récolter des fonds pour aider l’association montpelliéraine Envol à poursuivre ses  actions en faveur de l’inclusion des personnes en situation de handicap via le sport. 

Les bénéfices permettront notamment de financer de futurs achats de matériels adaptés et d’organiser des sorties encadrées.

Sur les 4 premières éditions, ce sont près de 7 000 euros qui ont été reversés à l’association Envol. 

Les participants pourront choisir entre deux parcours de 5 et 11 km

Les participants pourront choisir entre deux parcours de 5 et 11 km (©DR)

De nombreuses animations

Les participants pourront choisir entre deux parcours de 5 et 11 km, accessibles aux personnes porteuses de handicap.

Une course enfant est également proposée autour du bassin Jacques Cœur. L’objectif de la manifestation : offrir un moment convivial et vecteur de solidarité.

Organisée pour proposer des parcours accessibles aux familles et aux enfants, « Envolez-vous » proposera également de nombreuses animations dont une préparation physique coachée et rythmée par une fanfare, le tout dans une ambiance festive. 

Inscription sur le site envolez-vous.info.
Tarifs : 11€ les 11km // 8€ les 5km // 1€ la course enfants.

La course Envolez-vous, ce sont également des activités enfants en marge des courses

La course Envolez-vous, ce sont également des activités enfants en marge des courses (©DR)

Le cirque franco-italien arrive ce mardi à Laval

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Les frères Mac Queen et Jordan Beautour sur l'échelle de la mort.

Les frères Mac Queen et Jordan Beautour sur l’échelle de la mort. (©Cirque franco-italien)

Le cirque franco italien arrive pour six représentations à Laval, boulevard Edward-Monsallier, face au collège Emmanuel de Martonne. Les spectacles auront lieu mardi 18, mercredi 19, jeudi 20, vendredi 21, samedi 22 et dimanche 23 février, chaque jour à 15h.

Fauves, cercle aérien, animaux exotiques, cavalerie, sangles acrobatiques et clowns seront au rendez-vous. Le clou du spectacle sera l’échelle de la mort, un numéro annoncé par le cirque comme unique en Europe. Les frères Mac Queen et Jordan Beautour défient la pesanteur sous la coupole du chapiteau.

Pas de carte bancaire

La billetterie ouvre à l’entrée du cirque une demi-heure avant chaque spectacle. Attention, le cirque ne prend pas la carte bancaire. Tarifs : 7 euros (gradin de côté), 12 euros (tribune de face), 18 euros (loge), gratuit (moins de 3 ans). Visite de la ménagerie gratuite après le spectacle (sauf dimanche).

Possibilité aussi de visiter la ménagerie tous les jours à partir de 10h. 2 euros.

Lire aussi : Laval : les travaux du restaurant scolaire de la Senelle sont terminés

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