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Lot et Garonne : une digue en cours de réparation au Mas d'Agenais

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Florent Craipeau, techncien Gemapi et Daniel Benquet, président de Val de Garonne Agglomération, sur le site du Mas d'Agenais ou une digue a cédé en décembre.

Florent Craipeau, techncien Gemapi et Daniel Benquet, président de Val de Garonne Agglomération, sur le site du Mas d’Agenais ou une digue a cédé en décembre. (©Photo Le Républicain / Michel Pradeau)

La crue du 15 décembre 2019 restera une crue de référence avec des hauteurs (9,80m) qui ont exercé une forte pression sur les digues. Trois d’entre elles ont rompu, au Mas d’Agenais, à Taillebourg et à Villeton. «Nous savons aujourd’hui quelles digues présentent des fragilités. Nous n’avions pas les moyens d’établir ce constat jusqu’à présent en l’absence de crue significative» explique Florent Craipeau, technicien des digues pour le compte de Val de Garonne Agglomération.

90km de digues

Car c’est aujourd’hui Val de Garonne Agglomération qui a la gestion des 90km digues de son territoire et de leur entretien, via la compétence Gemapi (gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) confiée depuis le 1er janvier 2018 aux collectivités regroupées en intercommunalité. L’ensemble des experts ès inondations qui dirigeaient et animaient les syndicats de digues ou ASA (associations syndicales autorisées) restent des relais indispensables de terrain pour veiller à l’état des ouvrages et au mouvement des crues. 

A Val de Garonne Agglomération, les élus avaient anticipé la loi en optant pour un passage en Gemapi dès 2015, ce qui a permis de faire face à cette crue de décembre 2019 en déclenchant une procédure d’urgence de réparation des digues facilitée par le fait que les comptes étaient déjà alimentés. 550.000€, c’est la somme qu’il conviendra de débloquer pour la réparation de ces trois digues. 

175 camions de 17 tonnes 

Eurovia est à pied d’œuvre, la noria des camions se succèdent pour acheminer la terre nécessaire au colmatage de la digue rompue sur 45m dans la nuit du dimanche 15 au lundi 16 décembre 2019, soit 1.500 mètres cubes au total (175 camions de 17T). 

Un engin appelé «pied de mouton» tasse ensuite la terre, la compacte de telle sorte que la digue sera aussi solide que du béton (voir notre petit film d’illustration plus haut)

A lire aussi : Inondations en Lot-et-Garonne, 15 décembre 2019


Municipales 2020. La liste « Ryes, continuons ensemble » se dévoile

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Une liste composée de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats.ste composée de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats.

Une liste composée de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats.ste composée de 7 conseillers sortants et 8 nouveaux candidats. (©La Renaissance le Bessin)

Il avait annoncé sa candidature aux Municipales 2020 à Ryes (Calvados) le mois dernier (La Renaissance du vendredi 10 janvier 2020). Roger Gucciardi, tête de liste, 56 ans, entrepreneur, nous présente aujourd’hui ses 14 colistiers :

Pascal Aumond, sortant, 59 ans, boucher, Joël Bitot, 61 ans, chauffeur-livreur, Guillaume Caillot, 35 ans, responsable de magasin, Jérôme Dumas, sortant, 50 ans, dessinateur de bandes dessinées, Nathalie François, 54 ans, notaire salariée, Brigitte Guéroult, adjointe sortante, 60 ans, assistante maternelle, Michel Guilbert, adjoint sortant, 64 ans, agriculteur, Séverine Lair, 47 ans, coordinatrice qualité, Damien Lecuir, adjoint sortant, 42 ans, agriculteur, Gilbert Raffray, sortant, 62 ans, retraité, Nathalie Raymond, sortante, 57 ans, conseillère clientèle, Marie-Noëlle Schuh, 50 ans, comptable, Sonia Sebire, 44 ans, vendeuse indépendante, Audrey Surble, 33 ans, mandataire en immobilier.

Municipales 2020. Bernard Kermoal, « Toujours ensemble pour Saint-Côme »

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Le maire sortant entouré de ses colistiers, à l'exception de Xavier Delormez.

Le maire sortant Bernard Kermaol entouré de ses colistiers, à l’exception de Xavier Delormez. (©La Renaissance le Bessin)

La liste « Toujours ensemble pour Saint-Côme », compte 6 sortants et 5 candidats nouveaux. Fondée sur « l’envie de poursuivre le travail entrepris », elle met en avant l’équipe. Elle s’appuie sur un bilan important, choix stratégique de Bayeux Intercom, sauvegarde du Blanc-Moutier, salle des fêtes, création d’un garage municipal, d’un local pour les association, aire de jeux proposée par les habitants sur un budget participatif. Dans les nouveaux axes, à noter la mise en valeur de la plage, le soutien aux associations, l’action sociale, en particulier la lutte contre l’isolement.

Les 11 candidats

– De gauche à droite, au 1er rang : Florence Batrel, adjointe sortante, 56 ans, secrétaire de mairie, Catherine Guillouet, sortante, 48 ans, enseignante, Bernard Kermoal, maire sortant, 50 ans, ingénieur des travaux publics de l’État, Viviane Victor, 59 ans, employée de maison, Gervaise Boutrais, adjointe sortante, 48 ans, assistante technique scolaire.

– Au 2e rang : Eric Bourdet, sortant, 53 ans, conducteur routier, Edouard du Manoir, 31 ans, gérant d’entreprise, Yohann Boussard, 38 ans, enseignant, Marie-Claude Fermy, 70 ans, retraitée, Fabrice Martragny, sortant, 41 ans, agriculteur. Absent de la photo : Xavier Delormez, inspecteur général au ministère de l’agriculture.

Tempête Dennis : la vigilance orange vent et pluie-inondation étendue à six départements

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Vigilance orange pour six départements, en Normandie et en Bretagne à cause de la tempête Dennis.

Vigilance orange pour six départements, en Normandie et en Bretagne, à cause de la tempête Dennis. (©Illustration Le Journal d’Abbeville)

Alors que l’on constate les premiers dégâts à l’ Ouest de la France liés à la tempête Dennis, Météo-France a étendu, dimanche 16 février 2020, sa vigilance orange pour vent et pluie-inondation à six départements. 

En Bretagne et en Normandie, voici les départements concernés par cette alerte : 

  • Finistère 
  • Morbihan
  • Ille-et-Vilaine
  • Côtes-d’Armor
  • Calvados
  • Manche

Dans son dernier bulletin, la station météorologique précise que : « l’intensité des rafales de vent attendues est revue à la hausse, avec une extension de la vigilance orange vent ».

Lire aussi : « Danger de mort » au Royaume-Uni, frappé par la tempête Dennis

Des rafales à plus de 100 km/h

Depuis ce matin, la tempête Dennis touche le Nord du pays. Des rafales à plus de 100 km/h ont été enregistrées dans le Calvados et la Manche .

La rafale record a été enregistré en milieu de journée en Bretagne, plus précisément à Rostrenen (Côtes-d’Armor).  

Les rafales de vent devrait perdurer toute la journée. Météo-France émettra un nouveau bulletin d’alerte à 16h. 

Alençon : Des courts-métrages muets mis en musique par du Beatbox à La Luciole

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La musique et jouée en direct pendant le film

La musique et jouée en direct pendant le film (©Dulciné)

Regarder un film muet, ça ne veut pas forcément dire que l’on entendra aucun son pour accompagner une pellicule, au contraire, c’est souvent l’inverse.

De la musique permet de donner le ton à la narration et du rythme.

Et, parfois, l’orchestre est présent. On appelle cela un ciné-concert.

Une tradition venue tout droit des films muets du début du XXe siècle.

Très prochainement, c’est la Luciole, salle de musiques actuelles d’Alençon (Orne) qui accueille une des performances avec « Ciné Beatbox », mardi 25 février 2020.

Cinq courts-métrages

Les courts-métrages promettent d'être drôles

Les courts-métrages promettent d’être drôles (©Dulciné)

Ciné Beatbox est produit par la compagnie Dulciné, qui vient de Caen (Calvados). Deux artistes viennent présenter plusieurs films d’animations avec leur musique jouée en direct.

Lire aussi : Photos et vidéos. Quand 25 musiciens jouent la bande originale d’un film à Rémalard

Cinq courts-métrages seront à l’honneur dans ce ciné-concert comique composé et interprété par Ludivine Issambourg et Nicolas Derand.

Deux musiciens se répondent

Cinq films d'animation seront projetés

Cinq films d’animation seront projetés (©Dulciné)

À l’écran vous découvrirez différentes créations : 5m80, Johnny Express, Au Bout du monde, Big Business et Voyagers, autant d’histoires dans lesquelles des personnages ne sont pas à leurs places et ne sont pas dans le bon décor.

Les films mettent en scène de drôles de protagonistes : des girafes dans une piscine, des vendeurs de sapins à Los Angeles ou encore un livreur de colis sur une planète déserte.

Du beatbox et du ciné en direct

La musicienne est accompagnée au clavier

La musicienne est accompagnée au clavier (©Dulciné)

Au pied des personnages, en direct, Ludivine Issambourg pratique le beatboxing, une discipline de la culture hip-hop. La musicienne imite avec la bouche des percussions, des pulsations et des bribes de mélodies pour accompagner les animations.

Le beatboxing de Ludivine et la rythmique vocale sont synchronisés avec les claviers de Nicolas Derand. Plaquant les premières lignes mélodiques sur sa flûte traversière, Ludivine poursuit le rythme en soufflant dans sa flûte… tout en jouant simultanément la mélodie avec sa bouche !

Elle s’occupe aussi des transitions avec le film suivant, Ludivine crée des rythmes au beatbox, enregistre des boucles et joue quelques notes à la flûte traversière. Au clavier, son partenaire répond à la mélodie.

Différentes couches musicales s’accordent ainsi entre les instruments de Nicolas et Ludivine, comme si la partition des deux musiciens s’écrivait directement sous les yeux des spectateurs pour les films de ce ciné-beatbox.

Pratique
Ciné-concert à La Luciole
Mardi 25 février 2020 à 15h
Durée 50 minutes, dès 7 ans

Aulnay-sous-Bois. Un nom qui fait polémique et suscite l'émotion sur les réseaux sociaux

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La maitrie d'Aulnay-sous-Bois nous a confirmés que les panneaux seraient changés dans les plus brefs délais.

La maitrie d’Aulnay-sous-Bois nous a confirmés que les panneaux seraient changés dans les plus brefs délais.

La mairie d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) nous l’a confirmés vendredi 14 février 2020, les panneaux directionnels indiquant le Tennis Club de La Négresse et situés au Carrefour des Droits de l’Homme, seront changés sans tarder. 

« Mot juron, mot blessure »

Sur les réseaux sociaux de très nombreuses personnes se sont émues de cette utilisation d’un mot justement qualifié de « mot juron » ou de « mot blessure ».

Les mots ont un sens. Ce mot-là est devenu un mot stigmate, un mot insulte, un mot mépris. Bien que le poète Aimé Césaire ait proposé l’inversion du stigmate avec le mouvement de la « Négritude », il me parait légitime que nombre d’entre nous ne veuillent pas l’entendre sortir de la bouche des groupes dominants écrit ainsi une habitante de la région engagée contre toutes les formes de racisme sur sa page Facebook

En se saisissant de ces questions d’appellation de lieux ou de sites, les militants anti-raciste mais aussi les amoureux des valeurs de la République participent de la meilleure manière à la lutte contre le communautarisme qui ne peut pas favoriser le bien vivre ensemble.

Sur Facebook, les panneaux ont suscité émotion et réaction.

Sur Facebook, les panneaux ont suscité émotion et réaction. (©Capture d’écran Facebook)

Le Carrefour de La Négresse débaptisé en 2014, pas le club de Tennis

Interpellée en 2014, la ville d’Aulnay avait décidé à débaptiser le Carrefour pour lui donner symboliquement le nom de Carrefour des Droits de l’Homme.

Ceci sur proposition du Club de Tennis lui-même qui en revanche, n’a pas accepté de changer sa propre appellation que la mairie souhaitait. 

L’histoire remonte aux années 30

Pour comprendre une telle appellation, il faut remonter dans l’histoire d’Aulnay. Plus particulièrement aux années 30… C’est à ce moment là que La Maison Matrand devient Le Café de la Négresse. Dès lors, le carrefour des Cinq-routes a pris de façon coutumière le nom de « Carrefour de la Négresse ». 

En juin 1979, un Tennis Club est fondé et ses cours sont situés à côté de ce carrefour. Et naturellement il sera baptisé « Tennis Club de la Négresse ». 

Si le carrefour a été débaptisé et si les panneaux directionnels vont être changés, le Tennis Club ne souhaite pas pour l'instant changer d'appellation.

Si le carrefour a été débaptisé et si les panneaux directionnels vont être changés, le Tennis Club ne souhaite pas pour l’instant changer d’appellation. (©Google Steet-view)

Le Cercle Archéologique et Historique de la Région d’Aulnay (C.A.H.R.A.) qui travaille sur la connaissance de l’histoire locale, la présentation mais aussi la préservation du patrimoine culturel d’Aulnay-sous-Bois connaît cette histoire par cœur.

Quoi qu’il en soit, et c’est un nouveau pas qui est franchi, les nouveaux panneaux directionnels ont été commandés et remplaceront l’ancienne signalétique.

Lire aussi : Seine-Saint-Denis. Les douaniers d’Aulnay-sous-Bois interceptent 28 000 montres contenant trop de plomb

Aveyron : quatre morts dans le crash d'un avion de tourisme au sud de Millau

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U avio de tourisme

U avio de tourisme (©Facebook)

Un avion de tourisme s’est écrasé en fin de matinée, ce dimanche 16 février 2020, sur la commune de Creissels, entre Millau, dans le sud de l’Aveyron et le Caylar, au nord de l’Hérault.

Les quatre occupants sont décédés. L’accident s’est produit non loin de l’autoroute A75, dans une zone isolée, alors qu’il fait mauvais temps, avec des nuages bas.

Près de l’aérodrome

Le pilote venait t-il de partir ou voulait t-il se poser sur le petit aérodrome de Millau-Larzac, dont la piste est située dans la zone du crash ?

Ce n’est qu’une hypothèse, l’enquête ne faisant que débuter. Elle est confiée aux gendarmes spécialisés des Transports aériens, attendus sur place et à ceux de la compagnie de Millau.

> Plus d’informations à suivre

4 mois de chantier sur la RD103 près de Lisieux : des restrictions de circulation

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Le chantier débute lundi 17 février 2020.

Le chantier débute lundi 17 février 2020. (©Département du Calvados)

À partir de lundi 17 février 2020, le Département du Calvados va engager des travaux de renforcement de chaussée sur la RD 103 au niveau des communes des Monceaux, Lessard-et-le-Chêne et de Saint-Germain-de-Livet (Calvados), entre la RD 511 (carrefour de la Corne) et la RD 579 (carrefour du Pot Blanc).

Ce chantier devrait durer quatre mois et impliquera temporairement des restrictions de circulation et des fermetures d’axes

Le Département précise la nature des travaux : 

« Ils consistent à refaire l’assainissement afin de préserver les chaussées. Pour cela, 3 000 mètres de busage et 12 000 mètres linéaires de caniveaux seront posés. 4 000 tonnes d’enrobés seront ensuite étalés pour refaire la couche de roulement de la chaussée ».

Trois phases

Le chantier se décomposera en trois phases d’environ cinq semaines chacune.

La première phase du 17 février au 20 mars : busage de fossé sur la section allant de la RD 511 à la RD 136. La route sera barrée de 8h à 17h du lundi au vendredi.

La deuxième phase du 23 mars au 24 avril : caniveaux et enrobés sur la section allant de la RD 511 à la RD 136, et busage de fossé sur la section allant de la RD 136 à la RD 579. La route sera barrée 24h/24 dans le sens RD 136 – RD 511. Pour le reste la route sera barrée de 8h à 17h du lundi au vendredi.

La troisième phase du 27 avril au 12 juin : caniveaux et enrobés sur la section RD 136 – RD 579. La route sera barrée 24h/24 dans le sens RD 579 – RD 136. Elle sera aussi barrée dans le sens RD 136-RD 579 de 8h à 17 h du lundi au vendredi.

« La nécessité de barrer 24/24 le sens Sud-Nord pendant plusieurs semaines est liée à la pose de caniveaux des deux côtés de la chaussée ne permettant pas le croisement des véhicules », ajoute le conseil départemental.

Le coût des travaux, entièrement pris en charge par le Département du Calvados, s’élève à 1 220 000 €.


Seine-et-Marne. À Liverdy-en-Brie, Dominique Cauchie est candidat « pour poursuivre le travail entrepris »

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Dominique Cauchie est le maire de Liverdy-en-Brie depuis 2014

Dominique Cauchie est le maire de Liverdy-en-Brie depuis 2014 (©LPB)

Dominique Cauchie est à la tête de Liverdy-en-Brie depuis 2014. Pour les élections de mars prochain, il sollicite une nouvelle fois la confiance de ses habitants. Lui qui y vit depuis 1972, a encore des projets pour sa commune de 1 316 habitants, « toujours avec la même ambition de faire bien, de la redresser, et d’avancer dans l’intérêt général », affirme-t-il. Ce dernier a d’ailleurs fait le choix de nommer sa liste « Ensemble, continuons d’agir pour Liverdy ».

Lire aussi : Seine-et-Marne. À Liverdy-en-Brie, Dominique Cauchie se dit « fier d’être maire »

Quand il a pris les choses en main il y a six ans, « rien n’avait été fait depuis une trentaine d’années. Il y avait un immobilisme énorme et aucun projet d’évolution n’avait été mis en place. » C’est donc avec dévouement et des convictions solides que Dominique Cauchie s’est attelé à la tâche.

Gérer une petite commune demande de la disponibilité. Il faut être présent pratiquement tout le temps, souligne-t-il.

Des dossiers en cours

Parmi les sujets mis en mouvement lors de cette mandature et encore en cours : le plan local d’urbanisme lancé en 2015, l’ouverture des étangs aux pêcheurs qui devrait l’être au premier semestre 2020, le raccordement de tous à l’assainissement collectif, la création du centre d’accueil et de loisirs dont l’offre pourrait être enrichie.

« Dans un premier temps, je veux aller jusqu’au bout de ces dossiers. Mais ma priorité, comme depuis 2014, c’est l’éducation car les enfants représentent l’avenir », ajoute-t-il.

« Se développer, tout en restant un village rural »

Dominique Cauchie a donc pour ambition de réhabiliter le groupe scolaire existant, ou d’en construire un neuf à la sortie du village. Tout en précisant : « Il faut être prudent sur les questions de finances publiques. Je ne prends jamais d’engagement irréfléchi ou inconsidéré. »

Le maire, qui ne souhaite notamment pas de fermeture de classe (le village compte actuellement cinq classes, avec 26 élèves par classe en moyenne), « pour le bien-être des enfants et des enseignants », aimerait donc que Liverdy « se développe, tout en restant un village rural et en conservant son histoire. »

Parmi les projets : éducation, travaux et écologie La cantine scolaire, le périscolaire, la réfection de la mairie, de l’agence postale communale et leur accès aux personnes à mobilité réduite, ou encore la transformation de la salle des fêtes en salle polyvalente, seront également au cœur des travaux menés lors de son éventuel prochain mandat.

Sans oublier l’écologie, à l’image de ce que représente la commune : je mettrai notamment en place un plan de végétalisation, précise Dominique Cauchie, qui souhaite également œuvrer en faveur des artisans et commerçants.

Selon lui, sa liste qui est en grande majorité renouvelée et composée de 15 Liverdois et Liverdoises principalement d’âge mûr associe à la fois « le regard neuf des uns et l’expérience des autres, permettra d’engager une nouvelle dynamique pour construire l’avenir de notre commune en lui préservant sa qualité de vie et sa ruralité. »

Seine-et-Marne : les constructions changent l'image de Beauval à Meaux

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Cet immeuble, actuellement en construction, remplacera les logements des tours Auvergne et Artois démolies en 2015.

Cet immeuble, actuellement en construction, remplacera les logements des tours Auvergne et Artois démolies en 2015 à Meaux. (©La Marne)

Il a fallu 6 secondes en septembre 2019 pour faire disparaître la tour Albret à Meaux, mais il faudra 2 à 3 ans pour réaménager entièrement ce secteur. Les derniers gravats ont quitté le site qui a aujourd’hui fait table rase d’Albret. A terme, de nouveaux bâtiments plus petits y seront construits, ainsi qu’une nouvelle route qui facilitera la circulation, et des espaces verts et de jeux pour enfants.

En parallèle, à l’autre bout du quartier A, les ouvriers s’affairent toujours là où, en novembre 2015, les tours Auvergne et Artois ont connu le même sort qu’Albret. Le vaste chantier de transformation de ce secteur entre dans la fin de sa première phase. Les deux premiers programmes de logements bordant la place Nelson-Mandela seront livrés cette année. Ils compteront 125 logements construits par Kaufmann & Broad et 79 logements réalisés par Promogim. Ce dernier aménage également des locaux commerciaux en rez-de-chaussée des bâtiments.

Lire aussi : Municipales 2020 : si vous étiez maire de Meaux, que feriez-vous ?

1 600 m2 de commerces

Outre les 204 appartements déjà en cours de construction, l’ensemble comprendra au total 350 logements, la création d’une voie interne ainsi que la réalisation de l’esplanade Nelson-Mandela. L’objectif est de faire de cette nouvelle place un lieu de vie, pour cela, la Ville souhaite y installer des commerces, on parle de 1 600 m2 de surfaces commerciales au total. Trois permis de construire ont été délivrés pour ce secteur. Deux autres le seront prochainement.

Dans ces nouveaux bâtiments, la Ville diversifie le type de logements : location libre, location sociale, et accession à la propriété privée.

 

Seine-et-Marne. Rémy Dragyn lance Escale-shop, un site qui regroupe les marques écologiques

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Parmi les vêtements proposés, on trouve des chaussures comme celles-ci, fabriquée en tissu biorne. © Escale

Parmi les vêtements proposés, on trouve des chaussures comme celles-ci, fabriquée en tissu biorne. © Escale (©La Marne)

« Je n’arrivais pas à trouver une marque qui allie le design, la mode, avec le mode de vie écologique que je fonctionne avec ma copine. Après en avoir discuté autour d’un verre, j’ai décidé de lancer Escale », raconte Rémy Dragyn, Longperrois de naissance, et dont les parents habitent toujours la commune. C’est ainsi que nait en mai 2019 le site Escale, qui regroupe alors cinq marques de vêtements.

Pas de stock, plus de libertés

Le site fonctionne sur un système de Dropshipping, ce qui permet à Rémy de ne pas avoir de stock ni de locaux. Son site fait ainsi le lien entre les clients et les marques ; il récupère une commission pour ce rôle. « J’ai choisi ce mode de fonctionnement parce que cela me permet d’avoir plus de liberté. En n’ayant pas de stock, ni de boutique, je suis plus libre. Je me lançais dans l’inconnu, donc j’ai voulu minimiser les risques au cas où cela ne marche pas », explique-t-il. « De plus cela donne également plus de marge de manoeuvre pour les marques. Je suis leur vitrine, elles peuvent mettre des nouveautés, ajuster les stocks comme bon leur semble. »

Un fonctionnement de confiance qui a tout de même mis quelque temps à se mettre en place. « C’est sûr que les débuts sont toujours compliqués. Il a fallu convaincre les entreprises. Au final, j’ai joué sur le fait que je voulais mettre d’avantage le côté écologique en avant, plus que le design ou la mode, ce qui est encore assez rare aujourd’hui », enchérit le Longperrois.

Pas encore assez rentable pour en vivre

Si aujourd’hui Rémy dispose de 15 marques sur le site Escale-shop, il ne gagne pas encore suffisamment d’argent pour en vivre. « Ce sont les débuts d’une entreprise. C’est un peu long à se lancer… Je me suis déjà posé la question de savoir si j’arrêtais, mais je ne veux pas, c’est devenu une vraie passion », raconte-il avec joie.

En CDI dans une société de développement Web, il a adapté son contrat afin de s’aménager du temps pour continuer à faire progresser son projet, avec l’objectif d’en vivre intégralement à la fin.

Le site est à retrouver en cliquant ici.

Pays Basque. Une année particulière pour Miss Côte Basque 2020

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Lauriane Beguin élu Miss Côte Basque 2020 et ses dauphines lors de l'élection au théâtre de Quintaou à Anglat.

Lauriane Beguin élu Miss Côte Basque 2020 et ses dauphines lors de l’élection au théâtre de Quintaou à Anglat. (©Miss Côte Basque)

Les inscriptions pour devenir Miss Côte Basque 2020 sont ouvertes jusqu’au 17 mars. Pour pouvoir postuler et peut-être représenter la Côte Basque durant l’année 2020. Ce n’est pas n’importe quelle année, c’est l’année des 100 ans du concours de Miss France et c’est une Basque qui l’avait remporté en 1920 !

Lire aussi : Pays Basque. Le retour de la vague mythique : Belharra

Pour pouvoir présenter sa candidature, voici les différents critères :

  • Entre 18 et 24 ans au moment de l’élection
  • Avoir une adresse dans le département des Pyrénées-Atlantiques (64)
  • Mesurer au minimum 1m70, sans talons mesdames
  • Ne pas avoir de tatouages (ou pas plus grand qu’une pièce de 2 euros)
  • Ne pas avoir d’enfants

Le concours aura lieu au théâtre de Quintaou à Anglet le samedi 2 mai 2020. La gagnante de l’élection « Miss Côte Basque 2020 », sera sélectionnée d’office pour l’élection de Miss Aquitaine qui se déroulera quant à elle, à la fin du mois de juillet.

100 ans de la dame de France

Le concours de Miss France fête donc ses 100 ans cette année. La création du concours a été faite en 1920 sous le titre de « La plus belle femme de France ». C’est Agnès Souret, jeune basque de 17 ans et originaire d’Espelette (Pyrénées-Atlantiques) qui avait remporté ce concours. Elle était surnommée « L’Émeraude ».

Lire aussi : Histoires et Légendes du Pays basque. Belzunce à Saint-Pierre-d’Irube

Juanita Llamas la présidente et Jean-Michel Arrou le Vice-président du concours Miss Côte Basque 2020 espèrent que la jeune femme élue le 2 mai 2020 ira jusqu’à la plus haute marche et devienne Miss France.

On souhaiterait que Miss Côte Basque 2020 devienne Miss France pour clôturer cette belle histoire en beauté

C’est Lauriane Beguin qui a été élu « Miss Côte Basque 2019 » le 9 février 2019 au Théâtre Quintaou d’Anglet. Elle gardera son titre jusqu’au 2 mai 2020, date de l’élection de « Miss Côte Basque 2020 ».

Pour s’inscrire il faut écrire par mail à : misscotebasque@gmail.com

⚠️Le temps passe vite ! N’attendez plus ! Tentez l’aventure miss côte basque 2020 ! 👑Les inscriptions sont ouvertes…

Publiée par Miss Côte Basque sur Vendredi 14 février 2020

Cantal. Projets et investissements pour un comité des fêtes de Massiac en pleine forme

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En pleine assemblée générale du comité des fêtes de Massiac.

En pleine assemblée générale du comité des fêtes de Massiac. (©.)

La présidente du comité des fêtes Karine Parret a ouvert avec le sourire l’assemblée générale annuelle du comité des fêtes. Elle a souligné le soutien moral et financier tout au long de l’année de Didier Achalme, conseiller départemental et Dominique Baduel adjoint au maire, présents tous deux. Elle a ensuite procédé au bilan des manifestations. En premier lieu, le 26 janvier, le dernier bal des Pat Crysprols, une mémorable soirée, a accueilli jusqu’au bout de la nuit quelque 550 personnes. Le Carnaval du 24 février, rassembla une centaine d’enfants déguisés en défilé puis 200 spectateurs pour le cirque. Le succès fut encore au rendez-vous pour la fête de la musique et le feu de la Saint Jean les 21 et 22 juin malgré une hasardeuse météo.

En 2019

Elle soulignait l’investissement de chacun pour la fête de l’été au four de Chalet sous la canicule, avec plus de 100 pains vendus. L’année se termina par le marché de Noël le samedi 14 décembre, à la salle polyvalente pour des raisons météo. Un mal pour un bien au final, car la manifestation, au chaud, a rencontré un succès quasi inespéré avec une salle comble pour les 26 exposants. Le bilan financier est à l’avenant, permettant à l’association d’investir dans du matériel de festivité.

Lire aussi : Cantal. Pêche : que retenir de la dernière assemblée générale de l’AAPPMA de Laroquebrou ?

Le programme 2020

Le programme 2020 est en place : carnaval le dimanche 23 février, grand repas dansant le samedi 18 avril. Les 19 et 20 juin, le feu de la Saint-Jean se mêlera à la fête de la musique, la fête du four à Chalet le 19 juillet et le marché de Noël le 19 décembre.

L’association forte de 22 membres a élu son bureau, reconduisant Karine Parret à la présidence, 1ère vice-présidente Delphine Roddier, 2ème vice-présidente : Isablle Delemesure. Trésorière : Mélanie Francoil. Trésorière adjointe : Christelle Bringer. Secrétaire : Marie Josée Verdier, Secrétaire adjointe : Laetitia Bigot. La présidente, tout en reconnaissant son caractère bien trempé chaleureusement « remerciait du fond du coeur toute l’équipe pour son dévouement et son temps passé au sein du comité. »

EN IMAGES. Tempête Dennis : quelques dégâts et joli spectacle dans la Presqu'île de Guérande

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Sur la plage de Sainte-Marguerite à Pornichet, le vent et les vagues ont formé un belle épaisseur d'écume

Sur la plage de Sainte-Marguerite à Pornichet, le vent et les vagues ont formé un belle épaisseur d’écume (©L’Echo de la Presqu’île)

La tempête Dennis a soufflé en Presqu’île de Guérande et la région de Saint-Nazaire ‘Loire-Atlantique) offrant aux promeneurs un joli spectacle dimanche 16 février 2020. Retour en images. 

A Pornichet, l’écume volait sur le sable…

… tout comme au Pouliguen comme on peut le voir sur cette vidéo publiée par un internaute sur le groupe Facebook I love Batz-sur-Mer : 

En raison de sa basse altitude, la petite station du Pouliguen subit de plein fouet le réchauffement climatique et ce n'est que tout dernièrement, grâce aux premières chutes de neige, que les pistes ont enfin pu ouvrir. Ci-contre celle des Korrigans, filmée en milieu de journée. On attend vingt centimètres de poudreuse en fin de soirée.

Publiée par Christian Braut sur Dimanche 16 février 2020

Un arbre couché sur la route à Missillac

A Missillac, un arbre s'est couché coupant plusieurs lignes électriques

A Missillac, un arbre s’est couché coupant plusieurs lignes électriques (©L’Echo de la Presqu’île)

La tempête Dennis a fait des dégâts dans en France. De nombreux arbres ont été arrachés, des routes coupées en raison des inondations. A Nantes, un camion s’est couché sur le pont de Chéviré

Dimanche, les pompiers ont comptabilisé 193 interventions dans le département directement liées au coup de vent. Au total, ce sont plus de 1 000 appels au 18 qui ont été enregistrés. 

A Missillac, dimanche 16 février 2020, en début d’après-midi, les pompiers ont été appelés à Tournoly. Un peuplier haut d’une douzaine de mètres s’est couché à 15 h en travers de l’intersection de la rue du Rocher et de la Rue des Meuniers, coupant quatre câbles haute tension.

Un hameau privé de courant

Le hameau comptant sept foyers et une entreprise, et les maisons alentour, s’est retrouvé sans électricité. Philippe Rélot qui tient une pisciculture dans le hameau raconte : 

Un fil électrique est tombé sur notre grillage, l’électrifiant par la même occasion. 

Avec son frère Christian Rélot, ils ont dû déclencher le groupe électrogène pour les poissons.

Les pompiers  ont mis plus d’une heure pour dégager la voie. Equipés de tronçonneuses, ils se sont relayés pour permettre ensuite aux techniciens de rétablir l’électricité, pour les plus chanceux, vers 18 h 30.

A La Baule, un bateau s’est échoué sur la plage. 

Publiée par Gaëlle Schmotterer sur Lundi 17 février 2020

Lire aussi : EN IMAGES. La tempête Ciara a soufflé sur la Presqu’île de Guérande et à Saint-Nazaire

Pluie et vent ce lundi

Une perturbation liée à la tempête Dennis traversera l’hexagone ce lundi matin, de la Poitou-Charentes au Nord-Est. Elle se décalera dans l’après-midi entre les Pyrénées, le Massif Central, et le Nord-Est, avec des pluies plus particulièrement soutenues sur cette dernière partie.

Mardi, le temps deviendra plus ensoleillé avec quelques rares averses. 

Mirabelle, l'ourse en peluche qui traverse la France, a fait étape à Bayeux

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Harmony Lemière, accompagnée par Mirabelle, a remis des croquettes, friandises et jouets à l'association « Les Brigitte de l'espoir », à Sommervieu.

Harmony Lemière, accompagnée par Mirabelle, a remis des croquettes, friandises et jouets à l’association « Les Brigitte de l’espoir », à Sommervieu (Calvados). (©La Renaissance Le Bessin)

Mirabelle, c’est l’histoire peu commune d’une ourse en peluche, star de Facebook. Sa page, « Les pensées de Mirabelle », compte 1 200 abonnés. C’est Sandrine Camporini, maman de 3 enfants vivant dans les Ardennes, qui a commencé à faire parler des ours en peluche, en 2016. Date à laquelle elle fait éditer un premier livre, « Charly », dans lequel elle parle de son expérience de maman célibataire au travers des yeux de son ours en peluche. Quelques années après, et 3 autres livres plus tard, elle fait vivre de nombreuses aventures à une petite ourse en peluche nommée Mirabelle, qui est la fille de Charly.

Un tour de France solidaire

Partie des Ardennes, Mirabelle est allée en Belgique avant d’atterrir à Bayeux (Calvados) lundi 10 février 2020 pour une semaine. L’objectif de ce tour de France, chez les abonnés qui acceptent de la recevoir, est de faire une action solidaire avec la peluche. Pour Mélanie Dupuis, Bayeusaine, l’action a été d’offrir des croquettes, des friandises et autres jouets à l’association « Les Brigitte de l’espoir » de Sommervieu, qui vient en aide aux chiens abandonnés. Cette action a été faite en collaboration avec Harmony Lemière, une amie elle aussi amoureuse des animaux.

Lire aussi : L’association de Bayeux Les Brigitte de l’espoir poursuit son combat pour les chiens abandonnés

Ensemble, elles ont voulu « offrir une note d’espoir à l’association, et de quoi remplir, pour quelques jours, les gamelles des chiens ». Récemment installée dans la capitale du Bessin, Harmony a trouvé « une association très humaine et réaliste qui fait plaisir à voir » et à qui elle peut offrir un peu d’aide, ce qu’elle compte renouveler.

Vers d’autres aventures

En ce vendredi 14 février, Mirabelle reprend son voyage vers une nouvelle famille en Eure-et-Loir, une nouvelle étape parmi tant d’autres. Son périple va durer jusqu’à fin juin, avec l’île de la Réunion et la Guadeloupe comme dernières étapes. Pour Sandrine Camporini, ce voyage est une occasion de remercier ses abonnés qui la suivent quotidiennement, tout en s’assurant des bonnes actions aux 4 coins du pays. « Faire rire les gens, avec mes dessins et les photos de Mirabelle, ça me fait un bien fou », confie-t-elle.

Et si son ourse n’est pas avec elle au cours de son voyage, les divers échanges de photos et vidéos permettent à Sandrine de poursuivre ses dessins de Mirabelle. À noter que Mirabelle participe aussi à un fil rouge scolaire dans une école des Ardennes, où toute une classe d’élémentaire l’attend de pied ferme. « Lutter contre l’obscurantisme » était l’un des objectifs de Sandrine Camporini.


Val-d'Oise. Taverny : auteurs et illustrateurs qui voulez publier, vous n'êtes pas seuls !

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La BD de Yann, dans le numéro 1 de l'Arpaijien.

La BD de Yann, dans le numéro 1 de l’Arpaijien. (©DR)

Une nouvelle association vient de voir le jour à Taverny : l’association pour la rencontre et la promotion des auteurs et illustrateurs jeunesse (Arpaij).

Alexandre Maroselli, un auteur tabernacien, qui avait lancé avec sa femme Frédérique les Histoires d’AlFred (l’aventure de TouTouLou s’est achevée pour des raisons personnelles), a créé avec ses soeurs cette association, qui vise à faire se rencontrer auteurs, illustrateurs et lecteurs.

L’Arpaij a pour but de faire face aux difficultés financières de l’autoédition.

Il faut en effet compter 1 700 € pour autoéditer un album en 15 cm sur 19 avec une épaisse ouverture cartonnée à 300 exemplaires .

Coût de l’adhésion à l’association : 10 €.

https://asso-arpaij.com

Brigade de gendarmerie de Forges-les-Eaux : les points noirs restent les cambriolages et escroqueries

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Pour l'adjudant-chef Daoudal, responsable de la BTA de Forges-les-Eaux,  la présence des militaires sur le terrain reste une des meilleures solutions pour dissuader, réprimer et interpeller les délinquants.

Pour l’adjudant-chef Daoudal, responsable de la BTA de Forges-les-Eaux, la présence des militaires sur le terrain reste une des meilleures solutions pour dissuader, réprimer et interpeller les délinquants. (©L’Eclaireur-La dépêche)

A l’occasion de l’inspection de la brigade autonome de gendarmerie de Forges-les-Eaux, l’adjudant-chef Daoudal a dévoilé les chiffres de la délinquance en 2019. Le chef de la brigade a présenté son premier bilan vendredi 14 février 2020.

Lire aussi : Gendarmerie : deux nouveaux gradés à la brigade de Forges-les-Eaux

La BTA a enregistré une augmentation des faits constatés de 30 % par rapport à l’an dernier (488 cette année contre 377 en 2018). Et l’adjudant-chef de détailler :

Nous avons été fortement impactés par les événements Lubrizol. Nous avons enregistré 51 procédures.

Le nombre de cambriolages en hausse

Forges et ses environs voient une augmentation des vols de 20 % (241 faits en 2018 /305 en 2019). Le gradé regrette :

 Sur les 259 vols constatés, il y a 72 cambriolages soit 14 de plus .

 Les vols à la roulotte ont pratiquement doublé : 43 en 2019 contre 22 en 2018. En revanche, les vols de voitures ont baissé (29 en 2018 /13 en 2019).

Baisse des violences intra-familiales

Les faits de violences ont augmenté l’an dernier. Néanmoins et contrairement à d’autres territoires proches, les violences intra-familiales (VIF) ont été moins nombreuses en 2019. On en dénombre 27, contre 54 en 2018.

Lire aussi : Mise à jour. L’homme retranché chez lui à Forges-les-Eaux s’est rendu

Lire aussi : Sommery. Il tire au plomb sur ses voisins trop bruyants : neuf blessés

Lire aussi : Près de Forges-les-Eaux. Après l’accident, il frappe l’autre automobiliste à coups de poing et prend la fuite à pied

Les escroqueries ont doublé

Hélas, les infractions économiques et financières se sont envolées (26 en 2018 contre 46 en 2019).

 Nous avons reçu beaucoup de plaintes pour des escroqueries. Des faits pour lesquels la naïveté des gens est réelle. Comme des rencontres sur Facebook, l’envoi d’argent en échange d’un travail, la découverte de l’amour à l’autre bout du monde. Nous avons aussi de plus en plus de dépôts de plaintes pour des ventes et des livraisons non honorées… La liste est longue.

En revanche, les infractions liées aux stupéfiants et recels stagnent.

Le taux de résolution est de 42 %. Il est en dessous de la moyenne nationale. Mais avec 58 % d’activité sur le terrain, les militaires de la BTA sont au-dessus de la moyenne nationale.

« Avec ces chiffres, on constate que l’activité est permanente et soutenue. Des indicateurs montent d’autres baissent. La vidéosurveillance sur Forges n’est peut-être pas étrangère à ces baisses. Mais pour moi, la présence des militaires de la BTA sur le terrain ainsi que celles de la brigade de contact restent une des solutions pour dissuader, réprimer et interpeller les délinquants quels qu’ils soient. Mais le terrain n’est qu’une partie de notre travail » tempère le gradé.

Il a tenu à associer au travail des gendarmes de Forges :

 le renfort de nos camarades du peloton de surveillance et d’intervention et de la brigade de recherches de Neufchâtel ainsi que le travail accompli en bonne intelligence avec leurs collègues de la brigade de contact du pays de Bray

« Une présence accrue et visible »

En 2020, le travail des militaires se poursuivra pour la protection des personnes et des biens :

 Nous poursuivrons nos actions contre les vols en tout genre et les cambriolages par une présence accrue et visible. Nous maintiendrons la lutte contre l’insécurité routière, chauffards et irresponsables au volant.

L'agence postale de Neuilly-sur-Eure rénovée et modernisée

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La visite du bureau rénové

La visite du bureau rénové (©Le Perche)

L’agence postale de Neuilly-sur-Eure (Orne) a été rénovée tout récemment, offrant à la clientèle un espace moderne, pratique et lumineux mais aussi de meilleures conditions de travail pour le personnel communal.

Le maire délégué, Jean-Marc Naël, Christian Baillif, maire de Longny-les-Villages, accompagnés de Ludovic Assier, président de la Commission départementale de présence postale (CDPPT) et Gilles Havard, délégué territorial du groupe La Poste, ont visité les nouveaux locaux.

Ludovic Assier a souligné qu’« afin d’accompagner le public dans les démarches en ligne un îlot numérique sera installé dans l’espace public ». Le maire délégué a ajouté « La Poste fait partie du tissu économique local et social ».

La modernisation, qui s’élève à 5 500 € HT, a été financée à hauteur de 50 % par le fonds de péréquation postal territorial.

Mmes Hamelin et Tritten accueilleront les personnes tous les matins du lundi au samedi de 9 h 30 à 11 h 30.

Vallée d'Eure. En quête d'harmonie au Champ de l'être

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Massages, hammam et salle de détente sont au programme du Champ de l'être.

Massages, hammam et salle de détente sont au programme du Champ de l’être. (©Adobe stock)

Le Champ de l’être propose à tout un chacun et chacune de retrouver un peu, voire beaucoup de bien être. Massages, hammam et salle de détente sont au programme… séparément ou associés. Plusieurs types de formules que Murielle Huet, la propriétaire des lieux a concoctées, sont envisageables.

Le hammam et la salle de détente du Champ de l’être se situent dans un havre de verdure. Un lieu bucolique en bas de coteau, dans la vallée de l’Eure à La Croix-Saint-Leufroy. Le hammam a trouvé naturellement sa place dans un ancien bâtiment agricole qui lui confère un indéniable cachet et une touche d’authenticité.

Le hammam est vaste et bénéficie d’une magnifique voute joliment carrelée.

Le hammam est vaste et bénéficie d’une magnifique voute joliment carrelée. (©DR)

Il est des plus confortable, avec la possibilité de s’allonger sur les banquettes. Au Champ de l’être, rien de tel donc. Le confort est total. Tout comme l’hygiène. Une question sur laquelle, Murielle Huet ne transige pas. Après chaque passage, solo, duo ou groupe plus important, le hammam est intégralement nettoyé de pied en cape.

Lire aussi : Pacy-sur-Eure : un nouveau centre d’hébergement pour personnes âgées à l’horizon 2022 ?

Ce délicieux et bienfaiteur épisode fait d’alternances entre sudation, douches plus ou moins froides, gommage ou enveloppement au rhassoul, libre aux uns et unes et autres de se détendre à l’étage dans un douillet salon. Puis le cas échéant, le temps vient d’un massage bien être. Là encore les formules ne manquent pas, à noter que le lieu  peut-être privatisé, de quoi se faire vraiment plaisir en couple ou entre amis. Bref se rendre au Champ de l’être, c’est à coup sûr faire un grand pas sur le chemin de son bien être… et retrouver cette petite musique, cette harmonie, son propre chant de l’être.

Champ de l’être – 06 13 88 08 42 – 5, Chemin des Prairies, 27490 La Croix-Saint-Leufroy

Municipales au Crotoy, Philippe Evrard : « Du sang neuf et des gens qui connaissent l'investissement municipal »

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Philippe Evrard, tête de liste

Philippe Evrard, tête de liste au Crotoy (Baie de Somme) « Agir ensemble » pour les élections municipales des 15 et 22 mars 2020 (©Johann Rauch / Journal d’Abbeville)

 

Rencontre avec Philippe Evrard, tête de liste au Crotoy (baie de Somme) « Agir ensemble ». Le candidat répond à nos questions, et livre les priorités de la mandature qu’il souhaite conduire à l’issue des prochaines élections municipales des 15 et 22 mars prochains.

 

Journal d’Abbeville (JdA) : Les listes sont visiblement compliquées à boucler, où en êtes-vous de la vôtre ?

Philippe Evrard (P.E.) : Nous sommes en cours de dépôt de notre liste auprès de la préfecture. Je suis très content du groupe que nous formons. Il y a des personnes d’expérience et de sensibilité différentes, on a essayé d’être le plus représentatifs possible. Il faut du sang neuf autant que des gens qui connaissent l’investissement municipal et associatif, ça permet d’être efficaces d’emblée. Et de savoir aussi quoi promettre en toute connaissance de cause, et ce sur quoi il faudra avoir du poids dans d’autres instances que notre conseil pour les domaines qui ne sont plus de son ressort…

 

JdA : Au sujet de l’intercommunalité justement, comment comptez-vous vous y investir ?

P.E. : ça fait longtemps que la commune n’y a plus la place qu’elle mérite. Il ne s’agit pas de dire amen à tout, mais il est temps de renouer un dialogue serein avec l’intercommunalité. Pour ce qui me concerne, dès lors que nous aurons la majorité, nos délégués communautaires s’investiront dans un maximum de commissions. Il s’agit de s’intéresser à des compétences qui vont au-delà des seules problématiques de la ville. Pour ma part, c’est la vice-présidence à l’environnement que je souhaite briguer. Mon expérience professionnelle depuis plus vingt ans m’amène à avoir une certaine expérience en la matière. Il y a deux priorités : servir de trait d’union entre la protection de l’environnement et tous les usagers locaux, chasseurs, pêcheurs, touristes… Ce n’est pas incompatible pour autant qu’on soit sur le terrain et que l’équilibre des libertés et des impératifs de chacun soit respecté. Et comme sur tous les littoraux du monde on est concernés par l’érosion du trait de côte, la hausse du niveau de la mer… Nos ports, la digue et les dunes l’illustrent bien. Il ne faut pas se mentir, on ne décidera et on ne financera rien seuls. Il faut qu’on pèse et qu’on soit représentatifs pour faire avancer les choses pour la ville et pour tout le territoire. Avant d’aménager, il faut savoir à quels programmes de travaux et de subventions on est éligibles et leurs délais… Il y a des plans d’aides publics qui sont déployés dans le cadre de la gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) et le programme d’actions de prévention des inondations (PAPI), les enjeux sont énormes pour l’urbanisme, la protection des biens et des personnes… Il y a aussi à travailler avec toutes les collectivités pour la lutte contre les plantes invasives en baie, les travaux du bassin des chasses et des ports… Et puis, il y a la question des eaux de baignade. Là, il va falloir poursuivre nos efforts en matière d’assainissement, et monter au créneau des pollutions émanant des environs et que chacun prenne ses responsabilités. Je serai vraiment sur ce terrain-là, c’est une vraie question d’avenir pour les cultures marines, le tourisme et notre environnement.

 

JdA : Dans vos priorités municipales, il est beaucoup question du cadre de vie. Concrètement, que souhaitez-vous faire ?

P.E. : Tout d’abord, on propose de poursuivre le plan de restauration de la voirie, l’effacement des réseaux et le renouvellement de l’éclairage public et petit à petit couvrir tous les quartiers de Crotoy et Saint-Firmin. D’ailleurs, à Saint-Firmin nous avons aussi inscrit le réaménagement et l’agrandissement de la salle des fêtes, et la création d’un city-stade. Pérenniser les efforts sur le fleurissement, apporter de la verdure partout où c’est possible avec des plantations d’arbres et des haies, veiller à la propreté de la ville… On veut aussi lutter contre les propriétés en déshérence, mais nous sommes opposés à la récente obligation de réfection décennale des façades. Nous préférons la mise en place d’un service d’aide administrative pour accompagner les habitants dans leurs démarches pour la rénovation extérieure et intérieure des habitations. Il y a aussi à s’assurer du maintien de la Poste…

 

Lire aussi : J.-M.Noirey : « Une maison de la pêche au Crotoy, une maison de la chasse à S Firmin »

 

JdA : L’enjeu démographique est primordial pour la ville, les leviers d’actions sont aussi d’ordre économiques et sociaux. Quelles sont vos propositions ?

P.E. : Avant tout, je tiens à préciser qu’il n’y a pas les résidents secondaires d’un côté et les résidents à l’année de l’autre. On partage la même ville. Après, il est évident qu’on a besoin de tout faire pour conserver nos habitants à l’année, et en attirer de nouveaux. Pour ça, on ne peut pas faire grand chose quant au prix de l’immobilier qui reste notre handicap majeur, mais on peut aider les jeunes foyers avec par exemple une maison d’assistantes maternelles qui s’ajouterait aux solutions de garde pour enfants, préserver le projet de construction de logements pour les primo-accédants rue de Mayocq actuellement remis en question. Et puis, il y a les seniors auprès de qui on proposera un service communal de transport pour ceux qui sont les plus isolés ou dépendants, un accompagnement au plus près lors d’épisodes climatiques intenses… Nous réviserons l’offre culturelle et d’animations pour ce public, et on fera le maximum pour rebooster le club du troisième âge. Nous veillerons à l’attribution des logements du centre de béguinage en priorité aux Crotellois et Saint-Firminois qui en feront la demande, au même titre qu’un conseil municipal pour les jeunes nous proposerons un conseil pour les « toujours jeunes ». On pense aussi au soutien scolaire et professionnel, à une permanence de service public et un accès informatique pour tous… Enfin, pour l’activité économique, la ville doit rester au plus près de ses filières mytilicoles, conchylicoles et de végétaux marins, et si on peut aider aussi la pêche en mer à revenir plus souvent au port en faisant des aménagements sur le port on le fera, comme on restera mobilisé dans la lutte contre l’éolien en mer… Mais surtout, la ville est recevable au plan national de revitalisation des zones rurales. Cela permet entre autres des avantages fiscaux pour aider les entreprises et en attirer d’autres, et créer des emplois. Il faut aussi travailler au renouvellement de l’offre touristique, et trouver des solutions d’hébergement pour les travailleurs saisonniers. La loi nous y oblige, et c’est aussi une vraie problématique économique et sociale…

 

Lire aussi : Le Crotoy : Le Rassemblement National investit Gilles Dupont pour les municipales de 2020

 

JdA : Justement quelles sont vos propositions pour le tourisme ?

P.E. : Il faut trouver des alternatives au tourisme actuel, c’est notre ressource majeure mais l’aspect « balnéaire » ne se suffit plus. Le travail avec les carriers pour l’avenir du plan d’eau est primordial à long terme, mais les tractations sont longues et d’ici là il faut penser aussi à court et moyen terme le tourisme vert, sportif ou historique… On a les potentiels, à commencer par notre patrimoine comme les églises et l’histoire de notre ville… Sur Saint-Firmin, nous comptons ouvrir un « Bistrot de pays » dans la ferme Poidevin. Grâce au petit train et aux pistes cyclables nous avons des liens pour nous allier à Noyelles-sur-Mer, Favières et Ponthoile ou encore Saint-Quentin. Locaux, touristes et collectivités, tout le monde à tout à gagner à ce qu’on travaille ensemble pour proposer du neuf, et mettre en avant des richesses toutes proches et pas assez mises en valeur. Pour ce qui concerne la base nautique, on veut lui redonner vie dès que possible en attendant la mise en œuvre des projets à plus grande échelle autour du plan d’eau. Et puis, il y a l’animation dont le budget doit être préservé pour le dynamisme de la ville et ses traditions, mais le calendrier et son contenu sont à revoir en créant un événement annuel emblématique fort. Il y a des initiatives à encourager comme « Lire en baie » ou « Rock en baie », et les manifestations des associations à épauler. Enfin, un système de communication et d’information est à mettre en place pour mieux rayonner, il en va d’ailleurs de l’image de la ville…

 

« Une consultation populaire pour l’école du Port et revendre la propriété Dufossé »
La liste de Philippe Evrard propose la création d’une médiathèque dans la propriété du « 8 rue Jules-Verne », et d’une « halle polyvalente » du côté de l’îlot Jules-Verne « afin d’y mettre en scène des événements, un lieu modulable et convivial ». « Quant à l’avenir de l’ancienne école du Port les projets ne manquent pas, c’est à la fois une chance et un gros investissement. Je suis partisan d’une consultation populaire. C’est vraiment un principe qui me tient à cœur pour que tout le monde puisse faire son choix ». « D’ailleurs, au sujet du patrimoine communal il y a beaucoup à faire, mais une chose est claire : nous ne souhaitons pas conserver la propriété « Dufossé » acquise à Rue ». « On proposera à la municipalité de Rue de la racheter, mais dans tous les cas nous veillerons à ce que l’antenne des Restos du Cœur qui y est installée ait la garantie de rester logée là-bas, ou de lui trouver un autre site pérenne et adapté. Mais dans tous les cas, nous remettrons à vendre ce site ».

 

À propos du stationnement payant
Pour le groupe « Agir ensemble » le plan de circulation est à revoir, au même titre que la signalisation en ville. Pour ce qui concerne le stationnement payant, Philippe Evrard préconise l’arrêt du stationnement payant entre midi et 14h30, « il faut aussi revoir les dates d’application du stationnement payant dont la période nous apparaît trop longue ». « On compte aussi créer du stationnement en ville, il y a matière à trouver des places pour faciliter la vie des locaux et des visiteurs notamment en période de piétonnisation de la rue principale dont on rediscutera avec les principaux concernés : riverains, commerçants, artisans… D’ailleurs, les forfaits de stationnements sont à revoir, surtout pour les artisans, les professionnels de santé, livreurs… ou autre à qui on proposera une carte de stationnement annuelle à prix préférentiels pour leurs véhicules professionnels ».

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