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Basket : En déplacement, Dieppe n'y arrive pas en Nationale 3 féminine

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toujours menées au score, les Dieppoises n'ont jamais été en mesure d'inquiéter leurs adversaires.

Toujours menées au score, les Dieppoises n’ont jamais été en mesure d’inquiéter leurs adversaires.

Les semaines se suivent et se ressemblent pour les Dieppoises qui continuent à montrer plusieurs visages dans ce championnat de Nationale 3 féminine.

Généralement conquérantes à domicile, les filles de Michel Gomez éprouvent les pires difficultés à s’exprimer loin de la Maison des sports.

Cela vient encore de se vérifier lors des dernières journées.

« Un jour sans »

Ainsi, après avoir largement dominé Chartres, les Dieppoises n’avaient jamais pu inquiéter Bihorel.

Cette fois, après battu Ruaudin dans les grandes largeurs le week-end dernier, Julie Turmel et ses partenaires ont déjoué à Sannois, ce dimanche 16 février 2020, ne menant jamais au score et subissant encore un net et logique revers.

Au retour de ce déplacement, Michel Gomez a encore évoqué plus de regrets que de motifs de satisfaction :

Les filles avaient envie de bien faire, mais j’espérais voir un groupe soudé et solidaire et cela n’a pas été le cas. Le gros problème est que chaque fille a voulu réussir son match alors que c’est l’équipe qui aurait dû réussir le match et la nuance est importante.

Lire aussi : Basket : Retour d’un camp d’été à Dieppe avec Michel Gomez

Dès le coup d’envoi, les Sannoisiennes jouent vite et bien ; les locales prennent les devants pour un écart qui augmente au fil des minutes.

De leur côté, les Dieppoises se montrent maladroites et peu inspirées, ce que déplore Michel Gomez :

Ramata (Daou) a été bien prise par la défense adverse et de plus, elle était gênée avec son problème de dos. Comme elle est trop gentille, parfois naïve et que ce n’est pas une guerrière, j’ai dû la sortir plusieurs fois du terrain. Par ailleurs, mes deux meneuses (ndlr : Amandine Sannier et Jessica Bourgeois) étaient dans un jour sans et n’ont pas inscrit le moindre tir à trois points ; dans ces conditions, c’était très difficile.

« Les filles se dispersent »

Logiquement Sannois se détache irrémédiablement avec un écart qui va atteindre un maximum de 26 longueurs au cœur du troisième quart-temps.

Les réactions dieppoises sont trop individuelles ou désordonnées pour espérer un retour comme l’évoque le technicien local :

Que l’on joue mal en déplacement est une chose, mais que l’on se focalise sur l’arbitrage en est une autre et cela me désespère un peu car les filles se dispersent et je le sens rapidement. Ce ne sont pas les arbitres qui ratent les lancers francs ou qui font des mauvaises passes. Malheureusement, cela nous coûte cher car Julie (Turmel) qui a écopé d’une nouvelle technique va certainement être bientôt suspendue.

Les Sannoisiennes vont toutefois se relâcher dans les dernières minutes si bien que l’écart final est moins important qu’on aurait pu le craindre (62-48).

Cependant c’est une nouvelle défaite pour des Dieppoises qui devraient rentrer dans le rang lorsque le calendrier sera mis à jour. De son côté, Michel Gomez voit plus loin :

Je ne comprends pas les différentes facettes de mon équipe et j’ai parfois l’impression de gérer des solistes en déplacement et un groupe à domicile. Il reste trois déplacements qui seront délicats et deux matches à la maison qu’il faut gagner pour bien finir la saison.


Municipales 2020. Au Neubourg, les propositions de Jean-Baptiste Marchand pour la sécurité

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Jean-Baptiste Marchand

Jean-Baptiste Marchand (©RN)

« Pour une véritable police de proximité 

  • Assurer puis renforcer une présence attentive des agents dans la vie quotidienne des Neubourgeoises et Neubourgeois ;
  • Favoriser les actions de prévention et de dissuasion avant celles de répression ;
  • Développer l’accueil des Travaux d’Intérêt Général (TGI) ;
  • Étudier la possibilité de créer un lieu d’accueil d’urgence pour les personnes victimes de violence ;
  • Se rapprocher des réseaux d’aide et d’accompagnement des victimes de violences conjugales ;
  • Développer et approfondir la vidéoprotection ;
  • Création d’un bouton d’alerte dans les bâtiments publics et toutes les écoles ;
  • Développer les opérations « Voisins vigilants » avec l’aide de la Gendarmerie ;
  • Organiser annuellement avec la sécurité routière des journées à thèmes ;
  • Limiter certaines rues à 30 km/h pour une circulation apaisée.

Lire aussi : Municipales 2020. Au Neubourg, les propositions de Jean-Baptiste Marchand pour l’environnement et la mobilité

Lutter contre les incivilités 

  • Proposer des interventions de sensibilisation dans les établissements scolaires ;
  • Lancer une campagne de sensibilisation pour lutter contre les incivilités*;
  • Le premier volet était consacré à la propreté et aux gestes responsables au quotidien pour préserver notre cadre de vie*;
  • Le deuxième volet, sera dédié à la réduction des nuisances sonores*;
  • Une troisième campagne est désormais consacrée au partage des espaces publics dans le cadre des mobilités*;
  • Poursuivre le plan de lutte contre les déjections canines.
  • Sanctionner les atteintes à l’environnement :
  • Veiller au respect des arrêtés municipaux ;
  • Réflexion sur la procédure envers les atteintes à l’environnement.

Notre programme n’a pas vocation à distribuer des amendes, mais faire respecter. »

Lire aussi : Municipales 2020. Au Neubourg, les propositions d’Isabelle Vauquelin pour la sécurité.

Seine-et-Marne. Vers le 100% bio dans les cantines de La Ferté-sous-Jouarre

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La délégation de Mouans-Sartoux s'est rendue dans l'exploitation maraîchère de Philippe Cluzeau, à Saâcy-sur-Marne

La délégation de Mouans-Sartoux s’est rendue dans l’exploitation maraîchère de Philippe Cluzeau, à Saâcy-sur-Marne (©DR)

Des légumes bios, produits localement voire directement dans une ferme gérée par des agents municipaux, recréer du lien entre les enfants et les produits qu’ils consomment, réduire les déchets, valoriser les agriculteurs du territoire, tout en respectant l’environnement, c’est l’objectif qu’a atteint la ville de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes), à l’origine du réseau « Cantines durables – territoires engagés ».

Dans les cantines de la ville, les légumes sont bios depuis 2012 et la commune est quasiment autonome grâce à un système de transformation de la surgélation lors des grosses récoltes.

Pour la viande, elle est achetée en circuit-court et sa quantité est réduite avec l’instauration de deux repas végétariens par semaine. Et tout ça, sans dépenser plus grâce à des économies réalisées en réduisant le gaspillage alimentaire.

« La crise de la vache folle, un déclic »

En 1998, la crise de la vache folle a été un déclic. Du jour au lendemain, nous avons dû retirer le bœuf des assiettes de nos enfants au risque de les contaminer. Ça a été l’occasion pour nous d’interroger notre système d’alimentation et de l’améliorer, raconte Gilles Perole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux, en charge de l’enfance et de l’éducation.

À l’origine du projet, il s’est rendu lundi 3 février à La Ferté-sous-Jouarre pour une présentation du réseau aux acteurs du territoire seine-et-marnais, agriculteurs et agents de restauration notamment.

Via « Cantines durables – territoires engagés », Mouans-Sartoux accompagnera gratuitement pendant 2 ans La Ferté-sous-Jouarre pour élaborer des cantines durables et 100 % bio.

« Sur une cinquantaine de candidatures, nous avons sélectionné 7 collectivités. La Ferté-sous-Jouarre a été choisie car elle est déjà sensibilisée à l’importance du bien manger tout en ayant une marge de progression », résume l’adjoint et président de l’association Un plus bio. « On ne peut pas accompagner tout le monde mais on compte sur La Ferté-sous-Jouarre pour essaimer les bonnes pratiques à l’échelle de la région », ajoute Gilles Perole.

« Pas de tomate en hiver »

Lors de la rencontre, certains se sont interrogés : si Mouans-Sartoux peut se targuer d’avoir une cuisine par école dans laquelle les légumes sont lavés, épluchés, cuisinés, ce n’est pas le cas à La Ferté-sous-Jouarre.

Lire aussi : Seine-et-Marne. La Ferté-sous-Jouarre sélectionnée pour intégrer un réseau de cantines durables

Pour l’heure, la ville confie la gestion de la restauration à un prestataire et les trois sites de restauration (à l’école Le Limon, à la salle polyvalente pour les écoles Duburcq, Patis et Pièce aux écus ainsi qu’à l’Amicale laïque pour l’école Dr Brau) ne font que réchauffer les plats livrés.

« On partira de 0 en termes d’équipement certes, mais on pourra probablement compter sur des subventions régionales et européennes », a tenté de rassurer Daniel Durand, premier adjoint de la commune.

Les enfants, acteurs de leur alimentation

Parmi les autres interrogations soulevées par l’assistance, la crainte que les enfants se lassent des légumes de saison.

On a eu le cas récemment avec une grosse récolte de blettes. Les enfants en ont mangé 2 fois par semaine. Notre solution ? Les envoyer cueillir eux-mêmes les légumes dans notre exploitation pour créer un lien avec le produit. Ils finissent par être fiers de les manger parce qu’ils ont été acteurs dans la transformation de l’aliment du sol à l’assiette. Nos enfants ne mangent pas de tomate en hiver et ils s’en portent très bien, répond Gilles Perole.

Pas de surcoût pour les parents
À La Ferté-sous-Jouarre, il y a près de 1 052 élèves d’école primaire, englobant l’école maternelle avec les enfants âgés de 3 à 6 ans et l’école élémentaire où les enfants ont de 6 à 11 ans. Chaque jour, 800 d’entre eux mangent à la cantine. Cela revient à 115 000 repas servis par an par la municipalité. La Ville l’affirme, le projet d’une cantine 100 % bio n’entraînera pas de surcoût pour les parents. Actuellement, un repas coûte environ 13 € à la commune (en incluant l’eau, l’électricité, le salaire des personnes qui assurent l’intendance) et est facturé aux parents entre 2 et 4 € selon leur quotient familial.

Pour clore cette rencontre entre la délégation de Mouans-Sartoux et La Ferté-sous-Jouarre, une dernière question : combien de temps faudra-t-il pour mettre en place une telle cuisine ?

« Pour le moment, nous sommes dans la phase de diagnostics, c’est très difficile à dire. L’idée serait de faire étape par étape, en commençant peut-être par une école en 100 % bio pour ensuite exporter le modèle sur les autres établissements de la commune. Cela pourrait mettre deux à trois ans. Quoi qu’il en soit, pour la construction d’une cantine il faut compter un an entre l’élaboration des plans et la livraison du chantier », précise Daniel Durand.

Lire aussi : Seine-et-Marne. Un nouveau prestataire de restauration pour les cantines des écoles primaires à La Ferté-sous-Jouarre

En période pré-électorale avec l’échéance des municipales en mars prochain, l’assistance s’est demandé quel avenir le projet pourrait avoir en cas de changement de majorité.

« La nouvelle équipe sera libre de mener l’initiative à son terme ou d’y mettre fin. Mais avec les préoccupations actuelles, cela serait très dommage de tourner le dos au réseau », a conclu le premier adjoint de La Ferté-sous-Jouarre.

Yvelines. Dualo : une nouvelle façon de faire de la musique présentée à Mantes-la-Jolie

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Le Dualo a été présenté lors d'un mini-concert. En médaillon, Bruno Verbrugghe, son concepteur.

Le Dualo a été présenté lors d’un mini-concert. En médaillon, Bruno Verbrugghe, son concepteur. (©Céline Evain)

Oui, inventer un instrument de musique, c’est possible. C’est ce que sont venus démontrer Bruno Verbrugghe et toute son équipe à l’Espace Brassens de Mantes-la-Jolie (Yvelines) samedi dernier.

Dualo, c’est le nom de ce nouvel instrument, est né de l’invention de Julien Hotrique, professeur de mathématiques, qui a eu l’idée de créer un nouveau clavier.

Lorsque vous jouez au piano, vous n’avez pas le choix, vous devez bosser vos gammes. La dissymétrie casse la mathématique de l’harmonie. Pour y accéder plus simplement, Julien Hotrique a créé ce clavier en nid d’abeilles », explique Bruno Verbrugghe.

Démocratiser la pratique de la musique

Sur la scène du café-concert, un artiste a présenté les capacités de ce Dualo. Il crée des sons, rajoute des rythmes, des harmonies… Bref, Dualo, c’est un peu un orchestre à lui tout seul. La vingtaine de personnes – petits et grands – présente est médusée. Après avoir assisté à une sorte de concert, chacun a eu la possibilité d’essayer, par groupe de 5, et de prendre en main cet instrument.

Le Dualo.

Le Dualo. (©Céline Evain)

L’idée du Dualo, c’est d’abord et avant tout de démocratiser la pratique de la musique », poursuit son concepteur.

Située tout de même à mi-chemin entre l’ordinateur et le jeu vidéo, Dualo est aujourd’hui principalement utilisé par des amateurs. « Nous vendons beaucoup aux particuliers. Pour eux, c’est un instrument de détente. Ils peuvent composer leur musique, tranquillement chez eux, dans leur canapé. »

Avec Dualo, pas besoin de convoquer un orchestre. Tous les instruments sont dans le boîtier.

Basée à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), la start-up, qui renaît de ses cendres après avoir connu plusieurs déboires industriels, cherche des prescripteurs. « Nous avons approché plusieurs artistes qui joueront bientôt du Dualo sur scène. » Un bon moyen pour l’entreprise Intuitive Instruments de se faire repérer.

En tout cas, l’expérience Dualo a séduit l’école des 4 z’Arts, gestionnaire de l’Espace Brassens. « Nous allons les revoir très bientôt car nous allons organiser de nouveaux ateliers », explique Annabel Fleuret, adjointe à la direction de l’école. Alors si jouer de la musique vous tente mais que le solfège a eu raison de vous, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Elections municipales : Françoise Duchaussoy mène une liste pour « bien vivre à Eu »

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Françoise Duchaussoy, au centre avec l'écharpe bleue, mène la liste Bien Vivre à Eu, soutenue par le Rassemblement National.

Françoise Duchaussoy, au centre avec l’écharpe bleue, mène la liste Bien Vivre à Eu, soutenue par le Rassemblement National. (©Bien Vivre à Eu)

La liste est déjà déposée en préfecture selon Françoise Duchaussoy.

La candidate aux prochaines élections municipales à Eu, en Seine-Maritime, a présenté sa liste complète. Cette équipe, baptisée Bien Vivre à Eu, est soutenue par le Rassemblement National. Lors de sa deuxième réunion publique, l’équipe a d’ailleurs accueilli le député européen RN, Nicolas Bay.

Conseillère municipale sortante et conseillère régionale de Normandie, Françoise Duchaussoy la décrit comme 

 une liste de droite, sociale, populaire et patriote. La liste est ouverte à toutes les bonnes volontés de la ville.

La moyenne d’âge de l’équipe est de 57 ans. Sept colistiers l’accompagnaient déjà lors de la campagne électorale de 2014.

Lire aussi : Elections municipales 2020 à Eu : Françoise Duchaussoy de nouveau candidate pour le Rassemblement National

Un programme qui se verdit

Françoise Duchaussoy a dévoilé les grandes lignes de son programme… sur les thèmes porteurs de son mouvement. Elle évoque la baisse de l’impôt foncier, le désendettement et la chasse aux gaspillages de l’argent public. Mais aussi le logement, le commerce du centre-ville, la liberté de choix des écoles, les voisins vigilants, le pouvoir d’achat.

 La police municipale « devra faire moins de répression du stationnement et plus de prévention de la délinquance ».

Elle a évoqué d’autres projets comme la création d’une résidence senior dans l’ancien lycée, la création d’un dojo, le retour du festival des Vikings, la rénovation du patrimoine dont l’Hôtel-Dieu.

Françoise Duchaussoy parle également de démocratie participative. « Nous allons mettre en place une commission extra-municipale consultative ».

La candidate a par ailleurs verdi son discours, souhaitant replanter des arbres, faire passer les véhicules de la ville à l’électrique et installer des bornes de recharge dans la ville.

La liste

La liste est menée par Françoise Duchaussoy, 66 ans. Les colistiers sont, dans l’ordre : Daniel Lefevre, 73 ans, retraité. Isabelle Maison, 51 ans, agent immobilier. 4. Joël Duchaussoy, 70 ans, retraité. Mélanie Bibault, 32 ans, salariée peintre automobile. Marc Sere, 69 ans, retraité. Chantal Papin, 60 ans, sans profession. Bernard Simon, 62 ans, salarié en assurance. Yvette Loiseau, 75 ans, retraitée. Didier Schulteiss, 70 ans, gérant de société. Alexie Sere, 35 ans, professeur des écoles. Patrick Dubois, 55 ans, soigneur palefrenier. Sophie Suret, 45 ans, auxiliaire de vie. Franck Lion, 48 ans, mécanicien. Marie-José Breard, 66 ans, retraité. Alain Dubuc, 74 ans, retraité. Elvire Jovelin, 21 ans, sans profession. Guillaume Menival, 40 ans, agent commercial. Valérie Testu, 52 ans, employée de commerce. Marc Wattebled, 69 ans, retraité. Lisiane Lenglet, 60 ans, retraitée. Jean-Philippe Evrard, 57 ans, chaudronnier. Marie-Paule Dron, 67 ans, retraitée. Hervé Duneufgermain, 54 ans, ouvrier d’entretien. Yvette Margolle, 62 ans, retraitée. Jacques Graff, 57 ans, invalidité. Nathalie Prommier, 54 ans, buraliste. Jehan Allard, 55 ans, sans profession. Désiriane Pavot, 67 ans, retraitée.

La prochaine réunion publique aura lieu le 12 mars 2020

Lire aussi : Municipales 2020 : Patrice Martin sera tête de liste du Rassemblement National à Blangy-sur-Bresle

Municipales à Lignol : Carole Le Yaouanq, adjointe au maire, est tête de liste

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Carole Le Yaouanq, au centre, présente sa liste (Bruno Le Puil et Xavier Delcourt sont absents sur la photo).

A Lignol (Morbihan), Carole Le Yaouanq, au centre, présente sa liste (Bruno Le Puil et Xavier Delcourt sont absents sur la photo). (©Ponitvy Journal)

Carole Le Yaouanq se lance dans la course aux élections municipales à Lignol (Morbihan).

André Jaffré, le maire, a annoncé qu’il ne repartait pas. Il a demandé à Carole Le Yaouanq d’accepter d’être tête de liste aux prochaines élections municipales.

Le rôle du père

Âgée de 52 ans, technico-commerciale agricole, Carole Le Yaouanq a été conseillère municipale de 2008 à 2020 et adjointe au cours du dernier mandat.

C’est mon père, Anicet Le Yaouanq, qui m’a donné l’envie de participer à la vie publique locale », déclare Carole La Yaouanq.

La liste qu’elle conduit est composée de huit hommes et sept femmes. Nom de cette liste : L’avenir de Lignol pour tous.

La liste

  • Carole Le Yaouanq, 52 ans, technico commerciale agricole, tête de liste ;
  • André Bouguennec, 64 ans, agriculteur retraité ;
  • Anthony Cornic, 24 ans, conseiller indépendant en immobilier ;
  • Xavier Delcourt, 38 ans, directeur d’entreprise agro alimentaire ;
  • Olivier Edy, 52 ans, agriculteur ;
  • Karine Galliott, 39 ans, mère au foyer ;
  • Martine Le Bartz, 58 ans, salariée agricole ;
  • Bruno Le Puil, 53 ans, réceptionniste ;
  • Alain Loudéac, 60 ans, assistant de vie aux familles ;
  • Laurent Philippe, 55 ans, vendeur ;
  • Josiane Picot, 75 ans, retraitée de l’Éducation nationale ;
  • Brigitte Pierda-Le Houedec, 64 ans, enseignante à la retraite ;
  • Thierry Roperch, 54 ans, agriculteur ;
  • Lucie Royer, 39 ans, conducteur de ligne ;
  • Guillaume Stéphan, 32 ans, agriculteur.

A Aigrefeuille-sur-Maine, un jeune couple construit une micro-crèche pour la rentrée

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Mickaël Chénard, sa femme Jennifer et leur petit garçon devant le bâtiment en construction.
La micro-crèche ouvrira le 17 août prochain.

Mickaël Chénard, sa femme Jennifer et leur petit garçon devant le bâtiment en construction, à Aigrefeuille-sur-Maine.
Leur micro-crèche ouvrira le 17 août prochain. (©L’Hebdo de Sèvre et Maine)

Les jeunes parents ont désormais une nouvelle solution de mode de garde sur la commune d’AIgrefeuille-sur-Maine (au sud de Nantes). Une micro-crèche sort de terre, rue des Meuniers, juste derrière le supermarché. Le chantier est en cours et devrait se terminer au printemps.

Ouverture de la micro-crèche le 17 août prochain

Comme l’indique la banderole accrochée aux grilles de sécurité, la micro-crèche ouvrira en août. Le 17 exactement, précise le couple Mickaël et Jennifer Chénard, les propriétaires et cogérants âgés de 31 ans.

Ce projet « de vie » et « de famille » est né en 2013, année de la fin des études de Mickaël. Ce Maisdonnais d’origine obtient son diplôme d’Etat d’éducateur jeunes enfants et commence à travailler dans les micro-crèches de Sucé-sur-Erdre (3 ans) et de Gorges (2 ans). Au bout de ces cinq années, il est temps de monter sa propre structure.

Depuis 2018, j’ai arrêté de travailler pour me consacrer à ma création d’entreprise. Je veux une micro-crèche où on favorise l’autonomie, en laissant les enfants évoluer à leur rythme au niveau de l’alimentation, du sommeil et des activités. Une micro-crèche avec un personnel étoffé et expériementé. »

Multi-accueil saturé, peu de places chez les nounous…

La sienne ne peut être qu’à Aigrefeuille-sur-Maine, non loin de leur maison construite il y a six ans. « C’est une commune attractive, qui se développe fortement. De plus, il y a un réel besoin en mode de garde. »

La preuve, le multi-accueil vient de refuser 20 familles pour septembre prochain, rapportent Mickaël et Jennifer. Peu de places aussi chez les nounous. « Il y a trois ans, pour notre fils, on avait passé plus de 15 appels chez les assistantes maternelles. Deux pouvaient seulement », se souvient la maman, qui attend son deuxième bébé.

Lire aussi : Saint-Berthevin : le Jardin d’Eden, une nouvelle micro-crèche Montessori

Accueil jusqu’à 10 enfants de 2 mois et demi à 3 ans

Jusqu’à 10 enfants, de 2 mois et demi à 3 ans, pourront être accueillis dans la future structure, qui travaillera en collaboration avec le multi-accueil.

Encadrés par une équipe de quatre professionnels de la petite enfance (dont Mickaël), les chères têtes blondes bénéficieront d’un bâtiment neuf, « adapté à leurs besoins ». Une maison plain pied de 140 m2 dotée de trois chambres avec la salle de change, d’une pièce de vie de 45 m2, d’une salle polyvalente pour des activités de yoga, peinture, motricité… et d’un jardin extérieur de 100 m2. Et tout ça certifié PMR (personnes à mobilité réduite).

On a aussi un local à louer de 20 m2 qui sera partagé par des professionnels de santé », ajoute Mickaël.

Lire aussi : A Aigrefeuille-sur-Maine, bientôt un funérarium rue du Friche-Audoin

Ouverte 47 semaines par an

Sa microcrèche, dont le nom « Laissez moi le temps » est un clin d’œil à son mémoire de fin d’études, sera ouverte 47 semaines par an, du lundi au vendredi de 7 h à 18 h 30. Un gros plus pour les parents, qui devraient apprécier aussi la démarche éco-responsable.

Ici, les couches seront lavables, les déchets réduits et les repas donnés avec des produits variés et de saison, promet Jennifer, infirmière libérale de métier qui viendra en renfort en cas de besoin.

Le budget ? Il a été assez conséquent.

Il a pu voir le jour grâce à l’apport de nos familles, car l’aide à l’installation de la CAF n’existe plus depuis fin 2018. Quand on l’a appris, cela avait été la douche froide. »

En pleine période de pré-inscription

A sept mois de l’ouverture, la période de pré-inscription bat son plein. Le couple Chénard a déjà reçu une quinzaine de familles. Nul doute que là aussi, la structure affichera complet à la rentrée.

Site Internet : laissezmoiletemps.fr. Contact : contact@ laissezmoiletemps.fr ou 06 36 18 63 80.

VIDEO Sarthe : 27 sapeurs-pompiers en intervention sur l'incendie d'un manoir

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Le feu a pris dans la toiture d'un manoir privé à Saint-Georges-de-la-Couée (Sarthe).

Le feu a pris dans la toiture d’un manoir privé à Saint-Georges-de-la-Couée (Sarthe). (©Le Petit Courrier)

27 sapeurs-pompiers sont actuellement engagés sur un incendie au manoir de la Boirie, à Saint-Georges-de-la-Couée, dans le sud-est de la Sarthe.

Lire aussi : Indre-et-Loire : un feu et des explosions détruisent des mobile-homes dans un camping

L’incendie a pris dans la toiture de l’habitation, vers 12h20. C’est une bâtisse du XVIIe d’environ 300 m2, qui a accueilli dans le passé des chambres d’hôtes. Le propriétaire des lieux est sous le choc.

7 centres de secours

27 sapeurs-pompiers sont en intervention sur l'incendie du manoir de la Boirie, à Saint-Georges-de-la-Couée (Sarthe)

27 sapeurs-pompiers sont en intervention sur l’incendie du manoir de la Boirie, à Saint-Georges-de-la-Couée (Sarthe) (©Le Petit Courrier)

Sept centres de secours sont présents sur place : Courdemanche, Le Grand-Lucé, Saint-Calais, Dissay-sous-Courcillon, Tresson, Besse-sur-Braye, ainsi qu’un camion citerne du Mans.

14 véhicules

14 véhicules ont également été mobilisés.

Les dégâts sont très importants.

Les dégâts sont très importants. (©Le Petit Courrier)

Aucune victime

Les sapeurs-pompiers de la Sarthe font savoir qu’aucune victime n’est à déplorer. Ils ont notamment dû utiliser l’eau de la piscine.


Marne. Montmirail possède une des rares glacières existant en France

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La glacière de l'extérieur et la cuve vide profonde de 7 m.

La glacière de l’extérieur et la cuve vide profonde de 7 m. (©LPB)

Nous sommes au XVIe siècle. Catherine de Médicis arrive en France. La femme vient d’Italie, pays chaud où l’on sait se rafraîchir. Arrivent avec celle qui deviendra la reine de France, épouse du roi Henri II, des traditions et coutumes de son Italie. Parmi ces traditions celle des glacières.

La glacière existe bien avant Catherine de Médicis puisque déjà les hommes de l’Antiquité ont cherché des solutions pour se rafraîchir et conserver des aliments. Le célèbre Hippocrate, que l’on connaît grâce à son serment qui le lie à tous les médecins du monde, avait en 400 avant notre ère recommandé l’emploi de la glace.

Bien sûr, on connaissait la glace puisque les longs hivers en fournissaient bien trop. Mais quid de l’été quand le soleil devient chaud et brûlant ? Il a fallu rivaliser d’ingéniosité et trouver des solutions. La glacière va naître.

Vie de Château

On s’en doute, la glacière, chère à fabriquer n’était pas disponible pour la plèbe. Seuls les gens fortunés pouvaient s’en faire une et en profiter pleinement. Ainsi donc, on ne sera pas surpris d’en trouver principalement dans les châteaux. Fontainebleau et Ermonville en ont encore. Versailles en avait plus de 20, mais il n’en subsiste que peu.

Et puis, il y a la glacière de Montmirail. Dans le parc du château de Montmirail, en se promenant, on peut tomber sur un monticule de terre, recouvert d’herbe et de feuilles morts. Une porte maçonnée sur une face faite de pierres laisse deviner la présence d’une construction. Cela pourrait-il être un réduit pour ranger des outils, une ancienne bergerie ? Rien ne prépare à ce que l’on peut découvrir en pénétrant dans la construction.

Un froid de canard

En premier lieu, on ne peut être que surpris par le froid qui règle juste derrière la porte et l’humidité ambiante qui glace les mains. On se trouve dans une glacière. Une petite barrière en métal barre un encadrement fait de pierre et c’est en s’approchant qu’on se rend compte que cette barrière est la bienvenue.

Une cuve de 7 m de profond apparaît et offre au regard une des dernières glacières anciennes de France. Celle de Montmirail daterait du XVIIe siècle alors que la modernité s’installe dans les rangs de la noblesse. On rivalise alors de luxe et de curiosité pour surprendre les autres. Qui ne pourrait alors se vanter d’avoir pu manger des fruits glacés en plein été ou une crème glacée ? Cherchant le rafraîchissement par tous les moyens, les nobles avaient trouvé le remède.

Fonctionnement d’une glacière

La mise en route d’une telle cuve ne pouvait se faire qu’en hiver. Creusée et surmontée d’une coupole, on reprenait les techniques très anciennes avec l’apport de neige en premier lieu. Puis venait la magie de la physique appliquée. Malgré la perte inévitable de froid, on pouvait conserver la glace jusqu’à un an complet.

Conserver le froid et éviter l’eau, voilà les deux préoccupations majeures. La cuve de Montmirail est tapissée de cette bonne pierre du pays qui isole parfaitement et permet une glacière en parfait état de marche. La pierre accumule et stocke le froid qu’elle restitue généreusement.

Le remplissage de la cuve en période de gel en hiver permet un apport de neige formant assez rapidement un élément compact lequel pose sur un fond fait de poutres de bois et de paille pour éviter de toucher le fond de la cuve et permettant une évacuation rapide des eaux de la fonte.

La neige ainsi tassée devient glace grâce au miracle de la nature. Ainsi entretenue, la cuve se remplir de glace et garder un froid permanent conservant parfaitement le froid qui va ensuite permettre un stock de glace pour tout l’été. Au retour du temps de gel la glacière est à nouveau remplie et ce circuit annuel permettait aux occupants du château de profiter de ce luxe qui aujourd’hui est à la portée de chacun.

Une visite au château permet aux curieux d’en apprendre bien plus encore et de recevoir les détails techniques de l’installation.

Alençon. Le PLUI approuvé en conseil communautaire mais un recours en référé a été déposé

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Aline et Cyril Collet espèrent que leur requête aboutira.

Aline et Cyril Collet espèrent que leur requête aboutira. (©DR)

Il a été approuvé (une voix contre, deux abstentions) sans commentaire. Ni discours. Le Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) n’a pas suscité de débat jeudi 13 février 2020 à Alençon (Orne).

Le rôle de ce document est d’établir un projet global d’urbanisation et d’aménagement afin de fixer les règles générales concernant l’utilisation du sol (et a l’ambition de freiner le grignotage des terres agricoles).

Depuis 2013

Prescrit en 2013, soumis à plusieurs délibérations, au cœur du débat sur les orientations du Projet d’Aménagement et de Développement Durables (PADD), le projet de PLUI a été arrêté en juillet 2019. Du 3 juillet au 12 octobre, les communes ont été consultées ainsi que les Personnes Publiques Associées (avec retour des avis). L’enquête publique s’est tenue du 18 octobre au 19 novembre (la commission d’enquête a remis son rapport le 19 décembre).

Sont venus ensuite la conférence des maires, la réunion technique avec les DDT et Chambres d’agriculture, les rencontres individuelles du président de la CUA avec chaque maire, la mise en ligne et transmission aux communes du rapport et des conclusions de la commission d’enquête, une nouvelle conférence des maires en janvier puis le 6 février une réunion avec les Personnes Publiques Associées pour présenter les propositions de réponses aux observations et avis de la commission d’enquête.

Avis favorable

Ahamada Dibo a tenu à rappeler cette chronologie (sept années de travail) avant de passer au vote. Soulignant les 24 permanences des commissaires enquêteurs, les registres tenus dans les communes, le registre dématérialisé et les 153 observations recueillies. « Le rapport et les conclusions de la Commission d’enquête ont émis un avis favorable avec deux recommandations et trois réserves ».

Un couple en désaccord

Le PLUI est donc enfin approuvé. Assis seule au fond de la salle, une habitante d’Arçonnay fait pourtant la grimace. Elle a entendu le maire de sa commune, Denis Launay, prendre la parole pour indiquer qu’un recours a été déposé en référé devant le tribunal administratif par des habitants de sa commune.

Il souhaite poser une seule question : « que se passera-t-il si une suite favorable est donnée à ce recours ? ». Il lui avait, semble-t-il, promis de poser la question durant la séance. Ce fut chose faite mais Ahamada Dibo se montre clair sur le sujet :

 ce ne peut être le propos du débat de ce soir. Un ordre du jour est fixé, il s’agit aujourd’hui de voter une délibération ».

Dans ce PLUI, la parcelle des époux Collet a été classée en zone humide.

Dans ce PLUI, la parcelle des époux Collet a été classée en zone humide. (©DR)

Aline Collet n’assistera pas à la fin de la séance. Et ne cache pas sa déception. Avec son époux Cyril, cette habitante d’Arçonnay a fait l’acquisition d’un corps de ferme en 2017, sur une grande parcelle de 13 000 m2. Une partie (4 500 m2) est constructible. Les époux Collet ont réfléchi à l’avenir du reste de leur parcelle et envisagé l’aménagement d’un lotissement (qui proposerait 11 parcelles) non loin du bourg. Seulement voilà, en juin 2018, ils apprennent que la collectivité envisage de classer les deux-tiers de ce terrain en zone humide.

 Pendant la phase de concertation du PLUI, le public peut s’exprimer mais on estime ne pas avoir été entendu », regrette Aline Collet qui dénonce purement et simplement un manque de démocratie. « Je ne connais pas les éléments qui ont conduit à délimiter cette zone. On ne sait rien de la méthode, du sondage… C’est tout simplement une erreur de diagnostic de leur part, avec des prétextes non argumentés ».

Le couple multiplie les démarches et les courriers. Mais le 20 juin, l’information leur est confirmée par le maire d’Arçonnay. Leurs rêves de lotissement s’éloignent…

 C’est pourtant un projet aux réelles retombées économiques pour la commune et le territoire. On souhaite aussi investir dans de l’hébergement touristique ».

Elle ajoute que les préfectures de l’Orne et de la Sarthe ont demandé que le projet de PLUI soit revu.

 Et aujourd’hui, on vient d’apprendre que c’est désormais l’ensemble de la parcelle qui passe en zone humide. C’est tout simplement une sanction à notre encontre ! »

Elle a donc décidé avec son époux de déposer une requête en référé pour atteinte aux libertés. « Nous voulons faire annuler la délibération prise jeudi soir par le conseil ».

Ne pas aborder un cas particulier en séance

Du côté de la communauté urbaine d’Alençon, on explique qu’il n’était pas possible, pendant la réunion de conseil de revenir sur un dossier personnel d’un habitant. C’est durant l’enquête publique que les pétitionnaires peuvent s’exprimer.Toutes les attentes des Partenaires Publics Associés ont été prises en compte « et il a été tenu compte des conclusions de l’enquête publique ». La procédure a été respectée, « la CUA a agi en toute transparence et a même été au-delà de la réglementation ». De plus, le président de la CUA ne rencontre pas les pétitionnaires mais les maires, afin d’évoquer chaque situation soulevée et ce dossier aurait été évoqué à plusieurs reprises.

Jeudi soir, « c’est une assemblée souveraine qui a délibéré » et « il ne pouvait pas être question d’aborder un cas particulier ». La délibération peut tout à fait être contesté et sera donc étudiée par un juge.

La soirée des « au revoir »…
Cette réunion fut l’occasion de saluer plusieurs maires qui, après les élections du mois de mars, vont quitter leurs fonctions d’élus et ne siègeront donc plus au conseil communautaire.
C’est le cas pour Pascal Devienne, maire de Damigny et 3e vice-président en charge des finances. Mais aussi de Jacques Esnault, conseiller à Condé-sur-Sarthe et 4e vice-président en charge des travaux, François Hanoy (maire de Champfleur et 13e vice-président), Michel Mercier (maire de Saint-Paterne/Le Chevain), Mireille Chevallier (maire d’Hesloup), Michel Julien (maire de Saint-Denis-sur-Sarthon et 15e vice-président) et Philippe Monnier (maire délégué de l’Orée-d’Ecouves). Les applaudissements ont salué chaque nom cité.
« Il s’agit du dernier conseil de cette mandature » tient à souligner Ahamada Dibo. « Je cite ce soir celles et ceux dont je connais les projets, je ne veux pas faire d’erreur… » Il a également salué Christine Roimier pour qui c’était aussi le dernier conseil. « Après trois années de présidence de la CUA, je veux aussi remercier l’ensemble de mon cabinet et son directeur ». « Je m’associe à ces remerciements », ajoute Joaquim Pueyo. « Et je les adresse à Ahamada Dibo, qui m’a remplacé [ndlr : quand Joaquim Pueyo, élu député en 2017, a démissionné de son poste de maire d’Alençon] et a été parfaitement à la hauteur ».

Les autres points à l’ordre du jour

Dialogue social. À la demande des organisations syndicales et à la suite d’une réunion dans le cadre du dialogue social « il a été décidé de lancer un audit organisationnel visant à ajuster au mieux les moyens des services aux objectifs politiques des élus, tout en préservant le bien-être des agents et la qualité du service au public » a indiqué le président de la CUA, Ahamada Dibo en évoquant le lancement de cet audit organisationnel. Cette mission sera confiée à un cabinet d’audit externe. Les éléments suivants seront identifiés : rémunération, activités, organisation, adéquation des moyens et des missions, impacts liés au développement numérique. « Cette analyse devra être menée avant fin novembre 2020 ».

Recrutement. Face à un surcroît d’activité, il est nécessaire de renforcer l’équipe de la section peinture. Il est donc recherché une personne avec un profil de peintre, pour un temps complet sur le grade d’adjoint technique (pour une durée maximum d’un an).

Lubrizol. À la suite de l’accident Lubrizol à Rouen, l’association ATMO Normandie a sollicité auprès de la CUA (collectivité adhérente) une participation financière exceptionnelle compte-tenu d’une hausse de son activité. La part de tissu industriel étant très faible par rapport à d’autres collectivités membres, la CUA a voté une contribution exceptionnelle de 500 €.

Culture. Une convention de partenariat va être signée avec le lycée Mezen dans le cadre d’un projet culturel « Sur la route de la dentelle ». Il consiste en la création d’un musée mobile dédié à la dentelle au Point d’Alençon et à son savoir-faire. Le lycée Mezen est propriétaire d’une semi-remorque transformée en musée mobile. Ce dispositif est porté par les élèves. Le camion se déplace dans les établissements scolaires, les lieux ouverts au public…
Cette opération « hors les murs » a pour objectif d’étendre le rayonnement du musée sur le territoire de la CUA, l’Orne et la Normandie. Ce partenariat devra définir les obligations de chacun dans la conception, la fabrication et l’exploitation du musée mobile de la dentelle.

 

Fontainebleau. L’hippodrome de la Solle veut se diversifier

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25 journées de courses sont programmées en 2020

25 journées de courses sont programmées en 2020 (©La Rep 77)

Un programme riche de courses hippiques mais pas seulement : c’est le pari que fait l’hippodrome de la Solle pour sa saison 2020. Sur les pistes, un programme riche avec une saison qui se déroulera sur 25 journées de courses (13 d’obstacles et 12 de plat). On notera deux journées portes ouvertes, le 18 avril avec de nombreuses animations et notamment la participation des acteurs de la compagnie des Arlequins et le dimanche 20 septembre qui sera le premier dimanche « officiel premium » dans l’histoire de l’hippodrome !

« En dehors des courses, nous proposerons l’hippodrome pour des séminaires d’entreprises de mai à septembre », précise le directeur Frédéric Descamps, qui cherche à diversifier les activités proposées par le site. Les 27 et 28 juin, le Festival Hippopop dédié aux enfants sera de retour pour une troisième édition, et le grand spectacle des ateliers des Arlequins sera joué le vendredi 19 juin.

Clin d’œil à Eugénie

Au rayon des travaux, « nous réaliserons la remise en peinture du pavillon cet été, explique le directeur. Nous célébrerons les 100 ans de la disparition de l’Impératrice Eugénie le 29 mai 2020 ». Un joli clin d’œil puisque c’est justement Eugénie qui a inauguré l’hippodrome avec Napoleon III en 1862 !

Parmi les nouveaux partenariats noués, on peut citer la reconduction des projections de cinéma en plein air début juillet avec l’ONF, ou bien encore le château Rosa Bonheur qui collaborera avec la Solle avec le « Prix Rosa Bonheur » le samedi 11 avril. De quoi entamer une année 2020 au grand galop !
Y.V.

Le calendrier
Mercredi 26 février : obstacles. Jeudi 5 mars : plat. Mardi 10 mars : obstacles. Jeudi 12 mars : plat. Vendredi 20 mars : obstacles. Jeudi 26 mars : plat (Tiercé, Quarté, Quinté +). Mercredi 1er avril : obstacles (Challenge Crystal Cup). Samedi 11 avril : plat. Jeudi 16 avril : obstacles. Samedi 18 avril : plat semi-nocturne (portes ouvertes). Vendredi 29 mai : plat.
Renseignements
Courses à partir de 14 h 30. Entrée : 4,50 €, 3,50 € pour les étudiants, les plus de 60 ans, gratuit jusqu’à 18 ans. Infos sur www.hippodrome-solle.com.

Gers. Contrôlés à plus de 100 km/h en ville, deux jeunes faisaient une course : leurs permis retirés

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Le dispositif s'adresse aux jeunes habitants de Montreuil âgés de 18 à 25 ans et qui possèdent un projet professionnel ou de formation.

Au volant d’une Porsche et d’une Clio, les deux jeunes gersois ont perdu leurs permis après avoir voulu faire la course… (©archives, actu Toulouse)

C’est l’histoire d’une course qui n’aura pas livré son verdict. Lundi 17 février 2020, à Pavie (Gers), deux jeunes de 18 et 21 ans ont voulu faire chauffer la gomme. Mais les gendarmes d’Auch étaient dans les parages.

Permis perdus

La brigade s’était positionnée sur une route communale, où la vitesse est limitée à 50 km/h, pour un contrôle. C’est alors que deux véhicules arrivent à vive allure. Contrôlés à 117 km/h, les deux Gersois sont titulaires d’un permis probatoire. La vitesse retenue sera 105 km/h.

Lire aussi : Occitanie. Les premiers chiffres de la mortalité routière en 2019 ne sont pas rassurants

Ils faisaient une course à bord d’une Porsche Cayenne et d’une Renault Clio. Les deux véhicules seront immobilisés et les permis retirés. Ces infractions arrivent quelques jours seulement après un autre gros excès de vitesse : un motard avait été contrôlé à 209 km/h sur une départementale gersoise.

Un nouveau salon de coiffure biologique et végétal à Bayeux

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Kevin Eugène a ouvert son salon au 1, rue de la Juridiction.

Kevin Eugène a ouvert son salon au 1, rue de la Juridiction. (©La Renaissance Le Bessin)

Avec ses douze ans d’expérience, Kevin Eugène, 30 ans, a décidé de profiter de son expérience pour lancer officiellement, mercredi 5 février 2020, son tout premier salon de coiffure. Désormais, le patron, c’est lui. Et pour réussir son pari, et se démarquer à Bayeux (Calvados) où les salons sont légion, lui a décidé de miser sur une nouveauté écologique. « Toutes les couleurs proposées sont issues de pigments végétaux ou minéraux », assure le nouveau patron. Et ce dernier tient avant tout à rassurer :

Il n’y a pas d’inquiétude à avoir, ces produits sont même bénéfiques pour leur utilisateur. Aucun produit chimique ne vient pénétrer le cuir chevelu !

Betterave, ibiscus, marjolaine ou encore thé vert et argile sont autant de produits naturels au pouvoir colorant et non-polluant tout aussi efficaces que la chimie utilisée ailleurs.

Il faut préserver le client, mais aussi se préserver soi-même. »

On n’ouvre pas un salon de coiffure « biologique » sur un coup de tête. Kevin assure que « c’est une philosophie de vie ». Le coiffeur se souvient d’anciens patrons « qui n’avaient même plus d’empreintes digitales à cause des produits qu’ils utilisaient… » En plus d’un rez-de-chaussée cosy bien pensé, les clients, « lorsque le temps de pause d’une couleur est long », ont l’occasion de se rendre à l’étage, dans un espace un peu plus privé.

Salon de coiffure Kevin Eugène. Situé au 1, rue de la Juridiction à Bayeux. Tél. 06 49 06 26 84. Avec ou sans rendez-vous. Page Facebook : « Salon Kevin Eugene ».

Côtes-d'Armor : sur quelles routes serez-vous contrôlés cette semaine

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En raison du nombre élevé d'accidents sur les routes du département depuis le début de l'année 2020, le préfet des Côtes-d'Armor a décidé de renforcer les contrôles de police et de gendarmerie

En raison du nombre élevé d’accidents sur les routes du département depuis le début de l’année 2020, le préfet des Côtes-d’Armor a décidé de renforcer les contrôles de police et de gendarmerie (©Le Penthièvre)

Afin de renforcer la prévention de l’insécurité routière et de sensibiliser un maximum d’usagers de la route, le préfet des Côtes-d’Armor annonce un certain nombre de contrôles routiers pour les jours à venir.

Lire aussi : Saint-Brieuc : un carambolage entre un poids lourd et cinq voitures fait plusieurs blessés

Des contrôles renforcés

Forces de police et de gendarmerie seront déployées aux jours et lieux suivants :

  • Mardi 18 février 2020 après-midi : Saint-Brieuc, Rrue Chaptal et RD 788 entre Trégastel et Trébeurden
  • Mercredi 19 février 2020 matin : sur la RD 794 entre Plancoët et Dinan
  • Mercredi 19 février 2020 après-midi : centre-ville de Lannion et sur la RD 700 entre Plaintel et L’Hermitage-Lorge
  • Jeudi 20 février 2020 matin : sur la RD 786 entre Tréguier et Lézardrieux
  • Vendredi 21 février 2020 matin : sur la RD 768 entre Plouguenast et La Motte
  • Vendredi 21 février 2020 après-midi : Ploufragan, rue de la Grande Métairie et secteur de Ker Uhel, RD 790 entre Quintin et Corlay, RD 76 entre Collinée et Merdrignac.

Lire aussi : Guingamp : il provoque un accident avec 1,87 gramme d’alcool dans le sang

Neuf tués depuis début janvier

À noter qu’au cours de la semaine passée, les contrôles effectués ont permis de relever les infractions suivantes :  108 excès de vitesses ou vitesses excessives ; 58 faits de conduites sous l’empire d’un état alcoolique ; 2 faits de conduite sous l’emprise d’un état alcoolique et sous l’emprise de stupéfiants ; 24 faits de conduite sous l’emprise de stupéfiants ; 54 faits d’usage du téléphone au volant ; 6 défauts de port de la ceinture de sécurité ou de dispositif de retenue pour enfant ; 11 faits de conduites sans permis de conduire ; 22 refus de priorité ; 3 refus d’obtempérer.

Et, pour rappel, depuis le début de l’année 48 accidents corporels, 62 blessés et 9 tués sont à déplorer sur les routes du département.

Lire aussi : Le jeune homme victime d’un accident cette nuit près de Caulnes est décédé

Griveaux et agression : Piotr Pavlenski risque la détention, Alexandra de Taddeo le contrôle judiciaire

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Piotr Pavlenski lors d’un entretien avec l’AFP le 14 février 2020 à Paris. (©AFP/Archives/Lionel BONAVENTURE)

L’artiste russe Piotr Pavlenski et sa compagne Alexandra de Taddeo, au cœur du scandale des vidéos à caractère sexuel ayant poussé Benjamin Griveaux à renoncer à la mairie de Paris, sont présentés mardi 18 février 2020 à un juge d’instruction en vue de leur éventuelle mise en examen dans ce dossier.

Lire aussi : Affaire Griveaux : l’ex-candidat LREM a déposé plainte, une enquête est ouverte

Piotr Pavlenski est également sous le menace d’une autre mise en examen et d’une incarcération dans une affaire distincte portant sur des violences avec arme commises le 31 décembre.

Deux informations judiciaires contre Pavlenski

Le parquet de Paris a ouvert mardi matin deux informations judiciaires distinctes contre ce réfugié politique arrivé en France en 2017: la première pour des violences commises avec arme le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre dans un appartement parisien et la seconde pour la publication des vidéos de M. Griveaux.

Le placement en détention provisoire de Piotr Pavlenski, 35 ans, a été requis pour les violences. Pour les vidéos, le parquet réclame que le couple soit placé sous contrôle judiciaire.

C’est cette dernière affaire qui a fait revenir l’artiste russe, déjà condamné en 2019 pour avoir incendié en octobre 2017 une succursale de la Banque de France place de la Bastille, à Paris, au cœur de l’actualité.

Des vidéos diffusées contre « l’hypocrisie » de Griveaux

Alors que Benjamin Griveaux, distancé dans les sondages, jetait l’éponge vendredi – pour être finalement remplacé comme tête de liste par l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn -, Piotr Pavlenski affirmait être à l’origine de la diffusion des vidéos sur un site créé ad hoc et depuis devenu inaccessible.

Lire aussi : Municipales 2020 : Agnès Buzyn remplace Benjamin Griveaux comme tête de liste LREM à Paris

Il a justifié son geste en dénonçant l’« hypocrisie » de M. Griveaux car, selon lui, il « a utilisé sa famille en se présentant en icône pour tous les pères et maris de Paris » et « a fait de la propagande des valeurs familiales traditionnelles ». Cette explication a été qualifiée de « grotesque » par Me Richard Malka, l’avocat de l’ancien porte-parole du gouvernement, qui a porté plainte contre X samedi.

Alexandra de Taddeo a reçu plusieurs vidéos

Piotr Pavlenski, 35 ans, a été interpellé et placé en garde à vue samedi après-midi, initialement pour le dossier des violences avant d’être interrogé à partir de dimanche sur ces vidéos de 2018. Alexandra de Taddeo a été placée en garde à vue samedi soir dans l’affaire Griveaux.

Lui, dont l’une des « performances » choc a été de se coudre les lèvres en soutien au groupe contestataire Pussy Riot, est resté silencieux lorsqu’il a été interrogé par les enquêteurs, a rapporté à l’AFP une source proche du dossier. En revanche, sa compagne de 29 ans a expliqué avoir été à l’origine la destinataire des vidéos incriminées mais elle nie toute implication dans leur diffusion.

Elle aurait également en sa possession d’autres vidéos de M. Griveaux, a affirmé une autre source proche du dossier.

Une soirée avec Juan Branco finit en agression

En ce qui concerne le dossier des violences de la Saint-Sylvestre, il aurait pour origine une dispute entre plusieurs personnes et le Russe, qui se serait saisi d’un couteau dans la cuisine, selon le récit à l’AFP d’un participant à la soirée.

Deux des invités ont été blessés avec ce couteau, a rapporté le site d’information Mediapart, qui avait révélé l’existence de cette enquête. L’avocat et essayiste Juan Branco, qui dit avoir « conseillé » M. Pavlenski sur les vidéos à l’origine du retrait de M. Griveaux, était également présent à cette soirée de réveillon.

Lui-même est au cœur d’un imbroglio concernant sa désignation comme avocat du Russe dans cette affaire et le bâtonnier de Paris a diligenté une enquête déontologique avant de trancher s’il peut continuer à assurer la défense de Piotr Pavlenski.

En attendant, deux autres avocats ont été nommés à ses côtés.

Source : © 2020 AFP


[IMAGE INTERACTIVE] La liste « Bignan au cœur de l'engagement ».

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A Bignan Chantal Bihoes, succèdera t-elle à Louis Morio, qui ne se représente pas ?

Absente sur la photo Joséphine Ribault professeur des écoles 26 ans. 

Hérault. Economie : le groupe Bio-Uv affole les compteurs

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Benoit Gillmann, patron et fondateur de Bio-Uv, vise 35 M€ de Ca en 2020

Benoit Gillmann, patron et fondateur de Bio-Uv, vise 35 M€ de Ca en 2020 (©dr)

L’héraultais Bio-Uv, spécialiste mondial des systèmes de traitement et de désinfection de l’eau installé à Lunel (80 salariés) enregistre en 2019 un chiffre d’affaires consolidé de 20 M€, en croissance de +63% par rapport à 2018 : « En 2 ans, Bio-Uv Group affiche ainsi un doublement de son chiffre d’affaires qui passe de 10,2 M€ à 20 M€ » commente Benoît Gillmann, PDG et fondateur du groupe héraultais.

Montée en puissance de Bio-Sea

Celui-ci rappelle les objectifs ambitieux fixés pour 2020 : « Réaliser un chiffre d’affaires supérieur à 35 M€ », confirme le dirigeant : « Le groupe est très confiant dans l’atteinte de ce résultat représentant une croissance d’au moins +75% par rapport à 2019 ».

Dans sa croissance, le spécialiste du traitement de l’eau s’appuie sur la montée en puissance de sa plus récente solution, Bio-Sea, destinée au traitement des eaux de ballast des navires par UV, des yachts de 70 m jusqu’aux porte-containers.

La dynamique va s’accélérer à une cadence élevée, nous conduisant à réaliser des objectifs ambitieux de rentabilité dès cette année

Le groupe héraultais (80 personnes) compte sur la montée en puissance de la solution Bio-Sea pour traiter les eaux de ballast

Le groupe héraultais (80 personnes) compte sur la montée en puissance de la solution Bio-Sea pour traiter les eaux de ballast (©dr)

Benoit Gillmann évoque un carnet de commandes 2020 déjà bien rempli à hauteur de 21,6 M€ « dont 13,3 M€ facturables dès cette année ! Bio-Uv, qui réalisé 70% de son activité à l’export dans plus de 70 pays, va enregistrer une nouvelle accélération de ses activités», précise-t-il : « La dynamique va s’accélérer à une cadence élevée, nous conduisant à réaliser des objectifs ambitieux de rentabilité dès cette année ».

De grands partenariats

Dans le détail, Bio-Uv mise notamment sur trois principaux facteurs d’accélération : les deux grands partenariats signés en 2019 avec Hai Cheung Trading et Suez, l’intégration de la société écossaise Triogen (rachetée en septembre 2019) et, note Benoit Gillmann, « la très forte dynamique sur le marché des eaux de ballast ».

A lire aussi : Bio-UV rachète la société écossaise Triogen

Bio-Uv, une histoire d’eaux
Créée en 2000, Bio-Uv conçoit, fabrique et commercialise des systèmes innovants de désinfection de l’eau par ultraviolets et depuis septembre 2019, Ozone et AOP (pour Advanced Oxidation Process). Les gammes d’équipements développés par le Groupe adresse plusieurs marchés :
-Le marché récréatif : Bio-Uv est n°1 en France et en Europe pour le traitement de l’eau des piscines résidentielles par UV ainsi que sur le marché public et semi-public de la déchloramination en bassins collectifs ;
-Les marchés municipaux et industriels : l’entreprise héraultaise a développé des gammes spécifiques pour des applications telles que la potabilisation, le traitement des effluents, la réutilisation des eaux usées (REUSE), les eaux de process, l’aquaculture, etc ;
-Le marché des eaux de ballast de navires : depuis 2017, de nouvelles réglementations internationales (IMO et USCG) imposent à tous les bateaux de disposer d’un équipement de traitement de leurs eaux de ballast. « Sur la période, BIO-UV Group a signé des commandes avec de nombreux armateurs et chantiers pour l’équipement de navires existants (retrofit) et de nouveaux navires (new build) : CMA-CGM, STX, PIRIOU, Louis Dreyfus Armateurs, Bourbon, Stralhmann », précise Benoît Gillmann.

A Saint-Bômer-les-Forges, les ateliers Nature sont reconduits pour les enfants de 5 à 10 ans

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Les membres du bureau ont présenté les projets 2020.

Les membres du bureau de l’association Chemins de terre de Saint-Bômer-les-Forges (Orne) ont présenté les projets 2020. (©Le Publicateur Libre)

La présidente de l’association Chemins de Terre de Saint-Bômer-les-Forges (Orne), Claudine Belot est revenue sur les activités de l’exercice, notamment les ateliers Nature, visite de la faune et de la flore pour établir un inventaire, la conférence sur Ecopra, système pour économiser le carburant et réduire la pollution… Ensuite, la trésorière, Josiane Lecorps, a présenté le bilan financier qui laisse apparaître une gestion saine.

Lire aussi : A Saint-Bômer-les-Forges, le maire, Marcel Brionne ne se représente pas

Lire aussi : Exposition sur Saint-Bômer-les-Forges, ses maisons, ses habitants et ses métiers

Activités nouvelles

La présidente a évoqué les projets 2020 : une conférence sur Grander (procédé autrichien qui permet de supprimer les bouteilles plastique et boire une eau vivifiée sans résidus chimiques), les ondes scalaires, les abeilles solitaires qui pollinisent 80 % des espèces végétales, le greffage d’un pommier bénédictin sans oublier les ateliers Nature pour les enfants de 5 à 10 ans. De son côté, Anne-Marie Duguet a présenté un projet d’exposition avec le peintre Nicolas Henry et le réseau des médiathèques du Domfrontais. Michel Duguet a informé les membres qu’une fiche descriptive d’une boucle de 20 km autour de Saint-Bômer allait être disponible à l’office de tourisme de Domfront.

Prisés par les jeunes, les ateliers Nature sont reconduits. Les objectifs sont la découverte de la nature et du monde fascinant des insectes et leur intérêt écologique en mettant en avant le respect de l’environnement, la sensibilisation des jeunes à la reconnaissance des plantes et des animaux du jardin, avoir des gestes écocitoyens, et faire du jardin un lieu de rencontre et de partage.

A l’issue de l’assemblée générale, le bureau a été reconduit dans son intégralité : Claudine Belot, présidente ; Josiane Lecorps, trésorière ; Michel Leduc, secrétaire.

Vendée : le Jeu des 1000 euros va enregistrer à Bellevigny

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Le  Jeu des 1000 euros enregistré à Epaignes (Archives)

Le Jeu des 1000 euros enregistré à Epaignes en novembre 2019 (Archives) (©L’Eveil de Pont-Audemer)

La célèbre émission de France Inter  intitulée Le Jeu des 1 000 € sera enregistrée, dans la salle des fêtes de Bellevigny, vendredi 28 février 2020.

Deux enregistrements tout publics et un enregistrement réservé aux jeunes de 12 à 18 ans sont prévus.

C’est une fervente auditrice de cette émission, Liliane Brana, qui a sollicité la municipalité il y a un peu plus de cinq ans, pour que le jeu se déroule à Bellevigny.

J.-Luc Lardière, adjoint culture et communication, et Liliane Brana attendent l'enregistrement.

J.-Luc Lardière, adjoint culture et communication, et Liliane Brana attendent l’enregistrement. (©Le Journal du Pays yonnais)

Nicolas Stoufflet, l’animateur de France Inter, sera donc présent pour les sélections et le jeu.

La sélection des candidats se fera uniquement sur place avant l’enregistrement de l’émission. Il suffira de répondre le plus rapidement aux questions et les candidats qui auront le plus de points seront sélectionnés pour la seconde partie.

Les candidats retenus feront équipe et devront répondre à six questions de difficulté croissante avant de tenter le banco et le super-banco.

Le Jeu des 1 000 €, vendredi 28 février, à 18 h 30. Le passage de ces enregistrements se fera sur les ondes de France Inter les 23, 24 et 25 mars.

Ligne H. Bagage oublié : Le trafic est interrompu entre Paris Nord et Saint-Denis

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Un bagage oublié a contraint la SNCF a interrompre totalement le trafic sur la ligne H du transilien, entre gare du Nord à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis).

Un bagage oublié a contraint la SNCF a interrompre totalement le trafic sur la ligne H du transilien, entre gare du Nord à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). (©Illustration / Creative commons)

Depuis 13h30 ce mardi 18 février 2020, le trafic est totalement interrompu entre la gare du Nord à Paris et Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) sur la ligne H du transilien. En cause : un bagage oublié. L’interruption du trafic est effective dans les deux sens de circulation. 

Selon la SNCF, l’intervention des équipes spécialisé nécessite l’arrêt du trafic pendant au moins une heure. La reprise du trafic est estimée à 14h30. 

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