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Château-Gontier : en situation de handicap, ils sont sur le chemin de l’emploi

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Les candidats étaient reçus pour des entretiens par les représentants des entreprises.

Les candidats étaient reçus pour des entretiens par les représentants des entreprises. (©Haut Anjou)

CV entre les mains, la trentaine de candidats vient avec la même intention : ‘‘se vendre’’ auprès des onze entreprises sud-mayennaises.

Pour cette nouvelle édition d’Handicafé, organisée dans la salle du Cercle de Flore à Château-Gontier (Mayenne) mercredi 20 novembre par Id’ées intérim, on retrouve Maxime.

Lire aussi : Château-Gontier : handicapés, ils recherchent un emploi

Renazéen de 18 ans et CAP en poche, il recherche un « poste dans la logistique après avoir réalisé plusieurs stages ».

Derrière lui, Christophe, 51 ans, est prêt à accepter autant « une période d’immersion, un stage, un CDD voire un CDI », plaisante le Castrogontérien qui compte bien mettre ses compétences en avant auprès de la directrice des ressources humaines de Celia.

Des exemples de réussite

Dans le cadre de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées, Franck Le Boucher a reconduit un rendez-vous qui a déjà montré des résultats positifs.

« Ce job dating est l’occasion de faire rencontrer des demandeurs d’emploi en situation de handicap avec des entreprises qui recrutent et aussi s’entraîner à cet art qu’est l’entretien d’embauche », présente le responsable d’agence d’Id’ées intérim.

Lire aussi : Des offres d’emploi nombreuses dans le sud-Mayenne

En 2018, Nicolas, 50 ans, était reparti avec une mission d’intérim de quatre mois au sein de l’entreprise de charpente, Cruard. « Une bonne expérience », confie l’ancien carreleur qui a répondu de nouveau à l’invitation cette année en jetant son dévolu sur Réauté chocolat, Sodistra et Celia.

Lire aussi : Simplé : Cruard charpente a inauguré son nouveau bâtiment d’ 1,2 million d’euros

De son côté Jean-Philippe, après un passé dans l’industrie, le bâtiment ou encore les espaces verts, est prêt à se former. « Je dois débuter une formation Caces (pour conduire des engins de chantier) dans quelques semaines. J’espère que cela m’ouvrira des portes. Si j’ai 57 ans, je ne les ai pas dans ma tête. Si on m’offre l’opportunité de travailler, j’y fonce », annonce-t-il d’un ton déterminé.

Les onze entreprises sud-mayennaises présentes lors de cette édition d’Handicafé étaient : Mixscience, Réauté chocolat, V and B, Celia Lactalis, Serru, Sodistra, Cruard charpente, Pro à pro, Spid Anjou, Adecco, Crédit agricole.


Deux blessés légers dans une collision entre deux véhicules prés du Neubourg

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Dégâts matériels sur les deux véhicules mais pas de blessés graves.

Dégâts matériels sur les deux véhicules mais pas de blessés graves à déplorer. (©Photo d’illustration/Le Courrier de l’Eure)

Plus de peur que de mal. Mardi 19 novembre 20 h 19, vers 19 h 30 une collision entre deux véhicules a eu lieu sur le CD133, axe Le NeubourgLouviers, au niveau du feu tricolore situé au centre du bourg de Marbeuf.

Pas d’arrêt au feu rouge

Pour une raison, un conducteur conduisant une Audi A6 ne se serait pas arrêté alors que le feu était au rouge. Il s’est engagé sur le CD133 et a percuté une Citroën Picasso circulant sur la départementale en direction du Neubourg.

Les deux occupants de cette voiture ont été légèrement blessés. Les pompiers du Neubourg sont intervenus. Ils ont conduit les deux blessés légers à l’hôpital pour des examens complémentaires.

Lire aussi : Une série d’actes de vandalisme à Beaumont-le-Roger

Oise : grève à l'usine Unilever du Meux ce mercredi

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Bla (©David Bongard)

Ils étaient 70 ce matin, mercredi 20 novembre, devant les grilles de l’usine Unilever du Meux, près de Compiègne (Oise), à refuser de laisser entrer les camions. 

Les salariés de l’entreprise spécialisée dans le conditionnement des dentifrices, shampoings et gels douche, s’opposent au projet de réorganisation des ateliers dentaires et shampoings, puisque ce dernier entraînerait une réduction des effectifs intérimaires.

Le débrayage est prévu toute la journée. Un nouveau vote décidera d’une potentielle reconduction, les jours prochains.  

Bla

Bla (©David Bongard)

« On a qu’une santé »

« Nous sommes 295 en CDI et il y a une centaine d’intérimaires » décrit le délégué syndical CGT, David Bongard. « Selon le projet, un tiers des effectifs intérimaires serait supprimé, soit une trentaine de postes ».

Pour les salariés, le calcul est fait : il y aura moins de postes mais avec la même charge de travail. 

De quoi inquiéter ces derniers, notamment quant à « leur état de santé futur », face à l’augmentation de la masse de travail. 

« Du chantage à l’emploi »

Mais les salariés ont une autre inquiétude. Pour eux, c’est leur propre emploi qui se retrouve en ligne de mire. 

La direction pourrait « financer un futur PSE [plan de sauvegarde de l’emploi, NDLR] par le biais de ce projet-là » imagine David Bongard. À force de réduire les coûts, « ils pourraient fermer l’usine ». 

« C’est du chantage à l’emploi en permanence » déplore le représentant syndical. 

Lannion. Une navette en bus vers Rennes

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Sept personnes ont profité du trajet en bus, ce jeudi.  D'autres devraient les rejoindre dans les semaines à venir.

Sept personnes ont profité du trajet en bus, ce jeudi. D’autres devraient les rejoindre dans les semaines à venir. (©Le Trégor)

Un bus conduit, depuis la semaine dernière, des chercheurs d’Orange Labs de Lannion vers Rennes. Chaque jeudi, ils sont une petite dizaine à prendre la navette à 7 h 30 pour se rendre à des réunions à Rennes. Une initiative menée dans le cadre des activités de recherche sur la mobilité durable.

Covoiturage XXL

Patrick Duclos-Montagne est l’un des chercheurs en charge du projet : 

Le Smartbus est une expérimentation sur six semaines. Il s’agit d’évaluer une formule de transport de bureaux à bureaux, que l’on pourrait qualifier de covoiturage XXL »

Le constat a été fait par des chercheurs lannionnais. Régulièrement, ils retrouvent des équipes du reste de la France dans les laboratoires du groupe Orange à Cesson. Chacun auparavant prenait sa voiture. Les chercheurs précisent : 

C’est une source de fatigue et de risque. Avec de plus en plus d’embouteillages en arrivant à Rennes. Dans le bus, on peut commencer la séance de travail. »

Changer les comportements

Pour Cédric Seureau qui dirige l’équipe projet de cette expérimentation : 

il s’agit d’observer si l’existence d’une telle formule amène à réduire l’utilisation des voitures du pool mais aussi dans quelle mesure les usages se modifient lors d’un tel déplacement ».

L'expérimentation doit durer jusqu'au 19 décembre.

L’expérimentation doit durer jusqu’au 19 décembre. (©Le Trégor)

Un espace high tech

Pour séduire les usagers, il fallait aussi pouvoir proposer un bus high tech. Des espaces de réunions, des tables de travail, un bus équipé wi-fi, un confort maximum des sièges et des prises à chaque fauteuil  et même une machine à café. Le cahier des charges était précis.

L’entreprise Jézéquel de Louargat a répondu à l’expérimentation. 

Elargir aux salariés de la zone de pégase

Pour l’instant seuls les salariés d’Orange peuvent en bénéficier. 

Nous avons discuter un peu avec les services de LTC. Nous ne sommes pas opérateurs mais ensuite eux pourraient prendre le relais pour un bus qui serait à destination de tous les salariés de la zone. »

Le bus part chaque jeudi matin à 7 h 30 de Lannion pour un retour à 19 h 15. L’expérimentation va être menée jusqu’au 19 décembre.

Le conseil régional avait mis en place, l’an dernier, une navette vers Brest qui a dû être arrêtée faute de passagers. 

Lire aussi : Lannion. La fin de la navette vers l’aéroport de Brest

Les chercheurs d’Orange espèrent, eux, pouvoir convaincre élus et passagers . 

Nancy : le dealer tente de vendre de la drogue... à un policier en civil

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24 jeunes de

À Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), un dealer a pris des membres de la BAC pour de potentiels clients… (©Illustration Adobe Stock)

Samedi 16 novembre 2019, des membres de la Brigade anti-criminalité (BAC) qui effectuaient une patrouille à pied, on fait une bien drôle de rencontre

Rue Eugène Pottier à Tomblaine (Meurthe-et-Moselle), ces policiers ont en effet eu affaire à un dealer. Et étant face à des personnes à l’apparence lambda, ce vendeur n’a pas hésité à proposer sa marchandise aux officiers.

Lire aussi : Nancy : il règle ses comptes devant une boîte de nuit… à coups de bouteille de whisky

Mécontent d’être interpellé, il frappe un policier 

Pris sur le fait, les membres de la BAC ont donc procédé à l’interpellation de cet homme en possession de stupéfiants. Une interpellation qui n’a visiblement pas été de son goût, puisque il a porté des coups au visage de l’un des fonctionnaires, rapporte une source policière à Lorraine Actu

L’auteur des faits, âgé de 25 ans, a ensuite été placé en garde à vue pour « trafic de stupéfiants » et « violences à l’encontre d’un agent dépositaire de l’autorité publique ». Il a par la suite écopé d’une comparution immédiate. 

Lire aussi : Nancy : un livreur de pizzas tabassé en pleine rue, quatre hommes interpellés

Coupe des Pays de la Loire et coupe de Vendée : les tirages au sort

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L'Esof La Roche (R1) de Dylan Amokrane recevra Pornic Foot (R2) au 7e tour de la coupe des Pays de la Loire.

L’Esof La Roche (R1) de Dylan Amokrane recevra Pornic Foot (R2) au 7e tour de la coupe des Pays de la Loire. (©Esof La Roche)

Alea jacta est : les équipes du secteur du Journal du Pays Yonnais connaissent leur adversaire au 7e tour de la coupe des Pays de la Loire comme au 8e round de la coupe de Vendée.

Lire aussi : Coupe de football des pays de la Loire : ça passe et ça casse pour les équipes yonnaises

Coupe des Pays de la Loire

La Roche VF (N3) attaquera la rencontre avec un double avantage. Celui de recevoir. Et celui de se voir offrir une formation hiérarchiquement inférieure, le FC Rezé (R1). Le voisin Esof La Roche (R1) jouera aussi à la maison contre plus petit, Pornic Foot (R2).

Sur son pré, l’Entente Sportive Belleville-sur-Vie (D2) devra réaliser une performance majuscule en se frottant au FCOC Les Sables-d’Olonne (R2). Enfin, toujours à domicile, la France d’Aizenay (R2) ira chercher sa qualification face à l’US Loire et Divatte (R3).

Ultime équipe en lice sur la zone du Journal du Pays Yonnais, et pas très vernie au tirage, le FC Généraudière Roche Sud (D2). Les Vert et Jaune se déplaceront dans le Maine et Loire pour se mesurer au FC Val de Moine (D2). Les matches se joueront le week-end des 7 et 8 décembre.

Le tirage intégral.

Coupe de Vendée

Le FC Genétouze (D1) devra se défaire du FC Talmondais (D2). Dans le même temps, Mouilleron Sport Football (R2) se rendra sur la pelouse de l’S Bruffière (D2).

Enfin, l’US Aubigny (R3) évoluera sur le rectangle du FC Bouaine Rocheservière (D2). Rencontres programmées le week-end des 7 et 8 décembre.

Le tirage complet.

Eure. Des offres d'emploi à saisir aux Andelys, Saint-Marcel, Vernon, Gaillon, Tosny, Gasny...

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Parmi nos offres de la semaine un emploi de préparateur en pharmacie, en CDD de six mois, à Gaillon, dans l'Eure.

Parmi nos offres de la semaine un emploi de préparateur en pharmacie, en CDD de six mois, à Gaillon, dans l’Eure. (©Photo d’illustration – Pixabay)

Auxiliaire de vie

Offre 095KLSS : Auxiliaire de vie (H/F). CDI 24h. Première expérience souhaitée. Permis B. Salaire selon profil. Les Andelys.

Éducateur en milieu ouvert

Offre 095CTRD : Éducateur en milieu ouvert (H/F). CDD 3 mois temps plein 35h. Expérience d’un an souhaitée et diplôme dans le domaine social exigé. Salaire selon convention collective. Les Andelys.

Commercial

Offre 094NWCK : Commercial en biens de consommation auprès des entreprises (H/F). CDI temps plein 35h. Débutant accepté. Permis B. Salaire mensuel de 1 521,22 à 4 500 euros. Les Andelys et région Eure.

Agent de préparation

Offre 095XNZT : Agent/Agente de préparation de la production. Expérience de 3 mois. CDD de 1 mois. Secteur Gisors.

Infirmier préleveur

095RWKB : Infirmier/infirmière préleveu. CDI. Ddébutant accepté. Secteur Gisors.

Technicien chiffreur

095FRFV : Technicien/technicienne chiffreur de lancement en production.,CDI de 39 heures. Débutant acceptés. Pont Saint Pierre.

Préparateur en pharmacie

095SJYJ : Préparateur/préparatrice en pharmacie. CDD de 6 mois. Salaire mensuel de 2 000 euros brut. Gisors.

Responsable de salle

Offre 095SSQV : Responsable de salle (H/F). CDI temps plein 39h, horaires en coupure. Expérience 2 ans. Bon niveau d’anglais. Salaire selon profil. Vernon.

Conducteur de ligne de conditionnement

Offre 095TRFR : Conducteur de ligne de conditionnement (H/F). CDI temps plein 37h35,. Expérience 2 ans, CAP ou équivalent. Salaire mensuel de 1 687 à 1 800 euros, primes. Le Val-d’Hazey.

Formateur linguistique

Offre 095TQQT : Formateur linguistique FLE (H/F). CDI temps plein 35h. Débutant accepté avec Master 2 FLE, FLA ou LFS. Permis B. Salaire mensuel 1 936 euros. Vernon.

Formateur en français, mathématiques, numérique

Offre 095TQZN : Formateur en français, mathématiques, numérique (H/F). CDI temps plein 35h. Expérience d’un an en formation d’adultes, Master 1 ou 2. Permis B. Salaire selon convention collective. Gisors ou Charleval.

Menuisier aluminium

Offre 095TZTQ : Menuisier aluminium (H/F). CDI temps plein 35h. Expérience 1 an. Salaire selon expérience. Saint-Marcel.

Maçon

Offre 095WLBG : Maçon (H/F). CDD 6 mois temps plein 35h. Expérience de 2 ans. Salaire selon expérience. Port-Mort.

Formateur technique ATEX

Offre 095WLXD : Formateur technique ATEX (H/F). CDI temps plein 35h. Débutant accepté avec bac à bac + 2 électrotechnique. Salaire annuel : 27 000 à 37 000 euros. Saint-Marcel.

Responsable pôle management incendie

Offre 095WMRS : Responsable pôle management incendie (H/F). CDI temps plein. Diplôme ingénieur ou équivalent en risques industriels. Salaire annuel : 45 000 à 55 000 euros. Vernon.

Pour candidater vous pouvez vous adresser aux agences Pôle Emploi de Vernon (3 rue Hannah Arendt, Quartier Fieschi) et de Gisors (30 rue Riegelsberg).  Toutes ces offres sont également disponibles sur pole-emploi.fr.

Boxe. Vire Normandie reçoit les demi-finales des championnats de Normandie

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Les boxeurs de Vire Normandie sont sur le pont pour préparer au mieux le gala de boxe du l'USM Vire.

Les boxeurs de Vire Normandie sont sur le pont pour préparer au mieux le gala de boxe du l’USM Vire. (©La Voix Le Bocage)

L’USM Vire boxe prépare son gala de boxe anglaise avec Joël Danjou, l’entraîneur, toujours aussi investi dans sa mission. Ce rendez-vous annuel a lieu samedi 23 novembre 2019, à Vire Normandie. De beaux combats en perspective avec les demi-finales des championnats de Normandie cadets, juniors, seniors et élites.

Lire aussi : Boxe. A Vire Normandie : Jordan Dzaba, le « roi de l’esquive »

12 combats

Douze combats amateurs sont ainsi programmés avec la participation de trois boxeurs virois : Matthys Lelevé, Govani Malle et, en tête d’affiche viroise, Jordan Dzaba.

Lire aussi : VIDEO. Boxe à Paris, Toutin, Goulamirian et Soro, trois français champions du monde à Bercy

Les clubs de Rouen, Condé-sur-Noireau, Villedieu-les-Poêles, Dieppe, Evreux et Bayeux sont de la partie.

Prix des places : 10 €. Gratuit jusqu’à 12 ans et demi-tarif sur présentation de la carte étudiante. Buvette et sandwiches sur place. Rendez-vous à la MJC de Vire, 1, rue des Halles, à 19 h 30.


"Terre de Jeux 2024" : l'Oise premier département avec 31 communes labellisées

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21 communes de l'Oise, département sportif, viennent d'être labellisées "Terre de Jeux 2024".

Photo d’illustration. 21 communes de l’Oise, département sportif, viennent d’être labellisées « Terre de Jeux 2024 ». (©Christophe Barette/Publihebdos)

Une première étape vers l’apparition de multiples Centres de Préparation aux Jeux de Paris 2024 dans le département de l’Oise

Lire aussi : JO-2024 : de Total à AirBnb, le choix des sponsors agite la campagne des municipales à Paris

31 communes de l’Oise ont été labellisées « Terre de Jeux 2024« . 

Ce qui fait du département le « territoire le mieux représenté de France ». 

Une première étape

C’est donc aussi dans le département que l’on trouvera le plus de manifestations autour des JO 2024 puisque :

Les collectivités labellisées s’engagent également à développer des actions pour promouvoir le sport et les Jeux auprès de leurs habitants, dans le respect de la Charte Olympique et de la charte éthique de Paris 2024.

Lire aussi : JO 2024 : la Région Hauts-de-France propose six lieux préparation, découvrez les !

Pour intégrer la liste officielle des Centres de Préparation aux Jeux, l’obtention du label « Terre de Jeux 2024 » est nécessaire.

Une première étape, donc, pour les communes de l’Oise. 

L'UGC Créteil voit grand avec 6 nouvelles salles pour compléter son offre

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L'UGC Ciné Cité Créteil dispose désormais de 18 salles

L’UGC Ciné Cité Créteil dispose désormais de 18 salles (©UGC)

UGC voit grand pour son multiplexe situé à Créteil (Val-de-Marne). Le cinéma, après plusieurs mois de travaux, a été entièrement repensé et vient de se doter de six salles supplémentaires. Elles se greffent aux 12 salles qui étaient déjà dans le multiplexe situé au centre commercial Créteil Soleil (lui-même est aussi en pleine réfection). 

Lire aussi : Val-de-Marne. L’extension du centre commercial Créteil Soleil se termine fin novembre 2019

Fatima Freitas, la directrice de l’UGC Ciné Cité Créteil, déclarait à Actu Val-de-Marne à quelques jours de la fin des travaux : 

« L’agrandissement va nous permettre d’avoir une communication directe avec le centre commercial. Nous allons être intégrés aux magasins avec trois passerelles. Nous ferons partie intégrante de Créteil Soleil ». 

L’objectif d’UGC avec l’agrandissement de son cinéma à Créteil et de compléter son offre et attirer de nouveaux publics dans ses salles obscures. Pour Fatima Freitas, il y a un potentiel. Elle explique ainsi : « Nous espérons bien avoir des retours positifs, des nouveaux clients et spectateurs des films que nous allons proposer. L’idée avec 18 salles désormais est de pouvoir offrir au public davantage de films, mais aussi des nouvelles versions. Pour la première fois, nous pourrons proposer de la VO. Nous aurons une plus grande diversité de films, et nous pourrons laisser s’installer certains films qui resteront plus longtemps à l’affiche ». 

3700 fauteuils

Le projet d’agrandissement de l’UGC Ciné Cité Créteil date de deux ans. Outre l’arrivée de ces six nouvelles salles, c’est l’ensemble du cinéma qui a été repensé : 

« Nous avons rénové totalement le hall, qui est désormais conçu pour la détente. Nous y avons mis aussi de nouveaux points de vente. Nous voulions que ce cinéma soit un lieu convivial et chaleureux, et favoriser le spectateur ». 

Cela passe aussi par les nombreuses animations qui seront mises en place dans les semaines à venir au cinéma : atelier créatif dans le cadre de la sortie de la Reine des Neiges 2 (le 23 novembre), avants-premières (voir encadré), animations dans le cadre de la sortie du prochain Star Wars, partenariat avec le conservatoire de Créteil… Ça bouge, en somme ! 

Fatima Freitas de conclure : « Derrière notre vaisseau amiral, l’UGC Ciné Cité Les Halles, le premier cinéma au niveau mondial, nous rejoignons les UGC Bercy et le nouvel UGC Vélizy, qui ont tous les deux 18 salles. Nous sommes une nouvelle vitrine pour l’entreprise ». L’UGC Ciné Cité Créteil compte désormais 3700 fauteuils. 

 

Les prochaines avant-premières à l’UGC Ciné Cité Créteil
Ce dimanche 24 novembre, à 14 h 30, aura lieu l’avant-première du film animé Le Cristal Magique. Des animations pour les enfants seront mises en place dans ce cadre. 
Le mardi 26 novembre à 20 heures aura lieu l’avant-première du film Toute Ressemblance, de Michel Denisot, avec Franck Dubosc

Ex-séminariste à Lyon, Benoît Quettier accuse le cardinal Barbarin de harcèlement moral et sexuel

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Âgé de 44 ans, Benoit Quettier habite toujours à Lyon où il a monté son entreprise de plomberie.

Âgé de 44 ans, Benoît Quettier habite toujours à Lyon (Rhône) où il a monté son entreprise de plomberie. (©Lara Balais)

Benoît Quettier est un entrepreneur et ancien séminariste de Lyon (Rhône). Dans une enquête révélée par L’Obs, mercredi 20 novembre 2019, il accuse le cardinal Philippe Barbarin d’harcèlement moral et sexuel

En mars 2019, l’homme d’église a été condamné à six mois de prison avec sursis pour « non-dénonciation d’abus sexuels ». Le témoignage de Benoît Quettier arrive une semaine avant la tenue du procès de Barbarin en appel, programmé le 28 novembre 2019.

Lire aussi : Condamné à six mois de prison avec sursis, le cardinal Barbarin va remettre sa démission au pape

Une coïncidence pour l’ancien membre de l’Église qui assure :  

Je ne pars pas en croisade contre le cardinal Barbarin. 

Des questions intrusives d’ordre sexuel

Dans un mémoire rédigé par son avocat et transmis à la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (Ciase), Benoît Quettier raconte avoir été harcelé par le Primat des Gaules, entre 2007 et 2012. 

Rentré au séminaire de Saint-Irénée de Lyon avec son frère Romain, Benoît Quettier explique avoir été repéré par le cardinal, qui l’a ensuite pris sous son aile. À plusieurs reprises, Mgr Barbarin l’aurait convoqué le soir, chez lui pour évoquer des « détails ». 

Je parle de harcèlement moral et surtout sexuel parce qu’il ma posé des questions intrusives sur ce sujet et notamment l’homosexualité.

Le Lyonnais précise tout de même : « il n’y a pas eu de gestes déplacés ou d’agressions » avant de marteler au journaliste de L’Obs : « Mais j’étais hétéro, c’était bien ça le problème. Et c’est pour ça que j’ai été viré ». 

À côté de ça, le cardinal aurait fait courir des rumeurs pour atteindre Benoît Quettier et le pousser à quitter l’église. 

« Je pense qu’il m’a pris pour cible parce que je n’avais pas le profil qui correspondait au poste, j’étais plus turbulent que mon frère.

Il voulait que je parte de moi-même mais ça n’a pas marché donc, il a trouvé une excuse pour me renvoyer. 

Lire aussi : Pédophilie : l’Eglise réduit le père Preynat à l’état laïc, au cœur de l’affaire Barbarin

« Si j’avais raconté ça, on m’aurait ri a nez » 

Toujours dans l’enquête de L’Obs, Romain Quettier, son frère qui a quitté l’Église quelques mois plus tard, corrobore son témoignage. « Le cardinal et ses proches ont organisé un harcèlement constant contre Benoît, on l’a humilié et sanctionné minutieusement. »

Pour autant, après cette expérience qui l’a mené à la dépression, l’homme de 44 ans a voulu tourner la page. « Si j’avais été raconter ça après mon renvoi de l’Église, on m’aurait ri au nez. » 

Après avoir rencontré Frédéric Martel, j’ai pensé que c’était l’opportunité d’avoir une tribune pour dénoncer ce qu’il m’a fait. 

Et pourtant, l’ex-séminariste n’attend rien de ces accusations, les faits étant prescrits. « Maintenant, je suis marié, j’ai des enfants, je ne veux rien de lui. » 

Je veux juste qu’il quitte l’Église parce qu’on en peut plus de ce monsieur. Il est tant que cela évolue dans le bon sens. 

Lire aussi : Le diocèse de Lyon lance un site internet pour prévenir les actes de pédophilie dans l’Église

Une enquête « abracadabrantesque » ? 

Dans un communiqué envoyé à l’AFP, les avocats de Philippe Barbarin, ont dénoncé la publication de cette enquête qu’ils jugent « abracadabrantesque ». Les maîtres Soulier et Luciani auraient « proposé à l’auteur de cette « enquête », qui souhaitait un rendez-vous, une rencontre au mois d’avril 2020, c’est-à-dire une fois les échéances judiciaires passées ». 

En effet, la décision sur le procès du Primat des Gaules devrait arriver début 2020 tandis que le cas du père Preynat sera jugé du 13 au 17 janvier 2020.

Les avocats annoncent attendre l’audience de la semaine prochaine pour s’expliquer devant les juges de la cour d’appel de Lyon. 

Lire aussi : Pédophilie dans l’Église : les évêques veulent indemniser les victimes

Justice. Ils avaient volé des armes de guerre au haras d’Aunou-le-Faucon : trois jeunes condamnés

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Une des mitrailleuses lourdes qui avait été volée au haras d'Aunou-le-Faucon. (©Gendarmerie de l'Orne)

Une mitrailleuse lourde qui avait été volée au haras d’Aunou-le-Faucon. (©Gendarmerie de l’Orne)

Trois jeunes hommes ont été condamnés le jeudi 21 novembre 2019 par le tribunal d’Argentan (Orne) pour avoir dérobé au haras d’Aunou-le-Faucon (Orne) trois armes de guerre qu’ils comptaient revendre sur le net.

Les 16 et 23 juin 2019, le haras d’Aunou-le-Faucon était victime de cambriolages bien ciblés. En effet, le butin convoité portait sur des armes de guerre et une mitrailleuse d’environ 60 kg.

Une enquête minutieuse menée par la gendarmerie d’Argentan permettait l’interpellation d’un premier individu confondu par une trace de sang prélevée sur les lieux du méfait.

Lire aussi : Volées au haras d’Aunou-le-Faucon, les mitrailleuses retrouvées

La totalité du butin retrouvée

La perquisition effectuée à son domicile permettait de découvrir la majeure partie de ces armes de guerre. Il donnera très facilement le nom de ses deux complices et la totalité du butin sera ainsi découverte.

Ces trois jeunes âgés de 18, 20 et 23 ans, originaires de Mortrée et de Boischampré, espéraient que les enquêteurs ne portent que peu d’intérêt pour cette affaire et comptaient revendre ces armes sur internet. Un plan bien monté mais c’était bien mal connaître la gendarmerie.

4 à 5 mois de prison avec sursis et 700 € d’amende chacun

Ce jeudi 21, ils comparaissaient tous trois devant le tribunal d’Argentan sous la forme de la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).

Ils ont été condamnés pour le plus jeune et l’aîné à une peine de quatre mois de prison avec sursis.

Celui de 20 ans étant en état de récidive, sa peine de prison avec sursis est portée à cinq mois.

Ils devront également s’acquitter, chacun, d’une amende de 700 €.

Lire aussi : Justice. Ils mettent en vente sur Le Bon Coin une voiture volée

Yvelines. A l'hôpital Mignot, les manipulatrices en radiologie n'en peuvent plus et font grève

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Les manipulatrices en radiologie sont en grève, jeudi 21 novembre, à l'hôpital Mignot au Chesnay-Rocequencourt (Yvelines).

Les manipulatrices en radiologie sont en grève, jeudi 21 novembre, à l’hôpital Mignot au Chesnay-Rocequencourt (Yvelines). (©Michel Seimando 78actu)

Les manipulateurs en radiologie de l’hôpital Mignot au Chesnay-Rocquencourt (Yvelines) sont au bord de la crise de nerf ! Les manip’ radio, comme on les appelle, sont en grève pour dénoncer un métier en train de mourir.

Depuis trois, quatre ans, nous constatons des conditions de travail de plus en plus difficiles qui sont créées par un sous-effectif chronique, estime Lauriane Parisot, qui fait partie du groupe. On nous demande de fournir toujours plus mans sans moyens humains supplémentaires. »

Lire aussi : Yvelines. Hôpital de Poissy – Saint-Germain-en-Laye : Colère des manipulateurs en radiologie

Selon Claire Zimmermann, une autre manipulatrice radio : « 30 % des effectifs manquent au sein du service. L’activité des Urgences correspond à 50 % de l’activité du service sur 24 heures, c’est important. »

Ce sous-effectif chronique, il manquerait une quinzaine de personnes sur les effectifs théoriques, s’explique par des faibles montants de rémunérations.

Quand elle débute, la manipulatrice en radiologie avec son Bac + 3 est payée 1 345 € mensuels. Vous vous rendez compte le niveau du salaire de surcroît en région parisienne ? ! »

Après les salaires n’évoluent pas très vite : 1 700 € après 8 ans de service et 2 000 € après 19 ans.

Sur un tract distribué aux patients de l’hôpital, les manipulatrices en radiologie veulent exister et le disent :

« Nous réalisons divers examens : radios, scanner, IRM, mammographie, imagerie au bloc opératoire, scintigraphie ou encore radiothérapie. Ce sont des machines complexes qui nécessitent de l’adaptabilité ainsi qu’une maîtrise technique et une expertise de plus en plus pointues. »

Dans l’ombre des infirmières et des aide-soignantes

Les manip’ radio se sentent invisibles au sein de l’hôpital : les patients pensent avoir à faire à des médecins, à des aide-soignantes ou à des infirmières. Pourtant chaque jour à Mignot c’est plus de 200 radios, scanners et autre IRM qui sont réalisés de manières globale dans des situations pas toujours simples.

Les manip’ radio observent encore un métier qui évolue vers le diagnostic quand il n’était que technicien radio, il y a encore 20 ans.

Pour sortir de l’impasse, elles veulent de la dignité avec des rémunérations à la hauteur de leurs compétences élargies.

Nous réclamons plus d’effectifs et que nous soyons largement mieux payées. Nous revendiquons la reconnaissance de la pénibilité et l’exposition aux risques liés à notre profession. Nous voulons avoir accès aux primes. Nous rappelons que le manipulateur est indispensable dans le parcours de soins des patients et les médecins ont besoin d’imagerie pour faire des diagnostics… »

Jeudi, les manip’radio qui avaient été réquisitionnées pour travailler malgré le mouvement de grève – continuité du service public de santé oblige – dénonçaient un plan d’urgence hôpital rendu public le mercredi 20 novembre par le Premier ministre, Edouard Philippe et la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.

Ce plan qui prévoit une hausse des dépenses pour l’hôpital public, des primes et une reprise partielle de la dette mais refuse l’augmentation des salaires dans l’hôpital public. Des annonces avec entre autres, une prime annuelle de 800 €, qui ne satisfont personne.

Après un test réussi à Toulouse, cette association veut démocratiser la consigne en Occitanie

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Une association de Toulouse veut relancer la consigne de bouteilles en verre sur tout le territoire de l'Occitanie.

Une association de Toulouse veut relancer la consigne de bouteilles en verre sur tout le territoire de l’Occitanie. (©Adobe stock)

Entre mai et juillet 2019, plusieurs magasins de Toulouse et de l’agglomération ont proposé à leurs clients de rapporter leurs bouteilles en verre vide. Une expérimentation par Consign up, une association de la ville rose qui prône le réemploi et la revente des bouteilles en verre.

Lire aussi : Toulouse : une expérimentation sur la consigne des bouteilles en verre débute lundi

6 000 bouteilles retournées

Caroline Pillore est l’une des bénévoles de Consign’ up :

On a vraiment eu des retours positifs de ce test de la consigne : autant de la part des clients, que des magasins ou des producteurs partenaires. Tous étaient satisfaits de faire quelque chose pour l’environnement.

18 producteurs de bières, vins et bières et 20 magasins ont participé à l’opération. En tout 23 700 bouteilles estampillées Consign’up ont été achetées par les consommateurs et (seulement) 6 000 retournées. Un chiffre qui peut s’expliquer par la forte inertie au démarrage de l’expérimentation. 

Lire aussi : Toulouse. Nos suggestions de gestes à adopter pour réduire ses déchets

Relancer la consigne sur un territoire plus large

Pour autant, l’association tire un bilan satisfaisant du test, d’autant plus que selon leur analyse, la consigne a favorisé l’achat pour 87% des usagers. En clair, le fait que les bouteilles soient consignées a incité les clients à les acheter. Consign’up veut donc désormais relancer l’expérience :

On travaille pour revenir le plus vite possible. On vient de lancer une campagne de financement participatif  pour tester le dispositif sur toute l’Occitanie. On veut désormais proposer un service de collecte et lavage de bouteilles aux producteurs de bières, vins et jus de fruit de toute la région.

Lire aussi : Adopter des gestes écolo au quotidien

Des bouteilles identiques pour réduire les coûts

D’Albi à Foix et d’Auch à Carcassone, Consign’up veut donc démocratiser le réemploi de bouteilles en verre. L’argent récolté avec la campagne de financement participatif doit permettre, entre autres, de mettre en place un système d’identification des bouteilles. « Lors du test à Toulouse, on avait utilisé des stickers, mais c’était long et fastidieux à mettre en place, explique Caroline Pillore. On veut désormais quelque chose qui soit intégré aux bouteilles. À terme, on souhaite aussi réduire le nombre de modèles de bouteilles : c’est plus facile et moins cher pour la consigne. »

Installation d’une station de lavage à Toulouse en 2020 ?

Pour l’instant, l’ensemble de l’opération est pilotée par des bénévoles. Mais Consign’ up compte se professionnaliser et embaucher dès 2020. Selon ses prospectives, l’association veut aussi installer une station de lavage mutualisée sur le territoire l’année prochaine, alors que jusqu’ici les bouteilles sont envoyées à Bordeaux pour être lavées. 

Caroline Pillore détaille :

En ce moment on est en train de convaincre les producteurs du territoire de participer : dans ce projet l’enjeu de volume est très fort ! Mais le fait que l’expérimentation ait fonctionné à Toulouse nous aide à les convertir. 

Selon les estimations de Consign’up, 10 millions de bouteilles de vins sont produites et consommées en Occitanie chaque année, et les brasseurs artisanaux du territoire utilisent à eux seuls 800 000 bouteilles par an. Un gisement gigantesque sur lequel Consign’up compte bien s’appuyer pour développer son activité.

Municipales 2020. Roëzé-sur-Sarthe : Catherine Taureau brigue un second mandat

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Catherine Taureau se représente aux élections municipales.

Catherine Taureau, maire de Roezé-sur-Sarthe (Sarthe), se représente aux élections municipales.

Catherine Taureau, maire de Roëzé-sur-Sarthe (Sarthe), se porte candidate aux élections municipales 2020 et brigue un second mandat.

« Avec l’équipe actuelle, nous avons pu réaliser beaucoup de projets sur ces six dernières années. Ces expériences ont été très enrichissantes pour moi et c’est ce qui me donne l’envie de continuer. Finalement, cette mandature est passée assez vite alors que nos projets n’ont pas tous abouti », détaille-t-elle.

Lire aussi : VIDEO. Municipales 2020 : Dominique Dhumeaux, maire de Fercé-sur-Sarthe, brigue un 3e mandat

Le centre-ville réhabilité

Son mandat a été marqué par le lourd projet de réhabilitation du centre-ville.

« Il nous reste encore des détails à régler comme la signalétique et les plantations mais globalement, le projet est terminé. Il faut maintenant poursuivre nos efforts pour dynamiser son environnement social et commercial. Les élus de demain doivent favoriser les liens avec les différentes associations roëzeennes, travailler sur une dynamique commerciale de proximité, de partage d’expériences et de connaissances entre générations, de respect… »

Son programme, qui n’est pas encore défini, s’attachera au bien vivre ensemble et au développement de Roëzé.

« Il faut intéresser les habitants à leur environnement proche. Nous devons donner des opportunités aux Roëzéens de sortir de chez eux et de développer des relations humaines, pour lutter contre l’isolement et le repli sur soi. Nous sommes ancrés dans un territoire rural et vivant, qu’il nous faut aussi respecter et entretenir. »

Maintenir le dialogue aux Chêneaux

Le maire est revenu sur l’épineux dossier de la maison d’accueil d’urgence située dans le hameau des Chêneaux.

« Nous regrettons un manque de communication. Nous n’avions pas été prévenus de son installation et nous n’avions pas pu informer les habitants », rappelle-t-elle.

Installée en mai 2019, elle accueille des adolescents en difficulté. En septembre, des riverains, agacés par les nuisances provoquées, avaient organisé une manifestation pour faire entendre leurs revendications.

« Nous avons provoqué des réunions avec l’association Inalta qui gère cette maison, la préfecture et le Département. Sur ce dossier, la mairie ne peut servir que de relais. Seule la préfecture peut décider d’une fermeture. Les riverains, comme les jeunes, sont en souffrance. »

Catherine Taureau souhaite maintenir le dialogue entre les parties et estime qu’il appartient aux éducateurs « de mettre en place un encadrement des jeunes. Il faut leur proposer des activités pour les occuper. Ils ont été habitués aux grandes villes comme Le Mans et se retrouvent dans un quartier calme en campagne. C’est aussi compliqué pour eux. »

Liste bouclée

Un quart de son équipe municipale souhaite repartir. La liste de Catherine Taureau, sans étiquette, est complète.

« Les 22 noms seront dévoilés en janvier 2020, après les vœux. Elle tend à refléter la diversité de la population de Roëzé mais aussi ses différents quartiers », termine-t-elle.


Football - SM Caen. Benjamin Jeannot de retour contre Le Mans, un changement de système envisagé

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Benjamin Jeannot est enfin prêt à rejouer.

Benjamin Jeannot est enfin prêt à rejouer. (©Aline Chatel / Sport à Cae)

Sorti à la mi-temps du match contre Valenciennes le 18 octobre 2019, Benjamin Jeannot est enfin apte à reprendre la compétition. La contracture dont il a longuement souffert est résorbée. L’ancien joueur de Dijon sera a priori dans le groupe du SM Caen, vendredi 22 novembre 2019 contre Le Mans (20h00). « Il manquera forcément un peu de rythme parce que rien ne remplace la compétition, commente Pascal Dupraz. Mais c’est important qu’il revienne. »

Herman Moussaki est lui aussi de retour après avoir manqué le déplacement en Coupe de France suite à une gastro. Il faudra encore patienter pour revoir Malik Tchokounté, Santy Ngom et Jordan Tell… Par ailleurs, Timo Stavitski a repris les entraînements collectifs après son opération consécutive à une pubalgie. 

Pascal Dupraz en pince pour le 4-4-2

Le retour de Benjamin Jeannot au sein de l’attaque caennaise pourrait avoir des conséquences sur le système de jeu caennais, au moins à terme. Si Pascal Dupraz n’envisage pas d’aligner l’attaquant dans un couloir, « parce que je ne pense pas qu’il soit capable de répéter les efforts spécifiques à ce poste », il aimerait le voir associé à un autre joueur aux avant-postes. 

Je le vois plus jouer à deux devant que seul en pointe. C’est pour cela que je m’interroge sur un changement de système à 4-4-2, soit à plat, soit en losange. Surtout à domicile. Avec la confiance, ce sera peut-être judicieux de jouer à deux.

Reste à savoir si Benjamin Jeannot débutera contre Le Mans après plus d’un mois sans jouer…

Seine-et-Marne. Taxe d'habitation en baisse dans l'ancien canton de Rebais : combien d'euros avez-vous économisés ?

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©Pixabay

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En 2019, la réduction de la taxe d’habitation représente un gain moyen de 378 € pour les 341 408 foyers seine-et-marnais. Qu’en est-il dans 16 communes de l’ancien canton de Rebais ? Réponse ci-dessous.

Rebais

925 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Rebais. En 2019, 679 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 264 €.

Bellot

308 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Bellot. En 2019, 214 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 252 €.

Boitron

141 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Boitron. En 2019, 86 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 241 €.

Chauffry

393 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Chauffry. En 2019, 275 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 308 €.

Doue

425 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Doue. En 2019, 287 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 282 €.

Hondevilliers

106 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Hondevilliers. En 2019, 69 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 245 €.

Montdauphin

96 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Montdauphin. En 2019, 66 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 210 €.

Montenils

14 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Montenils. En 2019, on ignore combien sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et combien ils auront économisé chacun en moyenne.

Orly-sur-Morin

269 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Orly-sur-Morin. En 2019, 189 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 352 €.

Sablonnières

296 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Sablonnières. En 2019, 205 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 317 €.

Saint-Cyr-sur-Morin

773 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Saint-Cyr-sur-Morin. En 2019, 518 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 338 €.

Saint-Denis-lès-Rebais

369 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Saint-Denis-lès-Rebais. En 2019, 247 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 248 €.

Saint-Germain-sous-Doue

190 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Saint-Germain-sous-Doue. En 2019, 126 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 246 €.

Saint-Léger

98 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Saint-Léger. En 2019, on ne sait pas combien sont concernés par la suppression de 65 % de la TH ni combien ils auront économisé chacun en moyenne.

Saint-Ouen-sur-Morin

198 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à Saint-Ouen-sur-Morin. En 2019, 130 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 252 €.

La Trétoire

176 foyers fiscaux sont soumis à la taxe d’habitation à La Trétoire. En 2019, 122 sont concernés par la suppression de 65 % de la TH et ils auront économisé chacun en moyenne 232 €.

Une soirée 100 % basket US avec un match de NBA diffusé à la Boulangerie Bar à Lille

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Une soirée 100% basket est organisée dimanche 24 novembre 2019 à Lille.

Une soirée 100% basket est organisée dimanche 24 novembre 2019 à Lille. (©Pixabay / Illustration)

Un événement qui devrait rassembler les fans de basket US. Dimanche 24 novembre 2019, une soirée 100 % NBA est organisée à Lille (Nord) à l’occasion de l’affiche Dallas Mavericks – Houston Rockets.

Direction La Boulangerie Bar pour profiter du match sur grand écran et de nombreuses animations. On S’Dit Quoi, qui organise tout au long de l’année des événements pour rapprocher les Lillois, a prévu un beau programme.

Lire aussi : Beaujolais nouveau 2019 : notre sélection d’adresses pour le fêter à Lille

Des cadeaux à gagner

Les plus férus de basket pourront tester leurs connaissances avec le jeu TrashTalk. Vous pourrez aussi défier les autres participants lors d’une partie de NBA Jam. Ou encore admirer une petite expo 100% basket. Des lots Hoops Factory (le centre de basket indoor situé à Mons-en-Baroeul) seront à gagner (casquette, sessions de basket, bons de réduction,…) tout au long de la soirée.

Bref, tout ce qu’il faut pour passer un bon moment entre potes, et s’en créer de nouveaux !

Infos pratiques :
NBA Night de 18 h à 23 h dimanche 24 novembre 2019
A La Boulangerie, 28 rue des Postes à Lille

Publiée par ON S'DIT QUOI sur Mercredi 6 novembre 2019

Entre Flers et Condé-en-Normandie. Le radar détruit dans un incendie il y a un an remplacé par un radar-tourelle

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Un radar tourelle a été installé à hauteur de Montilly sur Noireau.

Un radar tourelle a été installé à hauteur de Montilly sur Noireau. (©L Orne Combattante)

Il est de retour ! Depuis novembre 2018, les automobilistes circulant sur la départementale D962 entre Flers et Condé-en-Normandie, n’apercevaient plus le radar à hauteur de Montilly-sur-Noireau, détruit par incendie puis retiré par les services de la préfecture.

Lire aussi : Entre Flers et Condé en Normandie, le radar incendié sera bien remplacé

Ce jeudi 21 novembre, un nouveau radar a été installé au même endroit de cette route limitée à 80 km/h… Et il s’agit d’un radar tourelle, aussi appelé « nouvelle génération ».

Lire aussi : Près de Flers, un radar automatique détruit par le feu

Radar tourelle, késako ?

Ce radar dernière génération de type Mesta Fusion contrôle automatiquement la vitesse dans les deux sens de circulation, ainsi que d’autres infractions simultanément.

Lire aussi : L’un des premiers radars routiers nouvelle génération installé dans l’Orne

Si l’appareil a été installé, sa mise en service pourrait prendre plusieurs semaines voire mois.

Lire aussi : Un nouveau radar tourelle dit « nouvelle génération » installé dans l’Orne

Municipales 2020. Une liste à deux têtes à Saint-Aubin-sur-Mer avec Bruno Jumel et Jean-Paul Tancrez

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À Saint-Aubin-sur-Mer, Bruno Jumel et Jean-Paul Tancrez présentent une liste bicéphale aux élections municipales 2020.

À Saint-Aubin-sur-Mer, Bruno Jumel et Jean-Paul Tancrez présentent une liste bicéphale aux élections municipales 2020. (©Liberté Le Bonhomme Libre)

Dans la commune de Saint-Aubin-sur-Mer près de Caen (Calvados), une deuxième liste, issue de l’opposition, se déclare pour les élections municipales de mars 2020.

Lire aussi : Municipales 2020. À Saint-Aubin-sur-Mer, le maire Jean-Paul Ducoulombier arrête, Alexandre Berty candidat

Habitant de la commune depuis 1984, Jean-Paul Tancrez, 75 ans, marié, un enfant, a été directeur général des services et commissaire-enquêteur. Il est maintenant retraité. Bruno Jumel est toujours en activité : il exerce la fonction de directeur des finances et du budget de l’Université de Caen. 60 ans, cinq enfants, il est établi à Saint-Aubin depuis treize ans. « Nous sommes apolitiques » soulignent-ils « nous avons eu envie de nous unir pour faire quelque chose sans a priori. Nous œuvrerons dans l’intérêt de la collectivité ».

Inversion des rôles au bout de 3 ans

« Je suis retraité » déclare Jean-Paul Tancrez « donc plus disponible. L’idée est que je serai maire pendant les trois premières années de la mandature et Bruno Jumel maire adjoint ». Au bout de trois ans, inversion des rôles. « En 2023, ce sera mon tour d’être à la retraite » poursuit Bruno Jumel. « Je deviendrai maire et Jean-Paul Tancrez maire adjoint ».

Tous deux sont actuellement conseillers municipaux depuis 2014. Ancien adjoint aux finances de la ville, Bruno Jumel a ensuite rejoint l’opposition.
Trois axes prédominent dans leur programme : « St-Aubin station balnéaire, St-Aubin au quotidien, St-Aubin solidaire ». Leur liste est arrêtée, bâtie avec des gens de tous âges et tous horizons qui se veulent proches de la population. Ils ont décidé de partir sur un programme pluriannuel d’investissement basé sur l’information et la communication.

Pratique
Jean-Paul Tancrez : 06 13 96 34 92 ; Bruno Jumel : 06 51 12 80 53.

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