L’automate est en fonction depuis vendredi.

En service depuis le 10 mai, à l’entrée de l’ancienne mairie annexe dans le quartier d’Elisabethville à Épône (Yvelines), le distributeur de pain fournit des traditions à 1,10 euro, de jour comme de nuit. L’automate est géré par Romuald Marc, patron de la boulangerie du centre-ville. Il approvisionne quatre autres machines de la sorte à Mézières-sur-Seine, Hargeville, Jumeauville et Bazemont, situé dans des villages ou des quartiers dépourvus de boulangers.

« J’interviens à la demande des communes, indique-t-il. C’est une manière de diversifier mon activité. »

L’appareil est rempli tous les jours, sauf le jeudi. L’artisan n’exclut pas de diversifier l’offre avec des viennoiseries si le succès est au rendez-vous.

Heinz-Christian Strache, vice-chancelier d’Autriche et chef du Parti de la liberté d’Autriche (FPÖ, à Budapest, le 6 mai 2019. Il a démissionné samedi après la révélation d’une tentative de compromission en lien avec la Russie.. (©AFP/Archives/ATTILA KISBENEDEK)

Le vice-chancelier d’extrême droite autrichien Heinz-Christian Strache a annoncé samedi 18 mai 2019 sa démission après la révélation d’une tentative de compromission en lien avec la Russie. C’est un coup de tonnerre à une semaine des européennes, concernant une des principales figures d’extrême droite du continent.

« J’ai remis au chancelier Sebastian Kurz ma démission des mes fonctions de vice-chancelier et il l’a acceptée », a annoncé M. Strache, 49 ans, lors d’une conférence de presse à Vienne. Il a également précisé quitter la tête du FPÖ, le parti qu’il dirige depuis 2005.

« J’ai fait une erreur »

« J’ai fait une erreur et je ne veux pas que cela puisse fournir un prétexte pour affaiblir la coalition » formée en décembre 2017 avec les conservateurs de M. Kurz, a-t-il ajouté. M. Strache a dénoncé un « attentat politique ciblé » et assuré n’avoir commis « aucune irrégularité ».

Cette annonce fait suite à la diffusion vendredi par des médias allemands d’extraits vidéo montrant notamment M. Strache disposé à offrir d’importants marchés publics à un oligarque russe en échange d’investissements dans le plus puissant journal du pays, Kronen Zeitung.

Cette vidéo a été tournée en caméra cachée lors d’une rencontre avec la pseudo-nièce de cet oligarque dans une villa d’Ibiza avant les législatives de 2017, un rendez-vous très arrosé organisé apparemment pour piéger le dirigeant autrichien.

Interessant ist, wie Straches Verhalten den tagesthemen der ARD eingeschätzt wird: Ein EU-Vizepremier Strache ist ungeniert dabei, sein Land an russische Oligarchen zu verkaufen, trotz jahrelanger Warnungen dass Putin Europa destabilisieren will #Ibizagate https://t.co/RA2Wp1e0Nn

— Thomas Mayer (@TomMayerEuropa) May 18, 2019

« Comme un adolescent »

M. Strache a dénoncé samedi une démarche relevant de la « perfidie » et a souligné que cette rencontre était restée sans lendemain.

Il a toutefois reconnu avoir eu « une attitude typique de macho provoquée par l’alcool » et a présenté ses excuses à sa femme, à son parti et à M. Kurz, disant s’être comporté « comme un adolescent » en ne contrôlant pas ses propos.

Source : © 2019 AFP

Mardi 14 mai, David Margueritte, vice-président de la Région Normandie en charge de la Formation s’est rendu à Kiplay, à Saint-Pierre-d’Entremont, pour signer un accord de partenariat avec la branche mode et habillement.

Mardi 14 mai, David Margueritte, vice-président de la Région Normandie en charge de la Formation et du développement des compétences, s’est rendu au lycée Mermoz à Vire Normandie, puis dans les locaux de l’entreprise Kiplay à Saint-Pierre-d’Entremont, pour signer un accord avec la branche professionnelle mode et habillement, afin de répondre aux besoins des entreprises en matière de formation.

Pour David Margueritte,  il est temps d’agir pour mettre en adéquation les besoins des entreprises et les formations des jeunes. Dans la filière habillement, certaines sociétés ont abandonné des projets de développement faute de personnel qualifié.

Nous devons répondre aux besoins en termes de formation

Le bilan à Vire

Car c’est exactement ce qui a été fait il y a tout juste un an à Vire. La Région a investi 40 000 € dans le nouveau plateau technique du lycée et 57 000 € dans du matériel pédagogique.

Ouvrir un BTS Mode par alternance s’avère être un total succès. Avec une capacité d’accueil des étudiants d’une douzaine de candidats, l’établissement a fait le plein et chaque étudiant a trouvé son entreprise. Des promesses d’embauche ont même déjà été signées.

Lire aussi : Deux nouveaux BTS à Vire à la rentrée 2018

Cette offre de formation est rare puisqu’il en existe uniquement 4 en France sur le même modèle et elle est unique en Normandie. Ainsi, les étudiants viennent de loin et les demandes affluent. Via Parcoursup, le lycée virois a reçu l’an passé pas moins de 118 dossiers. Ils sont au nombre de 219 cette année.

Il ne serait pas raisonnable d’augmenter le nombre de places de formation à Vire. Là, nous sommes dans le bon équilibre en fonction des opportunités dans les entreprises locales.

La Normandie ne compte pas pour autant en rester là. D’ici le 20 juin prochain, elle va dévoiler le plan d’action qu’elle compte mettre en place dans le cadre de sa nouvelle compétence : Orientation.

« Nous allons créer une agence de l’orientation à l’échelle du territoire. Nous voterons ce plan en octobre et l’agence travaillera dès le début de l’année prochaine à promouvoir les métiers qui recrutent et à favoriser l’immersion des jeunes dans le monde professionnel. Notre action s’adressera également aux demandeurs d’emploi. Notre rôle sera complémentaire de celui des CIO (Centre d’information et d’orientation) qui eux, accompagnent les élèves, nous, nous serons dans l’information. À ce titre, nous aurons de nouveaux personnels », a conclu David Margueritte.

Un partenariat avec la branche habillement

Et pour coller au plus près des besoins du territoire, David Margueritte a poursuivi sa visite dans l’Orne, à Kiplay, à Saint-Pierre-d’Entremont. L’entreprise spécialisée dans le vêtement de travail est dirigée par Marc Pradal, qui est aussi président de Normandie Habillement. La Région et la branche professionnelle habillement ont signé un accord de partenariat. Objectif : « faciliter l’emploi et l’insertion », a souligné Marc Pradal.

Son entreprise de 49 salariés, aux 10 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel, compte embaucher prochainement une dizaine de personnes.

Lire aussi : Dans l’Orne, Kiplay s’agrandit et mise sur le Made in France et l’innovation

Pour David Marguerrite, comme Kiplay, les entreprises tendent à relocaliser leur savoir-faire. Le secteur représente 3 000 emplois. Et pourtant, pas toujours facile de recruter.

Chaque année, 10 000 emplois ne sont pas pourvus en Normandie. Des entreprises abandonnent des projets faute de candidatures. Notre volonté est de mettre en adéquation la carte des formations, avec les besoins de l’entreprise

, a détaillé David Margueritte.

Un moyen de « réfléchir ensemble sur le bien de l’emploi avec les écoles et les entreprises ».

Les 2 coprésidents Olivier Gratiot et Olivier Belin présentent l’édition 2019

Pourquoi le thème des Années Folles ? Les 2 coprésidents Olivier Belin et Olivier Gratiot s’en expliquent : « Après avoir mis à l’honneur l’amitié France-Amérique l’an dernier, dans le contexte du Centenaire de la fin de la Première Guerre Mondiale, nous avons choisi une thématique festive pour notre 6e édition qui se déroulera les 19 et 20 octobre prochains : les Années Folles ».

Ils poursuivent : « Les Années Folles correspondent à la période de sortie de la première Guerre justement, période pendant laquelle la population a ressenti le besoin de profiter de la vie et de ses plaisirs après des années de sacrifice ! À ce moment, le champagne se démocratise. Il n’est plus consommé seulement par de très riches amateurs de bulles mais également lors d’ineffables soirées données dans les grandes villes françaises et européennes, lors de bals organisés dans des hôtels particuliers, lors de soirées chics à Deauville ou Monte-Carlo ».

« Une époque importante »

Cette époque est aussi celle de la naissance de bon nombre de maisons de champagne et les organisateurs du festival ne manquent pas de le rappeler : « Le champagne devient alors la boisson symbole de plaisir et de la joie retrouvée, presque de l’insouciance, il apparaît sur de nombreuses affiches promotionnelles, créées par de grands artistes tels Mucha ou Toulouse-Lautrec.

Pour nous vignerons, cette époque est importante également parce qu’elle voit se développer la manipulation et la naissance de maisons de négoce familiales. Ce formidable essor des Années Folles est loin bien entendu mais son côté festif et convivial est en résonance avec notre ADN ».

« Valoriser notre territoire »

A quelques mois de cette nouvelle édition, Olivier Belin et Olivier Gratiot dévoile leurs intentions pour Champagne et Vous : « À sept mois de notre 6e édition, nous souhaitons poursuivre sur la dynamique qui nous a portés jusque-là et qui a permis non seulement de bâtir un festival qui attire de plus de plus de participants mais aussi de créer des opérations satellites comme notre bar estival et notre boutique éphémère.

Ces actions nous permettent de valoriser notre beau territoire qu’est la Vallée de la Marne, de faire connaître nos savoir-faire vignerons et notre patrimoine paysager et architectural ».

Et de conclure : « Nous gardons bien à l’esprit que les succès de notre collectif n’ont été possibles que grâce à l’engagement de tous les bénévoles, appuyés par des partenaires particulièrement bienveillants depuis le début de cette folle aventure ».

Plus d’informations sur www.champagne-et-vous.fr ou sur la page facebook Festival Champagne et vous.

Karolien Moens, gérante du camping, devant la Safari Lodge. (©Le Petit Courrier – L’Echo de la Vallée du Loir)

Karolien et Angelo Moens sont à la tête du camping du Vieux Moulin à La Chartre-sur-le-Loir. La saison redémarre !

Le couple est arrivé à La Chartre-sur-le-Loir en 2015 après avoir travaillé au camping de Bessé-sur-Braye pendant un an. Karolien se souvient :

Quand nous avons appris que la mairie de La Chartre cherchait des gérants pour le camping du Vieux Moulin, nous n’avons pas hésité un instant, car nous trouvons La Chartre bien plus jolie que Bessé.

Lire aussi : Une aire pour les camping-cars au bord du lac à La Flèche

Le couple s’installe donc et petit à petit aménage le site en y ajoutant entre autres des bungalows et des tentes Safari.

Depuis deux ans, il travaille avec des tours opérateurs hollandais, tels TUI ou Vacanceselect, qui leur amènent une clientèle… de Hollandais.

Notre point fort, outre le fait que nous parlons anglais, hollandais et flamand, c’est la possibilité de faire du vélo aux alentours, un sport très prisé par les Hollandais. D’ailleurs par chance la boucle cycliste n° 5 intitulée Le vignoble de Jasnières part du camping !

Pratique : Camping**** du Vieux Moulin, chemin des Bergivaux, 72340, La Chartre-sur-le-Loir sur 2,5 hectares, ombragés en bordure de Loir. – Tél. 02 43 44 41 18 ou 06 33 49 34 19.

Le Rotary club de Langon organise le jeudi 23 mai l’opération Mon sang pour les autres à la salle Nougaro à Langon (Gironde). (©Le Républicain Sud-Gironde archives)

Le Rotary club de Langon organise le jeudi 23 mai l’opération Mon sang pour les autres à la salle Nougaro à Langon (Gironde). Pour l’en-cas, les chefs des restaurants Darroze et L’Atelier FV concocteront aux généreux donateurs des burgers au foie gras.

Lire aussi : Vol par ruse en Gironde, un faux agent demande à voir votre jardin : la gendarmerie met en garde

Un maillot dédicacé de l’UBB à gagner, entre autres suprises !

Une tombola sera aussi organisée, avec de nombreux lots à gagner, notamment un maillot dédicacé de l’UBB !

Lire aussi : A la Une du Républicain du 16 mai : les remèdes naturels de nos grands-mères

Le mailot de l’UBB (Union Bordeaux Bègles) dédicacé, à gagner à la tombola de Mon sang pour les autres. (©Rotary club Langon)

L’an dernier, 325 personnes avaient répondu au rendez-vous. Cette année, l’association espère atteindre au moins le même objectif.

Une trentaine de membres de l’EFS (Etablissement Français du Sang) et une cinquantaine du Rotary seront mobilisées pour cette journée de solidarité.

Ouverture des dons, de 10h30 à 13h30 et de 15h15 à 19h15.

La place de la Comédie à Montpellier attire les vacanciers français.

Kayak.fr, le moteur de recherche dédié au voyage, révèle dans un récent sondage les destinations françaises les plus populaires et les plus accessibles pour prendre goût au voyage local. Le touriste français qui se déplace en famille sur le territoire traque le soleil et les plages.

Sans trop de surprise, c’est le Grand Sud qui est prisé, mais pas que : à l’opposé, la Bretagne et la Normandie tirent leur épingle du jeu. Décryptage.

● La région Sud, la Bretagne et la Corse sont les trois régions les plus appréciées par les Français pour partir en vacances. S’ils préfèrent nettement la voiture -et la caravane- pour se déplacer, certains utilisent l’avion et le train.

Au classement des régions préférées des vacanciers français, l’Occitanie et l’Aquitaine occupent ex-aequo la quatrième.place

● Nantes est la ville la plus accessible en avion avec un vol aller-retour dont le prix s’affiche à 38 € en moyenne.

● Les prix moyens des vols pour Toulouse et Nice sont respectivement de 69 € et 70 €. 

Classement des destinations de vacances. (©D.R.)

70% voyagent en voiture, 23% en train

La France, première destination touristique au monde, a une réputation qui n’est plus à faire et un charme inégalable. En vacances ou le temps d’un week-end, du Nord au Sud et d’Est en Ouest, l’élégance et les splendides paysages des villes et campagnes françaises ne cessent d’époustoufler les voyageurs à travers les richesses culturelles, artistiques et historiques de chaque région.

Pour soutenir ses résultats de recherches de prix de voyages, Kayak.fr a donc mené un sondage auprès d’un panel représentatif de la population française. Celui-ci révèle que 70 % des Français utilisent leur voiture pour partir en vacances, et 23 % choisissent le train, des moyens de transports souvent marqueurs d’un séjour en France.

La région PACA plébiscitée

C’est la région Provence-Alpes-Côte d’Azur -PACA- qui est plébiscitée par les vacanciers, devant la Bretagne, la Corse, l’Aquitaine et l’Occitanie. La Normandie est sixième, devant l’Auvergne, l’Île-de-France, les départements et territoires d’Outre-Mer Rhône-Alpes, les Hauts-de-France et la région Centre.

Au chapitre des destinations les plus populaires, avec un prix moyen pour une nuit en chambre double dans un hôtel de 3 à 4 étoiles, c’est Paris avec 144 € qui est en tête du Top 10, devant Magny-le-Hongre (139 €), Nice (147€), Lyon (95€), Marseille (109€), Bordeaux (117€), Annecy (118€), Ajaccio (137€), Deauville (145€) et Saint-Malo, avec 126 €.

Le Sud séduit les Français, ce qui n’est guère surprenant. La région Provence-Alpes-Côte-d’Azur a les faveurs des touristes gaulois à 43 %. Nice, sur la Côte d’Azur, qui allie charme des villes méridionales et raffinement des stations balnéaires est, par ailleurs à la 3ème position des destinations les plus populaires pour les recherches d’hôtels sur le site de Kayak.fr

La Corse bien placée

Pour profiter des criques paradisiaques et d’un air d’Italie, il faut compter en moyenne 116 € par nuit dans un hôtel 3 et 4 étoiles et 70 € en moyenne pour s’y rendre en avion. Marseille est la cinquième destination la plus populaire pour les hôtels. Synonyme de fête, de festival du cinéma, de jazz, la cité phocéenne offre baignades et rêveries au bord de “la grande bleue”. Le prix moyen d’une nuit dans un hôtel entre trois et quatre étoiles se situe autour de 109 €.

La Corse, troisième région préférée des Français (27 %) pour leurs voyages selon le sondage, offre de multiples destinations aux Français. Les rues d’Ajaccio, huitième destination la plus populaire auprès des utilisateurs du comparateur, sont toutes remplies de charme et accueillent les amateurs de baignade. Chaque plage, le long de la Route des Sanguinaires, a son caractère bien spécifique et son lot de qualités. Pour 137 € en moyenne, un séjour dans un hôtel trois ou quatre étoiles au cœur de la ville est possible.

La Bretagne et la Normandie très appréciées

On fait un grand saut, en direction de la Bretagne et de la Normandie qui ont la cote également : les plages de l’Ouest très appréciées restent la deuxième région préférée des Français pour leurs vacances. Avec 38 % d’opinions positives, la Bretagne offre de nombreuses villes et villages où partir en vacances. Du côté du moteur de recherches dédié au voyage, la ville de Saint-Malo se hisse notamment à la dixième place des destinations les plus populaires pour la recherche d’hébergement. L’ancien bastion de corsaires offre une ville pleine d’histoire, de son fort à sa cathédrale qui raviront tous les voyageurs qui y séjourneront. Le prix d’une nuit d’hôtel 3 ou 4 étoiles atteint en moyenne le montant de 126 €.

19 % des Français apprécient la région Normandie pour leurs voyages et celle-ci se trouve à la 6ème position du classement. Le charme planétaire de Deauville est la neuvième destination la plus plébiscitée par les utilisateurs français pour trouver un hôtel. Une nuit d’hôtel s’y négocie en moyenne à 145 € : de quoi profiter des plages très connues et qui sait, d’y croiser quelques célébrités.

Avion : billets les moins chers pour Toulouse

Direction le Sud-Ouest, où l’Aquitaine et l’Occitanie sont les deux seules régions ex-aequo du classement (25 %) à la quatrième position. Le choix entre mer et ville n’est pas toujours simple. La région bordelaise peut combler les voyageurs entre sports de surf et richesses du terroir viticole. Bordeaux, “belle endormie”, propose des séjours à partir de 117 € la nuit dans un hôtel entre trois à quatre étoiles. Elle se classe sixième, comme étant la plus recherchée par les Français pour cette catégorie.

La ville rose, Toulouse, est par ailleurs la deuxième ville pour laquelle les billets d’avions sont les moins chers. On peut donc profiter d’un aller-retour à 69 € en moyenne.

L’aéroport de Béziers-Cap d’Agde bien placé. (©D.R.)

Aéroport de Béziers-Cap d’Agde : destination abordable

Les destinations les plus abordables en avion, selon le calcul d’un prix moyen pour un aller-retour en classe économique 1 sont Nantes (38€), devant Toulouse (69€), puis, Nice (70€, Marseille (76€), Lyon (82€), Paris (83€), Béziers-Cap d’Agde (92€), Lille (96€), Strasbourg (99€) et La Rochelle, à 99 €.

Des régions appréciées et abordables Strasbourg et sa “petite France” ferment ce classement des destinations françaises les plus abordables en avion, pour un prix des billets (99 € en moyenne) équivalent aux vols vers la ville des Minimes, au bord de l’Atlantique : La Rochelle.

Nantes est la ville la plus abordable en avion, avec un aller-retour dont le prix se situe en moyenne autour de 38 €. Un petit prix pour profiter d’un séjour à l’embouchure de la Loire, où il ne faut pas rater le Château des Ducs de Bretagne.

« De grands voyageurs domestiques »

John-Lee Saez, directeur général pour Kayak en Europe commente ce sondage, à quelques semaines des premiers départs pour les vacances estivales : “La France est la première destination au monde pour les touristes, mais n’oublions pas que les Français aussi sont de grands voyageurs domestiques qui passent une grande partie de leurs vacances dans le pays. Qu’ils soient amateurs de mer ou de montagne, de la ville ou de la campagne, il y a toujours une destination en France, de Lille à Porto-Vecchio, pour répondre aux attentes des voyageurs et souvent à des prix abordables ».

> Le sondage proposée par Kayak.fr est basé sur des recherches effectuées entre le 1er janvier et le 30 avril derniers pour des vols au départ de France et pour des dates de voyage entre le 1er mai et le 30 juin 2019. Ce classement des régions françaises a été obtenu sur la base d’un sondage réalisé avec l’institut Opinium, auprès d’un échantillon de 2004 personnes de plus de 18 ans, représentatif de la société française. La France a été classée première destination touristique dans le monde dans le dernier rapport de l’Organisation Mondiale du Tourisme, à la fin de l’année 2017.

Les favoris vont rapidement faire le trou sur le premier kilomètre de plage. (©Le Trégor. Barnard Guilcher)

Judicaël Le Denmat s’est imposé sur le 11 km du Trail des Embruns. Au Castel à Trébeurden, le Louannécain devance Stéphane Carriou.

Solenn Moysan a terminé première féminine de cette course disputée sur un nouveau parcours.

Le départ en images

Un débat a eu lieu mardi 14 mai 2019 au conseil municipal de Lisieux (Calvados) autour des études prévues dans le cadre du projet « Action cœur de ville », destiné à redynamiser le centre-ville.

« Je suis perplexe face à cette façon d’utiliser l’argent public ». Mardi 14 mai 2019, alors que le conseil municipal de Lisieux (Calvados) était invité à valider le programme d’études prévues dans le cadre du projet « Action cœur de ville », Corinne Lecourt a interpellé le maire.

L’élue, membre de l’opposition « Lisieux en mieux », s’est étonnée du montant élevé de certaines prestations, pourtant déjà réalisées lors de précédentes études commandées par la municipalité en 2010 et en 2013.

Lire aussi : Travaux à Lisieux : l’avenue Victor-Hugo « un peu en avance » sur les prévisions

« Je partage votre avis, a répondu Bernard Aubril. Je pense que certains cabinets d’études doivent s’en mettre… » Le maire n’a pas fini pas sa phrase mais tout le monde a compris la suite.

« Qu’allons-nous apprendre de plus ? »

Pour les quinze études programmées, la facture s’élève à 750 000 euros. Au moins trois d’entre elles semblent inutiles selon Corinne Lecourt : celles sur la redynamisation commerciale (50 000 euros), sur le marketing territorial (25 000 euros) et sur l’inventaire du patrimoine bâti (20 000 euros).

« Qu’allons-nous apprendre de plus que ce que nous savons déjà ? » se demande l’élue, surprise aussi par le montant du plan de communication (100 000 euros) mis en place autour de ce projet.

Lire aussi : Les projets de « Lisieux 2025 », principaux investissements de l’année

L’étude sur les déplacements (30 000 euros) pose question également, alors que la ville a déjà engagé, l’an dernier, une réflexion sur un plan vélo.

« Toutes ces études sont obligatoires »

Bernard Aubril n’en pense pas moins mais rappelle que ces études sont obligatoires.

« Initié par l’Etat, le programme Action cœur de ville a fait l’objet d’une convention que nous avons signée avec les différents partenaires du projet. Toutes ces études sont prévues dans la convention et nous devons les réaliser ».

Le conseil municipal a validé une enveloppe de 370 000 euros pour 2019 et une autre de 380 000 euros, pour 2020. La ville espère récupérer un maximum de subventions auprès des financeurs et des organismes concernés.

Les cinq membres de l’opposition « Lisieux en mieux » se sont abstenus.

Viviane et Pierre Lambert, les parents de Vincent Lambert, à cour d’appel de Reims le 9 juin 2016. (©AFP/Archives/François NASCIMBENI)

Les parents de Vincent Lambert, patient tétraplégique en état végétatif depuis plus de dix ans, vont déposer de « nouveaux recours » lundi 20 mai 2019, jour du début programmé de l’arrêt des traitements auquel ils s’opposent, ont annoncé leurs avocats dimanche sans plus de précisions.

Lire aussi : Les parents de Vincent Lambert implorent Emmanuel Macron de maintenir les traitements

« Les parents de Vincent Lambert saisissent également les autorités et tribunaux compétents d’une plainte disciplinaire aux fins de radiation du docteur Sanchez ainsi que de poursuites pénales à son encontre », ajoutent dans un communiqué Jean Paillot et Jérôme Triomphe, à propos du médecin dirigeant le service des soins palliatifs et l’unité « cérébrolésés » de l’hôpital Sébastopol de Reims où il est hospitalisé.

L’ONU saisie

Après la validation par le Conseil d’Etat fin avril de la décision médicale d’arrêter l’alimentation et l’hydratation, le Dr Vincent Sanchez a annoncé à la famille l’arrêt des soins la semaine du 20 mai.

Les avocats des parents ont depuis saisi un organisme de l’ONU, le Comité des droits des personnes handicapées (CDPH), qui a demandé à la France de ne pas suspendre les soins dans l’attente de l’examen du dossier sur le fond par ses soins. Mais la France répète que ces mesures conservatoires « sont dépourvues de caractère contraignant » et met en avant le « droit du patient à ne pas subir d’obstination déraisonnable ».

Samedi, les avocats des parents ont aussi imploré Emmanuel Macron de faire maintenir les traitements dans une lettre ouverte, qualifiant la mort programmée du patient de « crime d’Etat commis au prix d’un coup de force contre l’Etat de droit ».

Symbole du débat sur la fin de vie

Avec ces « nouveaux recours dès lundi », ils entendent faire « respecter les mesures provisoires réclamées à deux reprises par l’ONU et dont le défenseur des Droits a rappelé le caractère obligatoire ».

Un message que les parents du patient reprendront dimanche après-midi devant l’hôpital Sébastopol où ils ont appelé à un rassemblement pour « supplier » les médecins « de continuer à nourrir et hydrater » leurs fils.

Ancien infirmier psychiatrique, Vincent Lambert se trouve depuis plus de dix ans en état végétatif à la suite d’un accident de la route survenu en septembre 2008, quand il avait 32 ans.

L’affaire, devenue le symbole du débat sur la fin de vie en France, déchire sa famille depuis six ans: d’un côté, les parents, un frère et une sœur s’opposent à l’arrêt des soins; de l’autre, son épouse Rachel, son neveu François et cinq frères et sœurs du patient dénoncent un « acharnement thérapeutique ».

Source : © 2019 AFP

La palais de justice de Coutances où se déroulent les sessions d’Assises. (©Archives Presse de la Manche)

A Coutances, les 16 et 17 mai, une affaire de viol commis en 2014 sur une femme vulnérable était au rôle. Des faits intervenus dans une résidence sociale de Saint-Lô, pour des personnes en situation d’exclusion, notamment connaissant des difficultés de santé mentale.

L’homme à la barre était âgé, à l’époque, de 36 ans. Attendant son procès en prison, l’homme encourait une peine maximale de 20 ans.

Lire aussi : Viol sous la menace d’une arme à Cherbourg : l’accusé condamné à 7 ans de prison

Le 7 novembre 2014, le commissariat de Saint-Lô est informé par le service de protection de la résidence qu’une femme vulnérable a pu être victime de violences sexuelles dans son logement. Celle-ci a expliqué qu’elle avait rencontré l’homme qui l’a agressée à son domicile chez une relation commune, et que, se présentant chez elle, il lui avait infligé plusieurs relations sexuelles non consenties.

Tous les deux sous curatelle

Pendant l’instruction de cette affaire, l’homme n’a pas nié les rapports sexuels, mais il a affirmé que ceux-ci étaient « consentis ». C’était donc le débat de ces deux jours.

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Jeudi 16 mai au matin, la plaignante, marquée par un handicap lourd, très soutenue par sa curatrice et par son avocate, Me Mathilde Labey-Guimard, du barreau de Coutances, ne dominait pas son angoisse devant le nombre de personnes à l’action au cours d’un procès d’assises : le président, ses assesseurs, les jurés, l’avocat général, la greffière, l’huissière, les personnels de la pénitentiaire qui gardent l’accusé, l’accusé lui-même, face à elle, et que l’avocate lui déconseillait de regarder.

A huis clos

Elle n’allait pas pouvoir assumer une présence au procès sur deux jours, et il a été dit que cette matinée était déjà un maximum possible. On comprend, devant cette vulnérabilité et cette détresse, que son avocate ait demandé le huis clos pour la préserver le temps qu’elle serait dans la salle d’audience.

L’accusé est, lui aussi, sous curatelle, actuellement sans profession : une misère face à une autre misère. Il a été acquitté.

Le procès s’étant déroulé à huis clos, rien ne nous permet d’expliquer pourquoi l’accusé, pour lequel l’avocat général avait demandé aux jurés de le reconnaître coupable et proposé une peine de sept années d’emprisonnement, suivie de sept années de suivi socio-judiciaire, a été acquitté.

Procès suivant, du 20 au 22 mai

Prochain procès à Coutances du lundi 20 mai au mercredi 22 mai, sur trois journées : l’accusé, un Britannique trentenaire, a reconnu des viols en 2016 sur des fillettes de 4 ans, actes sexuels qu’il filmait et diffusait sur les réseaux pédophiles.

Avec Gaëtan Clerc voire David Ramseyer, Jordan Tolbert a été la seule satisfaction de la saison dans les rangs du Caen Basket Calvados. Sur 16 joueurs, c’est trop peu… (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Deux ans seulement et c’est déjà fini. Caen quitte l’antichambre de l’élite par le bas quand il rêvait, à moyen terme, d’en sortir par le haut. « Chère Pro B, on ne te dit pas au revoir mais à bientôt », a publié le club sur les réseaux sociaux. « Le CBC reviendra plus fort », lit-on aussi sur la publication. Caen pensait avoir fait le plus dur en s’extrayant tour à tour de la Nationale 2 où il végétait depuis si longtemps puis de la Nationale 1. Patatras. Tout n’est pas à recommencer, mais il va falloir de nouveau reconstruire.

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Des choix forts non-concluants

Peut-être le CBC a-t-il trop été dans la reconstruction, déjà, cette saison. Ses choix forts de l’été dernier n’ont pas été concluants, entre l’échec du remplacement d’Hervé Coudray par Antoine Michon et la refondation de l’effectif. Avant d’être victime d’une cascade de blessures totalement folle, Caen a très vite payé son effectif déséquilibré. La blessure rapide de BJ Monteiro, revenu à cours de forme malgré une précédente saison quasi-blanche, a cassé tous les plans à elle seule. Le CBC s’est retrouvé sans leader, en plus d’être sans véritable meneur.

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Le recrutement de Jerrold Brooks, qui avait matérialisé les ambitions normandes, s’est finalement mué en symbole des imprécisions caennaises. L’Américain, pourtant capable d’être très bon dans un registre de scoreur, n’était pas le meneur dont Caen avait besoin dans la configuration qui était la sienne… Sans compter qu’à l’instar d’un Brad Waldow très vite coupé, il était loin d’être affûté.

Le cas Jerrold Brooks est peut-être le meilleur symbole de la saison du CBC. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Avec une telle poisse, la marge de manœuvre était mince

Les erreurs et la malchance de départ n’ont pu être compensées par les nombreux ajustements adoptés en cours de saison. Il y eut pourtant des décisions efficaces, comme le recrutement du MVP caennais de la saison, Jordan Tolbert, et celui de Fabrice Courcier à la tête de l’équipe. En revanche, Pavel Marinov a déçu avant de se blesser à son tour et Johnathan Hudson n’a pas montré un niveau Pro B. Ils devaient pourtant avoir des rôles prépondérants. À leur décharge, les dirigeants caennais ont eu une poisse inimaginable. Fabrice Courcier :

Sincèrement, n’importe quelle équipe de Pro B confrontée à ces blessures aurait été en difficulté cette saison.

Pourtant, le CBC a rarement été largué. Vainqueur de huit matchs cette saison (pour 25 défaites), il a souvent fait jeu égal avec ses adversaires par séquences. Mais avec sept pros sur les feuilles de match, il fallait que chacun s’approche de son meilleur rendement pour que le collectif puisse basculer du bon côté. Or cela ne s’est pas produit. « On a toujours couru après une stabilité, une cohésion. » À Orléans samedi 18 mai 2019, seuls deux joueurs caennais (dont BJ Monteiro, qui a raté toute la saison) étaient dans le roster du début de saison.

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La blessure de Gaëtan Clerc a fait énormément de mal au CBC. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

L’infime espoir d’un repêchage administratif

En dépit d’une relégation sportive acquise, il reste une toute petite chance de maintien dans les rangs caennais. Évreux est en difficulté financière et certains prétendants à la montée en Pro B risquent de ne pas avoir les capacités budgétaires d’aller plus haut. Tout cela reste bien sûr très hypothétique, mais « la 17ème place vaut toute la bagarre qu’on doit lui donner », prévient Fabrice Courcier. Caen dispose d’une victoire d’avance sur la lanterne rouge, Chartres. Pas question, donc, de prendre à la légère la réception du leader Roanne, vendredi 24 mai 2019. 

Le match revêtira un enjeu extrême pour Roanne, qui devra gagner pour terminer premier, mais ne sera pas non plus dénué d’enjeu pour nous. 

Ne serait-ce que par « orgueil et fierté », le CBC espère terminer la tête haute. David Ramseyer pourrait revenir à la compétition après avoir manqué le match contre Orléans (genou). En revanche, on ne reverra plus Johnathan Hudson, reparti aux États-Unis après le décès de son frère. Caen ne préparera pas seulement son dernier match, cette semaine. Il sera aussi, et surtout, question de la suite. « J’avais dit qu’on commencerait à parler du futur quand on serait fixé, indique Fabrice Courcier. Maintenant, c’est le cas. »

Les pompiers luttent depuis plusieurs heures contre un incendie à Bordeaux (©Illustration / Adobestock)

70 pompiers, une vingtaine de véhicules sont toujours actuellement mobilisés à Bordeaux, comme nous le confirme le capitaine Matthieu Jomain, officier de communication du Service de Secours et d’Incendie (SDIS) à Ornano, pour lutter contre l’incendie qui ravage le parking des Salinières, dans le quartier St-Michel.

Une voiture en feu

Le feu a pris samedi soir 18 mai au niveau – 3, peu avant 20h30, repéré par les caméras de vidéo-surveillance du parking. Selon le Service de Secours et d’Incendie (SDIS), relayé par nos confrères de Sud-Ouest, ce serait une voiture qui aurait pris feu. 

Un incendie s'est déclaré hier soir dans un parking souterrain du quartier Saint-Michel à #Bordeaux.

Tout mon soutien aux #pompiers bordelais qui luttent avec courage depuis hier soir contre l'incendie et le risque d'effondrement du parking ! Merci infiniment. pic.twitter.com/Oc3FDL1koe

— Matthieu Louves ن (@LouvesMatthieu) May 19, 2019

Évacuation d’un immeuble

Les dispositions ont été prises pour sécuriser le quartier, éloigner les badauds et dans le cas présent, évacuer les occupants d’un immeuble de quatre étage dont la mairie a relogé 9 personnes, 31 autres ayant été prises en charges par la Croix-Rouge dans un gymnase proche. 

Les pompiers s’activaient encore à 6 heures du matin. (©Actu Bordeaux)

Côté incendie, le foyer est tellement intense qu’il est impossible aux soldats du feu de l’approcher. 13 d’entre eux ont d’ailleurs été blessés. 

▫️#Soutien▫️J’adresse mes vœux de prompt rétablissement aux 13 #pompiers de #Gironde blessés dans la lutte contre un incendie de véhicule dans un parking du centre ville de #Bordeaux.Un feu nécessitant de lourds moyens, de nombreuses heures de combat et une redoutable technicité. pic.twitter.com/mFvo4NFSDG

— Grégory Allione – FNSPF & ODP (@AllioneFNSPF) May 19, 2019

La situation nécessite l’intervention d’une section spécialisée et équipée de matériels respiratoires  qui assurent une longue autonomie pendant les manœuvres d’extinction du feu. 

Arrivée de l’unité spéciale d’intervention en milieu clos des pompiers de Bordeaux. Incendie du parking souterrain toujours en cours pic.twitter.com/ePSPEjqT5x

— Basier David (@DavidBasier) May 19, 2019

Témoignage d’une riveraine
Myriam Saint-Espès, originaire de Marmande, habite dans le quartier, à deux pas du parking des Salinières où elle gare son véhicule, elle a pris un abonnement à l’année pour cela. Elle l’y a laissé mercredi soir, il s’y trouve donc: «Mais je ne peux pas y accéder, les pompiers barrent l’accès au public par sécurité». Myriam va souvent au niveau -3, «on va là où il y a une place, parfois on tourne, le parking est très fréquenté. Je ne sais pas si je suis au -2 ou au -3 ! Cela fait la deuxième fois qu’un incendie se déclare dans le parking, après celui de 2016» précise-t-elle. «Le gaz a également était coupé, nous avons été avertis par texto de cette mesure» indique-t-elle. 

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56 ans après, les jeunes écoliers de Rouvrou ont pris la même pose. (©L’Orne Combattante)

Ils ont refait la même photo 56 ans après ! Les culottes courtes sont derrière eux, mais ils ont retrouvé leur âme de gamin, samedi 11 mai 2019 à Rouvrou, dans l’Orne.

A l’initiative de Jean-Louis Remande, ancien élève, 17 écoliers des années 1963, 1964 et 1965 se sont réunis sur le site de leur ancienne école, fermée en 1996.

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Certains se revoyaient pour la première fois. Si trois habitent encore la commune, d’autres ont fait le déplacement tout spécialement depuis les Yvelines, le Nord, la Bretagne ou bien encore La Rochelle. 17 sur 21, quatre étant malheureusement disparus.

La promo 1963 de l’école de Rouvrou avec M. Lambert instituteur. (©DR)

L’occasion pour eux de se remémorer des souvenirs d’enfance, plein d’insouciance.

Avant de se rendre pour déjeuner à la Roche d’Oetre, ils ont pris la pause pour refaire la photo de 1963. La séance a duré 30 minutes, les modèles étaient bien moins sages qu’avec leur instituteur de l’époque M. Lambert.

La bonne humeur s’est poursuivie tout au long de la journée, et rendez-vous est d’ores et déjà pris pour l’an prochain. L’envie serait d’ouvrir ces retrouvailles à des anciens élèves d’autres années.

Un homme a été grièvement blessé par arme à feu sur le parking du centre commercial de Purpan, samedi 19 mai 2019. (©Illustration/DGN Sicop)

Samedi 19 mai 2019, peu avant 16h, les pompiers sont intervenus sur le parking du centre commercial Carrefour de Purpan, à l’ouest de Toulouse, pour secourir un homme grièvement blessé par arme à feu.

Pronostic vital engagé

La victime, touchée au thorax, a été transportée en urgence à l’hôpital de Rangueil. Son pronostic vital est engagé.

Deux individus à scooter

Selon nos confrères de La Dépêche du Midi, l’homme blessé était avec son frère et aurait été agressé par deux individus qui sont arrivés à scooter. La livraison d’un sac serait à l’origine de ce différend qui a dégénéré.

Contacté, le parquet de Toulouse indique avoir ouvert une enquête, confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ).

La terre des Faluns, après avoir été dégustée, a été modelée en « carottes ».

 Ils sont en 4e année d’études d’architectes à l‘Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Bretagne, à Rennes.

Ils ont entre 20 et 24 ans, en majorité des filles, et viennent d’effectuer un stage d’une semaine à Saint-Juvat, près de Dinan, dans les Côtes d’Armor.

Il s’ agissait pour eux d’étudier in situ le « bâti en terre » en Pays des Faluns. Les Faluns ? Ce sont des sédiments qui datent de la préhistoire, lorsque cette région était envahie par la mer. 

Balade introspective à bicyclette

Dominique Ramard, maire de Saint-Juvat explique : 

« Les Juvatiens les ont immédiatement adoptés en les hébergeant gracieusement. Ils ont déjeuné à la cantine et se sont préparés eux-mêmes leurs repas le soir. Leurs travaux et la restitution qu’ils en feront, au début juillet sont d’une importance capitale pour la conservation du bâti en terre. » 

Ils ont quitté l’Ensab pour venir à Saint-Juvat, en utilisant leur bicyclette, résume Loïc Daubas, architecte et enseignant à l’Ensab : 

« Il s’agissait de rentrer lentement dans le territoire en admirant le bâti en terre, qui apparaît à Rennes. Il est encore présent en Pays des Faluns. Cette immersion lente était nécessaire pour la réussite de ce stage. En effet leur travail sera noté et comptera pour l’obtention du diplôme de fin d’étude. »

Tout au long du parcours, en passant par Bécherel (Ille et Vilaine), les élèves et leur enseignant, ont inspecté les différents types de bâtiment construit en terre, pendant plusieurs siècles.

La terre des Faluns, sur le bout de la langue

 « Dans un même petit champ, nous avons découvert trois terres d’origine et de composition différentes. Nous avons alors eu l’idée d’en déposer une petite pincée sur nos langues pour les goûter, un peu comme on déguste un vin ! » 

Les terres se sont révélées être chacune reconnaissables. Moins par leur goût que par leur texture. Précision de Dominique Ramard :

« La terre utilisée pour la construction, au fil des siècles se retrouve sur un territoire qui va, grosso modo, de Saint-Nazaire à Saint-Brieuc » 

Les futurs architectes l’ont pétrie, modelée et étudiée.

Restitution en juillet

Les stagiaires, rentrés à Rennes, vont préparer des documents et des maquettes, illustrant leurs travaux et observations aux cours du stage.

Ils reviendront à Saint-Juvat, au début juillet, pour une restitution, aux élus du conseil municipal dans un premier temps, puis à la salle polyvalente pour une « journée du bâti en terre » organisée par l’association juvatienne « A fleur de terre ». Des expositions seront créées au « Contoir » la maison communale, laboratoire témoin du bâti en terre à Saint-Juvat.

Lucien Boutet (CLP)

L’Institut médico-éducatif (IME) et L’Association des parents et amis d’enfants inadaptés (APAEI) sensibilisent à la citoyenneté pour les personnes en situation de handicap. (©La Voix Le Bocage)

La question de la citoyenneté est au cœur des interrogations pour les structures et associations qui militent en faveur des personnes en situation de handicap. À quelques jours des élections européennes, l’accès au vote est un droit pour tous.

C’est un acte citoyen. À une élection, je suis venu voter avec mon fils handicapé. On l’a refusé », raconte un père de famille.

C’est pourquoi, l’Europe avait autorisé, jusqu’au 16 mai 2019, les personnes sous-tutelle à s’inscrire sur les listes électorales. « Avant, on ne pouvait pas ».

Carte d’identité à domicile

Dans ce même cadre, l’accès à l’administration pour les personnes handicapées ou les personnes alitées est une vraie problématique. Certains concitoyens ne peuvent pas se déplacer (après un accident, suite à un handicap, à cause de l’âge, etc.) pour renouveler sa carte d’identité ou son passeport, alors que sans cette pièce, « on ne peut plus demander une nouvelle carte Vitale, déposer un dossier PMR ou en Ehpad, effectuer les démarches de successions… » détaille Virginie Le Sourd, directrice générale adjointe à Vire Normandie.

C’est loin d’être neutre », appuie Marc Andreu Sabater.

C’est pourquoi, Vire Normandie intervient à domicile. Une fois par mois, sur rendez-vous, un agent de la ville emprunte à la Préfecture de Caen une machine mobile : une valise de 20 kg, comportant un appareillage similaire à celui fixe en mairie.

On a fait un choix d’aller vers l’usager. Même si pendant ce temps-là, l’agent n’est pas derrière son bureau, c’est un service remarquable. On est la seule commune du département à le proposer ».

Les papiers d’identité peuvent ensuite être réalisés. L’agent y retourne même pour les donner en mains propres, par question de sécurité. 20 rendez-vous ont ainsi déjà été effectués depuis la mise en place du dispositif il y a un an et demi. Ce qui représente plus de 3 000 km.

Pour y avoir accès : se munir d’un justificatif médical, un timbre fiscal de 25 €, un acte de naissance, une photo d’identité et un justificatif de domicile. Les agents interviennent à Vire Normandie, Noues-de-Sienne, ainsi qu’à Saint-Aubin-des-Bois, Landelles-et-Coupigny, Le Mesnil-Robert, Beaumesnil, Campagnolles, Pont-Bellanger et Sainte-Marie-Outre-L’Eau.

Contact, 02 31 66 36 47

L’homme était connu des services de police (©AdobeStock-Delphotostock)

Recherché depuis vendredi 18 mai, l’agresseur sexuel d’une femme de 71 ans, dans le centre-ville de Meaux, et mis en fuite par l’intervention des voisins de la victime, a été arrêté le lendemain, le samedi 18 mai, vers 17h. C’est grâce aux caméras de vidéoprotection que celui-ci a pu être appréhendé par la police alors qu’il se baladait dans les rues de Meaux. Reconnu par la victime et par des témoins, l’homme est actuellement en garde à vue.  Il s’agit d’un Meldois de 32 ans connu des services de police pour des infractions moindres.

Rappelons que la victime avait accepté que le trentenaire l’aide à porter ses courses jusqu’à son appartement. Il l’avait ensuite poussé à l’intérieur et déshabillé. La septuagénaire, choquée, est psychologiquement suivie. 

Magnifique interception de Macalou, 3e ligne du Stade Français pour la 25e journée de Top 14 le dimanche 19 mai (©Capture écran Canal +)

Le match débute à peine à Montpellier ce dimanche 19 mai que Macalou plante déjà un essai. Moins d’une minute après le début de la rencontre, Macalou sent la passe du neuf adverse, Paillaugue, qui ne peut pas arrêter son geste et envoie le ballon en l’air. Le troisième ligne parisien n’a plus qu’à se servir, c’est cadeau. Quelle entame de match !

Le conducteur a été gravement blessé dans cet accident (©Le Réveil Normand)

Il était aux environs de 3 h 30, dans la nuit de samedi à dimanche, quand l’accident s’est produit.

Un véhicule léger, avec à son bord une seule personne, a quitté son couloir de circulation et s’est retrouvé en contrebas de la route, sa course arrêtée par des arbres.

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L’accident s’est produit sur la commune de Ferrières-la-Verrerie (Orne), à la limite de Tellières-le-Plessis (Orne), au lieu-dit « la Morandière », sur la RD 3, entre Courtomer et Moulins-la-Marche. Six sapeurs-pompiers du centre de secours de Courtomer, sous les ordres du capitaine Laurent Delion, chef de groupe, se sont rendus sur les lieux avec le véhicule de secours routier (VSR) et le véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV).

Transporté à Alençon

Les médecins urgentistes du service mobile d’urgence et de réanimation (SMUR) de Mortagne-au-Perche (Orne) sont intervenus pour prendre en charge le jeune homme d’une vingtaine d’années, blessé gravement, qui a ensuite été dirigé par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier d’Alençon (Orne).

Les militaires de la communauté de brigades de gendarmerie de Sées ont procédé aux constatations d’usage et régulé la circulation, le temps de l’intervention.

L’accident s’est produit à la limite de la commune de Tellière-le-Plessis (©Capture Google Maps)