Bénabar se produira à Châteaubriant le samedi 28 mars 2020. (©La République de Seine-et-Marne.)

Concerts, pièces de théâtre, spectacles humoristiques, cirques, opéras… Au total, 35 spectacles sont au programme de la nouvelle saison culturelle du Théâtre de verre de Châteaubriant (Loire-Atlantique).

Bénabar et Louis Chedid à l’affiche

La principale tête d’affiche sera le chanteur Bénabar, qui a sorti un nouvel album, Le Début de la suite, en 2018. Son concert est programmé le samedi 28 mars 2020.

Au niveau musical, on retrouvera aussi la Castelbriantaise Liz Cherhal (le samedi 30 novembre 2019), Lili Cros et Thierry Chazelle (le vendredi 15 mai 2020) ou encore Louis Chedid (le samedi 16 mai 2020) !

Des séances pour les scolaires, le conservatoire à l’honneur

Comme chaque année, des séances seront réservées aux scolaires. Plusieurs spectacles du conservatoire intercommunal sont aussi à l’affiche.

Le premier spectacle est prévu le samedi 5 octobre 2019, avec le comédien Jérôme Rouger.

Les Indépendants, pièce inspirée par les impressionnistes, est portée par une distribution de grande qualité.

L’Isle-Adam

Escape Game. Le musée d’Art et d’Histoire Louis-Senlecq et la ludothèque organisent un Escape game au sein de l’exposition Fantaisies. Jacques Henri Lartigue, décors et haute couture, samedi 18 mai, de 17h à 22h. Animation gratuite. Enfants, à partir de 12 ans. Durée : 45 mn environ. Créneaux disponibles : 17h, 19h, 20h, 21h. Réservation obligatoire : 01 74 56 11 23. Un livret-jeux est disponible à l’accueil pour une découverte ludique du musée.

Auvers-sur-Oise

Théâtre. Fidèle au théâtre de rue, la compagnie auversoise Les Matatchines investira la cour du musée Daubigny avec une création théâtrale et musicale, Les Indépendants. Sur une idée de Michel Clément, des Matatchines, David Lesné, a écrit et met en scène une pièce qui rend hommage aux impressionnistes en évoquant la révolution artistique qu’ils ont suscitée, dont se sont nourries les générations suivantes, en peinture, musique ou poésie.

Le spectacle est porté par une distribution de grande qualité, avec des décors de Sophie Musil, des costumes d’Angélique Chardon, Michel Clément lui-même, la comédienne et chanteuse lyrique Élise Beckers (dont un concert est programmé le 16 juin par le Festival d’Auvers), le comédien et accordéoniste Julien Gonzales (lauréat de nombreux concours internationaux).

Citations, chants, réparties enjouées, convictions libérées de l’académisme, actes de liberté, émaillent la pièce et apportent un éclairage original à cette fin du XIXe siècle chère à Auvers. 18 mai, cour du musée Daubigny, rue de la Sansonne, représentations à 18h30 et 20h30, entrée gratuite dans la limite des places disponibles.

Parcours culturel. Le château d’Auvers vous accueille samedi 18 mai, de 19h à 21h10 (dernière entrée) pour découvrir le parcours culturel Vision impressionniste : naissance et descendance. Tout public, entrée gratuite. Château d’Auvers-sur-Oise, chemin des Berthelées.

Françoise GOLDSTEIN avec R. Da.

L’année dernière l’épreuve reine du 10 km avait été remportée par Anthony Cognin. Sa succession est ouverte. Comme l’année dernière, un groupe de jazz sera présent tout au long de la matinée pour assurer l’ambiance. Espérons que le soleil sera, comme en 2018, de la partie.

Une semaine après le Tour de La Saussaye, les amateurs de course à pied ont rendez-vous dimanche prochain 19 mai à Boissey-le-Châtel pour les 10 Bornes de Boissey.

Dans l’enceinte du château

Servant de support pour la 6e manche du Challenge Bitume 27, cette épreuve se déroulera pour la 2e fois dans le magnifique cadre du château de Tilly : « Pour toutes les courses inscrites au programme les départs et arrivées auront lieu dans l’enceinte du château. En plus des 5 et 10 km, pour lesquels nous allons proposer cette année de nouveaux parcours qui conjugueront route et chemin, il y aura une course enfants de 700 m dans le parc du château, et une marche de 5 km », précise Geoffrey Goethals, conseiller municipal de Boissey-le-Châtel, et président de l’office municipal des sports, organisateur de cette 15e édition.

Chronos à battre

L’année dernière 150 coureurs avaient participé aux 5 et 10 km. Dans l’épreuve reine des 10 Bornes, Anthony Cognin (Vernon) avait remporté la mise en s’imposant en solitaire dans un chrono de 37’33 ». Dans le 5 km, le plus fort avait été le minime Philippe Ganea Henri en 18’58 ». Dimanche prochain les candidats à leur succession sont une nouvelle fois attendus nombreux. Avec l’objectif d’améliorer les chronos. « Ceztte année encore un groupe de jazz sera là pour assurer l’ambiance pendant les courses et la remise des récompenses », termine Geoffrey Goethals.

Pratique :

Horaires des départs : 5 km (9h30) ; 10 km (10h30) ; marche (10h45) ; course enfants (11h30)

Tarifs : 10 km (8 € avant le 18 mai, puis 10 € sur place) ; 5 km (6 € avant le 18 mai, puis 8 € sur place) ; marche (2 €) ; enfants (gratuit) récompense et goûter à l’arrivée pour les enfants.

Pour la marche et la course enfants pas de certificat médical demandé. Pour les courses des 5 et 10 km il faudra absolument un certificat médical ou une licence de la Fédération d’athlétisme (FFA)

Renseignements : 06 63 44 07 21.

Devant l’ascenseur en panne mardi 7 mai, les locataires de la résidence Capella ne sont pas au complet : il manque Jacqueline, handicapée et recluse chez elle. (©Nicolas Gaillard / Le Bulletin de l’arrondissement de Rouen)

À la résidence Capella située dans le centre-ville du Mesnil-Esnard, sur le plateau Est de Rouen (Seine-Maritime), l’ascenseur a été inutilisable pendant plus de sept semaines. Il est tombé en panne les 25, 27 et 28 mars derniers : trois locataires sont restés bloqués successivement entre 30 minutes et 1 h 30. Les locataires ont donc prévenu leur bailleur social CDC habitat et la société Otis qui gère l’ascenseur. Mais rien n’a évolué depuis, comme le dénonçait l’un des habitants : « Ils se renvoient la balle, cela fait ping-pong ».

Lire aussi : A Lonlay-l’Abbaye, quatre hommes restent bloqués dans l’ascenseur de la mairie un vendredi soir

Une majorité de personnes âgées

Construite en 2002, la résidence Capella accueille huit locataires sur trois étages avec un garage au sous-sol et aucun appartement au rez-de-chaussée. À l’exception d’un jeune couple et d’une jeune fille, la moyenne d’âge des habitants dépasse les 70 ans. Les personnes âgées de ces logements sociaux à loyer non modéré ont pris leur mal en patience en utilisant les escaliers en colimaçon dans l’attente de la remise en service de l’ascenseur.

Recluse chez elle depuis 50 jours

Mais ce n’est pas le cas pour tout le monde : Jacqueline Morice est handicapée. Pendant plus de 50 jours, cette habitante du deuxième étage est restée coincée chez elle et ne pouvait plus sortir. Atteinte de la maladie de Parkinson et d’un déséquilibre au niveau des jambes, elle ne peut pas marcher et ne peut se déplacer qu’en fauteuil roulant. Alors Jacqueline n’a pas pu profiter des jours ensoleillés du mois d’avril :

Au début, ça allait mais là j’ai fini par devenir impatiente. À Pâques, je n’ai même pas pu aller déjeuner chez ma fille qui habite à Amfreville-la-Mi-Voie. Je peux juste aller à la fenêtre, je ne peux même pas prendre un bain de soleil.

L’ascenseur est en effet son unique moyen d’accès vers l’extérieur, d’autant qu’elle ne se déplace pas sans l’aide de son conjoint. Tous les deux jours en moyenne, André Jaguelin, son conjoint a appelé la société Otis et CDC habitat : « À chaque fois, on tombe sur des plateformes. C’est invraisemblable de devoir attendre tout ce temps à cause d’une pièce défaillante. »

Lire aussi : Un ascenseur en panne pour plusieurs mois en gare de Rouen : pas de tramways pour les handicapés

Une mise en demeure envoyée au bailleur

Début mai, André Jaguelin a envoyé une mise en demeure au bailleur CDC habitat. Ce courrier fait office de pétition puisqu’il a été signé par l’ensemble des locataires de la résidence. « Nous avons très prochainement des rendez-vous médicaux importants avec des soins, aussi je vous mets en demeure de faire procéder à cette réparation avec diligence », a-t-il écrit. En cas de nécessité vitale, seuls les pompiers pourraient évacuer Jacqueline.

En cas de plusieurs semaines supplémentaires de blocage de l’ascenseur, cet habitant du Mesnil-Esnard avait informé le bailleur de son intention de déposer une requête au juge du tribunal d’instance, avec une demande de dommages et intérêts pour « privation de jouissance paisible de la chose louée » et « mise en danger de la vie d’autrui en cas d’urgence médicale ».

Voisin du couple, Francis est ulcéré par une telle situation dans une résidence de logements sociaux .

Aujourd’hui, on veut faire du social mais avec le cas d’une femme coincée chez elle depuis plusieurs semaines, ce n’est pas du social, soupire-t-il. 

Du côté de CDC habitat, un agent est intervenu sur place pour rencontrer des locataires le mardi 7 mai, à la suite de l’envoi du courrier de mise en demeure. Contacté par la Rédaction, le service communication du groupe CDC habitat, a expliqué qu’ « il y a eu un retard en effet car des pièces commandées pour réparer l’ascenseur ont été manquantes, ce qui a retardé la réparation qui doit avoir lieu bientôt. »

L’ascenseur fonctionne à nouveau

Mercredi 15 mai, après plus de 50 jours de panne, l’ascenseur a été remis en service par un technicien d’Otis qui a remplacé une pièce défectueuse. Recluse chez elle depuis presque deux mois, Jacqueline a enfin pu sortir respirer l’air extérieur, accompagnée de son conjoint.

« Quelle libération ! Enfin, on va pouvoir ressortir », s’exclame-t-elle, enchantée de pouvoir honorer une invitation le jeudi soir.

Pour autant, tout n’est pas encore réglé : l’appel d’urgence dans l’ascenseur ne fonctionne toujours pas. En cas d’éventuelle nouvelle panne, les résidents doivent penser à prendre leur téléphone portable lorsqu’ils utilisent l’ascenseur. Selon André Jaguelin, cette anomalie date depuis le début de l’année lors d’un changement de gestionnaire de l’ascenseur passé de Thyssen à Otis. Le locataire a prévenu le bailleur CDC habitat qui lui a répondu qu’il compte faire le nécessaire.

Les élus ont inauguré la nouvelle salle vendredi 11 mai. La question d’un collège a par ailleurs été abordée. (©la Renaissance le Bessin)

Commune de 480 habitants, Brouay (Calvados) avait déjà construit une salle des fêtes en 1985. Sur une surface de 200 m², elle permettait d’y organiser des soirées et diverses animations communales, mais elle se faisait vieillissante, exiguë et ne correspondait plus aux besoins.

419 000 € de travaux

Depuis plusieurs années, un projet d’extension et de remise aux normes était souhaité. Ce projet est devenu une priorité à la création de la commune nouvelle de Thue-et-Mue, dont Brouay est l’une des six communes déléguées. La décision lancée dès mars 2017 a conduit à engager des travaux de rénovation de l’existant et d’agrandissement sur une surface de 120 m², dans laquelle une cuisine, une salle de rangement et une salle pour les activités du Réseau d’aides maternelles y ont été aménagées.

L’ensemble des travaux de rénovation a conduit à apporter un meilleur comportement énergétique, des améliorations sécuritaires et des améliorations acoustiques. Le coût total de l’opération est de 419 000 €. Il a été subventionné par le Conseil départemental à hauteur de 64 700 €.

Le nouveau bâtiment a été inauguré vendredi 10 mai, en présence des sénatrices Sonia de la Provôté et Corinne Féret, du président du département Jean-Léonce Dupont, du conseiller départemental Philippe Laurent, mais aussi de Michel Lafont et Jean-Jacques Fabre, maires de Thue-et-Mue et Brouay.

Un collège à venir ?

Michel Lafont a tenu à remercier le Département pour les aides apportées aux différents projets. Mais regrette par ailleurs, en lançant un autre sujet :

« Les collégiens de Thue-et-Mue sont répartis sur cinq collèges. Selon leur village d’origine ils doivent se lever tôt le matin pour aller à Tilly, à Creully, Hastings, Dunois ou Jean-Moulin à Caen, explique-t-il. C’est une attente très forte des habitants de notre commune nouvelle pour la réalisation à moyen terme d’un collège. Nous avons plus de 650 enfants dans nos deux groupes scolaires, voire 1 200 en comptant les 5 communes de notre syndicat Enfance Jeunesse. Nous serons patients mais déterminés, car nous pensons que ce projet a vraiment du sens. »

Jean-Léonce Dupont, a pris acte de cette demande. Mais selon lui  :

« L’évolution démographique actuelle fait perdre environ 400 collégiens par an, soit presque l’équivalent d’un collège chaque année. La politique du Département est plutôt d’investir sur de nouveaux outils et de nouvelles technologies pour répondre au mieux aux besoins éducatifs, plutôt que de construire des collèges aux risques de les voir se vider. »

Éric Lefèvre, expert en charge de l’organisation de la vente, devant quelques unes des belles pièces de la vente. (©Simon Abraham)

Cela fait tout pile vingt ans que les peintres normands sont mis à l’honneur lors de ventes aux enchères publiques, à l’Hôtel des ventes de Bayeux (Calvados). Un nouveau rendez-vous se déroule ce dimanche 19 mai 2019, à 14 h 15, dans la salle des ventes.

Éric Lefèvre, expert en charge de l’organisation, espère que l’événement attirera la foule :

« Nous attendons entre 100 et 150 personnes, qui viennent d’un peu partout en Basse-Normandie. De véritables passionnés. »

Eugène Boudin exposé

Parmi les pièces proposées à la vente, des estampes, des gravures, mais aussi des dessins et tableaux du XIX^e mais aussi du XX^e siècle. Le célèbre peintre normand du XIX^e siècle Eugène Boudin, précurseur de l’impressionnisme, sera à l’honneur, avec la mise en vente notamment d’une aquarelle « Crinolines sur la plage ».

« Sans aucun doute l’œuvre phare de cette vente aux enchères. Elle pourrait partir entre 5 000 et 7 000 euros. »

Des artistes du Bessin

Parmi les autres peintures qui attireront sans doute le regard des spécialistes, une nature morte du XIX^e siècle de Guillaume Fouace. Celle-ci devrait être vendue aux alentours de 5 000 euros.

La nature morte de Fouace en question. (©DR)

Les peintres du Bessin sont eux aussi à l’honneur dans cette vente. Parmi eux, Septime Le Pippre, originaire de Villiers-le-Sec, avec sa série d’aquarelles, ou encore Léon-Gustave Ravanne, peintre de la seconde moitié du XIX^e siècle, qui a habité à Grancamp-Maisy, où il a peint l’huile sur toile « Portrait de marin pêcheur ».

Pas de vente sur Internet

Une chose est sûre : il y en aura pour toutes les bourses. D’une centaine d’euros à plus de 5 000 €. En revanche, ce dimanche, il ne sera cette fois pas possible d’enchérir en live sur Internet. Seules les personnes qui seront présentes à l’Hôtel des ventes le pourront.

Simon Abraham

Pratique
Exposition des œuvres le samedi 18 mai de 10 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 18 h, mais aussi dimanche 19 mai, de 9 h 30 à 11 h. Vente aux enchères ensuite à 14 h 15, à l’Hôtel des ventes de Bayeux, 14, boulevard Eindowen. Tel. 02.31.92.04.47. Catalogue sur www.interencheres.com

Le coffre-fort de la Poste de Crécy-en-Ponthieu a fait l’objet de la convoitise des voleurs dans la nuit du 6 au 7 mars dernier (©Le Journal d’Abbeville)

Les gendarmes de la brigade de recherches d’Abbeville ont interpellé quatre personnes suspectées d’une série de vols de coffres-forts dans la région, dont celui de Crécy-en-Ponthieu en mars.

Les quatre personnes ne reconnaissent pas les faits, mais ont été mises en examens et incarcérées.

Le mercredi 15 mai, les gendarmes sont intervenus chez les gens du voyage pour interpeller quatre personnes qu’ils suspectent d’avoir commis divers méfaits dont des vols de coffre-fort.

Mis en garde à vue, ils ont ensuite été placés en détention provisoire.

Ils sont mis en examen pour vols en bande organisée, tentatives de vols en bande organisée…

Nombreux vols de coffres

Rappelons que de nombreux coffres-forts ont disparu dans la région au sens large.

La maison d’accueil rural pour les personnes âgées (Marpa) « Le Beau Soleil » à Londinières a été victime d’un cambriolage fin décembre 2018.

Les auteurs ont dérobé le coffre-fort avec 550 €. En janvier, le coffre-fort du magasin Leader Price de Formerie avait disparu.

Raté à Crécy-en-Ponthieu

Lire aussi : Crécy-en-Ponthieu : dérangés en plein casse à la Poste

Plus récemment, le coffre-fort de la Poste de Crécy-en-Ponthieu a fait l’objet de la convoitise des voleurs, mais il est resté sur le perron. Aux alentours de 2 h 30, dans la nuit du 6 au 7 mars 2019, l’agence de la Poste de Crécy-en-Ponthieu a été cambriolée. Plusieurs individus ont tenté de dérober le contenu du coffre-fort de l’établissement. Ainsi, les cambrioleurs ont réussi à déloger le coffre-fort de son emplacement. À l’œuvre dans l’agence postale, les auteurs de ce cambriolage ont finalement été « dérangés » par l’alarme de l’établissement. Lorsque la gendarmerie est arrivée sur place, ils n’ont plus trouvé que le coffre sur le perron de l’établissement.

L’enquête est désormais confiée à un juge d’instruction qui devra déterminer le nombre de faits qui peuvent être attribués aux auteurs présumés.

Alexandre de Bosschere, procureur de la République, a fait savoir à nos confrères du Courrier Picard que

le parquet a été saisi de 13 faits de vols de coffres-forts et divers autres faits de vols aggravés. »

Le capitaine Lecornu a décoré 11 pompiers. (©Le Pays d’Auge)

La 28^e Compagnie d’incendie et de secours de la brigade des pompiers de Paris a organisé un périple de quelques jours à la Batterie de Merville-Franceville (Calvados) afin de procéder à une cérémonie de remise de médailles.

Ils étaient une trentaine de pompiers venant des casernes de Nanterre, Courbevoie, Rueil-Malmaison, et Puteaux. « J’ai un caporal qui habite à Amfreville, nous cherchions un lieu un peu atypique » a expliqué le capitaine Mathieu Lecornu. 

Mercredi 15 mai 2019, 11 pompiers ont reçu la médaille de la défense nationale bronze, argent ou or. Le capitaine a évoqué le débarquement, un sujet qui parle aux pompiers de Paris, eux-mêmes militaires.

Soyez fiers de votre engagement au service de la France.

L’après-midi, ils ont découvert l’histoire de la Batterie lors d’une visite guidée. Le lendemain, ils se sont rendus au musée Pegasus à Ranville.

Patrick Thomines, maire de Colleville-sur-Mer, souhaite que la météo soit favorable pour ces journées commémoratives.

Plusieurs jours d’animations sont prévus sur la commune avec quelques points forts à ne pas rater à ‘occasion du 75e anniversaire du Débarquement,. « Cette année encore, le programme est riche et varié et devrait amener des moments d’émotion à plusieurs reprises », souligne Patrick Thomines, le maire.

Dimanche 26 mai

À 10 h 30, une cérémonie du Mémorial day au cimetière militaire américain.

Lundi 3 juin

À 19 h, la municipalité participera à la cérémonie en l’honneur des vétérans, sur le site du WN62 (discours, lâcher de ballons, lanternes).

Du mercredi 5 juin au lundi 10 juin

Exposition d’uniformes féminins et de matériel médical dans la salle communale.

Mercredi 5 juin

À 17 h 30, cérémonie officielle à la Colonne de la 1re Division Américaine avec passage d’avions, détachement militaire et musique. Ensuite, accueil des vétérans et de leur famille dans les jardins de la mairie.

Mercredi 5 juin

À 18 h 30, en partenariat avec Eolia Normandie, projection de « Si Omaha m’était conté », sur la plage verte en bord de mer. À 20 h 30, projection du film « Il faut sauver le soldat Rayan », sur la plage verte sous le WN 62. Restauration et buvette sur place. À 23 h 30, grand feu d’artifice musical. Par ailleurs, le drapeau des anciens combattants de Colleville-sur-Mer revient en France après 75 ans passés aux USA.

Jeudi 6 juin

À 11 h, cérémonie commémorative binationale au cimetière américain en présence des présidents des États-Unis et de la France.

Vendredi 7 juin

À 10 h, dépôt de gerbes à la plaque des infirmiers du 2e Bataillon du 16e régiment de la 1re division américaine en présence des vétérans. À 11 h 30, accueil de la famille du Sergent Wesley George Garrard à la mairie. Les fils de ce dernier, mort en 2011, remettront au maire de la commune le drapeau des anciens combattants emmené par ce vétéran le 6 juin 1944.

Samedi 8 juin

À 20 h 30, dans l’église, concert pour chanter la libération, par la chorale du Molay-Littry.

Dimanche 9 juin

À 15 h, visite d’un groupe de 250 motos Harley Davidson. Cérémonie à la Colonne de la 1re Division américaine.

15 agents sapeurs-pompiers ou jeunes sapeurs-pompiers ont participé au challenge qualité départemental. (©La Renaissance du Bessin)

Fin avril 2019, les sapeurs-pompiers du Calvados étaient conviés à un challenge qualité départemental. Le centre de secours de Balleroy-sur-Drôme a envoyé quinze agents pour défendre les couleurs des soldats du feu biardais.

Des épreuves variées

« De belles performances », ont eu lieu lors de ce challenge, souligne Ludovic Martin, sapeur-pompier. Le challenge s’est composé d’un parcours sportif comprenant la traction d’un dévidoir, le lancer d’une commande, la progression dans une chicane, le franchissement d’une barrière, le passage d’une porte en portant un tuyau, ainsi que d’une épreuve athlétique.

Celle-ci est au choix du candidat. Il peut ainsi choisir une course de vitesse sur 100 mètres, un demi-fond, le lancer de poids, le saut en hauteur ou le grimper de corde.

Sur les quinze agents engagés, sept d’entre eux se sont qualifiés pour les épreuves zonales qui auront lieu à Laval, le 18 mai.

Les résultats en détail

Le centre de secours sera ainsi représenté par Bryan Berthout qui a fini 1er en vitesse, pour la catégorie cadet au challenge départemental ; par Louka Ginda, 4e minime sur le parcours sportif ; par Camille Lemonnier, 2e cadette du parcours sportif ; par Mathis Outrequin, 1er cadet du parcours sportif ; par Nicolas Précourt, 3e junior du parcours sportif ; Sarah-Marie Gaubiac, 1re minime en saut en hauteur et Pauline Précourt, 1re cadette en demi-fond. Nicolas et Pauline Précourt sont sapeurs-pompiers, les autres lauréats sont des jeunes sapeurs-pompiers.

Florent Rouillard a planté 300 arbres fruitiers bios à Chantenay-Villedieu (Sarthe) pour mettre en place son projet de parrainage. (©Marie Lamarque / Les Nouvelles de Sablé)

Pommiers, poiriers, pruniers ou pêchers, il y en a pour tous les goûts. « On a même planté des actinidias pour les kiwis ou encore des plaqueminiers pour les kakis », ajoute Florent Rouillard.

Maraîcher à Chantenay-Villedieu (Sarthe), il propose à ses clients de parrainer des arbres pour profiter de leurs fruits bios.

« C’est un système qui profite à tout le monde car ça me permet de financer une partie des investissements pour la construction et l’aménagement des parcelles. Il faut compter entre 7 à 8 millions d’euros environ pour installer le système d’irrigation, les clôtures, etc. Et puis surtout, ça crée un lien entre le parrain et moi », sourit le professionnel.

« Ils lui donnent le prénom de leur enfant »

Le système a déjà séduit quelques-uns de ses plus proches clients. Il faut compter environ 25 € pour parrainer un arbre. Une fois la variété choisie, le client peut donner un nom à son arbre.

Certains choisissent celui de leurs enfants. Je l’inscris ensuite sur une plaquette, puis je verse au parrain une partie de la récolte tous les ans. Comme il y a une grande diversité proposée, cela permet aux clients d’avoir des fruits toute l’année s’ils parrainent plusieurs arbres. Les périodes de récolter divergent selon les espèces. 

300 arbres fruitiers plantés

D’abord installé à Teloché, Florent a développé une deuxième exploitation à Chantenay, au lieu-dit du Theil, en août 2018 pour mettre en place ce projet.

À Teloché, je propose un panier bio via l’Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne (AMAP). J’avais aussi organisé une journée de chantier solidaire ainsi qu’une journée chantier solidaire mais je ne pouvais pas installer d’arbres fruitiers.

Les mains salies par la terre, Florent pointe fièrement l’espace qu’il a aménagé près de ses serres.

Ici j’ai plus d’un hectare pour planter les 300 arbres fruitiers. J’ai pu les espacer de six mètres environ pour qu’ils puissent pousser correctement. Je ne voulais surtout pas des troncs plantés mécaniquement les uns à côté des autres comme on peut voir dans certaines grandes exploitations.

« On ne fait que de la prévention »

Dans son exploitation, Florent traite à minima ces cultures « avec de la bouillie bordelaise notamment. En bio, on fait surtout de la prévention. J’utilise aussi des insectes, que l’on appelle des auxiliaires, afin d’éliminer les pucerons par exemple », explique-t-il.

Les produits de Florent sont mis à la vente au Mans, sur le marché de Pontlieue le mercredi et à l’AMAP de Teloché le vendredi soir.

« Je serai présent sur le marché rapide du soir de Chantenay dès la fin du mois de mai 2019, le jeudi, de 17 h à 19 h 30 », annonce-t-il.

Contact au 06 58 08 56 35.

Le jeune Lucas a disparu depuis le 17 mai à Angers (©DR)

Le forces de l’ordre d’Angers (Maine-et-Loire) signale la disparition de Lucas. Ce jeune homme de 17 ans a en effet disparu le 17 mai en début d’après-midi. Ce dernier n’a plus été vu depuis 14 h 20, après son dernier cours au lycée.

Lire aussi : Délit de fuite à Mont-Saint-Jean : appel à témoin

« Une probable fugue »

Ses parents se sont rapidement rapprochés de la Gendarmerie d’Angers pour informer les militaires « d’une probable fugue », selon les propres termes des parents.

Lucas est donc âgé de 17 ans. Il mesure 1,85 pour 65 kilos. Il est blond aux yeux marrons et a une cicatrice sur le menton.

Si vous avez des renseignements, vous pouvez contacter le commissariat du Petit Thouars au 02 41 57 52 00 ou les parents du jeune Lucas au 06 07 45 99 68 ou 07 68 83 88 37.

Si le jeune homme n’est pas réapparu à 16 h ce samedi 18 mai, les autorités diffuseront un avis de disparition inquiétante.

17 bars sont partenaires de l’application Bootleg à Toulouse. (©Bootleg)

Marre de devoir tout le temps s’assurer de l’épaisseur du porte-feuilles avant de boire un verre dans un bar ? Une application débarque à Toulouse pour vous offrir de quoi boire… gratuitement. 

Appli payante… conso gratuite

Bootleg a été lancée à Bordeaux (Gironde) en avril 2019 et a débarqué vendredi 17 mai 2019 dans la Ville rose. Le concept est simple : l’application, qui coûte 9,99€/mois (sans engagement ni condition), permet d’avoir droit à un verre, d’alcool ou non, gratuitement chaque jour dans un établissement de Toulouse, parmi les partenaires. Et ce, durant 30 jours, soit l’équivalent d’un mois.

Lire aussi : Bootleg : l’application qui permet d’avoir un verre gratuit au bar du coin tous les jours

Joffrey Canon, l’un des cofondateurs de l’application, précise : 

Le choix s’effectue parmi une sélection de trois ou quatre boissons, alcoolisées ou pas, dans chaque bar.

17 établissements à Toulouse

A Toulouse, 17 établissements ont signé un partenariat avec l’application, en centre-ville et en périphérie. Les trois cofondateurs les ont sélectionnés de manière naturelle : « On est rentré dans les bars comme des clients normaux. Si les gens étaient sympas, on commençait à discuter et on parlait avec eux de l’application. Mais s’il ne se passait rien, on ne parlait pas du projet. »

Voici la liste des bars concernés à Toulouse :

• l’Autruche (1, rue André Mercadier)
• La Biérothèque (90, chemin de Gabardie)
• Le Chupitos (19, rue des Changes)
• Le Danu (9, rue du pont Guilhemery)
• Le Delirium (54, allée Jean Jaurès)
• Le George and Dragon (1, place du Peyrou)
• La Couleur de la culotte (14, place Saint Pierre)
• La Confessionnal (22, rue des Polinaires)
• Les Illustres (9, place du Capitole)
• Le Papagayo (46, place Anatole France)
• Le Pery (22, rue Gabriel Péri)
• Le Rooster and Beer (100, rue Riquet)
• Le Saint des Seins (5, place Saint Pierre)
• la Taverne du Troll (11, avenue Maurice Hauriou)
• Le Tower of London (39, grande rue Saint Michel)
• V&B Compans-Cafarelli (3, esplanade Compans-Caffarelli)
• Le Zapata (26, allée des Foulques)

L’achat rentabilisé dès le deuxième verre

Avec ce système, et compte-tenu des prix pratiqués habituellement, l’achat de l’application peut être rentabilisé dès le deuxième verre. Si les verres offerts ne sont pas cumulables dans le temps, et perdus donc, s’ils ne sont pas utilisés, ils pourront toutefois permettre de boire un coup après la journée de travail… ou permettre de lancer une soirée en étant le premier verre d’une (longue ?) série.

Infos pratiques :
L’application est téléchargeable sur l’App store et sur Google Play. 

Chargé des sports et de la vie associative, Matthieu Jouneau (à gauche)  est venu inaugurer la fresque de 13 mètres de long sur 3 m de haut, en présence d’Angélique Rio, présidente de l’association et de membres du club canin. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Les deux containers ‘graffés’ ont nécessité plusieurs semaines de travail pour l’artiste Julian Target,  alias ArtKorbagad installé à Trélivan , près de Dinan, dans les Côtes d’Armor. 

« Le travail de conception et la réalisation, le changement de couleurs suite à un premier essai de fresque, m’ont pris un bon mois. La peinture à la bombe utilisée est une peinture spéciale extérieur, à l’acrylique. J’en ai utilisé plus de 60 ».

La fresque mesure 13m de long sur 3m de large. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Un club pérenne en régime de croisière

Soutenu par la ville de Dinan, le club fonctionne bien. Jean Delabrosse, aujourd’hui président d’honneur du Club Dinan sport canin, se souvient : 

« À nos débuts en 1979, nous étions une poignée à gérer 4 à 5 chiens .

Angélique Rio ajoute : 

« En 2019, ce sont 160 adhérents qui sont inscrits pour environ 250 chiens éduqués dans diverses disciplines : canicross, cani-marche, agility pour l’adresse, obéissance et pistage. Nous sommes 11 éducateurs diplômés plus trois autres en formation. »

Le club dispose de deux terrains d’un hectare et de 8 000 m².

En savoir plus : www.dinansportcanin.fr

Daniel Lebourgeois (à gauche) en compagnie de Sébastien Octau, le vice-président du club. (©Le Réveil de Neufchâtel)

Le club de judo de Beaucamps-le-Vieux (Somme) a été créé en 2012. Daniel Lebourgeois, son créateur, fait le point. 

Le Réveil : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de la création du club de judo ?

Daniel Lebourgeois : Le judo a fait son apparition à Beaucamps-le-Vieux dès 1997. Il faisait partie du Club de loisirs sportifs (CLS) dont faisait aussi partie le club des aînés, celui de marche, de piano. En accord avec le CLS, on a pris notre indépendance en 2012. Néanmoins, on a fêté nos 20 ans d’existence en 2017 avec Matthieu Bataille, multiple médaillé olympique et mondial.

Depuis quand pratiquez-vous le judo ?

J’ai seulement commencé en 2002. C’est en accompagnant mon fils aîné, Alexandre, que j’ai eu envie de m’y mettre. J’ai commencé comme tout le monde ceinture blanche. Aujourd’hui, je suis en cours de validation de mon 3^e dan. Mon deuxième fils, Nicolas, s’est également mis au judo. Lui aussi est désormais ceinture noire.

Combien de licenciés comptez-vous aujourd’hui ?

Nous en avons 69. Entre 70 et 80 c’est très bien car après cela pourrait poser des problèmes d’organisation. Plus on aura de licenciés, plus il nous faudra être disponible. D’autant que nous nous entraînons au gymnase de Beaucamps-le-Vieux, ce n’est pas notre salle. Il y a quelques années, on nous avait promis d’en mettre une à notre disposition. Nous attendons. Ne pas avoir de salle nous oblige à tout installer le vendredi pour tout démonter le lendemain. Cela prend à chaque fois plus d’une demi-heure.

Comment est constituée votre équipe ?

Aujourd’hui, le professeur, c’est Peter Reicher. Je suis son assistant. C’est nous qui assurons les cours principalement. Léo Accard et mon fils Nicolas sont également présents dans l’équipe. Ils peuvent nous suppléer en cas de besoin.

À quel moment vous entraînez-vous ?

Nous avons un créneau le vendredi soir de 17 h à 21 h et le samedi de 13 h à 18 h. Nous faisons également beaucoup de stages avec d’autres clubs. Récemment, nous étions à Etaples-sur-Mer. On échange beaucoup avec les autres clubs. L’entraide, c’est notre politique. On essaye aussi d’aller dans les écoles pour faire connaître notre sport.

Quelle serait votre plus belle satisfaction pour le club de Beaucamps-le-Vieux ?

D’avoir un champion de France, ce serait beau, en minime ou en cadet par exemple. On a déjà eu deux demi-finalistes au championnat de France. Cette année, Enzo Gosset est champion de la Somme en cadets un vice-champion minime, Gauthier Frère et une autre en senior, Marion Mortagne qui est qualifiée pour la demi-finale du championnat de France.

Organisez-vous des compétitions ?

Tous les ans, on organise un grand tournoi où on accueille environ 250 judokas en provenance d’une vingtaine de clubs. Mais à cette occasion, on met sur pied une compétition d’arbitrage pour les benjamins, en présence d’arbitres départementaux et un national. Je le dis aux élèves, le judo, ce n’est pas que la ceinture noire ou la compétition. Notre club ne vit pas que des compétiteurs. Nous n’en comptons qu’une vingtaine sur les 70 licenciés. Le judo a aussi besoin de commissaires sportifs et d’arbitres. Il faut montrer aux jeunes l’importance de ce rôle.

On vous sait très présent sur les réseaux sociaux, ils sont importants pour vous ?

Cela permet de communiquer avec les autres clubs. Nous avions un site mais les gens n’y allaient pas beaucoup. J’ai donc arrêté de l’alimenter. Désormais, tout passe par Facebook. Cela offre une vitrine pour notre club qui est vue par les autres clubs. Les parents s’en servent beaucoup aussi. C’est l’outil obligatoire.

L’édition précédente avait attiré de nombreux participants. (©L’Impartial)

Les coureurs et randonneurs sont attendus dimanche 19 mai 2019 au hameau du Mesnil Guilbert pour une animation ouverte à tous.

Concoctée par les Amis du Mesnil-Guilbert, une course d’orientation partira à partir de 9h30 au cœur du hameau. Les éditions précédentes avaient déjà un connu un succès pour les organisateurs. Les participants se verront tous offrir cette année encore une récompense.

Course d’orientation dimanche 19 mai à partir de 9h30 au cœur du hameau du Mesnil Guilbert. Tarifs : 9h30 (solo sportif 3€), 10h30 : duo (à partir de 11 ans) 5€, 11h15 (1 adulte + 1 ou 2 enfants jusqu’à 11 ans) 3€. 10h Randonnée de 1h30 (se présenter 20 min avant) 3€ par personne. Bulletin d’inscription disponible sur le blog de l’AMG. Inscriptions auprès de Ludovic Dessalles, idessalles@yahoo.fr ou 06 16 98 53 38 ou sur place. Verre de l’amitié offert.

Des idées de sorties pour tous les goûts ! (©La Presse de la Manche)

Animations

• Cherbourg en couleurs #2 samedi à Querqueville : L’association Cherbougetoi et l’école de Preeti proposent une découverte culturelle du festival Holi en Inde ; avec des animations musicales, des villages d’associations, des lâchers de poudre de couleurs et des concerts. Restauration sur place : food-truck et produits locaux. De 14 h à 00 h 30, plage verte de Querqueville. Gratuit.
• Fête du Printemps à Equeurdreville : Dimanche 19 mai, 10 h à 18 h, terrain Sainte-Anne, rue Surcouf, Équeurdreville-Hainneville. Organisée par la Dynamique des commerçants. Au programme des animations : un bateau pirate de huit mètres, un trampoline, des aquabulles, un manège, du tir à la carabine et un chamboule-tout ; des ballades à poney, de la pétanque, une expo photo, un troc de plantes, etc. Restauration sur place. Gratuit.
• Fête du jeu à Yvetot-Bocage : Dimanche 19 mai, de 10 h à 17 h, complexe sportif. Organisée par l’association des parents d’élèves de l’école l’Amicale laïque. Le but étant de s’amuser en famille avec les différents ateliers proposés. Buvette, gâteaux sur place. Tarifs : 2 €, gratuit pour les moins de 2 ans. Contact : 06 27 58 65 51.
• Fête foraine à Créances : Samedi 18, dimanche 19, mercredi 22 mai, 14 h et 21 h, place de Fraternité, parking du cimetière.

Lire aussi : Concerts, animations et poudre à gogo… Le programme de Cherbourg en Couleurs #2

Concerts

• Mélodies en sous-sol à Cherbourg  avec le trio à cordes Joseph Hel. Programme musical anglo-normand avec Cheryl Frances-Hoad, jeune compositrice anglaise et Aubert Lemeland, compositeur normand né à La Haye-du-Puits en 1932, le tout arbitré par Beethoven, l’intemporel. Interprété par Julien Churin, violon ; Cédric Lebonnois, alto et Geneviève Koerver, violoncelle. Samedi 18 mai, 15 h 30, salle Paul Eluard, le Quasar, esplanade de la Laïcité, Cherbourg-Octeville. Gratuit. Contact : 02 33 23 39 40, bibliotheque.prevert@cherbourg.fr.
  Le trio se produira également le soir à la Galerie Bër – Le Ballon Rouge à Cherbourg.

• Un voyage en musique à Équeurdreville-Hainneville : L’Ensemble vocal et orchestral du Cotentin propose un concert exceptionnel samedi soir à l’Agora d’Équeurdreville. Trois chorales du Cotentin, Harmonia de Cherbourg, la Valmontaise de Valognes et Cant’Roches de Rocheville, chanteront ensemble, soit 70 choristes et 80 musiciens, accompagnés par dix comédiens de l’Arlequin, dirigés par Joseph Raoul, qui joueront des entractes en guise d’un fil conducteur du concert, construit autour du thème du voyage. Deux représentations, à 15 h et 20 h 30. Rens. au 06 50 78 60 48.
• Trompette chante Trompette à Digosville : Jean-Pierre Petit est un trompettiste avec un parcours jalonné de rencontres avec des musiciens internationaux. Il a choisi les églises partager son répertoire classique, jazz, gospel et variétés. Concert au profit de Laurine Perrotte. Samedi à  20 h 30, église. Tarif : 5 €. Contact et réservation : 06 87 44 38 08, associationlaurine@gmail.com
• La Canterie du Rey à Barneville-Carteret : La Canterie du Rey, chorale du pays de Coutances, et sa chef de chœur Frances Hook proposent un programme varié : extraits des Pêcheurs de perles de Bizet, chants sacrés et profanes, chants du monde, arrangements originaux. Samedi à 20 h 30, église. Gratuit.
• Concert de printemps de l’Harmonie municipale à Bricquebec avec la participation de l’orchestre juniors de l’école de musique mais aussi des majorettes « Les enchanteresses du Donjon ». Entrée gratuite. Buvette, gâteaux. Samedi 18 mai, 20 h 30, salle Jean-Eliard, espace Matignon. Gratuit. Contact : 02 33 52 13 99, 02 33 52 13 99, jojo-fleur@sfr.fr
• Musique traditionnelle à Saint-Lô-d’Ourville : L’association des Amis du Manoir du Parc invite les groupes Les Goublins et Les Ecraoulettes pour son premier bal folk. Au programme musiques et danses traditionnelles folk. Ouverture des portes à 20 h. Début des concerts à 20 h 30. Samedi 18 mai, 20 h 30, Manoir du Parc, 3, le Parc, Saint-Lô-d’Ourville. Tarifs : 5 €, gratuit pour les moins de 16 ans. Contact et réservation : 06 62 27 29 95, 02 33 94 02 22, amisdumanoir@hotmail.com, http://manoirduparc.com
• L’Écho des Marais à Carentan-les-Marais : Dans le cadre de l’opération Mille Chœurs pour un Regard, la chorale l’Echo des Marais de Méautis (près de Carentan) sous la direction de J-Jacques Blanchard, avec la participation de Chorale Amarrage de Cherbourg donneront un concert au profit de Rétina France (recherche médicale en ophtalmologie). Samedi 18 mai, 20 h 30, salle de théâtre, rue de la Halle, Carentan. Gratuit. Contact : echodesmarais@orange.fr

Théâtre

• La Hague : « Le coup de la cigogne ». Pièce interprétée par la troupe Hague en scène. Samedi 18 mai, 20 h 30, centre culturel, Beaumont-Hague. Tarifs : 6 €, gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. Contact et réservation : 06 73 34 13 98.
• Eperlecques à l’espace culturel des Pieux : Pour le dernier rendez-vous théâtre de la saison, la Cie HDVZ présente Eperlecques, récit d’une adolescence porté par plusieurs voix… Celle de Lucien qui affronte les années du collège. Celles de sa famille dont les souvenirs éclatés créent un récit en mosaïque. Celle d’un conférencier omniscient, qui travaille encore avec des transparents et un rétroprojecteur, qui décrypte ce qui dépasse les individus. Un prétexte pour parler de la violence du collège, des premiers émois (homo) sexuels, de la famille, de l’adolescence… Samedi à 20 h 30 à l’espace culturel. Dès 12 ans, durée 1 h. Tarif 9 €, réduit 4 € sur justificatif. Renseignements et réservations au 02 33 10 11 20. Billetterie en ligne : Weezevent.

• Barneville-Carteret : Représentations. La troupe Mimesis vous propose deux pièces : « L’expédition » jouée par les enfants et « Retour au pensionnat Saint-Ignace » interprétée par les adultes. Ces pièces se joueront en extérieur, face à la mer. Dimanche 19 mai, 15 h 30, au Carpe Diem, plage de Barneville. Tarif : gratuit, consommation obligatoire. Contact : 02 33 52 58 84, 06 77 99 29 27, martine.bartaire@orange.fr

Lire aussi : Cherbourg : au programme de la 25e édition des Téméraires, festival de théâtre amateur

Braderies et vide-greniers

• Beaumont-Hague : Vide-greniers organisé par le Secours populaire. Réservation obligatoire. Dimanche 19 mai, 8 h à 18 h, salle polyvalente, rue Hague-Dike, Beaumont-Hague. Tarif : 5 € la table et les deux chaises. Contact et réservation : 02 33 43 22 78, spf50@orange.fr
• Cherbourg : Vide-greniers organisé par l’association des parents d’élèves de l’école Bayet. Dimanche 19 mai, 8 h à 17 h, école Albert Bayet, rue René-Schmitt, Cherbourg-Octeville. Tarif : 2 € le mètre. Contact et réservation : 06 17 84 11 32.
• Les Moitiers-d’Allonne : Vide-greniers organisé par l’association des parents d’élèves, les Chardons bleus. Buvette et restauration sur place. Exposants en alimentaire refusés. Réservation obligatoire : téléphoner aux heures des repas. Dimanche 19 mai, 8 h à 18 h, cour de l’école. Tarif : 2 € le mètre. Contact et réservation : 06 75 08 96 45, 06 77 10 15 90, apeleschardonsbleus@gmail.com
• Saint-Lô : Braderie organisée par le secours populaire de Saint-Lô. Vente de vêtements, linge de maison, bibelots, vaisselle, livres et jouets. Samedi 18 mai, 14 h à 16 h, 21, rue de l’Yser.
• Saint-Lô : Tri-Tout solidaire. Déstockage de mobiliers, vaisselles, bibelots. Samedi 18 mai, 9 h à 12 h, déchetterie, 606, rue du Petit-Candol. Contact : 02 33 05 83 86.
• Tamerville : Vide-greniers. 90 exposants. Organisé par Tam’culture. Restauration sur place. Dimanche 19 mai, 8 h, La Cardetterie, le bourg. Tarif : 2 €. Réservation : 06 32 09 46 59, 02 33 40 25 35, jane.frigot@hotmail.fr
• Valognes : Grand débarras du Secours populaire. Au local du Gravier : ameublement, literie, électroménager, livres, etc. Au local de La Tassinerie : bibelots, vaisselle, jouets, vêtements, linge et chaussures, vente au sac pour le linge. Samedi 18 mai, 10 h à 12 h et 14 h à 17 h, le Gravier.

Lotos

• Anneville-en-Saire : Samedi 18 mai, 20 h 30, salle des fêtes. Organisé par le comité des fêtes. Lots : bon achat de 300 €, salon détente avec deux fauteuils et une table, perceuse, lot apéro, lot viande, corbeille de fruits. Une partie pour les enfants. Restauration sur place. Réservation : 06 60 92 49 38, 00 45 23 72 21.
• Carentan-les-Marais : Samedi 18 mai, 20 h 30, salle des fêtes, Carentan. Organisé par le club de l’amitié de Carentan. Dote de 2000 € de lots. Bons d’achats de 300 €, 150 €, 100 €, paniers garnis, lot apéritif, autres lots. Loto plus loto star. Animation Bernadette, réservation répondeur ou sms. Payant. Contact et réservation : 07 68 56 30 11, sadot.gilbert@free.fr
• Fontenay-sur-Mer : Samedi 18 mai, 19 h 30, salle de la mairie. Lots : un bon d’achat de 200 €, 1 bon d’achat de 100 €, deux bons d’achat pour lots de viande, un bon d’achat carburant, deux lots plateaux fruits de mer ou poisson, un lot apéritif, un jambon fumé et bien d’autres lots. Restauration sur place. Tarif : 3 € le carton, 8 € les 3 cartons, 12 € la plaquette.
• Montebourg : Samedi 18 mai, 20 h 30, mairie. Organisé par l’Amicale sportive. Lots : un bon d’achat de 300 €, un de 100 € et bien d’autres, paniers garnis, repas… Partie gratuite pour les enfants de moins de 12 ans. Tombola, restauration et buvette sur place. Payant. Inscription avant le 17 mai. Contact : 06 25 42 44 67.

Soirées dansantes

• Bal masqué à Cherbourg : Proposé par Danses en Manche. Le grand salon de l’hôtel de ville de la commune déléguée de Cherbourg sera ouvert aux danseurs. Au programme : rock, salsa, bachata, kizomba, kuduro, valse, madison et disco. Accès sur invitation nominative. Samedi 18 mai, 19 h, grand salon de l’hôtel de ville, 2, place de la République, Cherbourg-Octeville. Gratuit. Contact et réservation : 06 52 15 44 84, dansesenmanche@gmail.com
• Saint-Sauveur-le-Vicomte : Orchestre Emmanuel-Rolland. Venez danser toutes sortes de danses en couple (rock, cha cha cha, valse, tango) et d’autres danses latines. Réservation conseillée, paiement à l’inscription. Laisser un message sur le répondeur avec vos coordonnées pour vous rappeler. Samedi 18 mai, 21 h, salle des fêtes, place Auguste-Cousin. Tarif : 13 €. Contact et réservation : 06 73 58 17 38, 02 33 45 91 12.

Nuit des musées

• Soirée « zazou » au fort du Roule à Cherbourg : Pour cette nouvelle Nuit des musées, et pour fêter le 75^e anniversaire de la Libération, Cherbourg vous fera swinguer au Fort du Roule au son de la musique jazz des « zazous ». Concerts « Il faut que ça swing ! Soirée zazou » et « le camion jazz ». De 19 h 30 à minuit. Gratuit.
• Maison Prévert à Omonville-la-Petite : Six comédiens survoltés retracent en musique l’épopée du groupe Octobre, la troupe d’agit-prop où Prévert a fait ses premières armes de poète et de dramaturge dans les années trente. Alternant textes de Prévert et chansons de l’époque, le groupe Octobre rend hommage au Prévert militant. Samedi à 21 h, Maison Jacques-Prévert, Le Val. Gratuit. Contact et réservation : 02 33 52 72 38, musee.omonville@manche.fr.manche.fr
• Rendez-vous nocturne au Manoir du Tourp à Omonville-la-Rogue : Cette soirée permettra à chacun de découvrir d’une façon ludique et insolite la nouvelle expo temporaire Fabuleux outils de jardin créée en partenariat avec le Jardin Botanique de Vauville. Avec la compagnie Acta Fabula, la spécialiste du jardin Emilie Dumarest, proposera un jeu en continu pour petits et grands, samedi de 20 h à 00 h, au manoir du Tourp. Gratuit. Contact et réservation : 02 33 01 85 89, letourp@lahague.com
• Maison Millet à Gréville : La Maison natale de Jean-François Millet ouvre ses portes pour un concert de Yannick Bonnissent qui chante Cotis Capel. Samedi à 20 h 30, Maison natale Jean-François Millet, hameau Gruchy, Gréville-Hague. Gratuit. Contact : 02 33 01 81 91, maisonmillet1814@orange.fr

Pierres en lumière

• Au château de Bricquebec : Dans le cadre de l’opération nationale Pierres en lumière, le Pays d’art et d’histoire propose une visite nocturne théâtralisée du château de Bricquebec le samedi 18 mai. Éclairée à la torche, cette visite sera également agrémentée par les interventions facétieuses d’un personnage costumé : le redoutable archiviste de la baronnie de Bricquebec ! La visite guidée débutera à 21 h. Rendez-vous devant l’office de Tourisme, place Sainte-Anne. Animation gratuite. Contact : Pays d’art et d’histoire, pah.clos.cotentin@wanadoo.fr. Tél. 02 33 95 01 26.
• Au moulin de Bellefontaine à Grosville : À l’occasion de la 9^e édition de Pierres en lumière, le moulin de Haut de Bellefontaine ouvre ses portes au public. Des bénévoles auront à cœur de vous faire visiter, avec les explications nécessaires à la compréhension, un moulin exceptionnel, dernier vestige du génie des hommes des siècles passés. Dans la lumière vacillante des lanternes et lumignons, le rouet en bois, énorme pièce maîtresse du fonctionnement, tournera à nouveau pour la première fois depuis 120 ans. Dès la tombée de la nuit, vers 21 h, la mise en lumière permettra des explications, des visites guidées, dans et autour du bâtiment, pour comprendre le travail des bénévoles qui se relaient avec passion pour conserver ce témoin des siècles passés.
• Au lavoir des Fontaines à Carentan : Rdv samedi à partir de 21 h. La ville de Carentan propose de conter l’histoire du Lavoir des Fontaines par Maryse Le Goff, puis un concert de la Carentelle et enfin un spectacle des Majors Girls « hautement inflammable » avec des bâtons de feu. La soirée se terminera par un dessert aux chandelles « sur inscription obligatoire et payante » préparé par l’amicale du personnel municipal avec de la teurgoule et de la gâche. Réservation en mairie, Tél. 02 33 42 74 00

Un artiste de renommée internationale présente une œuvre monumentale au château de Carneville
Ce week-end, le château de Carneville offrira un spectacle monumental dans le cadre de la 11e édition de Pierres en lumières. L’artiste Karls se produira samedi à 20 h 00.

Carte. Manche : 56 sites seront ouverts en nocturne et gratuitement pour Pierres en Lumières 2019
Samedi 18 mai 2019, 56 sites, répartis sur l’ensemble de la Manche, proposent des animations originales et conviviales à l’occasion de la 11e édition de Pierres en Lumières.

Journée des moulins

• Vicq-sur-Mer : Dimanche, dans le cadre de la Journée européenne des moulins et du patrimoine meulier le matin (8 h – 12 h 30), le public pourra voir la boulangère faire le pain et le cuire dans un four à bois. L’après-midi (14 h – 17 h 30) il pourra visiter le moulin en fonctionnement. Visite libre à tarif réduit (3 € au lieu de 4 € pour les adultes, 1,50 € de 7 à 17 ans, gratuit jusqu’à 6 ans). Fabrication et vente de pain, crêpes et farine. Organisé par l’office de tourisme du Cotentin.

Randonnées

• Au Vast : Les Randonneurs des marais de Picauville organise leur randonnée cette semaine au Vast. Rendez-vous samedi à 13 h 30 à Picauville place du Général-Leclerc ou sur le parking des Cascades du Vast à 14 h. La randonnée partira à 14 h 30 pour 11 km. A l’issue de la randonnée, un réconfort. 1 € pour les non adhérents. Contact : 06 07 48 09 95, maunoury.mathilde@yahoo.fr
• Les Sentiers de la Hague dimanche à Biville : Les Sentiers de la Hague, VTT et randonnée pédestre, sont organisés par l’amicale cycliste les Haguards. Cette année, tous les départs et arrivées ont lieu à l’espace détente de Clairefontaine sur Biville. Inscriptions sur place à partir de 7 heures ou de préférence via Internet sur www.leshaguards.fr. La participation est à 6 € pour le VTT et trail, 4 € pour la marche. Randonnées VTT : 85 km, départ 7 h 45 ; 64 km, départ 8 heures ; 43 km, départ 8 h 30 ; 30 km, 9 h 15. Parcours trail : 25 km, 9 h 10 ; 16 km, 9 h 25 ; 11 km, 9 h 35. Parcours pédestre : 15 km, 9 h 40 ; 11 km, 10 heures. Restauration et buvette sur place

Jardins

• Ouverture du jardin du presbytère de Brucheville : Accueil au jardin du presbytère samedi et dimanche de 14 h à 18 h, avec Irène la jardinière pour découvrir l’exubérance des euphorbes, les bouquets de viburnums, les géraniums vivaces et les premières roses anciennes. Le jardin est au n° 3 rue de l’Eglise, se garer sur le parking. 4 €, gratuit pour les moins de 16 ans. Contact : 09 65 32 74 14, duchemin.jp@orange.fr

Cherbourg : un magnifique jardin privé à découvrir dès ce week-end
Le Jardin Chou de Francine Pin, à Tourlaville, ouvrira ses portes au public ce week-end. Un jardin de ville de 1 400 m2 particulièrement bien entretenu.

Sous la conduite des deux influenceurs Cédric et Vincent un peloton d’une cinquantaines de cyclistes a pris la direction des plages du débarquement pour une balade de 92 km filmée par Skoda. (©Philippe Rifflet / Liberté le Bonhomme Libre)

Samedi 18 mai 2019, une cinquantaine de cyclistes, tous fans du « Club Skoda Normandie » et de son binôme d’animateurs, Cédric et Vincent, se sont retrouvés de bonne heure sur le parking de la concession Skoda Saint-Clair Automobile à Hérouville-Saint-Clair avant de partir pour une balade de 92 kilomètres sur les plages du débarquement jusqu’à Bayeux. Objectif suivre et faire des images du peloton sur les sites historiques de la bataille de Normandie en cette année exceptionnelle du 75e anniversaire du Débarquement.

Influenceurs reconnus

« Influenceurs » reconnus par la marque d’origine Tchèque, Cédric et Vincent sont suivis par plus de 30 000 personnes sur Youtube,  près de 9 000 fans sur Facebook et 7 000 sur Instagram. 

Cédric et Vincent sont les animateurs de la Team Skoda Normandie. Leur chaîne Youtube est suivie par plus de 30 000 personnes. (©Philippe Rifflet / Liberté Le Bonhomme Libre)

Si Skoda s’intéresse autant au cyclisme c’est parce que les deux fondateurs de la marque ont d’abord fabriqué des vélos avant de se lancer dans l’automobile. C’est en 1895, en République Tchèque que Laurin et Klement ont fabriqué leur premier prototype de bicyclette.

Partenaire du Tour de France

La marque perpétue aujourd’hui cette histoire en finançant des équipes professionnelles et en étant partenaires du Tour de France depuis 2004. C’est en Skoda que le directeur du Tour et ses équipes circulent ainsi à travers la France tout au long des trois semaines de course en juillet.

Samedi, pour leur tour sur les plages du Débarquement, Cédric et Vincent étaient accompagnés d’une équipe vidéo de la marque.

Partager une passion avec le plus grand nombre

La marque se réjouit de l’engouement ressenti autour de ses actions en faveur du cyclisme.

L’ambition est de faire vivre notre passion du vélo au plus grand nombre. C’est pour ça que nous avons créé la Team Skoda qui compte 13 clubs en France dont le club normand animé par Cédric et Vincent. Notre page Facebook compte aujourd’hui 50 000 fans… explique Antonin représentant de la marque et membre de l’équipe vidéo.

Pour la concession d’Hérouville, outre un moment sympa et convivial puisqu’au retour le peloton a « ravitaillé » avant de se dire à la prochaine, « c’est une belle exposition et montre notre dynamisme… »

Montpellier était venu avec l’objectif de bousculer Saint-Étienne. (©MHSC)

Respectivement blessé et suspendu, Ruben Aguilar et Daniel Congré ne figurent pas dans le groupe du MHSC concocté par Michel Der Zakarian pour la réception du FC Nantes, ce samedi à 21h, au stade de la Mosson, pour la 37ème et avant dernière journée de Ligue 1 de football.

L’entraîneur montpelliérain, Michel Der Zakarian n’a pas non plus retenu Keagan Dolly, ni Facundo Piriz dans la composition du groupe, convoqué ce soir. En revanche, il a convoqué Bryan Passi, 21 ans.

L’opération « Un abonné, un invité » ce soir. (©MHSC)

En course pour la Ligue Europa

Le MHSC, actuellement 5ème au classement, est encore en course pour aller chercher la 4ème place synonyme de qualification pour la Ligue Europa. Lors du dernier match de cette saison, les Montpelliérains se déplacement à Marseille. L’OM n’est pas en grande forme actuellement, alors pourquoi pas un beau résultat dans le temple marseillais.

Fidèle à son engagement annuel, les dirigeants du MHSC renouvellent l’opération « Un abonné, un invité », lors de l’ultime rencontre de chaque saison au stade de la Mosson. C’est donc pour ce soir, pour la réception des Canaris.

La composition du MHSc face à Nantes, ce soir. (©MHSC)

François Housseau, le maire de Bellot, n’est pas inquiet des conclusions de la Chambre régionale des comptes, « le budget étant équilibré ». (©Le Pays Briard)

À la suite de nombreuses dépenses d’investissement et de la baisse des dotations, les finances de la commune avaient besoin de rentrées supplémentaires.

Le maire a donc présenté ce printemps un budget primitif comportant une hausse de 30 % du taux des taxes locales. «Nous avons réalisé beaucoup de travaux depuis 2014, notamment le groupe scolaire », explique le maire François Housseau. « Nous avons fait des investissements plus que nécessaires. Ces travaux n’avaient pas été faits par les équipes précédentes et les dotations de l’État ont également considérablement diminuées. Pour présenter un budget équilibré, il nous fallait donc trouver des ressources. »

Rejet à bulletins secrets

De fait, le budget primitif 2019 a été rejeté par la majorité des conseillers municipaux. Tout d’abord lors de la séance du 4 avril dernier. Les élus ont procédé à un vote à bulletins secrets du taux des taxes locales et leur hausse a été rejetée (à bulletins secrets) par neuf voix contre, trois pour et une abstention. Le budget primitif étant rejeté dans les mêmes conditions par huit contre, trois pour et deux abstentions.

Nouvelle séance le 17 avril avec un résultat identique. Ce soir-là, le maire explique que « la hausse de 30% des impôts locaux est nécessaire à l’équilibre du budget et au respect des engagements pris auprès des soutiens financiers (Département) pour la réalisation des travaux de l’année 2019 ». Mais devant les incertitudes quant à la pérennité de ces hausses, cette augmentation de 30 % du taux est encore rejetée par neuf voix contre et cinq pour.

Une hausse pérenne ou non ?

Le budget primitif est également refusé par neuf contre, trois pour et deux abstentions. « Pour l’avenir, tout dépendra évidemment de la politique nationale. On est encore en train de taper sur les communes. La taxe d’habitation était le seul moyen des communes », explique maintenant François Housseau.

Le maire avait aussi rappelé que le rejet du budget mettait la Commune en retrait par rapport à ses créanciers. « Pour certaines petites entreprises locales, cette attente peut être difficile », nous confie-t-il.

On compte maintenant sur un avis extérieur

Le budget a donc été renvoyé en préfecture qui a jusqu’au 18 mai pour saisir la Chambre régionale des comptes. Ensuite, la CRC aura un mois pour faire ses recommandations. La commune sera donc sans budget jusqu’aux environs du 20 juin prochain. Quelle conclusion rendra-t-elle ? Le maire se dit peu inquiet : « le budget est en équilibre. Je ne vois vraiment pas comment elle pourrait le modifier… Je pense que la majorité des conseillers qui ont voté contre le budget voulaient surtout un avis extérieur et des perspectives sur plusieurs années. » Affaire à suivre…