
Même si toutes les caméras ne sont pas opérationnelles le 25 janvier, «les premières le seront ce jour-là», affirme-t-on du côté de Pontoise. En tout, vingt caméras , dont une mobile, devraient quadriller le territoire pontoisien dans les prochains jours (lire encadré). «Certaines seront doublées à la demande de la police pour des besoins d’identification de plaques d’immatriculation», indiquait Philippe Houillon, jeudi 8 octobre, lors d’une réunion de quartier organisée à Marcouville.
Pour le député-maire (Lr) de Pontoise, «la vidéoprotection n’est pas l’alpha et l’omega de la réponse à l’insécurité et aux incivilités mais un outil parmi d’autres dont il serait dommage de se priver».
À noter que le coût total maximal des travaux et de l’installation de la vidéoprotection a été estimé à 500 000 euros, dont 120 000 euros pris en charge par l’État et 152 413 euros par le Département.
Les implantations possibles
Les implantations possibles
Avenue de Verdun / chemin du Nouveau-Saint-Martin ; place de la Piscine ; rue de l’Hermitage / quai du Pothuis ; place du Souvenir ; rue Gambetta / rue Jules-Lambert ; rue Thiers (haut des marches) ; place du Général-de-Gaulle ; rue de Gisors (face à la citadelle) ; place Van-Gogh ; place de la Paix ; boulevard de l’Europe ; avenue Kennedy / avenue Bougara ; rue Henri-Matisse ; avenue du Maréchal-de- Lattre-de-Tassigny (face à la salle de sports ; chaussée Jules-César / avenue François-Mitterrand ; gare routière haute ; rue de l’Hôtel-de-Ville ; rue des Étannets / rue de Rouen ; chaussée Jules-César / rue de Rouen. Plus une caméra mobile.