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Yvelines. Les travaux du cinéma de Maurepas vont reprendre en avril

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Les travaux du cinéma au Village des loisirs à Maurepas (Yvelines) sont en suspens depuis quasiment un an.

Les travaux du cinéma au Village des loisirs à Maurepas (Yvelines) sont en suspens depuis quasiment un an. (©78actu/photo d’archives)

Dernier rebondissement dans la construction du cinéma au Villages des loisirs, dans la zone Pariwest, à Maurepas (Yvelines).

Depuis mars 2019, les travaux sont à l’arrêt. Jean-Philippe Julia, directeur général du groupe SNES-CinéMovida, promoteur du projet, avait évoqué dans notre édition du 25 septembre 2019, un problème de devis et une réorganisation interne au sein de la direction du groupe qui avait « tout bloqué ».

Contrat avec CGR Cinémas

Finalement, un contrat a été signé vendredi 14 février, puis acté mercredi 19 février avec le groupe CGR Cinémas pour reprendre le projet.

Nous avons racheté le cinéma de Cholet (Maine-et-Loire) à SNES-CinéMovida et dans un deal global, nous devenons maître d’œuvre délégué dans la construction du cinéma de Maurepas », annonce Robert Laborie, directeur du développement de CGR Cinémas. Cinémovida avait besoin de se rapprocher de personnes qui ont l’habitude de faire des cinémas et c’est notre cas car nous avons 72 établissements en France. »

Concrètement, CinéMovida va continuer à porter le projet et construire le cinéma et CGR Cinémas deviendra propriétaire et exploitant du site à la fin des travaux.

 Nous allons intervenir dans la construction, notamment au niveau des entreprises pour faire gagner à CinéMovida du temps et de l’argent », précise Robert Laborie.

CGR Cinémas compte 25 millions de spectateurs dans ses cinémas par an et est le premier exploitant français en nombre de cinémas depuis le rachat du groupe Cap’Cinémas en 2017.

Ouverture à l’été 2021

Le projet restera sensiblement le même. Le cinéma comprendra 8 salles de projection sur 5 000 m2 et deux niveaux. En tout, le site comptera 1 701 fauteuils et une salle Ice haute technologie.

C’est une technologie d’immersion avec des écrans latéraux, des fauteuils inclinables, etc., qui plongent vraiment le public dans le film, décrit Robert Laborie.

Les travaux devraient donc reprendre fin mars-début avril, pour une durée de 15 à 18 mois, soit une ouverture entre juin et septembre.

« Il faut remettre en marche le chantier mais ça va redémarrer très vite », assure le directeur du développement.


Patrimoine : ils font entrer le gallo dans leurs commerces en pays de Loudéac

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Mireille Horvais, de la bibliothèque d'Uzel, Sabine Céréda, bénévole, Hélène Gustin, animatrice patrimoine du CAC Sud 22, et Brigitte Coguic, de la bibliothèque de Plémet.

Mireille Horvais, de la bibliothèque d’Uzel, Sabine Céréda, bénévole, Hélène Gustin, animatrice patrimoine du CAC Sud 22, et Brigitte Coguic, de la bibliothèque de Plémet. (©Le Courrier Indépendant)

Dans le cadre du Mois du gallo, l’association CAC Sud 22 a imaginé une sorte de double étiquetage des produits ou des tarifs dans les commerces qui le veulent bien (ils sont 16 dans un premier temps) , avec la complicité du groupe « Caozons d’mème ».

L’idée est astucieuse : ramener la langue  (encore très vivace notamment chez les personnes âgées), dans la vie quotidienne comme jadis, en faisant réapparaître des mots de base, les plus courants, dans les vitrines.

Lire aussi : Plémet : les 1er et 2 février au gallo lors de la truite du Ridor

Les élèves vont fabriquer les étiquettes

L’association CAC Sud 22 a donc proposé aux enfants de la région de réaliser des étiquettes, correspondant aux produits les plus courants ou à des tarifs de prestation. Ils vont, comme en BD, remplir de grandes bulles (au format A4), à l’aide de lettres autocollantes ou de normographes (ces sortes de pochoirs que les élèves connaissent bien). Evidemment, l’association fournit aussi une liste de vocabulaire en gallo, à recopier…

Les commerces participants

Ils sont signalés par une affichette « Ilë on caoze galo ! ». A Uzel : les deux boulangeries, le fleuriste, la poissonnerie, le coiffeur. A Plémet : la supérette Vival, les deux coiffeurs, les deux boulangeries et l’opticien.. A La Chèze : la supérette Vival. A Laurenan : le café associatif « Cœur de bourg ». A Mûr-de-Bretagne : l’Intermarché, ainsi que les commerçants du marché. A Saint-Caradec : la supérette Vival. A Loudéac : le McDonald’s.

Lire aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gallo

Où ça se passe ?

Les ateliers de création de bulles en gallo vont circuler sur plusieurs communes, dans les bibliothèques municipales. C’est gratuit, ouvert aux enfants à partir de 8 ans (mais les petits frères et sœurs, comme les adultes qui les accompagnent, seront reçus de tout cœur). Il faut s’inscrire au 02 96 28 93 53, pour que l’association CAC Sud 22 prévoit assez de matériel pour tout le monde.

Les dates : samedi 8 février, à 14h30, Pavillon Météor, 5, rue du Pavillon, Uzel. Mercredi 12 février, à 14h30, bibliothèque, 2, rue des Etangs, Plémet. Mercredi 19 février, à 14h, médiathèque, 1, rue des Lavandières, Laurenan. 21 février, à 14h30, école primaire L’Hilvern, Saint-Caradec (l’activité est réservée aux scolaires).

Seine-Saint-Denis. Le miel d’Épinay-sur-Seine reçoit une médaille d'or

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Le miel cultivé et récolté à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a été récompensé par la Métropole du Grand PAris.

Le miel cultivé et récolté à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) a été récompensé par la Métropole du Grand PAris. (©Pixabay)

Il y a quelques semaines, le miel d’été récolté par l’association l’Apicole Spinassienne, installée à Épinay-sur-Seine en Seine-Saint-Denis a été récompensé par la plus belle des médailles.

Lire aussi : Seine-Saint-Denis. Vous aimez les mangas, direction Épinay-sur-Seine

Et c’est bien la médaille d’or qui a été attribuée au miel cultivé et récolté à Épinay lors du concours prestigieux de la Métropole du Grand Paris.

268 candidats

268 candidats avaient tenté leur chance, dans cette catégorie des miels d’’été et 19 d’entre eux seulement ont obtenu une médaille d’or, après avoir été départagés par un jury de 155 fins connaisseurs.

L’association ne compte qu’une dizaine de ruches dans la commune d’Épinay, parmi lesquels le fameux butineur urbain installé depuis 2014 place d’Oberursel, mais ne souhaite pas en développer davantage afin de ne pas mettre en concurrence les abeilles domestiques avec les abeilles sauvages et les autres insectes pollinisateurs.

Le miel d’Épinay-sur-Seine est donc d’exception tant en qualité qu’en quantité.

Karaté : Encore des médailles nationales pour le KC Penly

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Comme chaque année, le KC Penly n'est pas rentré bredouille de la coupe de France wado-ryu.

Comme chaque année, le KC Penly n’est pas rentré bredouille de la coupe de France wado-ryu. (©KCP)

Comme chaque saison depuis longtemps, le Karaté club de Penly, à Petit-Caux,  était présent à la coupe de France wado-ryu le samedi 8 février 2020.

Comme chaque année, le club cher à Corinne Petit n’est pas rentré bredouille de ce rendez-vous national.

Avec trois médailles dont une d’argent et quatre cinquièmes places, les Penlyais ont de quoi se montrer satisfaits et ils peuvent aborder les prochaines compétitions avec sérénité et la sensation du devoir accompli.

Cette année, c’est au Bouscat, dans la banlieue de Bordeaux qu’a eu lieu la coupe de France wado-ryu et six représentants du KC Penly ont effectué ce long déplacement.

Tous ont eu à cœur de faire le maximum dans un contexte particulièrement relevé et ils ont donné une belle image de leur club.

Louanne Quilan et Naël Bloc en bronze

Ainsi, chez les pupilles filles, Maëlys Wasielewski, qui vit sa première année de compétition, a pris part à cette coupe en katas.

Nullement impressionnée pour sa première participation à la coupe de France, elle réalise une belle prestation qui lui permet de se classer au cinquième rang, juste au pied du podium.

Son frère Mathys a, de son côté, matché chez les benjamins, et il obtient le même classement après également une prestation intéressante.

Dans la même catégorie, on trouve aussi Naël Bloc qui avait gagné cette compétition la saison dernière en tant que pupille ; pour sa première en benjamins, il réussit à monter sur la troisième marche du podium.

Lire aussi : Karaté : Bon début d’année pour le KC Penly

Côté féminin, pour Louanne Quilan, c’était aussi une première chez les cadettes et elle a pris part à la compétition en katas et en combats.

Elle n’a rien à regretter même si elle est passée à côté de quelque chose de grand et peut-être d’une victoire.

C’est le cas en katas où elle échoue pour la troisième place pour un drapeau (et donc un jugement).

En revanche, en kumite, le niveau était élevé et cela a donné lieu à de belles bagarres, mais la jeune Penlyaise est allée chercher une belle troisième place.

De l’argent pour Corinne Petit

Chez les juniors, Antoine Douay était en lice en moins de 68 kg en combats.

Il réalise aussi un beau parcours, mais échoue également d’un point pour la troisième place, ce qui ne doit pas lui retirer le sentiment d’avoir bien représenté son club.

La dernière Penlyaise en compétition était la professeure Corinne Petit qui a concouru en katas avec les vétérans féminines (catégorie qui commence à 36 ans) alors qu’elle aurait logiquement dû se retrouver en vétérans 3.

Deuxième la saison dernière, elle a récidivé en remportant une nouvelle médaille d’argent pour cette nouvelle participation à la coupe de France.

On peut toujours s’inscrire

En attendant les prochaines compétitions, Corinne Petit tient à signaler qu’il est toujours possible de rejoindre le KC Penly à tout moment de l’année.

Ainsi, le cours baby (pour les tout-petits âgés de 4 à 6 ans) se déroule le mercredi de 18 h à 19 h ; pour les enfants (âgés de 7 à 12 ans), rendez-vous le mercredi et le vendredi de 18 h à 19 h.

Les cours pour les ados et les adultes ont lieu chaque mercredi et chaque vendredi de 19 h à 20 h 30 et enfin des cours karaté seniors sont également proposés les mercredis et vendredis de 19 h à 21 h.

Foot à Quimper : le Racing Corpo Kemper en tête de son championnat

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L'équipe du Racing Corpo Kemper s'appuie sur un groupe de 25 joueurs cette saison.

L’équipe du Racing Corpo Kemper s’appuie sur un groupe de 25 joueurs cette saison. (©Racing Corpo Kemper)

Le foot corpo à Quimper (Finistère) et dans ses environs, ce sont deux championnats. Comme chez les pro, il y a une ligue 1 et une ligue 2.

Le Racing Corpo Kemper (RCK) est actuellement en tête de la ligue 1 devant les Glénan et Plonéour. L’équipe est encore invaincue cette saison. 

« Une bande de copains »

Pour Olivier Touchard, l’un des trois présidents du RCK, les raisons de ces bons résultats sont faciles à trouver : 

Nous les devons à un groupe dont le niveau est homogène et à notre état d’esprit. Nous sommes avant tout une bande de copains sur et en dehors du terrain. 

Le groupe s’appuie sur 25 joueurs. Tous ont entre 30 et 40 ans, sont pour la plupart de jeunes papas. Certains ont évolué dans différents clubs de Quimper (Ergué-Armel, Kerfeunteun…), d’Ergué-Gabéric voire de Plozévet en pays bigouden et de Gourin dans le Morbihan !

Sur le terrain, un de leurs jeux de maillots reprend les mêmes couleurs que le club argentin de River Plate comme on peut le voir sur leur photo de page Facebook : 

Publiée par Racing Corpo Kemper sur Dimanche 2 février 2020

 

Sylvain Suignard est lui aussi président. Il indique :

Beaucoup d’entre nous sommes venus au corpo avec l’envie de nous amuser, de continuer à jouer sans les contraintes d’aller à l’entraînement deux fois par semaine.

Le Racing Corpo Kemper n’a été créé qu’en 2016. Il découle d’une section foot loisirs, apparue à Pluguffan, près de Quimper, en 2014. « Pour notre première année en ligue 2, nous avons gagné le championnat et nous sommes montés en ligue 1. Par la suite, nous avons terminé 3e à deux reprises », rappelle Régis Amalir, le 3e président. 

Trois coaches et trois capitaines

Ce partage de responsabilités entre trois présidents est une particularité de l’association. L’équipe compte également trois coaches et trois capitaines. Olivier Touchard reprend : 

C’est une façon d’impliquer un maximum de personnes dans le fonctionnement de l’association et que chacun se sente concerné. 

Après chaque match, un petit résumé est publié sur la page Facebook de l’équipe. Non sans humour : 

Ce n'était pas un temps à mettre un footballeur sur un terrain ce matin!🌬🌨 et alors que les Loups étaient déjà sortis de…

Publiée par Racing Corpo Kemper sur Dimanche 16 février 2020

Cela fait aussi partie du charme de cette équipe et de ce championnat. Les rencontres à domicile du Racing Corpo Kemper ont lieu au stade de Kernilis, le long de la Voie romaine à Quimper. « Mais dès qu’un terrain synthétique est disponible à Penvillers, Créac’h Gwen ou Ergué-Armel, on essaie de l’avoir », glisse Sylvain Suignard. 

Lire aussi : Quimper. Un nouveau terrain synthétique à Ergué-Armel

Prochain match : dimanche 1er mars 2020 face à la New Team. Cette équipe évolue aussi à Quimper. Elle est actuellement lanterne rouge. 

Lannion. Luc Kerlouët épaté par les motards du Dakar

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Luc Kerlouët vient de boucler son dix-huitième Dakar. En Arabie Saoudit, il était l'intendant des 100 motards.

Luc Kerlouët vient de boucler son dix-huitième Dakar. En Arabie Saoudite, il était l’intendant des 100 motards. (©Le Trégor.)

Adios l’Amérique Latine et les Picaros. Bonjour le pays de l’or noir.

C’est à Marseille que Tintin Kerlouët a embarqué avec les véhicules du Dakar à bord d’un gros cargo, un jour de décembre. Pour dix jours de mer. Le Jolly Vanadio Top, barré par un commandant russe, a mis le cap sur Jeddah, la plaque tournante de l’Arabie Saoudite.

En route pour des étapes inédites. Avec un fabuleux terrain de jeu : 

Un désert qui fait la taille de la France et des paysages magnifiques. »

« Les malle-motos partent avec le minimum »

Le baroudeur d’Amaury Sport Organisation, qui vient de boucler son 18ème rallye était l’intendant des 100 motards.

Véritable papa poule, Luc Kerlouët est plus que jamais épaté par les performances des pilotes amateurs, les malle-motos comme on les surnomme : 

Ils font le Dakar sans assistance. Ils partent avec le minimum. Dans leur malle, une tente, un sac de couchage, quelques fringues, des outils. Ils ont droit à une paire de roue de rechange. La dernière semaine, ils font tout pour finir. Franchir la ligne est pour eux un aboutissement. Il y avait beaucoup d’émotion à Qiddiya à l’arrivée de la dernière étape. Chapeau à eux ! »

Le Trégorrois a forcément une pensée pour le motard portugais Paulo Gonçalves, 40 ans, décédé lors de la 7e étape après une chute.

Il le dit sobrement :

Ce sont des moments terribles… »

Luc Kerlouët au pays de l’or noir. Le Lannionnais, qui vient de boucler son 18ème Dakar, nous livre ses souvenirs saoudiens de l’édition 2020. Un carnet de voyage à découvrir dans Le Trégor de ce jeudi 20 février.

Municipales à Toulouse. Nadia Pellefigue veut des services du quotidien à 5 minutes de chaque habitant

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Nadia Pellefigue, candidate aux municipales à Toulouse les 15 et 22 mars 2020, veut créer des services quotidiens pour les Toulousains "à 5 minutes de chez eux".

Nadia Pellefigue, candidate aux municipales à Toulouse les 15 et 22 mars 2020, veut créer des services quotidiens pour les Toulousains « à 5 minutes de chez eux ». (©Actu Toulouse/Anthony Assémat)

À moins d’un mois du premier tour des élections municipales à Toulouse, qui se déroulera dimanche 15 mars 2020, les candidats ont passé la vitesse supérieure dans le déroulement de leur programme.

Les projets déjà présentés

À gauche, la candidate Une Nouvelle Energie (UNE) Nadia Pellefigue, soutenue par le Parti communiste français (PCF), le Parti radical de gauche (PRG), le Parti socialiste (PS) et le mouvement « Occitanie Pais Nostre », a déjà abattu certaines de ses cartes avec la volonté de créer, entre autres, un « Octogone Parc » sur les boulevards, de piétonniser la rue de Metz et le Pont-Neuf, de créer un tramway rapide, de prolonger des deux côtés la ligne A du métro, de mettre en place un RER toulousain, de créer un bouclier végétal, ainsi qu’un permis de végétaliser pour chaque habitant, 

Lire aussi : Municipales 2020 à Toulouse. Voici, dans l’ordre, les 71 candidats de la liste de Nadia Pellefigue

Mercredi 19 février 2020, c’est avec… 5 minutes de retard que Nadia Pellefigue a précisé un autre de ses projets pour la Ville rose : « Toulouse, ma vi(ll)e en 5 minutes ». Pourquoi ce concept ?

Durant nos déplacements, les Toulousains nous ont fait remonter leur volonté de vivre dans leur quartier, auquel ils s’identifient. Certains quartiers ont le sentiment d’être à l’abandon, comme la place de Milan, à Papus, qui est un point noir de la qualité de vie et de l’environnement, avec un entretien inexistant.

« Augmenter les espaces de rencontres »

Pour la liste Une Nouvelle Energie, « de nombreux quartiers sont devenus des cités dortoirs, sans services et commerces de proximité, sans lieux de loisirs ». Le concept des « 5 minutes, qui représente 300 mètres à pied ou 1 km à vélo » sera décliné pour « rapprocher les Toulousains de l’offre de services dont ils besoin » et « faire vivre les quartiers et assurer un lien social en augmentant les espaces de rencontres ». 

Lire aussi : Municipales 2020 : Nadia Pellefigue veut réduire de moitié la part de la voiture à Toulouse

Nadia Pellefigue et ses colistiers avancent des chiffres concrets, selon eux, pour « remettre en place de la proximité » : « -25% de budget sur les espaces verts, -25% de subventions aux associations et -13% de budget pour le fonctionnement des écoles ».

Santé, logement, transports…

Le projet de la candidate, qui aspire à devenir la première femme maire de Toulouse, promet aux Toulousains, à la fin de son mandat, de trouver, à 5 minutes de leur maison, un parc, un transport en commun, une école, une crèche, un professionnel de santé – médecin libéral ou infirmier, avec la création de Maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) – des toilettes publiques, l’accès à un équipement sportif couvert ou en extérieur, à un commerce de proximité, ou à « un lieu culturel pour s’essayer à la musique ou aux arts plastiques ».

Nadia Pellefigue complète :

Nous voulons créer 1 500 places en crèche sur le mandat, c’est assez ambitieux. Sur les écoles, dix ont été construites sur le dernier mandat. Tant mieux, mais le nombre de postes d’Atsem créés n’est pas en adéquation. Pour les Maisons de santé, il faut suivre les aspirations de la nouvelle génération de médecins et trouver des solutions au foncier, qui est cher. Beaucoup de médecins s’installent dans le périurbain.

La candidate UNE envisage également de revoir le nombre de tournées des éboueurs, créer des antennes du Conservatoire de Toulouse et diversifier les commerces dans les quartiers, pour combler notamment « les déficits en boucheries et en poissonneries ».

Lire aussi : Municipales 2020. Nadia Pellefigue veut en finir avec « le désordre architectural » à Toulouse

La création de kiosques de solutions

Le programme renferme une autre idée, toujours dans un esprit de proximité : la création de « kiosques de solutions, des lieux conviviaux où les Toulousains pourront trouver une solution à toute demande d’information de service, ou encore de lien avec d’autres habitants ou avec la collectivité », explique l’équipe de la candidate. Nadia Pellefigue souhaite regrouper dans ces kiosques la permanence municipale, la création d’une conciergerie de quartier, des guichets uniques pour le logement et les seniors, et des infos pratiques sur le quotidien. Nadia Pellefigue explique :

Les mairies de quartier sont surtout dévolues aux tâches administratives, tandis que l’on pourra s’appuyer sur les Maisons de la citoyenneté. Nous souhaitons aussi consacrer 5% du budget d’investissement aux budgets participatifs, soit 8 millions d’euros par an. 

Stopper la baisse des subventions, mais…

Pour celle qui est encore vice-présidente de la Région Occitanie en charge du Développement économique, de la Recherche, de l’Innovation et de l’Enseignement supérieur, la proximité c’est aussi la vitalité des associations. « Nous allons stopper la baisse des subventions, mais pas de façon aveugle, poursuit la candidate. On ne va pas rehausser de 25% d’un coup ! L’objectif sera d’évaluer l’impact réel des projets des associations sur les quartiers et l’efficacité des subventions. Aujourd’hui, il existe des subventions qui sont mal utilisées« .

Les prochains temps forts de la campagne de Nadia Pellefigue et de la liste Une Nouvelle Energie seront une réunion publique pour développer le projet sportif municipal, lundi 2 mars 2020 à 18h dans les locaux de Hors Ligne (41, avenue Etienne Billières) – avec la revalorisation des subventions, un plan d’action pour le sport féminin et encore une Biennale des jeux des quartiers, des Jeux olympiques 100% Toulousains dans le cadre des JO 2024 -.

Mardi 10 mars 2020, se tiendra le grand meeting d’avant-premier tour à la salle Mermoz. Si le programme n’est pas encore défini, Nadia Pellefigue promet des « surprises » au cours de la soirée…

Une nouvelle présidente pour le comité des fêtes des Trois-Mesnil à Noues-de-Sienne

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Catherine Brison est de retour à la présidence.

Catherine Brison est de retour à la présidence. (©La Voix Le Bocage)

Les membres du comité des fêtes des Trois Mesnil (Le Mesnil-Benoît, Le Mesnil-Caussois et Mesnil-Clinchamps) se sont retrouvés jeudi soir pour élire un nouveau bureau.

En début de séance Yvan Hus, président du comité depuis deux ans confiait : 

Je suis content de l’expérience qu’ont été mes deux années de présidence. Je veux bien donner un coup de main mais gérer c’est différent et je manque de temps pour l’instant pour bien faire les choses ; c’est pour ça que j’ai décidé de passer la main »

Ça n’était pas une surprise pour la vingtaine de membres présents et le scrutin a été rondement mené à la faveur d’un consensus général. Sans surprise non plus le retour à la tête du comité de Catherine Brison, présidente de 2014 à 2018. Le nouveau bureau s’est d’ailleurs aussitôt attelé à boucler les derniers détails de la soirée entrecôte-purée prévue le 14 mars;

Lire aussi : À 21 ans, encore étudiante, Koraline Madeleine rachète le salon de coiffure à Mesnil-Clinchamps

Nous avons également programmé notre méchoui annuel le 30 août et la soirée loto le 10 novembre », a confirmé la présidente qui envisage également une nouvelle participation à La Marche des Roses en octobre à Granville

Ont également été élus : Vincent Lebois, quitte son poste de secrétaire adjoint et devient vice-président, Huguette Lebrec conserve son poste de trésorière, Marie-Claire Charles conserve son poste de trésorière adjointe, Christine Blouin conserve son poste de secrétaire, Aurélie Vaudry entre dans le bureau au poste de secrétaire adjointe.

En fin de soirée, des cadeaux ont été remis à Natéo, Milo, Jules et Clara 4 bébés nés récemment.

Lire aussi : Le comité des fêtes récolte 175 € pour le Téléthon à Mesnil-Clinchamps


Handicap : à Laval, un état des lieux de l'accessibilité avec Jaccede

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Jeudi 20 février 2020, les huit jeunes en service civique invitent les personnes intéressées à les rejoindre pour une journée autour de l’accessibilité.

Jeudi 20 février 2020, les huit jeunes en service civique invitent les personnes intéressées à les rejoindre pour une journée autour de l’accessibilité. (©Courrier de la Mayenne)

Huit jeunes en service civique se mettent au service du handicap. Jeudi 20 février 2020, à Laval (Mayenne), ils invitent les personnes intéressées à les rejoindre pour une journée autour de l’accessibilité. Dans leurs mains, un outil : Jaccede, application mobile et site internet qui répertorie les lieux accessibles aux personnes en situation de handicap, quel qu’il soit.

« Le matin, il s’agira d’une formation à Jaccede. Il faut apporter son pique-nique pour le midi. Puis nous partirons pour un rallye dans Laval. Chaque trajet peut être adapté aux personnes qui se joindront à nous », indique l’équipe, qui se rendra ainsi dans plusieurs lieux publics. Sur Jaccede, il s’agira d’indiquer la présence, ou non, des dispositifs répondant aux besoins des personnes en situation de handicap. Certains lieux sont sur la carte mais n’ont pas été bien renseignés.

La journée est ouverte à tout le monde, et chacun peut venir quand il le souhaite.

Pratique : jeudi 20 février, rendez-vous à 10h à la maison de quartier des Fourches. Retour à 16h30 pour le goûter. Prévenir de sa venue par mail à veas.uc@gmail.com ; tél. 07 78 69 45 21.

Elections municipales à Quimper : les propositions d'Isabelle Assih pour le logement, la solidarité, la santé, le vivre ensemble...

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Construire une ville solidaire, l'un des piliers de la campagne de Quimper Ensemble.

Construire une ville solidaire, l’un des piliers de la campagne de Quimper Ensemble. (©Côté Quimper)

Isabelle Assih, la tête de liste Quimper Ensemble, qui rassemble les différentes composantes de la gauche, était entourée de nombreux colistier(e)s pour présenter à Quimper (Finistère), mercredi 19 février 2020, le volet de son programme consacré à la solidarité. Une façon de marquer l’importance de ce thème, « un pilier de notre volonté politique ».

Cet axe fondamental, sur lequel nous travaillons depuis plus d’un an, est très attendu de la population. Lors des réunions publiques que nous avons organisées, nous avons beaucoup été interrogés sur les questions et les préoccupations de la vie de tous les jours, sur le bien vivre dans les quartiers.

Pour Isabelle Assih, la politique des solidarités « n’est pas celle de la charité ». Elle recouvre de nombreux secteurs et se doit de « promouvoir le bien vivre ensemble » avec pour mot d’ordre « la ville pour tous ». 

Lire aussi : Élections municipales 2020 à Quimper : Isabelle Assih veut être une maire écolo

Un logement pour tous

En termes de logement, la Ville doit porter une politique de logement favorisant la mixité sociale et générationnelle, et une offre équitable répartie dans l’ensemble des quartiers.

Quimper Ensemble envisage :

  • la création de 500 nouveaux logements chaque année dont un minimum de 30 % de logement social
  • la réhabilitation de 50 logements insalubres par an notamment en hyper centre.

« Nous voulons créer un Guichet unique du logement, en centre-ville, qui regrouperait tous les acteurs du logement afin d’informer, de conseiller, d’orienter les usagers.

Contre l’exclusion, la pauvreté

Faire plus pour ceux qui en ont le plus besoin. Pour cela, Quimper Ensemble souhaite mettre en place un Observatoire local de la pauvreté et de l’exclusion afin d’établir un diagnostic et agir en conséquence.

Nous voulons travailler avec tous les acteurs de la solidarité, renforcer les partenariats existants afin de favoriser l’insertion sociale et professionnelle, l’accompagnement des personnes en situation d’exclusion.

Quimper Ensemble n’est pas contre le déménagement de l’hôtel social actuel dans un autre lieu, toujours en centre-ville, ce qui permettrait de repenser les services offerts : la mise en place de plage d’accueil en journée, « ce qui n’est pas possible actuellement », la création d’un service bains-douches ouvert en journée. « Il est important également de repenser l’accueil des personnes avec leurs animaux ».

Lire aussi : Elections municipales 2020 à Quimper : Isabelle Assih met en avant ses candidats citoyens

Quimper et ses aînés

Près de 30 % des habitants de Quimper ont plus de 60 ans. La solidarité envers les aînés peut se traduire au niveau du transport, de l’accès à la culture, aux loisirs, au sport, du logement, de la lutte contre l’isolement. 

Nous devons prendre des initiatives fortes pour offrir à nos aînés des solutions dans ces différents domaines 

  • en repensant l’environnement urbain, 
  • en soutenant les associations intervenant auprès des personnes âgées et notamment l’Arpaq dans ses actions de prévention,
  • en accompagnant les aidants familiaux,
  • en renforcant l’offre de transport à la demande,
  • en aidant les personnes qui souhaitent vivre le plus longtemps possible chez elles.

Les propositions sont également nombreuses en direction des personnes en situation de handicap.

La Ville doit tout mettre en oeuvre pour rendre accessible l’ensemble de ses services, garantir l’accès aux droits et soutenir l’aspiration à plus d’autonomie dans la vie quotidienne;

Parmi ces propositions, la création d’un Conseil local du handicap regroupant l’ensembles des acteurs, l’adaptation de la ville par la mise en place d’équipements adaptés et accessibles à tous.

Accès aux soins et à la santé

Manque de médecins généralistes, de spécialistes, difficultés à l’hôpital, « face à ce constat, la Ville doit prendre des initiatives en complément du partenariat et de l’accompagnement des acteurs publics et privés de santé ». Avec comme points principaux : la création d’un centre municipal de santé et des négociations auprès des mutuelles « pour lutter contre le non-recours aux soins ».

Infos pratiques. Quimper Ensemble organise jeudi 20 février une réunion publique à la MPT d’Ergué-Armel à 18 h 30. 

Val-d'Oise. À Marines, le festival de toupies, yoyos et diabolos du monde a fêté ses 10 ans !

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Le stand de l'Indonésie avec Ludovic Petit, président des Dragons du Ciel.

Le stand de l’Indonésie avec Ludovic Petit, président des Dragons du Ciel. (©La Gazette du Val-d’Oise)

Cette nouvelle édition du festival de toupies, yoyos et diabolos du monde a, une nouvelle fois, rencontré un succès incroyable à Marines (Val-d’Oise).

Une reconnaissance qui surprend même ses créateurs : Ludovic Petit, président des Dragons du Ciel, et Jim Boehm, président de l’académie du Beau Geste.

Nombreuses nations représentées

Depuis dix ans, cette manifestation a en effet pris de l’ampleur, à tel point que plus de trente invités étaient présents cette année.

Parmi eux, il y avait Agus Mat Djani, fabricant de toupies à Sumatra, qui était accompagné de Monsieur Nando, délégué de l’ambassade d’Indonésie.

Le stand de la Grèce.

Le stand de la Grèce.

Les autres nations représentées étaient l’Allemagne, la Grèce, le Mexique, la Hongrie, les États-Unis, la Colombie, la Belgique et la France, avec diverses régions représentées.

Commune partenaire de ce festival, la municipalité a souhaité un bon anniversaire à cette manifestation qui surprend par son originalité.

« À l’heure du tout numérique, quel plaisir de se retrouver autour d’un jeu qui réunit toutes les générations et nous permet de partager ces moments de rire et de plaisir », souligne Nadine Ninot, maire (Se) de la commune.

Démonstration avec la plus grosse toupie.

Démonstration avec la plus grosse toupie. (©La Gazette du Val-d’Oise)

Plus de 350 enfants ont été accueillis entre le 29 janvier et le 2 février et une partie d’entre eux a participé aux ateliers et différents tournois. Des démonstrations de toupie, yoyo et diabolo ont permis aux invités de démontrer leur virtuosité. Quant aux sportifs, ils ont pédalé pour actionner un tour à bois et fabriquer une toupie.

Robert DÉMARD

La liste « Le Croisic ensemble ! » menée par Jean-François Chanteur

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Une partie de la liste « Le Croisic ensemble ! » conduite par Jean-François Chanteur

Une partie de la liste « Le Croisic ensemble ! » conduite par Jean-François Chanteur (©DR)

Jean-François Chanteur qui a reçu l’investiture de La République En Marche pour ces élections municipales 2020, vient de dévoiler la composition de sa liste « Le Croisic ensemble ! » qui affiche une moyenne d’âge de 60 ans.

Lire aussi : Le Croisic : la permanence du candidat aux municipales taguée

La composition de la liste

  1. Jean-François Chanteur, chef d’entreprise, 62 ans ;
  2. Babette Cassac, commerçante retraitée, 63 ans ;
  3. Marc Lepetit, juriste, 30 ans ;
  4. Dominique Derain von Krause, libraire retraitée, 74 ans ;
  5. Gwénaël Tanguy, architecte DPLG urbaniste, 50 ans ;
  6. Édith Pilard, documentaliste, 59 ans ;
  7. Éric Bénazet, cadre supérieur énergie, 55 ans ;
  8. Myriam Autrand, fonctionnaire territoriale retraitée, 64 ans ;
  9. Charles Vachon, coordonnateur sécurité chantiers, 57 ans ;
  10. Martine Lepage, conseillère conjugale retraitée, 67 ans ;
  11. Yannick Artignan, professeur retraité, 75 ans ;
  12. Georgette Bissot, pédiatre retraitée, 70 ans ;
  13. Dominique Tellier, artisan retraité, 64 ans ;
  14. Béatrice Baudaux, serveuse en restauration, 58 ans ;
  15. Éric Drieux, cadre de l’industrie retraité, 65 ans ;
  16. Chantal Rivalin, éducatrice spécialisée retraitée, 67 ans ;
  17. Marc Théry, formateur retraité, 67 ans ;
  18. Nicole Barreau, vendeuse en boulangerie, 59 ans ;
  19. Frédéric Prévot, chef de projet, 52 ans ;
  20. Rym Lancini, assistante maternelle, 42 ans ;
  21. Jean-Jacques Antin, président de société, 68 ans ;
  22. Élysabeth Picard, formatrice retraitée, 74 ans ;
  23. Jean-Philippe Faou, cadre de l’industrie, 55 ans ;
  24. Émilie Renaudin, cuisinière, 19 ans ;
  25. Pierre-Jean Leboucher, restaurateur retraité, 69 ans ;
  26. Monique Meurisse, médecin retraitée, 67 ans ;
  27. Paul von Krause, cadre de la Caisse des dépôts retraité, 74 ans ; Remplaçants : 28. Isabelle Decaux, attachée de presse dans l’édition, 59 ans ; 29. Jean-Marc Lanave, gendarme retraité, 60 ans.

Les résultats des élections municipales 2014 au Croisic.

Originaire de l'Orne, Clément Naslin joue aux côtés d'Omar Sy dans "Le prince oublié"

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Clément Naslin, entouré d'Omar Sy et Michel Hazanavicius.

Clément Naslin, entouré d’Omar Sy et Michel Hazanavicius. (©C.Naslin)

« Je n’ai tourné qu’une scène », prévient-il d’emblée. N’empêche, Clément Naslin donne la réplique à Omar Sy, dans Le Prince oublié, dernier long-métrage du réalisateur Michel Hazanavicius.

Dans le film, le trentenaire originaire de Mortagne-au-Perche (Orne) incarne « le gardien de la porte des rêves ». Celui qui donne l’accès au monde onirique de Sofia, petite-fille de 8 ans, dont le papa, Djibi (Omar Sy), invente des récits extraordinaires pour qu’elle s’endorme.

« Tourné à l’américaine »

Ce qu’a retenu le Percheron du tournage ? « L’immensité ».

Le Prince oublié a été « tourné à l’américaine » avec « quatre studios ». Une superproduction dont la démesure n’a pas altéré l’aspect humain.

Omar Sy et Michel Hazanavicius sont d’une gentillesse et d’une bienveillance incroyables, rapporte Clément Naslin.

Le comédien mortagnais, qui ne veut pas « être méga connu » mais simplement choisir des projets qui lui « tiennent à cœur », a tout de même un visage familier et se fait souvent interpeller, dans la rue.

Clément Naslin, 38 ans, a grandi à Mortagne-au-Perche.

Clément Naslin, 38 ans, a grandi à Mortagne-au-Perche. (©C.Naslin)

Depuis ses rôles dans les pubs Sofinco – « J’ai été l’égérie de la marque pendant cinq ans, notamment aux côtés du rugbyman Frédéric Michalak » – Clément Naslin s’est fait connaître du grand public.

J’avais peur que ça me cloisonne, d’être associé au monde de la pub. Mais finalement, être Monsieur Sofinco m’a ouvert des portes.

La preuve : c’est parce que le directeur artistique du Prince oublié s’est souvenu de ces publicités, pourtant tournées il y a plus de cinq ans, qu’il a contacté l’Ornais.

« Le théâtre, c’est ma vie »

S’il est fier d’avoir un rôle au cinéma, le 7e art n’est pas la priorité, pour Clément Naslin.

Son truc à lui, c’est le théâtre. Une passion née alors qu’il était scolarisé à Bignon, à Mortagne.

C’est mon professeur de lettres, Patrick Bardin, qui m’a transmis le plaisir de jouer.

Écriture, mise en scène, école de théâtre privée puis conservatoire Clément Naslin s’est donné les moyens de percer. En enchaînant les rôles et les représentations (320 en un an !), il s’est fait un « nom dans le milieu ».

Et est devenu totalement accro.

Le théâtre, c’est ma vie. Le contact avec le public, l’instantanéité, le « pas le droit à l’erreur » tout ça me galvanise. 

Des vacances à Mortagne-au-Perche

Celui qui a joué dans Edmond (qui raconte la genèse de Cyrano de Bergerac) sera, à partir du 1er avril, à l’affiche de la pièce Les femmes ont toujours raison, à la Comédie de Paris.

 La création se présente sous la forme d’une conférence pendant laquelle le public peut intervenir. Le thème ? Comment bien se comporter en couple. 

Clément Naslin tournera par ailleurs, en juin, la saison 2 de Mental (série France Télévision, diffusée sur la plateforme digitale).

La saison 1 a fait un carton et a remporté de nombreux prix. J’y joue un prof d’arts plastiques bourré de tocs. 

Autres projets : l’écriture et la mise en scène du spectacle de magie (une de ses premières passions) du duo French Twins (dont les vidéos atteignent les 500 millions de vues sur internet) ; et la mise en scène des shows de Gus lillusionniste (en tournée dans toute la France).

Au milieu de cet agenda chargé, le trentenaire calera quelques vacances, à Mortagne-au-Perche, évidement.

J’adore y revenir et retrouver ma famille, le pilier de ma vie.

 

Châteaubriant : découvrez les montants des subventions accordées aux associations en 2020

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Le club de football des Voltigeurs de Châteaubriant (Loire-Atlantique), évoluant au niveau national, est le club le plus subventionné de la Ville.

Le club de football des Voltigeurs de Châteaubriant (Loire-Atlantique), évoluant au niveau national, est le club le plus subventionné de la Ville. (©L’Eclaireur de Châteaubriant)

Ce sont des chiffres qui sont scrutés attentivement chaque année. Les montants des subventions aux associations ont été votés ce mardi 18 février 2020, lors du conseil municipal de Châteaubriant (Loire-Atlantique). Conseil qui était, au passage, le dernier du mandat 2014-2020 pour le maire Alain Hunault.

De nouvelles associations subventionnées

De nouvelles structures ont été subventionnées à cette occasion :

  • l’Association bretonne du souvenir aérien (ABSA) touchera 1 500 € (au lieu de 100 € en 2019). L’association s’était mobilisée pour le 75e anniversaire de la Libération de la Ville et avait encouragé plusieurs événements, comme la diffusion du film Le Réseau Shelburn.
  • les Voltigeurs de Châteaubriant recevront 30 000 €, comme l’an dernier. En revanche, en cas de montée au niveau supérieur en fin de saison, ils toucheront 2 500 € supplémentaires.
  • Aurores étoiles, pour avoir entre autres organisé le Salon du livre, recevra 500 €. Elle n’était pas subventionnée en 2019.
  • Véli-vélo recevra toujours ses 500 € annuels. Mais une proposition leur a été faite par la mairie. Celle de « recevoir 500 € par mois, soit 6 000 € à l’année, dans l’optique où ils trouvent un local pour l’association », explique l’adjoint aux finances Rudy Boisseau. Le local qui servirait à stocker du matériel et à organiser des ateliers. « La mairie n’avait pas de local à leur proposer ».

Lire aussi : Châteaubriant : les nouveaux trajets en C’bus se mettront en place avec un peu de retard

Châteaubriant : le Top 10 des plus grosses subventions

Au total, 25 000 € sont réservés aux associations œuvrant dans le social. Pour les sports-loisirs, le montant est de 81 000 €. 11 000 € sont consacrés aux associations culturelles, 515 € à celles œuvrant à l’international, 2 700 € pour les anciens combattants, 3 400 € pour l’enseignement, 203 € pour l’environnement et 97 000 € pour l’OMS, l’Office municipal des sports (chargé ensuite de redistribuer ce montant entre tous les clubs sportifs). Soit un total de 195 800 €.

Voici le Top 10 des plus gros montants accordés :

  • Voltigeurs de Châteaubriant : 32 500 € (ou 30 000 € si le club ne monte pas en National 2).
  • Amicale du personnel communal : 10 466,35 €.
  • Club-nautique castebriantais (CNC) : 10 019,89 €.
  • Sport athlétique castelbriantais (Sac) rugby : 10 000 €.
  • Roller-club castelbriantais (RCC) : 8 000 €
  • Amicale sportive et culturelle des sapeurs-pompiers : 6 486,42 €.
  • Harmonie municipale : 5 419,67 €.
  • Amateurs d’oiseaux exotiques du Pays de la Mée : 2 420,01 €.
  • Comité des fêtes : 2 295,15 €.
  • Bowling promotion : 2 000 €.

L’opposition s’étonne des choix de la majorité

Marie Humeau, pour le groupe minoritaire de la Voie citoyenne, s’est étonnée de certains choix. Elle regrette surtout le manque de transparence quant aux critères définis pour établir le montant des subventions.

On se répète tous les ans, nous sommes déçus. Il n’y a pas de réflexion sur les critères d’attribution des subventions et les moyens accordés par la ville aux associations. À part pour les clubs qui jouent au haut niveau, on ignore quels sont les critères précis.

Lire aussi : Loire-Atlantique : en balade au bord de la Loire, un gendarme de Normandie sauve la vie d’un homme

Les montants pour chaque association sont à retrouver dans le document suivant.

Aisne. Nogent-l'Artaud : c'est l'heure du bilan pour Jeannine van Landeghem

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Jeannine van Landeghem, maire, appelle à la solidarité.

Jeannine van Landeghem, maire, appelle à la solidarité. (©LPB)

La salle des Longs-Prés de Nogent-l’Artaud bouclait, vendredi 31 janvier, la ronde des cérémonies des vœux dans le secteur de Charly-sur-Marne. Devant une assistance fournie d’élus, de responsables associatifs et de Nogentais engagés dans la vie locale, entourée de son conseil municipal, Jeannine van Landeghem, maire, dont c’était la dernière intervention lors de cette réception de début d’année, a chaleureusement salué tous les invités dont le sénateur Antoine Lefèvre qui avait fait le déplacement depuis Laon.

« Le voyage a commencé en 2014 et se termine prochainement. C’est un moment particulier à vivre, chargé d’émotion », confie l’élue. Elle poursuit aussitôt en déclinant l’action municipale qui a marqué son mandat avec la baisse des dotations, la suppression de la taxe d’habitation, la montée des incivilités…

Les incivilités

Un mandat qu’elle résume en ces mots : engagement, conviction, passionnant, persévérance et fierté.

Elle déclare : « Le champ de nos compétences est immense et nous sommes tous amoureux de nos communes. » Après avoir salué l’action à ses côtés du bureau municipal, Jeannine van Landeghem a fait un tour d’horizon complet des travaux et festivités qui ont marqué l’année avec en exemple le retour en novembre de la foire aux oignons ou encore les créations du théâtre de La Mascara dont la mise en place d’un festival de la jeune création théâtrale. Un événement qui prend ses marques dans la vie culturelle nogentaise.

La maire a souligné les devoirs de police de la fonction : « Le Maire abandonnerait volontiers ce pouvoir de police à l’État qui est bien content de se décharger sur les maires. » Il est vrai que la commune n’est pas épargnée par les incivilités : bruit, aboiement de chiens, excès de vitesse, décharges sauvages, incendies de poubelles…

Le groupe scolaire

Au chapitre des grandes réalisations, on retient la réhabilitation de l’impasse de Kérouartz et les fouilles archéologiques prescrites par la DRAC avec ensuite la remise en état du terrain destiné à la construction du groupe scolaire : « Pour cette construction, les appels d’offres ont été lancés cet été et les marchés vont être signés dans les jours à venir. »

Juillet a vu l’arrivée du city stade financé à 30 % par le Département. Des petits travaux de voirie ont été réalisés (cimetière, trottoirs au Crochet et place du Marché, espace piétonnier rue de l’Arquebuses) sans oublier l’achat de la propriété François Dainville sur préemption et le parking de la gare.

L’éclairage public a été renouvelé au lotissement du Champ du voisin : « J’espère que la reprise des voies et réseaux trouvera enfin son aboutissement. »

80 logements

La ville de Nogent-l’Artaud devrait accueillir très vite de nouvelles habitations : « Un projet de construction d’un peu plus de 80 logements devrait voir le jour prochainement. Le permis d’aménager est en cours d’instruction. Il répond aux exigences de densification de centre bourg fixées par le SCOT et dont il a été tenu compte dans le plan local d’urbanisme de la commune. »

En 2019, les investissements ont été réalisés sans emprunt et sans augmentation des taux communaux de la fiscalité locale : « La gestion rigoureuse de la dépense publique est plus que jamais une nécessité. »

Au niveau de la communauté de communes, l’installation de caméras de vidéoprotection débutera prochainement.

Au terme de ce vaste catalogue, Jeannine van Landeghem a souhaité la bienvenue aux nouveaux Nogentais sans oublier d’avoir une pensée pour les bénévoles qui font vivre la Médiathèque ou apportent leur soutien à l’aide aux devoirs avec une attention pour les employés communaux touchés par la maladie.

Et de conclure : « Je souhaite que ces promesses de solidarité, de bonheur partagé, d’entraide se traduisent en gestes tout au long de l’année. »

C’est ensuite autour du verre de l’amitié que chacun a pu faire connaissance ou échanger dans une ambiance conviviale marquant ces ultimes vœux.

Lire aussi : Jeannine van Landeghem élue maire

Lire aussi : Jeannine van Landeghem lance sa liste


Seine-et-Marne. Avon : 35 logements sociaux inaugurés rue du Viaduc

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L’inauguration a eu lieu en présence du sous-préfet de Fontainebleau Jean-Marc Giraud, Gilles Sambussy, Pascal Gouhoury, Béatrice Rucheton conseillère départementale et Marie-Charlotte Nouhaud

L’inauguration a eu lieu en présence du sous-préfet de Fontainebleau Jean-Marc Giraud, Gilles Sambussy, Pascal Gouhoury, Béatrice Rucheton conseillère départementale et Marie-Charlotte Nouhaud (©La Rep 77)

 Les 35 logements sociaux sous la forme de 4 petits bâtiments sous le viaduc, parfois avec jardinets, terrasses et parking, sont sortis de terre fin 2019, après des travaux commencés en 2017. Cette nouvelle résidence a été bâtie en lieu et place d’un immeuble désuet avec 16 logements sociaux.
« Ça fait dix ans que nous réfléchissions à détruire l’ancien immeuble, mal isolé, avec une conception ancienne, il occupait beaucoup d’espace et il n’était pas intégré dans l’architecture villageoise », indique Gilles Sambussy, directeur général de Trois Moulins Habitat.
Ce sont de très beaux immeubles, en retrait de la route, à taille « humaine », avec une dimension écologique, pompe à chaleur, récupération d’eau, panneaux solaires, qui viennent remplacer une barre très vétuste.

18 pieds de vigne dans l’espace vert

« Aujourd’hui le logement social n’est plus du tout celui que l’on connaissait. Il est très qualitatif et répond à l’ensemble des normes, commente Pascal Gouhoury, président de la communauté d’agglomération du pays de Fontainebleau. Nous accompagnons aussi l’ensemble des habitants sur leurs parcours résidentiels pour obtenir les logements sociaux du territoire ».
Outre des logements, la résidence compte dans son espace vert 18 pieds de vignes au cépage local « chasselas », mais aussi quelques arbres plantés dont un sapin. Le coût total de cette réalisation est de 5,5 millions d’euros, porté par l’état, la région, Trois Moulins Habitat et Action Logement.

La moitié des locataires actuels viennent de l’autre résidence Jean Fontenelle d’où ils ont été transférés, dans une opération à tiroirs, pour libérer leurs logements, qui seront transformés dans la rénovation de la maison de retraite. « C’est l’image inverse de celle que l’on peut donner du logement social, un visuel très joli et une qualité environnementale très forte », s’est félicité la maire d’Avon Marie- Charlotte Nouhaud.

La Saint-Valentin des animaux a été un succès en Occitanie avec des adoptions à la hausse

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Ils sont nombreux à avoir trouvé une famille à l'occasion de la Saint-Valentin des animaux !

Ils sont nombreux à avoir trouvé une famille à l’occasion de la Saint-Valentin des animaux ! (©Illustration Pixabay)

La Saint-Valentin des animaux, que la SPA a lancé pour une deuxième fois après 2019, s’est tenue les 8 et 9 février derniers en France. L’opération a été une réussite, notamment en Occitanie !

+8% en Occitanie

Dans la région, 80 adoptions ont été réalisées, contre 74 en 2019. Soit une augmentation de 8% ! Pour rappel, les refuges de Mirepoix (Ariège), de Millau (Aveyron), de Garric (Tarn), de Golfech (Tarn-et-Garonne), de Vallérargues (Gard), de Lézignan et de Port-la-Nouvelle (Aude) et de Perpignan et Torreilles (Pyrénées-Orientales) participaient à l’aventure.

Lire aussi : Ariège. Grâce à l’aide massive des réseaux sociaux, elle retrouve son chien disparu depuis 16 jours

A l’échelle du territoire français dans sa globalité, ce sont 966 animaux qui ont pu trouver une nouvelle famille durant ces deux jours. « Un bilan positif » savoure la SPA, avec un slogan tout trouvé pour l’occasion : « It’s a good match !« . Chaque année, elle recueille pas moins de 46 000 animaux dans l’Hexagone.

Montpellier/municipales. Pour Rémi Gaillard, c’est « volte face à la presse »

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Rémi Gaillard, ici devant les studios, a provoqué l'annulation du débat en direct sur Internet

Rémi Gaillard, ici devant les studios de France Bleu Hérault, a provoqué l’annulation du débat en direct sur Internet (©C.Nithard/Métropolitain)

Ce mercredi, Rémi Gaillard était l’invité de l’émission Face à la Presse pour répondre, en direct, de 12h15 à 13h, aux questions des journalistes de Métropolitain, de Midi Libre, de France Bleu Hérault et du D’Oc… Des débats diffusés en live sur les pages Facebook de chaque média.

La Gazette, pas la bienvenue

Jusqu’à présent, tous les candidats invités ont joué le jeu, mais ce « Face à la Presse » du 19 février ne restera pas dans les mémoires. Rémi Gaillard a refusé de pénétrer sur le plateau au prétexte que s’y trouvait une photographe de la Gazette de Montpellier (tous les médias peuvent assister aux débats)…

Rémi Gaillard inflexible

Malgré quelques tentatives de médiation, Rémi Gaillard a campé sur sa position, ou plutôt dans les couloirs des studios de France Bleu Hérault où sont organisés les directs. Elisabeth Badinier, la rédactrice en chef de la radio locale, a parfaitement résumé (en direct bien sûr) la situation.

Les médias et l'invité à quelques minutes du direct... avant le coup de théâtre

Les médias et l’invité à quelques minutes du direct… avant le coup de théâtre (©C.Nithard/Métropolitain)

Pour nous, il est hors de question de mettre un journaliste dehors, quel que soit son média – Elisabeth Badinier

« Rémi Gaillard a refusé que cette photographe prenne une photo au début de l’émission, et n’a pas voulu revenir tant qu’elle était dans le studio… Pour nous tous, il est hors de question de mettre un journaliste dehors, quel que soit son média », a tonné la journaliste : « Et surtout, on n’est pas là pour régler les comptes entre un candidat et un média ».

A lire : l’interview complète du candidat : Rémi Gaillard, un vrai clown dans le cirque politique

Explications peu convaincantes 

La photographe refusant de sortir, le candidat de rentrer, le vaudeville a causé l’annulation du débat. Interrogé plus tard sur cet incident, qui n’a rien de diplomatique, le candidat a livré ses explications, assez peu convaincantes d’ailleurs, notamment un passage étonnant sur la liberté d’expression…

Les explications de Rémi Gaillard en images

Sur scène au Corum le 26 février ?
Promis-juré, Rémi Gaillard ne compte pas en rester là. Il assure qu’il sera sur la scène du Corum le 26 février prochain pour le grand débat organisé par le Club Mozart avec Métropolitain, MidiLibre et France Bleu Hérault et qui rassemblera tous les candidats sur la scène de l’opéra Berlioz. La candidat confirme qu’il s’exprimera. Même si la photographe de la Gazette est dans la salle ?

Incident à l'usine Ferrero en Seine-Maritime : des salariés évacués, des habitants confinés

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Les sapeurs pompiers de Seine-maritime sont intervenus pour un feu dans un silo au sein de l'entreprise Ferrero près de Rouen (Seine-Maritime).

Les sapeurs pompiers de Seine-Maritime sont intervenus vers 11h30, mercredi 19 février 2020 pour un feu dans un silo au sein de l’entreprise Ferrero près de Rouen (Seine-Maritime). (©Illustration/Actu.fr)

Mercredi 19  février 2020, vers 11h30, un incident s’est déclaré dans un silo contenant du cacao situé à l’intérieur d’un bâtiment de l’usine Ferrero à Villers-Ecalles (Seine-Maritime). Selon les premiers éléments, il n’y aurait pas de gros dégâts. Des salariés ont été évacués et un périmètre de sécurité a été mis en place pour les riverains

Lire aussi : Après un accident de la circulation à Rouen, une conductrice frappe un témoin et les policiers

« Aucun incendie n’a été constaté »

D’après le centre opérationnel d’incendie et de secours, les pompiers de Seine-Maritime étaient toujours sur place dans l’après-midi pour sécuriser le site.

« Nous avons constaté à 11 heures, le 19 février 2020, dans notre usine de Villers-Ecalles, une étincelle au niveau d’un broyeur de cacao », indique de son côté l’entreprise. La machine s’arrêtant automatiquement, Ferrero a contacté les pompiers « par principe de précaution ». « Aucun incendie n’a été constaté », assure la firme.

Un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du broyeur

L’entreprise ajoute : « afin de vider la cuve connectée au broyeur concerné et pour éviter tout risque, les pompiers ont souhaité créer un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du silo avant d’effectuer sa vidange. »

C’est dans ce cadre que nous avons procédé par mesure de sécurité à l’éloignement du personnel de la zone sensible, et qu’il a été demandé aux riverains vivant dans un périmètre de moins de 100m du silo de rester chez eux.

Cette vidange démarrée vers 16 heures devrait prendre plusieurs heures. Une vingtaine de pompiers se sont rendus sur place. 

Elections municipales à Meillac : Michel Poncelet a présenté ses colistiers

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Michel Poncelet, conseiller municipal de l'opposition sortant, mènera la liste « Meillac Avenir ».

Les membres de la liste « Meillac Avenir », conduite par Michel Poncelet.

Michel Poncelet, conseiller municipal de l’opposition sortant, mènera la liste « Meillac Avenir », lors des prochaines élections municipales.

Celle-ci est composée de dix femmes et onze hommes, dont deux conseillers sortants, âgés de 21 à 71 ans.
« Cette liste apolitique associe nos différentes sensibilités, expériences et générations. C’est une liste d’alternance à l’équipe en place. La volonté de rendre notre commune attractive et désirable est manifeste. Cette approche globale, plurielle et collective nous caractérise », explique le candidat, qui ajoute :

« Autour de personnes plus disponibles, voir de jeunes actifs s’engager pour leur commune est plaisant et réconfortant pour l’avenir. Je ne conçois pas cela comme une aventure personnelle mais bien comme une dynamique collective. »

Une réunion publique aura lieu le 1er mars à 10 h 30 à la salle des fêtes Le Foyer Rural.

La liste

Dans l’ordre de la photo : Frédérique Brisard, 45 ans, employée en électronique. Manon Piot, 24 ans, serveuse. Fabrice Bernard, 38 ans, ambulancier. Frédéric Ménager, 39 ans, coffreur bancheur. Céline Hamon, 39 ans, professeur des écoles et directrice. Aurélie Faisant, 39 ans, artisan peintre. Fanny Hochet-Denis, 46 ans, gestionnaire administratif et comptable. Damien Berthelot, 40 ans, technicien. Jean-Yves Dragon, 67 ans, agriculteur. Yoann Guyader, 41 ans, cadre informatique. Sandrine Besnard, 43 ans, agricultrice. Bruno Canu, 48 ans, enseignant. Michel Poncelet, 55 ans, enseignant, conseiller sortant. Stéphanie Dénes, 44 ans, conductrice de ligne. Fabien Delamézière, 44 ans, cadre informatique. Marie-Madeleine De Rugy, 69 ans, retraitée. Jean-Yves Larcher, 68 ans, retraité. Morgane Morin, 32 ans, négociatrice en immobilier d’entreprise. Aurore Trémorin-Blaire, 32 ans, chargée de mission agriculture. Jean-Luc Rouxel, 55 ans, agriculteur, conseiller sortant. Alexis Baudu, 21 ans, étudiant master histoire.

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