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A Equeurdreville, ce qu'il faut savoir sur les trois rues impactées par les travaux

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Les travaux de l'avenue de Tourville dureront jusqu'au 3 avril.

Les travaux de l’avenue de Tourville dureront jusqu’au 3 avril.

Plusieurs travaux sont en cours ou programmés sur la commune d’Equeurdreville-Hainneville. Voici ce qu’il faut savoir sur les rues impactées par ces aménagements.

Lire aussi : Cherbourg-en-Cotentin : des travaux dans plusieurs rues de l’agglomération

Rue Félix-Faure

Des travaux de renouvellement de branchement sur le réseau de gaz auront lieu, entre le 24 et le 28 février, au niveau du n° 102 de la rue. Ils seront réalisés par l’entreprise Platon pour le compte de GRDF.

Conséquences : La rue sera barrée en journée selon les besoins du chantier ; Le passage des véhicules des riverains restera possible de part et d’autre ; Une déviation sera installée dans les rues voisines ; Le stationnement sera interdit à proximité du chantier.

Rue des Écoles

Des travaux de remplacement d’un support aérien pour le réseau électrique auront lieu le mercredi 26 février. Les travaux seront réalisés par l’entreprise Bouygues ES pour le compte d’Enedis.

Conséquences : La rue des Écoles sera barrée entre la rue René-Lecanu et la rue Ferdinand-Buisson ; Le stationnement sera interdit à proximité des travaux ; Le passage des riverains restera possible de part et d’autre du chantier ; Des coupures ponctuelles d’électricité auront lieu pendant l’après-midi du 26 février.

Avenue de Tourville

Les trottoirs, les stationnements et la chaussée seront refaits jusqu’au 3 avril. Ces travaux seront réalisés par l’entreprise Eurovia pour le compte du service voirie de la Ville. L’avenue de Tourville sera barrée en journée, selon l’avancement du chantier, en deux phases successives : 1. rue Vauban à rue Anatole France ; 2. rue Anatole-France à rue du Docteur-Roux, dont une partie de la rue Anatole-France.

Conséquences : Le passage des véhicules des riverains sera possible, en fonction de l’avancement des travaux, en semaine de 17 h 30 à 8 heures et les samedis et dimanches ; L’accès des piétons et des véhicules de secours sera maintenu en journée ; Le stationnement sera interdit dans l’emprise du chantier.

 

Les dates sont indicatives, hors intempéries et aléas de chantier.


Municipales : la nouvelle équipe derrière Marcel Turuban à Lézardrieux

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Les candidats pour l'élection municipale.

Les candidats pour l’élection municipale à Lézardrieux. (©La Presse d’Armor)

Pour les élections municipales de mars 2020, le maire sortant Marcel Turuban brigue un nouveau mandat à Lézardrieux.

Il a constitué une liste sous le slogan « Ensemble tenons le cap ».

Lire aussi : Municipales 2020 : Marcel Turuban candidat à Lézardrieux

Une équipe renouvelée

Il réaffirme ainsi ainsi son objectif de continuité par rapport à son mandat précédent avec une équipe renouvelée impliquée dans la vie municipale (5 sortants et 11 nouveaux candidats dont une candidate suppléante).

Pour le maire :

Une équipe motivée aux compétences affirmées qui s’inscrit dans la dynamique insufflée depuis maintenant six ans à Lézardrieux qui se transforme et évolue.  Dynamisme, bien-être et respect de notre environnement seront au cœur de notre engagement pour Lézardrieux. 

La composition de la liste

  • Marie-Claude Royer 72 ans, retraitée
  • Justine Le Flem, 27 ans, coiffeuse
  • Joël Le Bihan 47 ans, agent de la fonction publique territoriale
  • Marcel Turuban 60 ans, retraité de la marine nationale
  • Danièle de Saleneuve 66 ans, aide soignante à la retraite
  • Maryline Casteran 38 ans, assistante financière
  • François Kherousse 38 ans, consultant agricole
  • Maryvonne Le Berre 75 ans, retraitée de la fonction publique territoriale
  • Thierry Buzulier 66 ans, officier de marine marchande en retraite
  • Elisabeth Rougie 60 ans, retraitée
  • Christine Ceillier-Verdeil 60 ans, cadre de banque
  • Henri Mouly 59 ans, officier de gendarmerie à la retraite
  • Jean-Jacques Prigent 72 ans, cadre en retraite
  • Jean-Luc Le Thomas, 63 ans, ingénieur électronicien en retraite
  • Jean-Yves Terrien 62 ans, officier de marine marchande en retraite
  • Candidate supplémentaire : Lucie Fegard 37 ans, conseillère principale d’éducation (n’apparaît pas sur la photo).

Marmande : Chez Rougeline, on n'a pas peur du premier cas de virus de la tomate survenu dans le Finistère

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Tout est fait chez Rpugeline pour faire barrage au virus de la tomate.

Tout est fait chez Rougeline pour faire barrage au virus de la tomate. (©Photo Le Républicain)

Le premier cas en France de virus Tomato brown rugose fruit virus (ToBRFV) vient d’être localisé dans le Finistère par le ministère de l’Agriculture et l’ANSES (Agence de sécurité sanitaire). Le virus, apparu pour la première fois en Israël en 2014, décime des plants entiers de tomates, piments et poivrons à travers le monde. Il pourrait être le nouveau fléau des cultures françaises, révèle l’(Anses) dans un article paru lundi 3 février 2020. Pour cause, il n’existe à ce jour aucun traitement pour l’éradiquer.

Il peut se transmettre par les semences, plants ou fruits infectés, ou tout simplement par le toucher (mains, outils de travail, vêtements, insectes, oiseaux ou eau d’irrigation). Une fois introduit dans la plante, les dégâts sont considérables. 

Aucun danger pour l’homme

Mais deux informations importantes: 

  • Ce virus ne représente aucun danger pour l’homme
  • Il s’attaque seulement au plant et au fruit, le site entier peut être infecté, ce qui entraînerait la destruction des plants. 

Chez Rougeline, on prend l’affaire très au sérieux, comme l’explique Gilles Bertrandias, directeur général de cette organisation de producteurs très implantée dans le Grand Sud-Ouest (Nouvelle-Aquitaine et Occitanie) : «Le risque concerne les productions, la semence, le plant. Nous prenons acte de ce virus désormais identifié en France, il l’était présent dans d’autres pays d’Europe. Maintenant, ça ne change rien pour nous, toutes les mesures prophylactiques ont été prises pour faire de la résistance à ce virus» explique-t-il.

En premier lieu, consommer local. «Cela nous donne une raison supplémentaire de ne pas acheter des fruits et légumes d’importation». Deuxièmement, se donner les moyens d’éviter une propagation de ce virus «en désinfectant le plus possible les serres, le matériel… Tous les gens qui entrent passent par l’étape de désinfection, lavage des mains et des bras, changement d’habits tous les jours, des exploitants font prendre des tenues propres, pantalons-T-shirts, tous les jours à leurs salariés» explique Gilles Bertrandias. 

A lire aussi : Un nouveau virus menace les tomates, piments et poivrons

Lire aussi : Lot-et-Garonne. Un jeune cyclomotoriste de 14 ans évacué en urgence absolue après un accident

"Jardin du sida" : des affiches homophobes collées dans un square de Metz

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Le jardin rendant hommage à Marsha P. Johnson et à Sylvia Rivera, qui doit être inauguré mercredi 19 février 2020 à Metz (Moselle), a été vandalisé.

Le jardin rendant hommage à Marsha P. Johnson et à Sylvia Rivera, qui doit être inauguré mercredi 19 février 2020 à Metz (Moselle), a été vandalisé. (©Couleurs Gaies)

Des dégradations ont été commises au jardin Marsha-P.-Johnson-et-Sylvia-Rivera, en contrebas de l’Esplanade de Metz (Moselle). Plusieurs autocollants homophobes y ont été retrouvées, tels que « Le jardin du sida » ou encore « Jardin des pelouses roses », ou encore des montages douteux.

Lire aussi : Propos homophobes du rappeur Koba LaD : son concert déprogrammé à Metz

Un hommage aux émeutes de Stonewall

Le lieu a été nommé ainsi en hommage à Marsha P. Johnson et Sylvia Rivera, deux figures des émeutes de Stonewall, survenues en juin 1969 à New York. Elles symbolisent l’une des premières actions de lutte de la communauté des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT) contre leur répression.

Le jardin doit être inauguré ce mercredi 19 février 2020 à 17h30.

La ville de Metz a déjà été victimes à plusieurs reprises d’attaques homophobes sur des édifices ou sur des œuvres affichées sur l’espace public. L’exposition Couples de la République d’Olivier Ciappa avait été taguée à plusieurs reprises en juin 2018.

De nombreuses réactions indignées 

Les actes ont suscité l’indignation de nombreux élus et citoyens. « Je suis une nouvelle fois consternée de voir la haine de certains prendre ce chemin. La lutte contre tous les types de discriminations doit être une priorité du prochain maire de Metz », écrit la conseillère municipale Christine Singer, candidate sur la liste de Jérémy Aldrin.

Pour l’adjoint à la culture Hacène Lekadir et soutien du candidat LREM Richard Lioger, « ces actes sont honteux, la diversité de notre ville doit être valorisée et défendue malgré ces actes ignobles ».

Aurélien Beaucamp, président de l’association AIDES, qui lutte contre le VIH, assure quant à lui qu’il n’y a « pas de peur » et que les défenseurs des droits se montreront « encore plus combatifs ». De nombreux citoyens ont également fait part de « tout leur soutien » face à ces actes.

L’association messine Couleurs Gaies s’est quant à elle dite « consternée » de découvrir ces « multiples dégradations ». 

Terres du Lauragais planche sur deux scénarios pour l'agrandissement de ses locaux administratifs

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L'actuel siège de Terres du Lauragais, avenue de la Fontasse à Villefranche-de-Lauragais.

L’actuel siège de Terres du Lauragais, avenue de la Fontasse à Villefranche-de-Lauragais. (©Paul Halbedel – VDML)

Installé depuis janvier 2018 dans un bâtiment de l’avenue de la Fontasse, dans la commune de Villefranche-de-Lauragais, le siège administratif de Terres du Lauragais est devenu trop petit pour accueillir dans de bonnes conditions les services administratifs de la communauté de communes.

Deux solutions sont étudiées par les élus pour augmenter sa capacité d’accueil, comme l’a expliqué Christian Portet, le président de l’intercommunalité, lors du conseil communautaire du mardi 28 janvier 2020 :

La première possibilité consiste à acquérir le bâtiment de la Maison des solidarités au Département pour un montant fixé à 264 000 €. L’autre option, c’est de faire construire un bâtiment neuf dans la continuité des locaux actuels de la zone d’activités de La Camave. Même si certains élus de Villefranche nous ont prévenus que cette dernière solution paraissait peu probable car le terrain en question est sur une ancienne décharge.

Lire aussi : A Villefranche-de-Lauragais, le nouveau siège de Terres du Lauragais va s’offrir un lifting

Que prévoit le projet d’extension ?

Lors de cette séance, les élus ont ainsi approuvé deux plans de financement. Le premier consiste à l’acquisition de la parcelle et du bâtiment de la Maison des solidarités, situé juste à côté de l’actuel siège. Les services du conseil départemental qui occupent ces bureaux devraient en effet prochainement déménager dans les locaux de la CPAM situés à quelques mètres de là.

Cette acquisition permettrait une extension du siège actuel avec la création de salles de réunion, d’une salle de restauration et d’un véritable espace d’accueil pour le public. Une quinzaine de personnes supplémentaires pourraient ainsi être accueillies sur ce site.

Lire aussi : Terres du Lauragais dispose de son futur siège à Villefranche-de-Lauragais

Pour procéder à cette acquisition, Terres du Lauragais espère bénéficier d’une aide financière à hauteur de 50 % du montant de la part de l’État et de 30 % de la part de la Région Occitanie. Le vice-président en charge des Finances et élu de Villefranche-de-Lauragais, Bernard Barjou, apportait toutefois un bémol :

Le montant est fixé à 264 000 € par le Département qui nous a vendu 310 000 € l’actuel siège. Le rapport ne me semble pas très favorable à la communauté de communes.

Une construction pour regrouper services techniques et administratifs

Le deuxième plan de financement proposé aux élus ce soir-là portait quant à lui sur la réalisation d’une étude de sol sur le terrain de la zone d’activités de La Camave pour valider ou non la possibilité d’y construire un nouveau bâtiment dans le prolongement des ateliers intercommunaux. Une solution qui aurait l’avantage de regrouper sur un seul et même site les services techniques et administratifs.

Au cours du débat, Christian Portet précisait que cette nécessité d’agrandissement du siège correspondait aux besoins de la communauté de communes dans sa configuration actuelle, n’éludant pas l’hypothèse d’une scission du périmètre intercommunal qui pourrait venir remettre en cause le projet.

Lire aussi : Terres du Lauragais : 20 communes prêtes à engager un processus de scission de l’intercommunalité

Le président de Terres du Lauragais indiquait par ailleurs que si l’option de la construction d’un nouveau bâtiment était choisie, celle-ci ne stopperait pas pour autant le programme de réhabilitation énergétique de l’actuel siège :

Aujourd’hui, ces travaux sont indispensables et doivent être réalisés quoi qu’il arrive. Et si l’on décide de partir sur la construction d’un nouveau bâtiment, cela permettra d’avoir un bâtiment rénové si l’on devait envisager une vente de celui-ci par la suite.

Lire aussi : Terres du Lauragais : le conseil départemental subventionne 54 projets sur le territoire

Olivier Faure attaqué sur sa vie privée par Christophe Castaner

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Olivier Faure va tenir une conférence de presse

Un coup bas ? Ce mercredi 19 février, invité sur les ondes de France Inter, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a attaqué le patron des socialistes Olivier Faure, en faisant état sa vie privée. 

« Les politiques doivent rester des femmes et des hommes, sinon ils se coupent de la réalité. […] J’ai été surpris d’entendre Olivier Faure à votre micro. Je le connais bien à titre personnel depuis longtemps, je l’ai accompagné dans ses divorces et ses séparations. J’ai été étonné de ses leçons de morale », a-t-il lancé.

Christophe Castaner faisait référence aux propos tenus par le député de Seine-et-Marne, lundi, également sur France Inter.  

« Quand vous êtes un homme ou une femme publique, un décideur public, un ministre, vous devez prendre toutes les précautions d’usage pour ne jamais être à la portée des maîtres chanteurs », avait-il lancé, interrogé sur l’affaire Griveaux. 

Les propos de Christophe Castaner lui ont valu pas mal de critiques. 

« Olivier Faure a rappelé une évidence : Benjamin Griveaux a manqué de prudence et a commis une faute. En attaquant Olivier Faure sur sa vie privée, Christophe Castaner fait la preuve de la bassesse dont est capable ce pouvoir qui dégrade chaque jour davantage le climat politique », a notamment réagi Bruno Retailleau, président du groupe LR au sénat.

Les deux hommes se connaissent bien pour s’être côtoyés au Parti Socialiste. 

Depuis le départ de Christophe Castaner chez LREM, les relations sont plutôt tendues. 

Après la sortie du ministre de l’Intérieur en boîte de nuit, le patron des socialistes ne l’avait pas épargné :

« Quand on est ministre de l’intérieur, on est 24 heures sur 24 au service de la République. Imaginez qu’à l’heure où il était en boîte de nuit, il y ait eu un attentat. Imaginez qu’on l’ait retrouvé à moitié saoul. Il y a quand même une dignité à assumer jour et nuit », avait-il déclaré.

En réaction, Olivier Faure a annoncé qu’il tiendra une conférence de presse ce mercredi à 15h à l’Assemblée Nationale. 

Les agriculteurs bio lancent un label équitable pour maintenir leur rémunération

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Manifestation de soutien en faveur d’un maire ayant pris un arrêté anti-pesticides, à Rennes, le 22 août 2019. (©AFP/Archives/Sebastien SALOM-GOMIS)

Pour contrer la communication tous azimuts de la grande distribution sur les produits biologiques et tenter d’empêcher une chute des prix, les agriculteurs bio musclent leur offre avec un label équitable qui garantit la rémunération des producteurs.

Le label « bio française équitable » (BFE) lancé par la Fédération de l’agriculture biologique (Fnab) garantit aux consommateurs des légumes biologiques produits en France et un prix rémunérateur aux agriculteurs bio, reprenant ainsi les critères de la loi sur l’Economie sociale et solidaire de 2014, qui définit le commerce équitable.

« Le marché biologique se développant, l’opportunité s’est présentée de construire des partenariats forts avec des entreprises de l’agro-alimentaire sur une bio qui corresponde à nos valeurs », indique Stéphanie Pageot, secrétaire nationale de la Fnab, citée mardi 18 février 2020 dans un communiqué.

Le label BFE est issu d’un travail avec le groupe de surgelés Picard qui expérimente le lancement à partir du 2 mars d’une gamme bio et locale distribuée dans ses magasins en Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie, avant de peut-être s’étendre. Picard a signé des contrats tripartites avec trois organisations de producteurs bio et un transformateur du Sud-Ouest de la France.

« Nous avons cherché à valoriser cet engagement, c’est comme ça que l’idée d’un label est venue », explique Mme Pageot.

Lire aussi : Bientôt une étiquette sur l’impact environnemental de nos vêtements

Eviter un alignement des prix

« En 2015, avec le changement d’échelle de l’agriculture biologique, on est passé de 7% de croissance annuelle des taux de conversion, à 15-18%. L’agriculture biologique est sortie de sa niche et a été complètement institutionnalisée. Tous les opérateurs s’en sont emparés : la distribution, les opérateurs de la transformation, les institutions, le système bancaire », rappelle à l’AFP Guillaume Riou, président de la Fnab.

On a ainsi vu des distributeurs utiliser les produits bio comme produits d’appel en cassant les prix. Or pour les agriculteurs bio, l’important reste d’éviter un alignement de leurs prix vers le bas, ce qui ne compenserait plus les coûts supplémentaires de ce mode de production.

« Le marché alimentaire bio est à un tournant », explique le cabinet d’expertise Xerfi Precepta. « Celui-ci fait toujours preuve d’un véritable engouement avec des ventes en hausse de 14% en 2019 et des perspectives prometteuses d’ici 2022 (+12% par an en moyenne pour s’approcher des 15 milliards d’euros) ».

Mais « le risque de voir le bio dénaturé de ses valeurs originelles ne cesse de grandir face à l’explosion de la demande et aux offensives des marques conventionnelles et de la grande distribution. Guerre des prix, industrialisation de la production… le marché est sur le point de tomber dans les travers du conventionnel sous couvert de le rendre accessible à tous », souligne le cabinet.

Lire aussi : Des lettres et des couleurs pour repérer les aliments sains (et ceux à éviter) lors de vos courses

Première « brique »

La Fnab a décidé de contrer ce « risque déflationniste par la massification ».

« Le commerce équitable a donc été la première brique pour redonner une place importante dans la chaîne de valeur aux agriculteurs face au monde de la transformation et de la distribution et pour satisfaire in fine le consommateur avec un prix qui ne soit pas exagéré », argumente M. Riou.

« Le cahier des charges du règlement européen sur la bio est très adapté à cette phase de transition, mais ça n’englobe pas tout, il y a des tas de questions nouvelles qui sont posées », assure M. Riou en évoquant par exemple la biodiversité, le changement climatique, les dimensions sociales, ou encore la question du bien-être animal.

« Il faut qu’on réponde absolument à tout ces enjeux », et pour cela « il faudra ajouter d’autres briques dans le temps » au label bio, car les critères agronomiques de la charte ne suffisent plus.

Et en face, les autres acteurs multiplient les initiatives pour répondre à la demande en aliments sains et éthiques des consommateurs, qui peuvent parfois en perdre leur latin. Les étiquettes fleurissent actuellement sur les produits: outre les traditionnels produits équitables, on trouve le « sans OGM » ou le « sans résidus de pesticide ».

Carrefour, Galliance (Coopérative Terrena) et les magasins U ont rejoint l’Association étiquette bien-être animal (AEBEA), créée en 2018 par des associations de défense des animaux et le groupe Casino, pour proposer un référentiel et un étiquetage unique sur le bien-être animal.

Lire aussi : Clear Fashion : la nouvelle appli pour savoir si vos vêtements respectent l’environnement

Source : © 2020 AFP

Municipales 2020. Osmanville : Odile Bénicourt présente sa liste

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Odile Bénicourt maire sortante conduit la liste « Osmanville ensemble ».

Odile Bénicourt maire sortante conduit la liste « Osmanville ensemble ». (©La Renaissance Le Bessin)

Odile Bénicourt souhaite continuer à travailler sur l’accessibilité de la commune d’Osmanville (Calvados) mais aussi sa sécurité. C’est pourquoi un point majeur de la campagne des Municipales 2020 concerne la requalification de la piste cyclable en voie verte avec le cheminement jusqu’à Saint-Clément et une liaison jusqu’au bourg pour les piétons. Elle a constitué une liste de jeunes et de retraités qui ont accepté de s’engager avec elle pour la commune.

Composition de la liste

De gauche à droite sur la photo : Bastien Marc (22 ans) adjoint administratif, Michel Guillemette (62 ans) retraité responsable ostréicole (deux mandats de conseiller à Vouilly), Christophe Marie (53 ans) chauffeur laitier conseiller sortant, Odile Bénicourt (70 ans) retraitée de l’industrie et maire sortante, Catherine Brajnik (66 ans) auxiliaire puéricultrice retraitée, Baptiste Boloch (36 ans) chef d’entreprise, Anaïs De Haan (33 ans) agricultrice exploitante, Christelle Pora (30 ans) chef d’entreprise, Alice Dupin (60 ans) factrice (conseillère sortante), Jean-Pierre Lerond (65 ans) retraité ostréicole conseiller sortant, Gilbert Noblet (71 ans) retraité (conseiller sortant), Lyne Caraby (61 ans) directrice socio-culturelle. Absents sur la photo : Isabelle Moreau (64 ans) retraitée du secteur social, Aurélie Garbe (29 ans) assistante maternelle, Eric Ledentu (60 ans) chef d’entreprise.


Bretagne : on a de l'eau pour toute l'année !

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En Bretagne, en 2019, est tombé en moyenne plus de 1000 litres d'eau au mètre carré. Une année record

En Bretagne, en 2019, est tombé en moyenne plus de 1000 litres d’eau au mètre carré. Une année record (©Le Penthièvre)

Les nappes phréatiques en Bretagne se sont reconstituées grâce aux records de précipitations enregistrés d’octobre à décembre 2019. Une excellente nouvelle mais est-ce suffisant pour satisfaire nos besoins en eau potable en 2020 ? Oui mais…

Lire aussi : Côtes-d’Armor : il n’avait pas plu autant depuis les années 1980

Les stocks se sont reconstitués

« Aucun doute : par rapport aux années précédentes la situation est beaucoup plus saine », lance Flora Lucassof du bureau des recherches géologiques et minières. Depuis son siège à Rennes, le BRGM effectue des relevés quotidiens dans 52 points d’eau répartis dans toute la Bretagne. Ces données sont consultables sur le site de l’observatoire de l’environnement en Bretagne.

Les niveaux sont supérieurs aux moyennes et restent stables ou continuent de se remplir. Rien à voir avec l’automne 2018 où on a eu peu de pluie, les stocks ne s’étaient pas reconstitués.

Cette carte publiée fin 2019 sur le site de l'observatoire de l'environnement en Bretagne relève des pluies très abondantes, des nappes en hausse ou stables, des niveaux très supérieurs à la normale saisonnière

Cette carte publiée fin 2019 relève des pluies très abondantes, des nappes en hausse ou stables, des niveaux très supérieurs à la normale saisonnière (©source BRGM)

La période de remplissage des nappes dure en effet d’octobre à mars. Au cours du printemps et de l’été, les nappes se vidangent. L’eau de pluie reste alors en surface et est le plus souvent absorbée par la végétation.

Ces facteurs cumulés aux pics de températures de l’été dernier ont occasionné de nombreuses alertes sécheresse, notamment en Ille-et-Vilaine et dans le Morbihan. Les mesures réalisées ces derniers mois sont nettement plus favorables.

Mais il s’arrête de pleuvoir pendant plusieurs mois, les stocks peuvent se vider rapidement. On ne fait pas de réserves pour plusieurs années !

Un avis partagé par les syndicats départementaux d’adduction en eau potable, à l’instar de Joël Rivallan pour les Côtes-d’Armor :

On est très tributaires de l’eau de pluie. La situation pour 2020 ne devrait pas être préoccupante. Je ne vous aurais pas dit la même chose l’année dernière. Encore moins il y a 2 ou 3 ans quand on a connu des sécheresses d’hiver.

En clair : il ne devrait pas y avoir de restrictions d’eau cette année, « à moins d’avoir huit mois de sécheresse consécutifs ». Prudence tout de même : « on n’a pratiquement pas de nappes en Bretagne, elles sont petites, se remplissent vite mais se vident rapidement aussi. »

Le portail ADES (accès aux données sur les eaux souterraines) met à disposition les données sur la qualité de l’eau souterraine et les niveaux des nappes, notamment les chroniques piézométriques, actualisées tous les 15 jours.

La consommation augmente chaque année

D’où l’utilité des barrages qui concentrent l’essentiel des besoins de notre consommation. Si la situation est saine à l’instant T, ce spécialiste de la ressource en eau constate un signal alarmant :

Au cours des années 2000, la demande était stable. Mais depuis 3 ans, on observe une augmentation de la consommation de 8 à 10 % par an. Une étude globale est nécessaire pour comprendre cette situation mais on peut évoquer la relance de l’industrie agroalimentaire. Beaucoup de petits éleveurs ont aussi tendance à délaisser leurs forages et à passer sur le réseau public.

En Bretagne, 55% de la ressource en eau potable provient des barrages. Notre photo : Saint-Barthélémy près de Saint-Brieuc

En Bretagne, 55% de la ressource en eau potable provient des barrages. Notre photo : Saint-Barthélémy près de Saint-Brieuc (©Le Penthièvre)

Du côté de l’association Eaux et Rivières, pas question de crier victoire même si « la situation est plutôt favorable et rassurante. Mais tout ce qui tombe ne recharge pas les nappes. Des épisodes pluvieux se sont enchaînés sur des terrains déjà gorgés d’eau », relativise Dominique Le Goux.

Lire aussi : Records de pluie cet automne sur le Trégor-Goëlo

Pour elle, les effets du dérèglement climatique sont à l’œuvre : 

Il faut s’attendre à la répétition d’épisodes pluvieux de cette intensité au cours des prochaines années mais aussi à des périodes de sol sec qui vont s’étendre dans la durée. Et quand la ressource est en tension, c’est le milieu naturel qui souffre.

Lire aussi : 40 tonnes de poissons morts dans le Finistère : Eau et rivières de Bretagne s’insurge et porte plainte

Des enjeux sanitaires, environnementaux et économiques bien compris par Guillaume Moser, référent de l’AAPMA (association agréée de pêche et de protection des milieux aquatiques) :

Il y a l’eau qu’on voit et celle qu’on ne voit pas. La ressource est fragile. On constate une érosion rapide des sols, des crues de plus en plus fortes et des à sec de plus en plus forts aussi.

Pour lui, en l’absence d’une réhabilitation massive des haies bocagères de manière à contenir l’eau dans les sols, « on tire la corde par les deux bouts ». Pas de quoi broyer du noir. Mais vous l’aurez compris, pas question non plus de jeter l’eau par les fenêtres !

Woincourt. Léo, le chien victime de la pauvreté de son maître, a retrouvé un foyer

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Léo, le labrador de 15 ans mal soigné, a retrouvé un foyer

Léo, le labrador de 15 ans mal soigné, a retrouvé un foyer (©30 Millions d’amis)

Léo, le chien qui a souffert de la misère de son maître, a retrouvé un foyer. Son maître reste dans les mêmes conditions de précarité pour le moment.

Parfois en aidant les animaux, il arrive que cette action influence la vie des êtres humains. Tel sera peut-être le cas dans l’histoire de Léo, le labrador.

Les bénévoles de 30 Millions d’amis sont intervenus il y a peu à Woincourt sur le signalement d’un labrador de 15 ans qui vivrait dans des conditions déplorables.

Lire aussi : Woincourt. Qui veut adopter le chien Léo, victime de la pauvreté de son maître?

Les enquêtrices ont découvert sur place un animal présent dans un logement vétuste, au sein d’une pièce peu éclairée et avec un manque évident de nourriture, tout comme son maître d’ailleurs.

Avec deux croisés York

Avec l’accord du propriétaire du chien, un sexagénaire malade et peu argenté, elles ont retiré le chien qui a ensuite passé trois jours chez le vétérinaire, histoire de le retaper.

Depuis Léo, puisque c’est son nom, a retrouvé un foyer comme s’en réjouit Flore, de 30 Millions d’amis :

Léo, le vieux labrador de 15 ans a trouvé une nouvelle famille. Il est aimé et chouchouté. Il va vivre avec 2 compagnons croisés York avec qui tout se passe bien. Un couple au grand cœur l’a accueilli ce week-end. Tout se passe à merveille !! »

Quid de l’habitant ?

Pour l’habitant, l’affaire est beaucoup plus compliquée. Il semblerait, si l’on en croit les témoignages recueillis sur place, qu’il vit comme cela, un peu en marginal. Il ne voudrait de l’aide de personne et ne se soignerait pas.

Toulouse. Deux soirées pour ceux qui assument leur goût pour la « musique honteuse »

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Au programme de ces soirées, des musiques bien commerciales.

Au programme de ces soirées, des musiques bien commerciales, comme les Spice Girls. (©WikiCommons)

Ce jeudi 20 février 2020 et vendredi 21 février 2020, deux soirées musicales sont organisées à Toulouse, à Ma Biche sur le toit et au Connexion Live. Avis aux amateurs de tubes dansants, c’est le bon moment pour se lâcher.

Hit Machine à Ma Biche sur le toit

Ma Biche sur le toit invite les Toulousains à venir danser sur les plus grands tubes du Hit Machine, avec Thomas Jalby et Tonajha. Une plongée dans les rythmes Dance des années 80, 90 et 2000 !

Jeudi 20 février de 19 h à minuit, Ma Biche sur le toit, au sommet des Galeries Lafayette
Réservations au 05 31 61 56 19

Lire aussi : Toulouse. Nouvelle grande vente en centre-ville pour s’offrir des plantes à petits prix, dès 2 €

La fierté de la honte au Connexion

Vendredi 21 février, à 23 h, le Connexion organise une soirée avec un slogan simple : « Vive la musique populaire et radiophonique ». Au programme Spice Girls, Beyoncé, et toutes les musiques « que les gens adorent écouter en cachette ».

Vendredi 21 février de 23 h à 5 h, le Connexion, 8 rue Gabriel Péri
Gratuit

Maxime Noix

Municipales 2020. Les candidats de Saint-Aubin, une histoire d'avenir

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1er rang (assis) : Alderic Bourgois, Catherine Lebon, Franck Jourdan, Cécile Brégeon, Florence Stablo, Cyril Pellen, Séverine Bufferand, Florent Baslé. 2e rang : Jean-Michel Gueniot, Jacqueline Le Quéré, William Pommier, Pascale Macours, Jérôme Bégasse, Katell Sevin-Renault, Frédéric Salaun, Laetitia Cour, Pierre Avenet, Guillaume Amadieu. 3e rang (debout) : Morgane Jézégou, Olivier Schreiber, Axelle Ganne, Vincent Bonnisseau, Céline Marchand, Yves Le Roux, Maelle Evard, Yvon Lecaer, Emilie Lamour, Guillaume Hubert, Amélie Goudal

1er rang (assis) : Alderic Bourgois, Catherine Lebon, Franck Jourdan, Cécile Brégeon, Florence Stablo, Cyril Pellen, Séverine Bufferand, Florent Baslé. 2e rang : Jean-Michel Gueniot, Jacqueline Le Quéré, William Pommier, Pascale Macours, Jérôme Bégasse, Katell Sevin-Renault, Frédéric Salaun, Laetitia Cour, Pierre Avenet, Guillaume Amadieu. 3e rang (debout) : Morgane Jézégou, Olivier Schreiber, Axelle Ganne, Vincent Bonnisseau, Céline Marchand, Yves Le Roux, Maelle Evard, Yvon Lecaer, Emilie Lamour, Guillaume Hubert, Amélie Goudal (©DR).

Maire sortant de Saint-Aubin-du-Cormier, Jérôme Bégasse a dévoilé les colistiers de Saint-Aubin, une histoire d’avenir.

Lire aussi : MUNICIPALES 2020. Pourquoi le maire de Saint-Aubin-du-Cormier repart

Rassemblant 29 candidats, l’équipe se veut « expérimentée et renouvelée, d’une moyenne d’âge de 45 ans, amoureuse de Saint-Aubin-du-Cormier » mais aussi « impliquée dans la vie associative et locale ».

Les candidats

Jérôme Bégasse, 45 ans, cadre commercial. Guillaume Amadieu, 40 ans, cadre télécoms. Pierre Avenet, 64 ans, professeur des écoles en retraite. Florent Baslé, 40 ans, chef de projet informatique. Vincent Bonnisseau, 46 ans, cadre de santé en EPHAD. Aldéric Bourgois, 31 ans, secrétaire juridique. Cécile Brégeon, 46 ans, professeur des écoles. Séverine Bufferand, 38 ans, assistante maternelle.

Laetitia Cour, 45 ans, ingénieur pédagogique. Maëlle Évard, 25 ans, infirmière en psychiatrie. Axelle Ganne, 31 ans, commerciale. Amélie Goudal, 27 ans, conseillère en insertion sociale et professionnelle. Jean-Michel Guéniot, 44 ans, chargé de prévention des risques professionnels. Guillaume Hubert, 35 ans, fonctionnaire du Ministère de la Justice. Morgane Jézégou, 43 ans, responsable de projets informatiques.

Franck Jourdan, 53 ans, attaché commercial. Émilie Lamour, 46 ans, agent immobilier. Jacqueline Le Quéré, secrétaire administrative ARS. Yves Le Roux, 58 ans, enseignant. Catherine Lebon, 45 ans, animatrice en EHPAD. Yvon Lecaër, 72 ans, instituteur en retraite. Pascale Macours, 51 ans, chimiste. Céline Marchand, 34 ans, chargée de projets socioculturels.

Cyril Pellen, 37 ans, ostéopathe. William Pommier, 49 ans, ingénieur informaticien. Frédéric Salaün, 50 ans, ingénieur support clients. Olivier Schreiber, 48 ans, directeur de création. Katell Sevin-Renault, 42 ans, professeur des écoles. Florence Stablo, 49 ans, chargée de clientèle.

Trois axes

Le programme de Saint-Aubin, une histoire d’avenir comporte trois axes. Le premier, « pour les Saint-Aubinaises et les Saint-Aubinais », vise notamment à « préserver et renforcer la qualité de vie », « s’engager en faveur d’une alimentation de qualité saine et durable » ou encore « renforcer la participation citoyenne ».

Le deuxième, intitulé « pour Saint-Aubin », propose « un patrimoine et un cadre de vie préservés et valorisés », de « rénover et développer les équipements », mais aussi « organiser les différents modes de déplacement ».

Le troisième « Bienvenue à Saint-Aubin ! » a pour objectif d’ « accueillir et soutenir les acteurs économiques », de « développer un tourisme respectueux de notre cadre de vie » ou encore de « développer les loisirs pour les habitants et les visiteurs ».

« Trois projets phares »

L’équipe de Jérôme Bégasse entend également développer « trois projets phares » : « finaliser le Parc », « poursuivre l’aménagement de l’Etang » et « poursuivre le projet urbain au rythme des habitants ».

Concernant Liffré-Cormier communauté, les candidats souhaitent « poursuivre une intercommunalité à taille humaine offrant des services de proximité à nos habitants ».

En termes de « moyens », la liste met notamment en avant « les finances : maîtrise des finances, capacité à investir », « les services : étoffer les équipes agents et les mutualisations », mais aussi « inciter la participation citoyenne ».

La présentation de l’équipe et du projet interviendra lors d’une réunion publique mercredi 11 mars à 20h la salle des Halles.

Municipales à Saint-Pierre-en-Auge : Sylviane Pralus présente les membres de sa liste

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L'Avenir ensemble, la liste emmenée par Sylviane Pralus à Saint-Pierre-en-Auge (Calvados);

L’Avenir ensemble, la liste emmenée par Sylviane Pralus à Saint-Pierre-en-Auge (Calvados). (©Le Pays d’Auge)

La liste sans étiquette «  L’Avenir ensemble » emmenée par Sylviane Pralus est composée de 57 hommes et femmes habitant les 13 communes historiques de Saint-Pierre-en-Auge (Calvados).

Lire aussi : Sylviane Pralus emmènera la liste « L’Avenir ensemble » à Saint-Pierre-en-Auge

Agés de 52 ans en moyenne, mes colistiers et moi-même sommes d’origines professionnelles variées (chefs d’entreprises, agriculteurs, ouvriers, juristes, fonctionnaires, enseignants, commerçants, professions libérales, retraités…). Toutes et tous partagent les mêmes valeurs : le souci de transparence, l’écoute et le sens de l’intérêt généra », explique la candidate.

Un tiers des candidats sont des conseillers sortants « qui ont déjà l’expérience de la vie municipale ». Plus de la moitié ont des engagements associatifs depuis de nombreuses années « leur permettant de bien connaitre notre territoire et les attentes de chacune et de chacun ».

Et la tête de liste de poursuivre :

Nous avons la volonté de mettre en place pour notre commune une gestion dynamique et participative attendue par les Pétruviens et qui fait aujourd’hui défaut à Saint-Pierre-en-Auge. A la gestion personnelle, nous préférons en effet la gouvernance collective en concertation avec les habitants. Car nous en sommes persuadés : seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin ».

Lire aussi : Municipales à Saint-Pierre-en-Auge : Les 57 visages de la liste emmenée par le maire sortant Jacky Marie

1. Sylviane PRALUS (47 ans, agricultrice, Saint-Pierre-sur-Dives, conseillère sortante, Présidente de la MSA Côtes Normandes)

2. Christophe ROBERT (45 ans, juriste, L’Oudon, Saint-Martin-de-Fresnay, conseiller délegué sortant)

3. Léa VERSAVEL (51 ans, secrétaire de mairie, Saint-Georges-en-Auge, maire déléguée sortante, vice-présidente de l’Agglomération Lisieux-Normandie)

4. Gilbert TIRARD (67 ans, monteur électricien retraité, Boissey, adjoint délegué sortant)

5. Catherine SADY (60 ans, formatrice agricole, Vieux Pont en Auge, maire déléguée sortante, conseillère déléguée de l’Agglomération Lisieux-Normandie)

6. Théo PIEDNOEL (21 ans, comptable, Hiéville, président de l’Association Solidarité Zanaka)

7. Annie DEBOUVER (70 ans, cadre retraitée, Sainte-Marguerite-de-Viette, conseillère sortante, trésorière de la bibliothèque, du club des ainés et de l’association  « Les mains magiques ».

8. Luc DEREPAS (54 ans, juriste, L’Oudon, Montpinçon)

9. Brigitte FERRAND (69 ans, psychologue scolaire retraitée, Saint-Pierre-sur-Dives, conseillère sortante, présidente de l’association du cinéma Le Rexy)

10. Emmanuel BRESSON (56 ans, enseignant paysagiste, Saint-Georges-en-Auge, conseiller sortant, membre actif des associations Montviette Nature, Maisons Paysannes de France et Essomanda)

11. Geneviève AUGÉ (29 ans, chargée de communication, Saint-Pierre-sur-Dives, Présidente de « La ferme du Trousseau »)

12. Jean-Romain BAYOUD (62 ans, directeur informatique, L’Oudon, Montpinçon)

13. Nicole PERRÉE (64 ans, assistante logistique retraitée, Bretteville-sur-Dives, vice-présidente de Bretteville-en-fête, bénévole de la pose-cartable)

14. Guy MEZERETTE (55 ans, jardinier, Saint-Pierre-sur-Dives)

15. Sonia OLIVIERO (43 ans, conseillère vie-apprentissage, Saint-Pierre-sur-Dives)

16. Didier BANNIER (65 ans, routier retraité, Saint-Pierre-sur-Dives)

17. Martine DESCHAMPS (63 ans, assistante de soins en gérontologie, L’Oudon, Lieury)

18. Stéphane LEGER (52 ans, agent des routes, Bretteville-sur-Dives, conseiller sortant)

19. Vincianne TIRARD (21 ans, étudiante, Saint-Pierre-sur-Dives, secrétaire de Solidarité Zanaka, membre de l’USP Hand-ball)

20. Francis REISER (69 ans, cadre retraité, L’Oudon, Ecots, porte-drapeau, membre du Souvenir Français)

21. Sophie DANVY (60 ans, Ingénieur agronome, L’Oudon, Berville)

22. Alain BELVEYRE (69 ans, ouvrier retraité, Vaudeloges, conseiller sortant)

23. Sandrine MAUQUET (44 ans, employée de restauration, Thiéville, vice- présidente APL de l’école de Ste Marguerite-de-Viette)

24. Benoit TOUCHARD (25 ans, producteur de plantes aromatiques, Saint-Pierre-sur-Dives)

25. Martine CHARTIER (65 ans, vendeuse retraitée, Ouville-la-Bien-Tournée)

26. Dominique BORDEAUX (64 ans, agriculteur retraité, L’Oudon, Saint-Martin-de-Fresnay, Vice-président du Foyer rural du Billot)

27. Christine SAILLY (57 ans, auxiliaire de vie, Saint-Pierre-sur-Dives)

28. Bruno TRAVERT (48 ans, enseignant en commerce, L’Oudon, Berville)

29. Dominique FLEURIOT-FORT (62 ans, gestionnaire de paie, L’Oudon, Ecots)

30. Guillaume LAISNÉ (26 ans, professeur d’EPS, Boissey)

31. Claudette NONNET (78 ans, commerçante retraitée, Saint-Pierre-sur-Dives)

32. Gilbert BRUNO (58 ans, formateur industrie, Vieux-Pont-en-Auge)

33. Sylvie GICQUEL (65 ans, coiffeuse retraitée, Sainte-Marguerite-de-Viette)

34. Jean-Baptiste LECELLIER-LEPECQ (44 ans, directeur d’école, Montviette)

35. Sandrine BESNIER (46 ans, aide-soignante, Saint-Pierre-sur-Dives)

36. Stéphane MAUGER (45 ans, graphiste, L’Oudon, Saint-Martin-de-Fresnay)

37. Aline LUCAS (40 ans, agent territorial, L’Oudon, Lieury)

38. Alexandre GRIEVE (42 ans, fonctionnaire, Boissey)

39. Catherine LAISNÉ (59 ans, secrétaire retraitée, Bretteville-sur-Dives, Trésorière de « l’Association Normande des greffés cardiaques » et de l’Harmonie Municipale, conseillère sortante)

40. Mikael ZIELINSKI (40 ans, ingénieur réseaux, Boissey)

41. Liliane DUBOURG (51 ans, agent polyvalent, Thiéville)

42. Philippe BERSON (68 ans, retraité, Vieux-Pont-en-Auge)

43. Christine DEMETZ (54 ans, enseignante, Saint-Pierre-sur-Dives)

44. Kenny LECOINTE (28 ans, sapeur-pompier, Saint-Pierre-sur-Dives)

45. Murielle DOUCHIN (42 ans, secrétaire administrative, L’Oudon, Tôtes)

46. Olivier STOREZ (58 ans, paysan, L’Oudon, Notre-Dame-de-Fresnay, Président de l’association Solidarité Paysans)

47. Emilie QUATREBOEUFS (39 ans, monitrice d’auto-école, Saint-Pierre-sur-Dives)

48. Vincent HERICHER (49 ans, agent automobile, Boissey, conseiller sortant)

49. Sophie MOREAU (47 ans, agricultrice, Vieux-Pont-en-Auge)

50. Xavier PETIT (67 ans, routier retraité, L’Oudon, Tôtes)

51. Guénaëlle COCHIN (46 ans, commerçante, Mittois)

52. Antoine RAYON (23 ans, assistant d’éducation, Vieux-Pont-en-Auge)

53. Sylvie MOULINET (52 ans, aide médico-psychologique, Sainte-Marguerite-de-Viette)

54. Gérard MONROTY (73 ans, chaudronnier retraité, Saint-Pierre-sur-Dives, conseiller sortant, bénévole cinéma Le Rexy)

55. Aurélie DOUBLET (32 ans, vendeuse, Saint-Georges-en-Auge)

56. André LEPREVOST (80 ans, chef de gare retraité, Saint-Pierre-sur-Dives)

57. Isabelle GLINEL (51 ans, aide-soignante, Saint-Pierre-sur-Dives)

58. Jean-François MARIN (55 ans, coordinateur social, Montviette)

59. Mélanie TIRARD (infirmière, Saint-Pierre-sur-Dives)

Municipales : Loïc Mahé présente sa liste« Bien vivre à Pleubian »

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La liste « Bien vivre à Pleubian » est composée de dix conseillers sortants et de neuf nouvelles figures.

La liste « Bien vivre à Pleubian » est composée de dix conseillers sortants et de neuf nouvelles figures. (©La Presse d’Armor)

Dimanche 16 février, le maire sortant de Pleubian, Loïc Mahé, a présenté son équipe pour les élections municipales.

Lire aussi : Municipales 2020 : Loïc Mahé brigue un 4e mandat à Pleubian

Neuf nouveaux

La liste « Bien vivre à Pleubian » est composée de dix conseillers sortants et de neuf nouvelles figures.

Sous une météo peu clémente, une petite fenêtre sans pluie a souri aux candidats pour la photo à l’extérieur.

Avant de présenter son programme, le maire actuel a fait part de ce petit message :

 Remerciements aux élus sortants ne se représentant pas et qui nous soutiennent. Une nouvelle équipe composée d’anciens élus expérimentés et compétents qui pourront transmettre leurs acquis aux nouveaux qui eux-mêmes sauront apporter un vent porteur. Un bel équilibre. Notre ambition : poursuivre nos projets, nos engagements, travailler à apporter à notre population un véritable.

La moyenne d’âge de la liste est de 54 ans.

Les colistiers

Sur la photo, 1er rang, de gauche à droite : 

  • Laurent Le Moullec, 47 ans, ouvrier qualifié de type industriel
  • Isabelle Le Corre, 51 ans, secrétaire médicale
  • Romuald Berthou, 40 ans, conseiller sortant, agent de maintenance dans le nautisme
  • Nathalie Marchou, 46 ans, factrice
  • Loïc Mahé, 68 ans, maire sortant, dirigeant d’entreprise en retraite
  • Martine Kergall, 59 ans, salariée, ancienne commerçante
  • Ronan Kermarrec, 23 ans, salarié agricole
  • Lucienne Paranthoen, 72 ans, retraitée
  • Claude Hamon, 69 ans, conseiller sortant, retraité
  • Patricia Bourgès, 53 ans, conseillère sortante, secrétaire entreprise en bâtiment

Au 2e rang :

  • Joël Gicquel, 57 ans, conseiller sortant, conchyliculteur
  • Marie Merle, 47 ans, contrôleuse qualité
  • Gilbert Le Briand, 56 ans, adjoint sortant, inspecteur sécurité des navires professionnels aux Affaires maritimes
  • Véronique Corlouer, 58 ans, adjointe sortante, ambulancière
  • Michel Le Gall, 61 ans, conseiller sortant, retraité agricole
  • Françoise Ambert, 64 ans, adjointe sortante, retraité éducation nationale
  • François Tilly, adjoint sortant, retraité agricole
  • Émilie Nouvel, 37 ans, agent commercial dans l’immobilier
  • Christian Meudal, 63 ans, retraité aéronavale

Occitanie. Enerfip, le booster du financement citoyen des énergies renouvelables

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La plateforme de crowdfunding Enerfip confirme la montée en puissance, en Occitanie, du financement participatif des projets d'ENR

La plateforme de crowdfunding Enerfip confirme la montée en puissance, en Occitanie, du financement participatif des projets d’énergies renouvelables (©dr)

Enerfip, la plateforme de financement participatif hébergée à Montpellier par le Pôle Réalis (NDLR : la pépinière des entreprises sociales et solidaires) permet depuis 2016 aux citoyens d’investir directement dans des projets d’énergies renouvelables. En 2019, la start-up a agit comme un détonateur pour favoriser l’explosion de ce financement citoyen en plein essor.

Taux d’intérêt de 4 à 7% 

Enerfip offre aux particuliers la possibilité de devenir acteurs de la transition énergétique en investissant dans des projets bénéficiant de taux d’intérêt de 4 à 7% sur des durées de 2 à 6 ans. « 4 ans après son lancement, la plateforme totalise plus de 37 M€ collectés auprès des citoyens », annonce le montpelliérain Léo Lemordant, cofondateur et président d’Enerfip.

Accompagnement sur-mesure

Le jeune dirigeant confirme l’attirance des citoyens dans les investissements en faveur des ENR. Et pour répondre à cette aspiration, Enerfip, qui a levé 1,2 M€ l’été dernier, a développé un modèle spécifique qui passe par un présence sur le terrain : « Loin du modèle de plateforme numérique hors-sol, Enerfip assure une présence sur les territoires d’implantation des projets, afin d’apporter un accompagnement sur-mesure aux citoyens », précise-t-il.

Léo Lemordant, cofondateur d'Enerfip, annonce que 30 M€ de commandes sont déjà signées pour 2020

Léo Lemordant, cofondateur d’Enerfip (à droite) annonce que 30 M€ de commandes sont déjà signées pour 2020 (©dr)

A lire aussi : Enerfip lève 1,2 M€ pour grandir et de diversifier

Enerfip agit contre le réchauffement climatique en permettant aux habitants de participer au déploiement de la transition énergétique près de chez eux

« Contrairement aux idées reçues, l’investissement dans les énergies renouvelables est une action très accessible », insiste le dirigeant, qui estime que le travail de terrain d’Enerfip, assuré par une équipe d’une vingtaine de personnes, « fait avancer concrètement la lutte contre le réchauffement climatique en permettant aux habitants de participer au déploiement de la transition énergétique près de chez eux ».

20,5 M€ pour 112 projets

En 2019, Enerfip, qui a fait de l’Occitanie sa terre d’excellence, recense 20 000 membres inscrits sur sa plateforme, dont 8 000 nouveaux : « Au total, 20,5 M€ ont été collectés au cours de l’année pour contribuer au financement de 112 projets, représentant une puissance totale cumulée de plus d’1 GW de projets d’énergie verte », précise Léo Lemordant, soulignant « un engagement fort » des citoyens.

L’éolien en mer décolle

Enerfip a également profité de l’année écoulé pour devenir le leader du financement participatif de l’éolien en mer : « 2600 personnes ont placé leur épargne, à hauteur de 3 M€ sur les 3 projets d’éoliennes en Mer validés par l’Etat (îles d’Yeu et Noirmoutier, Dieppe-Le Tréport et Golfe du Lion) », rappelle la plateforme : « Enerfip est à ce jour le seul acteur à avoir proposé aux citoyens de financer des projets d’éolien en mer en France ».

A litre aussi : Eoliennes flottantes dans le golfe du Lion en 2022 : 1 M€ souscrit

A Montpellier, Enerfip, acteur majeur des ENR, a participé à la Marche pour le Climat

A Montpellier, Enerfip, acteur majeur des ENR, a participé à la Marche pour le Climat (©dr)

Déjà 30 M€ pour 2020

Au final, Enerfip confirme un année 2019 exceptionnelle : « + 100 % de chiffre d’affaires en 2019 par rapport à 2018 et un carnet de commandes de plus de 30 M€ pour 2020 déjà signées », annonce Léo Lemordant. Et parmi ces projets, ceux des parcs photovoltaïques de Montbartier et de Maillol, situés dans le Tarn-et-Garonne et la Haute-Garonne, sont ouverts au financement participatif à hauteur de 640 000 euros. Ces deux parcs photovoltaïques produiront au total environ 14 100 MWh par an, soit l’équivalent de la consommation électrique annuelle d’un village de 2000 personnes.

ENR : l’Etat facilite le rôle du citoyen
En 2018, la Commission de Régulation de l’Energie la pris des mesures pour encourager le développement des ENR. Tout d’abord, une mesure stipule que les citoyens, désormais, deviennent actionnaires et accèdent à la gouvernance de la société qui exploite le projet… Ensuite, l’Etat a publié une ordonnance relevant le plafond réglementaire d’une collecte de 2,5 M€ à… 8 M€ ! Enerfip a ainsi bouclé, fin décembre 2019, une collecte de 5,5 M€, « le record absolu du secteur », précise Léo Lemordant : « Cette performance confirme l’intérêt des citoyens et sonne comme une reconnaissance de la maturité du secteur… Ce contexte ouvre de très belles perspectives pour le financement participatif des ENR, et pour Enerfip bien sûr, désormais en mesure de répondre à de nouvelles problématiques de financement ou de refinancement des grands projets ».


Conflit autour du recrutement d'un urgentiste : les médecins du Bailleul s'opposent à la main mise du Mans

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Au coeur du conflit, le recrutement d'un chef du service des Urgences à l'hôpital du Bailleul.

Au coeur du conflit, le recrutement d’un chef du service des Urgences à l’hôpital du Bailleul. (©Les Nouvelles de Sablé)

La communauté médicale de l’hôpital du Bailleul (Sarthe) monte à son tour au créneau dans le conflit qui l’oppose à l‘hôpital du Mans pour le recrutement d’un médecin urgentiste. Ce mercredi 19 février 2020, les médecins annoncent leur démission de toutes les instances institutionnelles et les groupes de travail du Groupement Hospitalier de Territoire (GHT).

L’affaire a commencé par un communiqué des syndicats, le 7 février dernier dénonçant « une opposition manifeste de la part de la direction du Centre Hospitalier du Mans au recrutement d’un chef de service urgentiste au Bailleul ». 

Lire aussi : Sarthe : quand deux hôpitaux se disputent un médecin

Quelques jours plus tard, un communiqué commun des deux hôpitaux annonçait que l’hôpital du Mans était désormais seul recruteur d’urgentistes pour tout le Groupement hospitalier de territoire. 

C’est au tour des médecins de la communauté médicale du Bailleul de monter au créneau dénonçant « une décision unilatérale ». 

Après la fermeture des Urgences de nuit du 24 septembre au 14 octobre 2019, puis celle du Smur

le PSSL (Pôle Santé Sarthe et Loir) a été réactif pour rendre à nouveau un service d’accueil des urgences opérationnel H24 hormis le Smur », estiment les médecins de la communauté médicale du Bailleul représentée par les docteurs Philippe Bourrée et Abdelhadi Masloh.

« L’établissement a entamé une reconstruction profonde du service dont les principaux axes sont le recrutement de médecins urgentistes qualifiés compétents et le recrutement d’un praticien ayant le profil de chef de service ». 

Appel à un cabinet de recrutement

L’hôpital a fait un appel à un cabinet de recrutement. « En mars 2019, un contrat avec la société Appel Médical Search a été signé par le directeur par intérim pour la recherche d’un médecin urgentiste. Cette société nous a présenté une candidature au mois de décembre 2019 avec un profil de chef de service très intéressant ».

Une candidature qui a « reçu un avis favorable à l’unanimité au directoire, à la CME et au conseil de surveillance ».

Le Dr Abdelhadi Masloh représentant de la communauté médicale annonce la démission des médecins du GHT.

Le Dr Abdelhadi Masloh représentant de la communauté médicale annonce la démission des médecins du GHT. (©Les Nouvelles de Sablé)

Le refus de la direction de l’hôpital du Mans

L’hôpital du Bailleul s’est alors heurté à une opposition et à un refus de la direction du Centre hospitalier du Mans de ce recrutement.

Il impose donc son véto comme étant le seul et unique décideur et recruteur de praticiens dans le territoire », dénoncent les médecins.

Ils poursuivent « les décisions des réunions soulignées par la direction du CHM n’ont jamais été validées et n’ont jamais fait l’objet d’un avis auprès des instances telles que la CME, le conseil de surveillance de chaque établissement et le collège médical ».

« L’autonomie du PSSL doit être respectée »

Les médecins estiment que « l’équipe territoriale en tant qu’entité juridique à l’heure actuelle n’existe pas et n’est pas validée par les instances des hôpitaux du groupement. L’autonomie juridique du PSSL se doit donc d’être respectée ».

Une situation qui reste propre au Groupement hospitalier de Territoire de la Sarthe.

Dans la même région (ARS des Pays de Loire) de nombreux établissements de proximité sont autorisés à recruter des praticiens (y compris praticiens cliniciens) en toute autonomie. Nous citons en exemple la Mayenne… avec un contrat légal et réglementaire ».

Les praticiens ne comprennent pas ce blocage de recrutement par l’hôpital du Mans. Ils estiment que « la co-construction doit être participative et non pyramidale ».

Démission des médecins de toutes les instances du GHT

En réaction, la communauté médicale du PSSL a « décidé de démissionner de toutes les instances institutionnelles et les groupes de travail inhérents au groupement hospitalier du territoire GHT. Elle refuse la décision unilatérale communiquée par voie de presse par la direction du CHM au sujet de recrutement des médecins urgentistes ».

Elle reste toutefois « favorable à une réunion de concertation sur ce sujet entre les deux parties. En effet, jusqu’à présent, aucune réunion n’a eu lieu pour clarifier et trouver des solutions à ce problème ».

Vendeur en bricolage, secrétaire comptable... Notre sélection d'offres d'emploi dans le Bocage virois

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L'Etape en Forêt recherche un chef de salle ou serveur expérimenté pour la saison à Noues-de-Sienne.

L’Etape en Forêt recherche un chef de salle ou serveur expérimenté pour la saison à Noues-de-Sienne. (©Illustration/ Pixabay)

Chaque mois, et Pôle emploi de Vire Normandie s’associent pour vous proposer leur sélection d’offres d’emploi sur le territoire du Bocage virois. Si l’une d’elles vous intéresse, n’hésitez pas à noter son numéro et vous rapprocher de Pôle emploi.

Chef Cariste. CDI de 42 h 50, à Vire.

Vous êtes rattaché(e) au chef logistique. Vous avez pour missions : s’assurer de l’efficacité du service à la clientèle, assurer le déchargement des camions fournisseurs, réceptionner la marchandise et contrôler le bon de livraison, encadrer les magasiniers dans leurs fonctions en accord avec le chef logistique, aider au chargement des camions de nos conducteurs et superviser la propreté de la cour et son rangement. Votre profil : vous êtes dynamique, réactif, rigoureux et organisé. Vous disposerez de bonnes qualités relationnelles et managériales. Vous disposez impérativement du CACES 3 et 5 et d’une expérience dans l’univers des matériaux de construction.

N° de l’offre : 098JLTZ

Lire aussi : Relooking extrême pour le Café du théâtre de Vire Normandie

Vendeur en bricolage. CDI de 40 h, à Vire.

Nous recherchons un conseiller de vente spécialisé en menuiserie, plaque de plâtre, isolation. Vous avez un goût prononcé pour la relation clients, vous aimez conseiller et vendre, votre profil nous intéresse. Au sein de l’agence, spécialisée dans la vente de matériaux de construction, vous êtes le premier contact de nos clients professionnels ou particuliers. Votre quotidien : accueillir les clients (téléphonique et physique), conseiller et vendre nos produits et services, établir les devis, gérer les litiges clients. Votre profil : de formation commerciale, vous avez un attrait pour notre secteur d’activité, vous justifiez d’une expérience réussie sur un poste similaire, le sens du contact, la rigueur et les capacités de négociation sont des éléments importants à la réussite de ce poste.

N° de l’offre : 098JNBK

Lire aussi : Une trentaine d’emplois, sans qualification requise, sont à pourvoir à Villers-Bocage

Apprenti couvreur. CDD de 35 h, sur 24 mois, à Vire.

Vous êtes débutant et souhaitez vous former au métier de couvreur. Nous recherchons pour la rentrée de septembre un apprenti dans le domaine de la couverture soit en CAP couverture, mention zinguerie ou BP.

N° de l’offre : 098QDNZ

Couvreur. CDI de 40 h, à Vire.

Vous réalisez des travaux de couverture (tuile, zinc, ardoise, cuivre), les réparations et entretiens de tous les types de toiture (traditionnelle ou industrielle). Vous effectuez de la manutention de bac acier. Vous ne devez pas avoir le vertige car vous travaillez en hauteur. Vous avez déjà travaillé dans le bâtiment en tant que manœuvre, nous acceptons votre candidature. Vous respectez les consignes de sécurité.

N° de l’offre : 098QFLH

Couvreur. CDI de 35 h, à Valdallière.

N° de l’offre : 097RKYN

L’Armée de Terre recrute
Venez découvrir les métiers proposés par l’Armée de Terre… Plus de 100 spécialités, dans de nombreux domaines sont accessibles avec ou sans qualification : informatique, mécanique, ressources humaines, secrétariat, aéronautique, transport, logistique, combats, etc.
L’Armée de Terre permet de réaliser un parcours professionnel réussi par la formation et l’aide à la reconversion notamment. Un conseiller en recrutement du CIRFA (Centre d’information et de Recrutement des Forces Armées) de Caen informera sur les opportunités qui s’offrent à tous lors de cette journée. Mardi 25 février 2020, focus info métiers, dès 9 h, au Pôle emploi de Vire.

Chef de salle ou serveur expérimenté. Contrat saisonnier de 7 mois, de 35 h, à Noues-de-Sienne.

Dans le cadre de la reprise de l’exploitation du domaine de l’Étape en Forêt situé à Saint-Sever-Calvados, la nouvelle équipe recherche son chef de salle ou serveur expérimenté pour son restaurant de 35 places assises disposant d’une terrasse de 35 places additionnelles. Véritable lien entre le chef de cuisine avec lequel il travaille en osmose et la salle, le chef de salle devra faire preuve en toutes circonstances d’un sens aigu de la relation clients et également maîtriser les techniques de ventes à même de développer le chiffre d’affaires du restaurant. Le chef de salle sera également amené à tenir le bar du restaurant. Responsable des réservations pour la partie restauration, il s’assure de la tenue irréprochable de la salle, accueille les clients, les conseille sur la carte et les tarifs, réalise et s’assure de la fluidité du service et à la charge des encaissements.

N° de l’offre : 099MDNF

Technicien de laboratoire d’analyses médicales. CDD de 35 heures sur 12 mois à Vire Normandie.

Vous réalisez et traitez des prélèvements biologiques en vue d’analyses biomédicales selon la prescription médicale, dans un objectif de diagnostic, dépistage, traitement, prévention ou de recherche. Vous réalisez des prélèvements biologiques spécifiques (sang, sécrétions,…). Poste avec des gardes de nuit. Le certificat de prélèvement serait un plus. Vous justifiez d’une formation de technicien de laboratoire d’analyse médicale ou d’une formation similaire reconnue. Poste à pourvoir en avril.

N° de l’offre : 098KPKW

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Conducteur livreur poids lourds. CDI de 43 heures au départ de Vire Normandie.

Vous assurez la conduite d’un véhicule lourd et superlourd, le chargement et déchargement. Vous partez à la semaine, du lundi au vendredi. Vous êtes titulaire du permis CE, de la FIMO ou FCO et de la carte conducteur.

N° de l’offre : 098RTFQ

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Charpentier. CDD de 39 h, aux Monts d’Aunay.

Vous êtes impliqué, consciencieux, avez envie de vous investir dans une entreprise de « type entreprise familiale » avec un vrai esprit d’équipe et une vraie implication. Vous avez la responsabilité de seconder le charpentier et son équipe en charge du projet. Vous devez réaliser des tâches dans le domaine de la fabrication et de la pose de charpentes en bois ainsi que d’autres éléments en bois. L’esprit d’équipe et une grande motivation pourraient palier à une inexpérience dans le métier. Nous sommes donc prêts à former pour ce poste. Le permis est nécessaire pour vous déplacer sur les chantiers. CDD éventuellement reconductible dans les limites prévues par le Code du travail.

N° de l’offre : 099KYZF

Mécanicien automobile. CDI de 38 h, à Noues-de-Sienne.

Sous la responsabilité du chef d’atelier, et du service commercial vous prenez en charge en complète autonomie les entretiens vidanges des véhicules des clients du garage, la finalisation des préparations des véhicules vendus, ainsi que le service du carburant. Vous effectuez votre activité dans le respect des règles en vigueur dans l’entreprise et êtes reconnu pour votre rigueur, votre sens de l’organisation et votre goût du travail bien fait. Le permis poids-lourd pour des missions ponctuelles de re-livraison est un plus.

N° de l’offre : 097PFPR

Secrétaire comptable. CDI de 20 h, à Vire.

Vous aurez pour mission la gestion comptable d’une PME/PMI. Vous devez savoir : saisir des devis, factures clients/fournisseurs, demande de prix auprès des fournisseurs, achats, rapprochement bon livraison, enregistrement banque et lettrage, déclaration de TVA, envoi pré-paie. Vous avez une première expérience en logistique ou en achat. Bac + 2 ou équivalents Gestion PME PMI Exigé avec expérience de 6 mois.

N° de l’offre : 094QSVX

Val-de-Marne. Faites de la tyrolienne... Au centre commercial Belle Epine !

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Le centre commercial Bel Epine, à Thiais (Val-de-Marne)

Le centre commercial Bel Epine, à Thiais (Val-de-Marne) (©David LEDUC – Actu Val-de-Marne)

A chaque vacances ses animations ! Le centre commercial de Thiais (Val-de-Marne), Belle Epine, a annoncé toute une série d’animations pour les vacances scolaires de l’année 2020. « Des dispositifs géants créeront l’événement à chaque période de vacances scolaires. 4 grands rendez-vous inédits, 4 séquences à sensations à partager en famille entre deux séances shopping », indique en effet Belle Epine. 

Lire aussi : Val-de-Marne. Arrivée d’un nouveau KFC à Thiais, au centre commercial Belle Epine

Une tyrolienne dans le centre-commercial

Et pour inaugurer ce nouveau programme de festivités, Belle Epine invite les clients des commerces à prendre de la hauteur avec… une tyrolienne installée en place centrale. Le centre commercial du groupe Klépierre précise ainsi : 

« Une tyrolienne de 30 mètres invitera les visiteurs à relever un challenge original dans un environnement inédit. Une fois équipés, les partants pour l’aventure s’élanceront d’une plateforme en hauteur pour une descente planante. Les moins timorés profiteront du spectacle et encourageront les performances de haut vol ». 

J-7 – Oserez-vous relever le défi ?! Du 19 au 23 février venez tester notre tyrolienne en place centrale ! #thiais #belleepine #paris #letsplaychallenge #emotions #tyrolienne #defi #fun

Publiée par Belle Epine sur Mercredi 12 février 2020

L’attraction sera « encadrée par des professionnels » et accessible à toute personne de plus d’un mètre 15. Elle est proposée aux visiteurs depuis ce mercredi et le sera chaque jour jusque dimanche de 11 heures à 19 heures. 

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Du cinéma hors les mur

Le prochain rendez-vous au centre commercial Belle Epine est d’ores et déjà connu. Il s’agira de l’organisation d’un festival de cinéma hors les murs du 17 au 19 avril. Explications : « Le cinéma sort des salles obscures et vient à la rencontre du public. Dans une atmosphère décontractée, des séances de cinéma aux airs de drive in auront lieu durant 3 jours sur la place centrale. Confortablement installés dans un transat, les pieds dans l’herbe, les visiteurs pourront profiter de 3 projections par jour sur un écran de 24 m² ». 

Au programme de ce festival ? Neuf films familiaux, parmi lesquels Le Livre de la Jungle, Mamma Mia ou encore Avengers : « Pour plonger totalement dans l’ambiance cinéma, des triporteursfood déambuleront entre les allées pour proposer aux spectateurs une restauration légère prête à déguster ».

Et cet été ?

Le centre commercial Belle Epine prévoit pour les vacances d’été et d’automne les mises en place d’un « toboggan colossal en forme de vague pour l’été et un escape game à l’automne ».

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Municipales à Rouen. La liste du Parti Animaliste pour "faire émerger la question animale"

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La liste Rouen animaliste, a été dévoilée lundi 17 février 2020, pour les élections municipales à Rouen.

La liste Rouen animaliste, a été dévoilée lundi 17 février 2020, pour les élections municipales à Rouen. (©Parti Animaliste)

« Les Rouennais comptent, les animaux aussi. » Voici le slogan de la nouvelle liste Rouen animaliste, portée par le Parti Animaliste, autour de Pierre-Alexandre Guesdon, qui s’est officiellement déclaré candidat lundi 17 février 2020 à Rouen (Seine-Maritime), à quelques jours de la clôture définitive des candidatures. L’équipe, constituée de 55 personnes, veut profiter de ces élections municipales, « cruciales », « pour améliorer le sort réservé aux animaux. » 

Lire aussi : PORTRAITS. Qui sont les candidats et la candidate aux élections municipales à Rouen ?

Étudiants, artistes, fonctionnaire…

Ils sont magasinier, vétérinaire, infirmier ou encore étudiant, et ont décidé de s’engager sur la liste Rouen Animaliste, portée par Pierre-Alexandre Guesdon, 36 ans, technicien de fouilles archéologique et référent L214 à Rouen. 

Les 54 colistiers, âgés entre 20 et 67 ans, espèrent que ces élections seront une véritable « opportunité pour faire entrer la question animale au cœur des communes », notamment à Rouen, où les habitants ne trouvent « plus acceptables les actes de cruauté, qu’ils soient illicites ou licites » et « attendent que les animaux soient davantage considérés et protégés ».

La liste de Rouen Animaliste

1 – Guesdon Pierre-Alexandre, 36 ans – Technicien de fouilles archéologiques
2 – Hue Stéphanie, 45 ans – Fonctionnaire (adjointe de direction)
3 – Roschioni-Le Bay Dorian, 27 ans – Directeur de cabinet de courtage en financement
4 – Pain Stella, 33 ans – En recherche d’emploi
5 – Dieulle Loïc, 32 ans – Magasinier
6 – Gaud Élodie, 30 ans – Étudiante en accompagnement éducatif et social
7 – Bretey Yann, 45 ans – Infirmier diplômé d’État
8 – Gil Nina, 26 ans – Soigneuse animalière en refuge
9 – Bonaventure Benjamin, 34 ans -Artiste
10 – Perrin Anne-Élise, 42 ans – Infirmière anesthésiste
11 – Lemercier Nicolas, 25 ans – Programmateur et Community Manager au sein d’une association
12 – Laot Clémence, 36 ans – Directrice de médiathèque
13 – Gautron Guillaume, 32 ans – Technicien bâtiment
14 – Ringot Fabienne , 55 ans – Vétérinaire
15 – Mallard Guillaume, 34 ans – En recherche d’emploi
16 – Prieur Charlène, 28 ans – Agent administratif
17 – Heutte Morgan, 34 ans – Infirmier
18 – Boulet Sarah, 28 ans – Doctorante contractuelle en littérature
19 – Mont Kevin, 35 ans – Chargé de mission – Dispositif Local d’Accompagnement
20 – Xuereb Marie, 27 ans – Psychologue en centre social
21 – Le Goff Valentin, 35 ans – En recherche d’emploi
22 – Philippot Karine, 37 ans – Ingénieur informatique
23 – Roy Aurélien, 37 ans – Réceptionnaire
24 – Guesdon Ludivine, 32 ans – Conseillère client
25 – Bortzmeyer Gabriel, 32 ans – Enseignant agrégé de lettres modernes
26 – Delahaye Élisabeth, 58 ans – Assistante paie
27 – Carnet Jean-Paul, 67 ans – Retraité
28 – Langevin Catherine, 45 ans – Assistante vétérinaire
29 – Garnier Nicolas, 33 ans – Professeur agrégé d’anglais
30 – Fouchard Cécile, 36 ans – Infirmière anesthésiste
31 – Delahaye Frédéric-Cédric, 41 ans – Body perceur
32 – Verdelet Louise, 37 ans – En recherche d’emploi
33 – Paracini Mathis, 20 ans – Étudiant en écologie et biologie des organismes
34 – Carnet Barbara, 63 ans – Retraitée
35 – Jacou Thierry, 29 ans – Co-gérant en restauration
36 – Louis Delphine, 47 ans – Secrétaire
37 – Monteiro Raphaël, 32 ans – Artiste
38 – Bonnemaison Aurélie, 37 ans – Travailleuse sociale
39 – Carayol Jérôme, 34 ans – En recherche d’emploi
40 – Carment Eugénie, 25 ans – Étudiante en linguistique
41 – Joachin Geoffrey, 34 ans – Agent maritime
42 – Dubuc Chloé, 32 ans – Employée à domicile
43 – Lejeune Sébastien, 45 ans – Artiste
44 – Couture Stéphanie, 46 ans – En recherche d’emploi
45 – Dantz Wenceslas, 30 ans – Tapissier d’ameublement
46 – Audar Lolita, 28 ans – Responsable adjointe dans un commerce
47 – Simon Florent, 25 ans – En recherche d’emploi
48 – Lachevre Maddy, 39 ans – En formation (naturopathie)
49 – Deshais Pierre, 37 ans – Cuisinier
50 – Antelme Karine, 29 ans – Infirmière
51 – Deladeuille Victor, 27 ans – Graphiste indépendant
52 – Savereux Claire, 32 ans – Brodeuse
53 – Crochet Maxence, 32 ans – En recherche d’emploi
54 – Révelin Audrey, 36 ans – Agent de l’Éducation nationale
55 – Khabouri Akim, 29 ans – Commerçant

Un camion neuf, doté d'équipements de haute technologie, remis au lycée Mezen d'Alençon

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Ce camion, remis par l'entreprise SAREVI, répond à la dernière norme environnementale Euro6-d.

Ce camion, remis par l’entreprise SAREVI, répond à la dernière norme environnementale Euro6-d. (©DR)

Les établissements SAREVI (concession M.A.N.) d’Alençon ont remis symboliquement les clés du nouveau camion école destiné à la formation des élèves conducteurs routiers du lycée professionnel Mezen à Alençon (Orne).

Norme Euro6-d

Ce tracteur « MAN TGX » de 470 CV sera conduit principalement par les 45 élèves de Terminale Bac pro « Conducteur routier de marchandises ».

Doté d’équipements de haute technologie pour la sécurité, l’aide à la conduite et la gestion des performances,

 ce camion neuf est un des premiers véhicules écoles répondant à la dernière norme environnementale Euro6-d » précise Michel Chardon, directeur de l’entreprise SAREVI.

Norme dont l’objectif est de réduire les émissions de gaz polluants produits par les véhicules.

 Il répond en tout point aux attentes de la formation professionnelle », ajoute Valérie Lemaître, proviseur. « Les élèves ne seront pas dépaysés lorsqu’ils intégreront cet été la vie active avec leur bac pro en poche et les permis qui y sont associés ».

Ce véhicule flambant neuf a été financé avec l’aide de la Région Normandie. « La Région investit de façon très concrète dans la mise à niveau des plateaux techniques et également dans les équipements. Cette dernière acquisition en témoigne », ajoute Valérie Lemaître qui remercie également le directeur de SAREVI et son équipe « pour la préparation, la livraison et la formation assurée à l’ensemble des professeurs ».

Nul doute que les élèves conduiront avec fierté dans la plus grande prudence ce camion de dernière génération.

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