Vers 19 heures ce dimanche soir, les téléphones portables étaient de sortie à la gare SNCF de Cherbourg pour de nombreux usagers qui ont eu la mauvaise surprise de découvrir que le train de 18 h 34 avait été supprimé.
Chacun prévenait famille et amis que l’heure d’arrivée prévue à Paris ne sera pas celle qui avait été notée dans les agendas…
Pour prévenir les voyageurs, un message de la SNCF a été diffusé dans les haut-parleurs pour informer que ce voyage avait été supprimé pour avarie matérielle.
Ils devront donc prendre le train 19 h 17 pour remédier à ce désagrément mais il était affiché avec un retard d’environ une demi-heure. Et qui devrait afficher plus que complet…
Jeudi 17 octobre 2019, vers 19 h, alors qu’ils sortaient en bateau au large de Deauville (Calvados), Hugo Colasse et ses amis ont sauvé un sanglier qui s’était égaré en mer. Le Caennais raconte :
À environ 2 kilomètres de la côte de Deauville, nous avons remarqué un animal qui nageait vers le large. En nous rapprochant, non avons vu qu’il s’agissait d’un sanglier, nous l’avons ensuite attrapé et déposé le plus proche de la côte où il a pu regagner la plage.
Dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 octobre 2019, quelques heures après une histoire de faux billets en centre-ville de Caen (Calvados), la police municipale aperçoit un individu qui importune des piétons, rue Saint-Pierre, vers 2h du matin.
Deux cartes bancaires volées sur lui
Les policiers le contrôlent et découvrent que ce mineur de 16 ans porte un couteau à cran d’arrêt sur lui. Deux cartes bancaires volées sont également retrouvées sur lui. Il déclare « les avoir trouvées par terre ».
En dépit des épreuves qui se sont dressées sur son chemin, Paterne Koubaka est resté fidèle à son projet de devenir prêtre. A 41 ans, il se prépare à franchir une nouvelle étape. Ce dimanche 27 octobre, Mgr Vincent Jordy a présidé en la collégiale de Dole son ordination diaconale.
Paterne a grandi dans une famille où la foi occupe une grande place, au contact de gens haut placés : son grand-père a occupé des postes d’ambassadeur en France et en Russie et exercé la fonction de ministre du Congo. Cela fait cinq ans qu’il vit en France où, après le décès de sa mère, il a rejoint sa famille paternelle. Ces circonstances familiales, ainsi que l’insécurité à laquelle le clergé de son pays est exposé, l’avaient amené à différer son ordination. Après les petits et grand séminaires de Brazzaville où il est allé jusqu’à la licence de théologie, puis une année au Cameroun pour le baccalauréat canonique (niveau master), il a engagé un nouveau cycle de formation pour obtenir le diplôme supérieur de théologie à l’université de Strasbourg. Il s’est plus particulièrement intéressé à la sacramentalité, à partir de cette question : « Le sacrement des malades doit-il faire peur ? »
Une pastorale de proximité
Cette question, le séminariste congolais a pu la confronter au contact des chrétiens de Dole. Sur proposition de l’évêque de Strasbourg (où Mgr Jordy a été supérieur du séminaire), il est arrivé dans le diocèse de Saint-Claude d’abord pour un temps de discernement puis en insertion pastorale. « L’adaptation n’a pas été difficile car, par mes lectures sur l’église en France, je savais ce qui m’attendait », explique-t-il. La rencontre a été mutuelle :
D’abord l’évêque, puis le clergé et le peuple de Dieu m’ont fait bon accueil ».
Ce sentiment d’avoir pu s’intégrer rapidement au sein de la communauté chrétienne locale a été décisif dans son choix de demander son incardination (ou rattachement) à son diocèse d’adoption.
Paterne raconte comment, tout petit, il était fasciné par le moment de l’élévation. Après les célébrations, il reproduisait les gestes du prêtre, un missionnaire spiritain, devant les enfants de son quartier. Par la suite, il a découvert les autres facettes de sa vocation. A la demande du P. Laurent Bongain, curé des paroisses de Dole, Paterne s’est depuis deux ans investi dans l’enseignement du catéchisme la catéchése en primaire, la préparation du baptême, du mariage ou de la confirmation, l’aumônerie des scouts. Il a de nombreuses fois officié pour des obsèques.
Au Congo, les gens vont naturellement voir le prêtre. En France, le prêtre ne peut pas rester au chaud de la cure, il doit quitter son confort et aller vers les fidèles ».
Cette pastorale de « la périphérie » lui plaît car elle est aussi une pastorale de proximité. Il formule l’espoir d’une Eglise qui rayonne, soulignant le besoin d’aider une nouvelle génération à prendre en main son devenir.
Dans la perspective de son ordination presbytérale, la célébration de ce dimanche marque son entrée dans le clergé. Une étape importante :
Je serai d’abord diacre pour être prophète, quelqu’un qui ne parle pas en son propre nom mais au nom de Dieu et de l’Eglise ».
Les photos de la cérémonie d’ordination :
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Dans le cadre de la douzième journée de Ligue 1 Conforma, le TFC rencontre l’Olympique Lyonnais sur la pelouse du Stadium, le 2 novembre 2019 à 20 heures.
Des places à gagner jusqu’au 30 octobre 2019
Pour jouer et gagner vos places (2 par gagnant), complétez le formulaire ci-dessous avant mercredi 30 octobre 2019 à 14 heures. Les gagnants sont informés par téléphone. Bonne chance à tous !
Pour la 35e édition du Festival de l’accordéon et de la chanson d’Abbeville (Somme), organisé par le Club des Amis de Michel Pruvot, Gérard Clercq, président du club était ravi de voir, cette année encore, le théâtre d’Abbeville à son comble pour recevoir le spectacle préparé par Michel Pruvot.
Et Michel Pruvot n’a pas fait les choses à moitié. Avec sa bande de copains, accordéonistes, mais aussi chanteurs ou même hypnotiseur, il a comblé un public venu nombreux au théâtre municipal d’Abbeville.
L’accordéoniste vedette de l’émission « Sur un air d’accordéon » sur Weo, a fait monter sur scène des accordéonistes régionaux et nationaux. Ainsi aux côtés de Pierre Peribois se sont produits Delphine Lemoine, venue de la région parisienne ainsi que Franck et Valérie Ledey, véritable réplique de Shirley et Dino version piano à bretelles et cor de chasse qui ont chauffé la salle.
Moment d’hypnose
Michel pruvot précise:
Chaque année nous voulons renouveler le genre en intégrant des nouveautés. Voilà pourquoi nous avons fait appel à Stephan Watbled. »
Conduite en état d’ivresse et refus d’obtempérer. Conduite sans assurance et sous dépistage positif aux stupéfiants. Le cas d’un jeune de Marmande (Lot-et-Garonne) devait être examiné, ce vendredi 25 octobre 2019, par le tribunal correctionnel d’Agen. Devait car il a été renvoyé à l’audience qui se déroulera le vendredi 29 novembre 2019.
Il voulait être jugé
Les juges du tribunal correctionnel d’Agen ont reporté ce dossier en raison d’une audience « surchargée » à laquelle s’est ajoutée une comparution immédiate. Et ce malgré l’opposition du parquet.
le jeune intéressé, âgé de 19 ans, souhaitait être jugé ce vendredi et ne pas attendre. les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés le 11 septembre et 22 octobre.
Comme le souligne la Dépêche du Midi, dans son édition de ce samedi 26 septembre, ce jeune marmandais a peut-être gagné un peu de répit car il risquait la détention provisoire« . En attendant l’audience de la fin du mois de novembre, il a été placé sous contrôle judiciaire.
Vous êtes probablement passé devant la façade plusieurs fois en vous pourléchant les babines. Eh bien ça y est ! Après de longues semaines d’attente, la Maison du Donut ouvre lundi 28 octobre 2019. Rendez-vous dès 16h au pied de la Vieille Bourse de Lille (Nord) pour déguster la célèbre pâtisserie américaine revue et corrigée version française.
L’artisan donutier a repensé les grands classiques (Paris-Brest, Tarte Tatin ou tarte au citron meringuée) pour les installer sur cette petite brioche ronde. Et le tout avec des ingrédients frais, locaux et de qualité. Les recettes proposées changeront tous les mois, en fonction des saisons.
Une pâtisserie populaire dans le monde entier
Derrière ce concept, on retrouve Julien, Meng-Sear et Mehdi, un trio de copains qui a souhaité proposer sa vision du donut à la française. Autrement dit, un donut gourmand et raffiné, bien loin des horreurs grasses et surgelées vendues par les industriels.
L’idée a d’abord germé dans l’esprit de Meng il y a 6 ans. A l’époque, il travaille en tant que commercial dans une entreprise nordiste et demande un congé de 6 mois pour faire le tour du monde. Pendant ses voyages, il voit bien que la pâtisserie ronde est populaire partout ailleurs. Alors pourquoi pas chez nous ?
De retour en France, il entame alors une reconversion professionnelle, passe son CAP pâtissier et effectue un stage chez Thierry Marx. Puis, en janvier 2019, il parle de son projet à un ami de longue date, Julien. Et ce dernier persuade Mehdi de sa lancer dans l’aventure. Tous les trois s’accordent sur le concept : confectionner des donuts « à la française », autrement dit gourmands et très qualitatifs.
Des donuts extra frais
Les garçons mettent un point d’honneur à n’utiliser que des matières premières de qualité et locales. Par exemple, la farine vient de Moulins Waast à Mons-en-Pévèle et les fruits des Fruits de la terre à Loos, un primeur qui ne travaille qu’avec des producteurs locaux et bio si possible. Une fois les ingrédients réunis, les donuts sont confectionnés le matin pour être vendus dans la journée.
« On prépare la pâte à donut le matin dans notre labo de Hem puis on ramène tout ici pour faire les finitions : la crème, la ganache, le glaçage. Il n’y aucun colorant ou conservateur, c’est pour cela qu’on conseille aux clients de les manger dans les 24h », explique Meng.
A la Maison du Donut, on trouve 10 recettes de donuts différentes. Elles changeront tous les mois en fonction des saisons. Parmi ceux qui resteront à la carte tout au long de l’année, il y aura le Glazed (avec un nappage transparent), le Boston Cream (chocolat, vanille) et le Citron Meringué. Niveau prix, comptez 3,90 pour un donut mini. Si vous choisissez le format au-dessus, il vous en coûtera 4,50, et 4,90 s’il s’agit d’un donut gourmand (dans une recette revisitée comme Paris-Brest ou Tatin).
Quoi de mieux qu’une boite de Donuts artisanaux🍩 à partager pour commencer le Week end.. 😁.Ça sera bientôt possible…
Le matin, une formule avec un donut au muesli bio + un café est proposée à 4,50. Vous pourrez même venir lors de votre pause déj’ et découvrir les donuts salés (poulet, boeuf, saumon ou végétarien).
Pour vos boissons, vous pourrez commander un café de la Torrefactory à Tourcoing ; un thé Dilmah, le « meilleur du monde » pour Meng ; des cocktails de fruits Borderline.
Des jeux et des concours
Si vous choisissez de dévorer vos donuts sur place, attendez vous à une belle surprise au 2e étage. En plus d’une vue plongeante sur le patio de la Vieille Bourse, vous pourrez une fresque magistrale réalisée par un artiste lyonnais. L’oeuvre met en avant Lille, la Vieille Bourse mais aussi la pop culture avec plein de petits détails dissimulés dans le décor.
Meng, Julien et Mehdi comptent se servir de cette oeuvre pour interagir avec leurs clients, en lançant des petits jeux par exemple. Ils ont également prévu d’organiser des concours tous les mois. « On demandera aux nos clients de proposer une recette. Et celui qui aura gagné verra son donut mis à l’honneur dans la boutique », détaille Meng. Bref, le trio a pensé à tout un tas d’animations et d’événements pour séduire les Lillois gourmands et les faire revenir à la Maison du Donut.
Infos pratiques :
La Maison du Donut, 7 rue des Manneliers à Lille
Ouvert du lundi au samedi, de 8h à 19h
Pour les petits et les grands gourmands 🤗, La Maison du Donut proposera deux tailles différentes. 🍩🍩.Ici nous…
Fabien Corvoisier réalise son rêve d’enfant. Le jeune homme, originaire de Saint-Symphorien (Gironde), est le nouveau boucher du Petit Casino, à Landiras.
Âgé de 29 ans, Fabien Corvoisier a débuté très tôt dans le métier : à 14 ans. Il a tout d’abord effectué son apprentissage chez Éric Massé de Belin-Béliet. Il raconte :
Peu à peu j’ai appris mon métier, puis je suis arrivé à l’Intermarché de Bazas où j’ai été formé à travailler traditionnellement la Bazadaise et la blonde d’Aquitaine
Fabien Corvoisier travaille les viandes de l’abattoir de Bazas
Depuis quelque temps, il était à la recherche d’une boucherie. Et c’est Gérard Hesloin, le propriétaire du bâtiment qui l’a contacté.
Dans son nouveau commerce, Fabien Corvoisier va uniquement travailler les viandes de l’abattoir de Bazas : bœuf, agneau, veau et cochon noir de Bigorre.
Fabien Corvoisier ne veut « travailler que de la très bonne qualité »
« Quand j’ai travaillé à Bazas j’ai rencontré pas mal de personnes qui sont à l’abattoir et ce sont elles qui vont me servir ici. Elles vont me choisir les meilleures bêtes. Je ne veux travailler que de la très bonne qualité, du local et du labellisé. »
Avec 60 m2 et un laboratoire à sa disposition, Fabien Corvoisier va aussi pouvoir préparer ses charcuteries, saucisses, merguez et plats préparés. Chaque année, le jeune homme fait sa campagne et tue une vingtaine de cochons pour les particuliers qui continuent d’en élever. Et il ne manque pas le rendez-vous avec son autre passion : la chasse à la palombe, dans sa palombière sur la route de Jouannet.
Boucherie du Petit Casino, à Landiras, du mardi au dimanche midi, de 8h à 12h30 et de 15h30 à 19h30.
Après une journée de dimanche qui se sera avérée ensoleillée sur une grande partie de l’Hérault et du Gard, -avec des plages bondées-, exceptés les Biterrois et Minervois où les nuages bas ont persisté jusqu’en après-midi, le temps va évoluer rapidement, dès ce dimanche soir.
Le ciel s’encombrera rapidement par les reliefs ce soir, au point de passer une nuit sous un ciel très nuageux voire couvert sur une bonne partie de nos territoires. Les entrées maritimes seront de retour sur l’ouest de l’Hérault et des brouillards se formeront progressivement entre l’intérieur du Gard, la vallée du Rhône et la Camargue.
Une journée maussade
Nous nous réveillerons donc, pour cette journée de lundi, sous un ciel majoritairement couvert, entre les entrées maritimes sur le littoral héraultais et les brouillards sur le Gard. Le soleil ne fera de belles apparitions que sur le piémont cévenol et le Nord du Gard.
Au fur et à mesure des heures, tous ces nuages se dissiperont progressivement, plus lentement près des côtes. Une nouvelle vague nuageuse arrivera par l’Ouest en fin de matinée, couvrant le ciel sur nos départements. Quelques gouttes sont possibles sur le piémont héraultais et le secteur du Vigan.
Le vent sera faible tout au long de la journée, un léger flux marin se mettra en place sur le Biterrois, mais, sera à peine persceptible.
Des températures en légère baisse
Le mercure n’évoluera que légèrement à la baisse pour ce lundi. Les minimales resteront assez douces, notamment sur le littoral héraultais où les nuages persisteront, avec jusqu’à 15°C. Plus généralement, elles seront de 12°C à 14°C, le thermomètre pourrait descendre sous les 10°C dans les zones déventées du Gard.
Les maximales seront légèrement en baisse, conséquence de l’ensoleillement peu présent. Vous pourrez compter sur de 18°C à 20°C généralement, un peu moins sur la Montagne Noire et les Cévennes.
Depuis le cap Hève au Havre, 59 duos ont pris le départ de 14e édition de la Transat Jacques-Vabre, ce dimanche 27 octobre à 13h15.
Après avoir rejoint la bouée au pied des falaises d’Etretat, les concurrents ont mis le cap à l’ouest vers la pointe Bretagne en milieu d’après-midi, dans d’excellentes conditions météo.
Comment contourner une large dépression
A 20h ce dimanche, la flotte des Imocas est toujours emmenée par PRB. Maxime Sorel et Guillaume Le Brec sur VandB – La Mayenne pointent à la 9e place. Sur la page Facebook du skipper malouin, leur team évoque : « Dès demain, ils devront prendre des décisions stratégiques et tactiques importantes, à savoir, comment contourner une large dépression qui barre la route des marins en direction de Salvador de Bahia. »
C’est parti pour V and B – Mayenne… 🐲Dans des conditions parfaites de navigation, 15 nœuds en baie de Seine, pas…
De son côté, Fabrice Amedeo, le skipper segréen, associé à Eric Péron sur Newrest Art et Fenêtres confie avoir pris « un départ prudent dans des conditions très maniables ». A 20h, ils pointaient à la 17e place du classement des Imocas.
Place au large ❗Après un départ prudent dans des conditions très maniables, Fabrice Amedeo et Eric Péron sont bel et…
Le président de Dieppe-basketBoris Desjardins l’a dit et répété depuis de nombreuses semaines, le calendrier du début de championnat de Nationale 3 est très difficile pour les promues dieppoises.
Aussi, c’est une nouvelle formation qui sera certainement sur le podium en fin de saison qui était à la Maison des sports dimanche après-midi.
L’équipe de Sannois est venue s’imposer à Dieppe grâce à une meilleure maîtrise collective et de nombreux petits détails qui ont fait la différence ; on peut ainsi citer le pourcentage des locales aux lancers francs (50 % à 18 sur 36) contre celui de leurs adversaires (67 % à 12 sur 18).
Aussi, le coach sannoisien Ludovic Bertrand a pointé ce qui a fait pencher la balance pour son groupe :
Après un passage à vide dans le deuxième quart-temps, nous avons mis beaucoup plus d’intensité en défense, notamment sur les meneuses. J’avais aussi prévu une prise à deux systématique sur l’intérieure de Dieppe (ndlr : Daou) et cela bien fonctionné. Ce succès confirme notre bon début de saison et j’espère assurer rapidement le maintien afin de pouvoir peut-être ensuite viser une place sur le podium.
Ainsi, ce sont les banlieusardes parisiennes qui commencent mieux le match et qui font logiquement la course en tête.
Sannois fait la course en tête
La rencontre est rythmée, mais marquée aussi par un engagement physique important avec de nombreux contacts.
La guerre tactique a également débuté sur les bancs avec des entraîneurs qui procèdent à pas mal de changements pour se répondre du tac au tac.
Malgré Daou et Turmel, Dieppe est derrière et accuse un retard de quatre points à l’issue d’un premier quart-temps qui a bien donné le ton de la rencontre (15-19).
Petit à petit, les filles de Michel Gomez montrent plus d’agressivité dans leur jeu et alors qu’elles viennent de perdre deux ballons successifs, elles vont infliger un 11-0 à leurs adversaires pour reverser la vapeur (29-25).
Passer devant à la pause peut sembler important sur le plan psychologique, mais à ce niveau, il en faut plus pour décourager les Sannoisiennes.
Dès la reprise du jeu, elles reviennent vite à hauteur de leurs adversaires grâce notamment à Assilamehou.
Dès lors, c’est un bras de fer qui s’engage entre les deux formations et avant le dernier quart-temps, bien malin celui qui pourrait dire le nom du vainqueur (50-51).
Un problème de sérénité
Dieppe va alors prendre un instant l’ascendant grâce à Mekdad et Tersinier avant une terrible réaction des visiteuses ; un 11-0 avec pas mal de lancers francs et un tir à trois points de Schmitt et Sannois prend les commandes à trois minutes de la fin (63-71).
Les joueuses de Michel Gomez ont beau tout donné dans les ultimes secondes, Dieppe s’incline (67-73) et le coach local se montre fataliste :
Sannois est la meilleure équipe que nous avons affrontée jusqu’alors avec un très bon fond de jeu. Nos meneuses se compliquent la tâche quand on met la pression et nous avons un problème d’esprit de jeu. Notre niveau d’entraînement n’est pas suffisant à ce niveau et on peut expliquer notre faible réussite aux lancers francs par un problème de sérénité et les filles n’ont pas assez confiance en elles.
Les Dieppoises ont désormais deux déplacements à leur programme de la Nationale 3, d’abord à Chartres puis à Paris pour y affronter le CASG.
Né à Domont, dans le Val-d’Oise, le joueur de football désormais âgé de 36 ans, s’éclate toujours autant avec l’équipe première seniors de son club, l’AAS Sarcelles (R2).
« Le Val-d’Oise, c’est toute ma jeunesse ! Je n’avais pas vraiment prévu de revenir, mais beaucoup de choses m’ont convaincu, comme le fait de me rapprocher de ma famille. Par ailleurs, j’ai été agréablement surpris de voir à quel point le club de Sarcelles a évolué. Je recommande à tous les enfants d’y venir et j’ai réellement envie de le voir monter en R1 », confie Rémi Maréval.
Rémi avec famille
L’ancien arrière gauche du FC Nantes, qui avait marqué la Ligue 1 en inscrivant un but d’anthologie en 2008 face au gardien n°2 des Bleus, Steve Mandanda, est un véritable globe-trotter. Il a également navigué du côté du Gazélec FC Ajaccio, de l’AS Beauvais, du FC Tours, avant de sillonner l’Angleterre, la Belgique, Israël et la Hongrie. Il a même remporté deux titres nationaux dans ces derniers pays, respectivement avec le Maccabi Tel-Aviv et le FC Videoton.
« Devenir champion devant 80 000 spectateurs qui chantent votre nom, c’est incroyable, sourit Rémi.
J’ai réalisé mon rêve de jouer en Ligue 1. À l’étranger, j’ai pu disputer l’Europa League. Bref, je ne regrette rien de ma carrière. »
Propriétaire d’une salle de sport à Lille, Rémi Maréval prépare déjà sa « retraite » de joueur.
« Je souhaite rester dans le foot. Entraîner une équipe de jeunes peut-être… » Il espère cependant fouler le rectangle vert le plus longtemps possible.
« Tant que mes jambes suivent, je continue ! », conclut-il.
Il ne fallait pas se fier au classement et aux quatre défaites initiales d’Épernay pour en faire une victime désignée d’avance de l’appétit caennais. Pour les initiés, la victoire des Champenois le week-end dernier face au dauphin domontois constituait un premier signal envoyé aux autres clubs qui sonnait comme un avertissement. En effet, l’équipe reléguée de Fédérale 2 en mai dernier retrouvait en même temps qu’un effectif au complet, l’ambition d’un rang plus conforme à sa valeur. Le Stade Caennais a pourtant livré une grosse partie mais malgré la vaillance et la technicité de ses joueurs, n’a pas pu résister jusqu’au bout à l’hyper puissance de leurs adversaires. La déception se lisait sur les visages à l’issue de la rencontre comme l’exprima Zuka Samkharadze avec ses mots :
On voulait gagner tous nos matchs à domicile. C’était clairement notre objectif. Nous sommes tombés contre une très belle équipe d’Epernay. La partie se joue sur des détails, sur des décisions discutables mais la défaite, c’est un peu de notre faute aussi. On prend quand même des essais où l’on se fait trouer en première main. Après, tout n’est pas à jeter. Malgré notre déficit en densité, mais on a l’habitude, on a répondu présent à la conquête et aux grattages.
Malmenés en début de match et repoussés dans leur camp, les équipiers de Louis Szczepski ont trouvé les ressources physiques et la force mentale pour revenir progressivement dans la partie. L’égalisation à la demi-heure était même porteuse d’espoir mais un essai qui leur permettait de virer en tête leur fut refusé et sur la dernière action avant la mi-temps, les avants d’Epernay envoyaient leur pilier dans l’en-but.
Un point de bonus défensif
Nullement abattu par ce coup du sort, le Stade Caennais allait prendre l’avantage pour la première fois à la suite d’un essai d’Olivier Detoc en conclusion d’une belle action collective. Une pénalité de cinquante mètres de Krasniqui qui rebondit sur la barre et retombe du bon côté redonne l’avantage aux visiteurs. Le chassé croisé continue mais la balance va pencher définitivement du côté champenois avec trois essais inscrits dans les vingt dernières minutes. Les Caennais trouveront toutefois la force de repartir au combat pour finalement arracher à la dernière seconde le point de bonus défensif. Un point largement mérité comme le reconnaissait Hugues Roussel, le préparateur physique de l’équipe :
On est tombé contre une forte équipe d’Epernay dont le classement ne reflète pas le niveau. C’est un ancien pensionnaire de Fédérale 2. Ils ont des acquis et une grosse densité physique. On ne s’est pas facilité la tâche en allant chercher le défi physique. Je félicite l’équipe et le groupe pour le point de bonus défensif face à une telle équipe contre qui beaucoup vont se casser les dents. Aujourd’hui, c’est un peu la frustration et la déception qui dominent mais nous avons un groupe jeune en construction et l’on est en train de développer l’équipe et le groupe sur beaucoup d’aspects. On se relèvera et on reviendra plus fort après la trêve.
Benjamin Thorel, le brillant buteur a même pris les paris : « A Arras, on ira récupérer les points perdus aujourd’hui ». Chiche !
Deux équipes mayennaises sur trois ont passé le cap du sixième tour de la coupe de France.
Après la qualification du Stade lavallois samedi 26 octobre au bout du suspense (0-0, 4-5 t.a.b) face à Vertou (N3), deux autres équipes mayennaises jouaient leurs places au septième tour de la coupe de France ce dimanche : l’Ancienne de Château-Gontier et Changé.
L’US Changé n’est pas parvenue à imiter son voisin lavallois. Défaite aux tirs au but à Mûrs-Erigné (R2).
De son côté, l’Ancienne de Château-Gontier s’est imposée contre Mareuil (R2) devant une tribune pleine (4-2). Après la victoire de la semaine dernière en championnat face à La Suze (2-0), les Castrogontériens poursuivent leur série.
Le tirage au sort du septième tour aura lieu à Clairefontaine mercredi 30 octobre à 11h30 avec l’entrée en lice des clubs de Ligue 2. Les rencontres auront lieu les 16 et 17 novembre.
Un individu âgé de 30 ans qui avait été interpellé et placé en garde à vue, ce dimanche au commissariat de Sète, a réussi à fausser compagnie à des policiers de la Sécurité publique, vers 19h, au 50 du quai de Bosc.
Il s’est évadé en plongeant dans le canal du Rhône qui se trouve en face de l’entrée du commissariat. Un des policiers n’a pas hésité à plonger dans les eaux froides pour secourir le suspect, qui était en train de se noyer. Il a pu être remonté sur le quai. Il est indemne. On ignore ce soir les raisons ayant entraîné son placement en garde à vue.
Policier en hypothermie
Mais, le policier, un gardien de la paix, a été victime d’hypothermie et transporté aux urgences de l’hôpital de Sète. Il se trouve en observation.
Le syndicat Unité SGP-Police FO de l’Hérault confirme cette information ce soir et « salue le professionnalisme et le courage de ce policier ».
Certains des 74 résidents de la maison de retraite des Pampres dorés à Vallet ne s’en sont même pas aperçus. Pourtant, au moment du passage à l’heure d’hiver, dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 octobre, un incendie s’est déclaré dans les cuisines. « Il semblerait qu’il y ait eu un souci électrique au niveau du four« , ont exprimé les gendarmes dépêchés sur les lieux.
Rapidement sur place, les pompiers de la commune, renforcés par une vingtaine d’autres volontaires des casernes voisines, ont permis de circonscrire l’incident. Aucun des personnes âgées autonomes, semi-valides et dépendantes n’a été blessé,ni même incommodé par les fumées. Toutes sont restées confinées dans leurs chambres pendant l’intervention des secours. Il n’a pas été nécessaire de procéder à l’évacuation de résidents de l’établissement.
« Le Ciron, il fait partie intégrante de notre patrimoine. » Clair, net et précis, Jean-Paul Méric. Le président du syndicat d’aménagement du bassin versant du Ciron observe depuis des années le cours d’eau.
La rivière, longue de 96 km, n’a pas livré tous ses secrets ; comme le confirme Jean-Paul Méric, également élu à Bernos-Beaulac (Gironde) :
Sur le plan environnemental, malgré toutes les études réalisées, on ne connaît qu’une partie du Ciron
Des Landes, le Ciron se jette dans la Garonne
Le Ciron prend sa source à Lubbon, dans les Landes. Il traverse ensuite plusieurs communes : Houeillès et Allons (Lot-et-Garonne), puis Saint-Michel-de-Castelnau, Lerm-et-Musset, Préchac, Bernos-Beaulac, Villandraut, Noaillan, Léogeats, Budos, Bommes, Pujols-sur-Ciron, Preignac et enfin Barsac, en Gironde.
Une certitude : le Ciron synonyme aujourd’hui d’une immense richesse en terme de biodiversité.
« Il y en a tellement que c’est difficile de savoir par où commencer, sourit Sébastien Irola, animateur du schéma d’aménagement et de gestion des eaux (Sage) du Ciron. A l’échelle du grand Sud-Ouest, voire de toute la France, c’est vraiment quelque chose de particulier. »
Vidéo. Le Ciron, une si précieuse rivière, par France 3 Nouvelle-Aquitaine
Le Ciron, un cours d’eau unique
Pourquoi le Ciron est-il unique ? D’abord pour sa hêtraie, vieille de 40.000 ans. A l’intérieur, on retrouve, par exemple, le tiers des espèces présentes en France sur seulement 1 km2. « Et il y a d’autres espèces qui n’existent que là, poursuit Sébastien Irola. C’est lié à l’ancienneté de cette forêt. »
Autre richesse des lieux : les tortues d’eau douces, qui sont « présentes en assez forte densité dans la partie landaise ». Durant les périodes de sécheresse, ces animaux à carapace quittent les zones humides pour se réfugier dans le Ciron.
Là, elles peuvent y croiser… des loutres. « Cela fait une dizaine d’années qu’elles se sont vraiment réapproprié le territoire. » Il y a également des genettes.
Sébastien Irola précise :
En journée, on peut avoir l’impression qu’il n’y en a pas du tout. Mais la nuit, en revanche
L’un des animaux les plus connus à vivre près du Ciron, c’est le vison d’Europe.
On l’aura compris : autour de la rivière, la faune est impressionnante. Tout comme la flore, d’ailleurs. La voûte de végétation, qui protège le Ciron du rayonnement solaire, a aussi son influence. Elle permet à la rivière de conserver une incroyable fraîcheur.
Un écosystème fragile
L’une des principales caractéristiques du Ciron, c’est sa fraîcheur. La température moyenne du cours d’eau est, en effet, de 13°C. « En hiver, on descend à 3 ou 4°C, indique Sébastien Irola, animateur du schéma d’aménagement et de gestion des eaux (Sage) du Ciron. Mais cet été, par exemple, nous sommes montés jusqu’à 21 ou 22°C. Nous avons enregistré un pic de température en juin que nous n’avions pas connu. » Si le Ciron conserve une telle fraîcheur, c’est en raison de la voûte végétale qui le protège mais également en raison de ses nombreux affluents. Des services spécialisés ont comptabilisé 248 affluents et sous-affluents du Ciron. Or, certains d’entre eux pourraient être impactés par l’installation de la LGV.
Ça avait commencé en trombe vendredi 25 octobre 2019, avec au programme de cette première soirée : Les 3 fromages, The Hits et, comme tête d’affiche, Le Bal des Enragés.
Un samedi de folie
Le festival s’est poursuivi par les Kids du Rock animés par le groupe Loulibop.
C’est maintenant ! Loulibop anime avec succès cette après midi des Kids du Rock !Les plus petits comme les plus grands…
Avant quatre concerts de folie à l’Espace culturel Louis Costel de Saint-Sauveur-Lendelin (Manche). Les premiers sur scène : Hot Rod 56 (un trio granvillais de rockabilly).
Puis, place au coup de cœur des organisateurs : The Moorings (un quintet énergique de folk celtique mélangé à du rock alternatif).
Devant un public au rendez-vous, le groupe Marcel et son Orchestre a enchaîné par un show tonique de près de deux heures.
Reformés il y a deux ans, ils ont proposé un tout nouveau show.
Un show plein de surprises.
La soirée s’est poursuivie par le retour sur la scène des Saints Sauveurs du Rock du groupe de ska Oz One, quatre ans après une première apparition.
Pour refermer ce chapitre, le festival Les Saints Sauveurs du Rock 2019 a misé sur la photo de famille, avec les organisateurs et l’ensemble des bénévoles.
La photo de famille 🤘🤘🤘🤘🤘Merci à tous pour ce putain de festival qui sans vous ne pourrait pas exister 🤘🤘🤘🤘🤘Merci encore on vous aime 😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘😘
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Pratique. Retrouvez toutes les vidéos des Saints Sauveurs du Rock 2019 sur la page Facebook : Les Saints Sauveurs du Rock.
La logique a été respecté ce dimanche 27 octobre 2019 au centre sportif Nelson-Mandela de Sarcelles (Val-d’Oise).
Devant son public de plus de 1300 spectateurs, l’ASS (R2) n’a pas fait le poids face à une équipe du National qui a l’habitude des gros matchs. Malgré une rencontre très correcte des Sarcellois, l’écart de niveau entre les deux équipes s’est fait ressentir sur une pelouse détrempée qui n’a pas aidé les 22 acteurs.
Solides physiquement, mais maladroits devant le but, les Valdoisiens n’ont pas su inquiéter l’ancienne équipe de Ligue 2 comme l’admettait le capitaine de l’AAS Tadjidine Soilihi à la fin du match :
« Je pense qu’il nous a manqué un peu d’expérience. On a fait un bon match, mais le Red Star a été très réaliste, c’est ce qui fait la différence avec le haut niveau. ».
Éliminé au 6e tour de la Coupe de France, Sarcelles est quand même parvenu à faire rêvé ses supporters venu très nombreux pour ce match de gala :
« C’est magnifique de jouer devant toute la ville. Si nous ne sommes que 60 000 habitants, tout le monde semblait mobilisé dans ce stade », se réjouissait le capitaine valdoisien, malgré la défaite.
Un bon état d’esprit partagé par l’ensemble de son équipe, à l’image de la haie d’honneur improvisée par les Sarcellois lorsque leurs vainqueurs ont quitté la pelouse.
Les autreséquipes du Val-d’Oise tiennent encore le coup en coupe de France. C’est le cas de l’Entente Sannois Saint-Gratien (N2) qui recevait les Gobelins de Paris (N2) et qui est parvenu à arracher sa qualification à domicile (3-1).
L’Olympique Adamois (R2) s’est également imposé lors de son derby face à Franconville (R3) sur le score de 3-2.
Le tirage au sort du prochain tour aura lieu à Clairefontaine (Yvelines) ce mercredi 30 octobre, à 11h30. Les équipes de Ligue 2 feront leur entrée dans la compétition lors de ce septième tour. Les équipes de Ligues 1, elles, arriveront à partir des trente-deuxièmes de finale (9e tour).