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Finale Top 14. La pelouse du Stade de France dans un mauvais état avant Stade Toulousain - Clermont

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La pelouse du Stade de France est abîmée à la veille de la finale du Top 14 entre le Stade Toulousain et Clermont.

La pelouse du Stade de France est abîmée à la veille de la finale du Top 14 entre le Stade Toulousain et Clermont. (©Twitter Julien Balidas)

Pour une surprise, c’est une bien mauvaise surprise. Et les joueurs du Stade Toulousain ont dû être étonnés de voir l’état de la pelouse du Stade de France lors qu’ils ont effectué l’entraînement du capitaine ce vendredi 14 juin 2019. Une pelouse qu’ils ont foulée, quelques heures avant les Clermontois.

Lire aussi : Finale Top 14. Les cinq stats hallucinantes des Stade Toulousain – Clermont !

Le rectangle vert de l’enceinte dyonisienne présente une large bande de pelouse totalement abîmée. Un contraste assez saisissant au regard du reste de la surface de jeu, de belle facture.

Deux concerts la semaine dernière

La raison de ce « souci » ? La tenue de deux concerts la semaine dernière du groupe coréen BTS. 

Lire aussi : Finale Top 14. Parier sur la finale Stade Toulousain – Clermont, ça peut rapporter gros !

C’est un problème esthétique mais pas technique », a assuré à France Bleu Occitanie la directrice du Stade de France. Celle-ci a tout de même présenté ses excuses aux clubs de Clermont et du Stade Toulousain. Tous les moyens seront mis en oeuvre afin de l’améliorer avant le coup d’envoi de la rencontre. Il est vrai que pour une telle finale de rêve, les acteurs peuvent espérer bénéficier d’une pelouse digne de ce nom…


À Colombelles, près de 10.000 euros déjà récoltés pour rhabiller la Grande Halle

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Une vision du projet de la Grande Halle une fois ouverte au public dans quatre mois.

Une vision du projet de la Grande Halle une fois ouverte au public dans quatre mois.

A Colombelles, près de Caen (Calvados), le Wip (Work in progress) vient de lancer une campagne de financement participatif. Objectif : recueillir au moins 35 000 euros ou plus avant le 20 juillet 2019 afin de peindre d’immenses « graffs » pour réaliser une œuvre géante sur les murs de la Grande Halle et de construire un mobilier d’accueil atypique pour l’espace de la grande nef, ce qui renforcera la dimension hors-norme de ce bâtiment historique, vestige de la SMN.

Pour l’heure, près de 10 000 euros ont déjà été récoltés.

Lire aussi : Bombe découverte à Colombelles : près de 2 000 habitants à évacuer pour le désamorçage

Un mobilier atypique, 2 000 m2 de graffs

Le mobilier atypique pour cet espace de 1 000 m² et d’une hauteur de 12 m sous plafond sera notamment destiné à l’accueil du public, au quotidien et à tout type d’événement. Il devra donc être très modulable puisqu’en fonction des usages, l’occupation et les équipements des lieux devront varier.

Concrètement, ce seront des gradins-vestiaires, un comptoir à la fois bar et guichet d’accueil, et une grande table à manger, à travailler, à exposer, tous ces équipements devant pouvoir trouver leur fonction, qu’il y ait 10 personnes ou 1 000 personnes dans la Grande Halle. La conception et la fabrication de ce mobilier seront assurées par le collectif ETC, déjà auteur de la Cité de chantier.

Lire aussi : Près de Caen : la construction du viaduc de 148 m débute entre Hérouville et Colombelles

« Les murs devront parler et raconter le lieu »

Quant aux graffs et fresques grand format, les responsables du WIP pensent que « les murs devront parler et raconter le lieu ». Ils vont faire appel à 10 street artistes pendant un mois et demi :

Le but est d’embellir 2 000 m² de murs, parfois à plus de 10 m de haut , le fil conducteur de ce projet étant de « raconter l’histoire du site de la SMN et la façon dont notre avenir s’appuie sur ces racines.

Il s’agit d’un enjeu qui s’accompagnera de médiation, de transmission de la culture street art avec des jeunes, et de la limitation des déchets, en réutilisant les bombes aérosol usées dans une œuvre collective.

Lire aussi : Près de Caen : dans 365 jours, la Grande Halle redonnera vie à un vestige de la SMN

Portes ouvertes le 18 juin

En attendant son ouverture officielle au public en octobre prochain, une opération portes ouvertes est proposée le mardi 18 juin 2019, à partir de 17 h, pour une rencontre avec les principaux soutiens, et un moment convivial pour échanger avec les futurs utilisateurs.

Lieu de fusion à 10 minutes du centre de Caen, ce nouvel espace de travail, de création et de loisirs pour les habitants, avec ses deux hectares de terrain abritera un tiers-lieu coopératif : un espace de 3 000 m² sur trois niveaux, réaménagés en bureaux et ateliers partagés, avec espaces de résidences artistiques, un restaurant, et une salle de 200 à 1 000 places pour tous types d’événements.

Pratique : Portes ouvertes WIP à la Grande Halle à Colombelles, mardi 18 juin à partir de 17 h.

Au lycée Aristide-Briand d'Évreux, ils lancent une cagnotte pour financer leur séjour en Chine

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Des élèves motivés pour découvrir la Chine.

Des élèves très motivés pour découvrir la Chine.

L’heure est à la mobilisation générale pour les élèves de LV3 (langue vivante 3) d’Hélène Brun-Cottan. Professeur de chinois au lycée Aristide-Briand d’Évreux, l’enseignante est encore sous le coup de l’émotion. « Émerveillée » par « l’enthousiasme » de ses dix-neuf élèves, elle les accompagne dans leur projet de voyage en Chine.

Le séjour, une semaine à Pékin en avril 2020, au cœur du pouvoir central de l’Empire du Milieu, n’est pas encore validé par le conseil d’administration de l’établissement mais ils entendent mettre toutes les chances de leur côté pour voir aboutir leur projet. « À l’école, on nous parle de l’interculturalité, nous aimerions avoir l’opportunité de partir en Chine pour le vivre et vous faire part de cette expérience », détaille le dossier qu’ils ont monté pour convaincre l’administration de leur donner le feu vert.

1 500 euros par élève

Sans attendre le blanc-seing de l’administration, Sophie, Benjamin, Sarah, Heleyette et Ela se sont mis en action. Plan média, recherche de mécènes, mise en place d’actions, lancement d’une cagnotte sur Internet, etc., tout sera bon pour faire baisser la facture évaluée entre 1 200 et 1 500 € par personne.

D’ici l’année prochaine, les 1re L, ES et S d’Hélène Brun-Cottan espèrent réunir au minimum 5 000 €. C’est le montant de la cagnotte solidaire qu’ils viennent de lancer sur le site Leetchi.com. Baptisée L’Eure en chine, cette collecte solidaire détaille leur projet. « Nous souhaitons partir afin de découvrir une autre culture populaire : les rues typiques, les différents services, les moyens de transport, les habitudes alimentaires… et mettre en pratique la langue que nous étudions depuis un à deux ans ». Pour s’enrichir et partager leurs rencontres en tenant un blog et un carnet de bord pendant leur séjour. « Nous avons donc besoin de votre soutien afin de pouvoir vivre ce voyage et les nombreuses expériences inédites qu’il apporte ».  À votre bon cœur. 

 

En savoir plus : www.leetchi.com/c/leure-en-chine

Enfouissement des déchets : GDE s’inquiète, des emplois menacés à terme près de Caen ?

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Basé à Rocquancourt, GDE tire la sonnette d'alarme car la filière de recyclage des véhicules hors d'usage est menacée. Sans changement, des emplois pourraient être menacés à terme.

Basé à Rocquancourt, GDE tire la sonnette d’alarme car la filière de recyclage des véhicules hors d’usage est menacée. Sans changement, des emplois pourraient être menacés à terme. (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

L’entreprise GDE, basée à Rocquancourt, au sud de Caen (Calvados), a organisé une visite de ses locaux à près de 150 professionnels du recyclage et des casses automobiles de Normandie, ce jeudi 13 juin 2019.

Lire aussi : Accident de travail dans l’entreprise GDE, près de Caen : un homme grièvement blessé

GDE tire la sonnette d’alarme

Spécialiste du recyclage, GDE tire la sonnette d’alarme car la filière de recyclage des véhicules hors d’usage (VHU) est menacée par les quotas d’enfouissement qui devront être réduits de 30 % en France en 2020 eu égard à une loi prise par le gouvernement précédent.

Cela nous inquiète alors que nous recyclons 95 % de ces véhicules, seulement 5 % sont enfouis. La loi est vertueuse en soi, mais il n’y a pas eu d’actions en amont pour réduire les déchets. L’enjeu est compris mais difficilement inversable à court terme, précise Philippe Sorret, directeur général délégué de GDE.

« On demande un moratoire »

GDE recycle 400.000 véhicules chaque année et enfouit 200.000 tonnes. L’entreprise créée dans les années 60 à Rocquancourt par Guy Dauphin n’a pas anticipé ce problème, comme d’autres.

Aujourd’hui, il faut trouver une solution alors on demande un moratoire avant d’appliquer les quotas car il y a toujours 1,2 million de voitures à recycler chaque année en France, reprend Philippe Sorret.

Le directeur général délégué de GDE Philippe Sorret.

Le directeur général délégué de GDE Philippe Sorret. (©Grégory Maucorps/Liberté le bonhomme libre)

L’interdiction prise par la Chine depuis juillet 2018 d’importer des déchets non intéressants venus d’Europe et la prime à la casse génère un accroissement de l’activité, et donc du besoin d’enfouissement.

On rajoute des déchets à des centres d’enfouissement déjà quasiment saturés. C’est assez brutal. Si aucune solution n’est trouvée, on devra stopper nos machines en avance pour réduire notre activité de 30 %, soit plus de 100.000 véhicules par an en moins qui resteront à la casse ou des décharges sauvages se développeront.

Il faudra parallèlement réduire la production de plastique et autres produit à la base.

Lire aussi : Incendie sur le site de GDE à Rocquancourt, près de Caen : un bâtiment de 5000 m2 en feu

250 postes menacés en France, dont un tiers à Rocquancourt

Si une baisse de l’activité de 30 % était nécessaire, les salariés pourraient par effet boomerang être touchés, notamment dans le Calvados.

Si les quotas sont maintenus, on devra réduire et il y a clairement un risque que des emplois soient menacés.

Dans ce cas de figure, 10 des 65 sites du groupe en France pourraient fermés et 250 emplois (sur les 1.300 du groupe) seraient alors menacés, dont un tiers sur le site de Rocquancourt qui voit 300 salariés y travaillaient chaque jour.

Yvelines. Il part en prison pour avoir volé un sandwich au thon et du jus d'orange

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Le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines) a envoyé un jeune homme en prison pour le vol d'un sandwich au thon.

Le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines) a envoyé un jeune homme en prison pour le vol d’un sandwich au thon. (©78actu)

Le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines) a condamné un homme de 20 ans à six mois d’incarcération immédiate pour le simple vol d’un sandwich au thon et de deux bouteilles de jus d’orange.

Ce vendredi 14 juin, Corentin a été présenté en comparution immédiate, suite à son interpellation de la veille.

A 9h30, il était entré dans un magasin Franprix de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).

Pour 4,55 euros

Il s’était emparé d’un sandwich au thon et de deux bouteilles de jus d’orange. Montant du préjudice : 4,55 euros.

A la sortie, le vigile l’avait retenu. Les deux hommes s’étaient bagarré. Dans le feu de l’action, l’agent de sécurité avait eu ses lunettes cassées.

Pendant ce temps, le directeur avait fermé le rideau et appelé la police.

C’était pour manger. Je n’avais pas d’argent », a soutenu Corentin au tribunal.

Le procureur n’a pas cru à ce vol par nécessité. D’autant plus que le prévenu, originaire du Mans (Sarthe), touche des aides de l’Etat et vit chez ses grands-parents à Suresnes.

Le magistrat avait demandé 4 mois de prison et la révocation de trois mois.

Les juges l’ont finalement envoyé à la maison d’arrêt de Bois-d’Arcy pour six mois, notamment à cause de son casier judiciaire chargé de trois mentions.

Six mois en plus en arrivant en prison

A peine arrivé, il prendra certainement six mois supplémentaires, issus d’un sursis. Cela fait donc un an pour un sandwich au thon. Légèrement disproportionné », a déploré son avocat.

Corentin était venu en région parisienne pour bénéficier de l’école de la deuxième chance.

Il était stagiaire dans un magasin de Carrefour City.

Il comptait sur ce changement de vie pour retrouver des repères, son père ayant décidé de ne plus se soucier de lui.

Occitanie. 17e édition des prix de la TPE : les inscriptions encore ouvertes

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Les lauréats de l'édition 2018 des Prix de la TPE.

Les lauréats de l’édition 2018 des Prix de la TPE. (©DR)

Rendez-vous incontournable des entreprises du territoire depuis 17 ans, les prix de la TPE 2019 offre un coup de projecteur sur les entrepreneurs d’Occitanie à travers un concours qui atteste chaque année de leur dynamisme et de leur engagement.

Les futurs participants ont encore jusqu’au 30 juin pour s’inscrire et tenter de remporter l’un des cinq prix remis en jeu pour cette édition.

Créé en 2003 sous l’impulsion du Club pour la Croissance et la Réussite des Entrepreneurs de Méditerranée (CCREM) et du SYDEL du Pays Cœur d’Hérault, le Prix de la TPE est co-organisé par la CCI Occitanie, les CCI Hérault, Gard, Haute-Garonne et Aude, la « Fédération Jeune Chambre Économique (JCE) Occitanie », les « Femmes Chefs d’Entreprises (FCE) Occitanie », le Pays Cœur d’Hérault. Le Prix de la TPE est soutenu financièrement par la Région Occitanie ainsi que de nombreux partenaires publics, privés et les médias.

Mise à l’honneur des Très Petites Entreprises

Le prix de la TPE poursuit un seul et même objectif : offrir plus de visibilité aux TPE et ainsi valoriser le tissu économique de l’Occitanie. Ouvert aux entreprises de moins de dix salariés et de plus d’un an d’existence, quel que soit leur domaine d’activité, ce concours met en lumière la richesse entrepreneuriale du territoire.

Il récompense ainsi des femmes et des hommes gérants ou dirigeants de TPE exemplaires, tant en termes de parcours, que de savoir-faire ou de management. En 2018 avaient été ainsi récompensées My Horse Family (Prix TPE), SYD Apprendre Autrement (Prix Être), Ecomatelas (Prix Faire), Miel Rouquette (Prix Piloter) et Sens of Life (Prix Engagement Durable).

Un prix en deux étapes

Le prix se développe sur six territoires afin de valoriser l’ensemble du tissu économique régional : Est Hérault, Cœur d’Hérault, Ouest Hérault, Gard, Aude et Haute Garonne. Chaque territoire organise sa remise pour mettre à l’honneur les TPE locales et récompenser les quatre nominés choisis par le jury territorial qui participeront à la grande finale, un nominé par catégorie : être, faire, piloter et engagement durable.

À l’issue de cette étape, les 24 nominés retenus concourront pour la Finale du Prix de la TPE qui se déroulera le vendredi 29 novembre. La Cérémonie de remise des prix se tiendra lors de la « Place Créative » organisée par la CCI de l’Hérault. Les cinq lauréats se verront ainsi décerner l’un des cinq prix assortis d’une enveloppe financière : être, faire, piloter, engagement durable et le prix de la TPE.

Dépôt de candidature avant le 30 juin sur le site www.prix-tpe.fr.

Qui sont les quatre lauréates des trophées "Les femmes de l'économie" en Hauts-de-France

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Quatre trophées "Les femmes de l'économie" ont été décernés dans les Hauts-de-France.

Quatre trophées « Les femmes de l’économie » ont été décernés dans les Hauts-de-France. (©Olympe Bonnet/Lille Actu)

La première édition Hauts-de-France des Trophées « Les Femmes de l’économie » s’est tenue mardi 11 juin 2019 à Lille (Nord).

Au cours de cette soirée dédiée aux talents féminins, les huit femmes nommées par le jury se sont réunies afin de connaître les résultats dans quatre catégories.

La cérémonie était précédée d’un temps de networking et de masterclass animées par nos partenaires sur des thématiques variées : recrutement, marque employeur, bien-être en entreprise, pitch…

Les invités ont également pu profiter de l’exposition d’art contemporain Eldorama qui a lieu en ce moment au Tripostal, entièrement privatisé à l’occasion de l’événement.

Lire aussi : Les femmes de l’économie au Havre : un trophée pour récompenser des parcours inspirants

Les quatre gagnantes

A l’issue de cette soirée, quatre lauréates ont donc été récompensées pour leur parcours professionnel remarquable : 

Carine Morel, Co-fondatrice et directrice générale chez E-Zyvec (59120 Loos) a reçu le Trophée Femme Chef d’Entreprise Prometteuse remis par Jennifer Leroy, Directrice opérationnelle du campus Amiénois IDRAC Business School.

Céline Hocquet, Directrice chez Metarom France (80440 Boves) a reçu le Trophée Femme Dirigeante remis par Virginie Malnoy, Directrice régionale chez Harmonie Mutuelle.

Hélène Sam, Gérante chez Sojun (62400 Béthune) a reçu le Trophée Femme Innovation Sociale, remis par Pascal Huon, Directeur du développement des Espaces Innovants et R.I chez Groupe Actual.

Aurélie Vermesse, Président directeur général chez Clarance Hotel Shave (59800 Lille) a reçu le Trophée Femme Chef d’Entreprise remis par Céline Vaisse, Directrice commerciale chez Figaro Classifieds.

L'ancienne joueuse professionnelle du Quimper volley 29 Roxane Hasseni a retrouvé son équilibre

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Depuis près de deux ans, Roxane Hasseni est en alternance à Finistère 2.9.

Depuis près de deux ans, Roxane Hasseni est en alternance à Finistère 2.9.

D’une saison à l’autre, les supporters de l’Ujap Quimper 29 en basket et du Quimper volley 29 ont parfois l’impression de voir défiler des mercenaires. Ces joueurs et joueuses seulement de passage pour qui le salaire passe avant le club et ses résultats.

Ce profil-là n’est pas celui de Roxane Hasseni. Après deux saisons au Quimper volley 29 entre 2015 et 2017, elle a pourtant décidé d’arrêter. À 25 ans et quelques mois seulement après avoir connu l’équipe de France. Surprenant ? « La première année, tout s’est bien passé. Nous avons enchaîné les victoires et nous sommes montées en Ligue A. J’avais du temps de jeu, je progressais. La saison suivante a été beaucoup plus compliquée. »

On est en 2017. Roxane Hasseni joue peu, perd confiance. L’entraîneur Emmanuel Fouchet est limogé ; l’ambiance, dégradée.

J’avais perdu l’équilibre entre ma vie personnelle et professionnelle. Le choix d’arrêter m’a conduit à me poser les bonnes questions et je me suis aperçue que je n’étais sans doute pas faite pour faire le tour de France ou de l’Europe pour faire carrière et en vivre.

CV bien garni

La jeune femme a donc vite repris ses études au Brest Open Campus en suivant un master en communication. Elle prépare ce diplôme en alternance au sein de la marque Finistère 2.9 du Crédit agricole du Finistère. « L’une de nos actions consiste à soutenir des événements sportifs ou culturels dans tout le département ainsi que des projets menés par des jeunes de 18 à 30 ans. »

Roxane Hasseni s’occupe des partenariats comme avec le Quimper Passion Streetball qui organise le 15 juin 2019 son tournoi à la halle des sports de Penhars.

Elle écrit ainsi une ligne supplémentaire à un CV déjà bien fourni. Avant son recrutement par le Quimper volley 29, Roxane Hasseni arrivait du Québec avec une licence de sciences politiques et un master en droit international. Elle a grandi en région parisienne et a commencé le volley au Plessis Robinson (Hauts de Seine) au collège. 

J’ai rapidement progressé en enchaînant les sélections départementales, régionales… J’ai donc rapidement appris à concilier le sport et les études. Pour continuer à m’entraîner, il fallait que je ramène des bonnes notes à la maison. C’était la condition fixée par ma maman. 

En Nationale 2

Cette rigueur ne l’a pas quittée. Pour l’avenir, on lui fait remarquer que son passé de sportive de haut niveau représente un atout. Elle coupe : « Tout le monde me le dit mais je n’aime pas mettre ça en avant. Quel que soit mon parcours, il faut d’abord faire mes preuves. »

Elle a toujours un pied au Quimper volley mais dans l’équipe de Nationale 2. « J’ai aussi commencé l’aquabike et le yoga. » Cela fait partie de son équilibre.

 

 


À Gournay-en-Bray le 16 juin 2019 : ciné-théâtre avec la Comédie Française

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La Comédie Française s'invite au cinéma.

La Comédie Française s’invite au cinéma. (©Comédie Française)

Electre / Oreste

Pièce de 2 h 25, de Ivo Van Hove, avec Claude Mathieu, Cécile Brune, Sylvia Berge, comédiens de la Comédie Française.

Après l’immense succès des Damnés, Ivo van Hove retrouve la Troupe pour une nouvelle grande fresque liée à la famille des Atrides. Précisant que tous ses projets naissent d’un « coup de foudre » pour un texte, il associe deux pièces d’Euripide et raconte l’histoire d’un frère, Oreste, et d’une sœur, Électre, qui se retrouvent et s’unissent dans le crime et la vengeance.

Père d’Électre et d’Oreste, Agamemnon a été assassiné par sa femme Clytemnestre et son amant Égisthe. Ce dernier règne désormais à Argos et le jeune Oreste a été envoyé en exil. Électre se déroule des années plus tard, tandis qu’Égisthe a lancé un appel au meurtre d’Oreste…

Dimanche 16 juin à 16 h 15 – Tarifs Plein 14 €, scolaires et étudiants 8 € et – 14 ans 6 €, avertissement : des scènes, des propos peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Yvelines. 80 ans du CNRS : découvrez les recherches des scientifiques

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L'Institut National de la Recherche Agronomique

L’Institut National de la Recherche Agronomique

Dans le cadre des 80 ans du CNRS, le public est amené à venir découvrir quelques exemples de travaux scientifiques de renommée mondiale sur le végétal, sur la place du marché Notre-Dame à Versailles, le dimanche 16 juin (de 9h à 14h).

Des scientifiques présenteront leurs grandes découvertes fondamentales comme la barrière d’espèce, l’azote, la structure des gouttelettes lipidiques …

Des potentiels innovateur pour répondre aux défis socioéconomiques du XXIème siècle.

Le plus grand centre de recherche européens

Dans le domaine de la biologie des plantes, l’Institut Jean-Pierre Bourgin (IJPB) est le plus grand centre de recherche européens.

Constitué de plus de 300 chercheurs, l’IJPB est une unité de recherche mixte sous la tutelle conjointe de l’INRA, d’AgroParisTech et du CNRS.

Il est niché au fond du parc du Château de Versailles depuis plus de 50 ans sur le campus INRA.

Garorock s'expose dans trois gares de Nouvelle-Aquitaine

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Enormément de festivaliers passent par la gare de Marmande pour aller au festival Garorock. La SNCF, un partenaire presque naturel, qui met en valeur le festival à travers des photos géantes exposées dans trois gares.

Enormément de festivaliers passent par la gare de Marmande pour aller au Garorock. La SNCF, partenaire presque naturel, met en valeur le festival à travers des photos géantes exposées dans trois gares. (©Photo Le Républicain archives)

Marmande attend son festival Garorock qui aura lieu du 27 au 30 juin, quatre jours de concerts sur la plaine de la Filhole.

Et pour la 8ème année consécutive, la SNCF a reconduit son partenariat avec Garorock. Il se caractérise notamment par une expo photos géantes du festival sur les façades et espaces d’attente des trois gares suivantes : Agen, Bordeaux Saint-Jean et Poitiers.

Des photos qui témoignent de l’ambiance festive qui règne sur cette manifestation, l’une des plus importantes de Nouvelle-Aquitaine.

Lire aussi : Garorock : la barre des 100.000 billets a été franchie

Edouard Baer s'invite à Toulouse pour une émission de radio en direct

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Edoaurd Baer sera à Toulouse dimanche 16 juin 2019 pour son émission de radio diffusée sur France inter.

Edoaurd Baer sera à Toulouse dimanche 16 juin 2019 pour son émission de radio diffusée sur France inter. (©France Inter)

Depuis septembre 2018,  Edouard Baer donne rendez-vous aux auditeurs de France Inter tous les dimanches soirs pour son émission Lumières dans la nuit. Un programme enregistré en public dans un bar de Paris et diffusé en direct sur les ondes de la première radio de France, à partir de 22 heures. Dimanche 16 juin 2019, le comédien délocalise son émission et s’installe à Toulouse, le temps d’une soirée.

Des liens forts avec le patron du J’Go

Et c’est le J’go qu’Edouard Baer a choisi pour faire son émission. Le comédien était en effet un proche de Denis Méliet, patron de l’établissement décédé d’une crise cardiaque lundi 3 juin 2019.

Lire aussi : Toulouse. Denis Méliet, fondateur du J’Go et figure de la restauration toulousaine, est décédé

Le patron du J’go avait d’ailleurs participé à une précédente émission de Lumières dans la nuit, enregistrée dans la capitale en avril dernier. En 2016, Edouard Baer avait tourné une scène de son formidable film «Ouvert la nuit», au J’Go de la rue Drouot, à Paris.

Tournage "Ouvert la Nuit " au J'go rue Drouot

Publiée par Edouard Baer sur Lundi 24 août 2015

Sa venue programmée depuis plusieurs mois

Pourtant la venue d’Edouard Baer dans la Ville rose n’a rien à voir avec le récent décès du patron du J’Go, comme l’explique Yann Chouquet, directeur des programmes de France inter :

C’est prévu depuis décembre dernier. Quand on a appris le décès de Denis Méliet, comme je savais qu’ils avaient une relation d’amitié forte, j’ai demandé à Edouard s’il voulait annuler sa venue à Toulouse. Il a refusé, m’expliquant qu’il avait encore plus envie d’y aller, qu’il fallait le faire pour honorer sa mémoire.

Lire aussi : Toulouse : Edouard Baer prête sa voix à « Terra Willy », le prochain film du studio TAT

Un reporter à la rencontre des Toulousains

Comme toutes les autres, l’émission de ce dimanche 16 juin sera enregistrée en public, qui est donc plus que bienvenue au J’Go pour l’occasion. Le reporter Jack Souvant ira à la rencontre des Toulousains et interviendra en direct dans le programme. Yann Chouquet précise :

L’idée de l’émission, c’est de saisir ce moment du dimanche soir où on commence un peu à avoir le blues à l’idée de la semaine qui s’annonce et de réveiller la ville. Je pense que cette émission toulousaine va être intense parce qu’enregistrée dans le resto de Denis Méliet, mais qu’on va aussi bien se marrer.

Bigflo et Oli seront-ils présents ?

Dans chacune de ses émissions, Edouard Baer est entouré d’invités, célèbres ou anonymes. En mars 2019, Laurent Vildary, directeur du carnaval de Toulouse avait ainsi fait une intervention par téléphone dans l’émission. Et en décembre 2018 Bigflo et Oli y avaient joué deux de leurs titres.

Les frangins participeront -ils à cette émission enregistrée à Toulouse ? Pas impossible, selon Yann Chouquet :

Il y a des chances qu’ils soient là, ils ont tout à fait l’esprit qui correspond à Lumières dans la nuit…

Football. Le marché des transferts s'emballe dans le Pays d'Auge

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Diégo Trégoat, qui portait les couleurs du SU Dives-Cabourg, portera celles de Villers-Houlgate la saison prochaine (2019-2020).

Diégo Trégoat, qui portait les couleurs du SU Dives-Cabourg, portera celles de Villers-Houlgate la saison prochaine (2019-2020). (©Le Pays d’Auge)

La Côte Fleurie en ébullition

La Côte Fleurie est en ébullition avec la montée en puissance de Villers-Houlgate qui évoluera en R2 en 2019-2020. Ainsi, en ce mois de juin 2019, Diégo Trégoat a quitté Dives-Cabourg pour rejoindre Villers-Houlgate alors que Florian Bresteau, le capitaine de l’ASTD, a également choisi de rejoindre le club voisin de la Côte Fleurie.

Régionale 1

Le SU Dives-Cabourg a, par ailleurs, depuis la fin du championnat, dévoilé les noms des joueurs qui ne feront plus partie du club la saison prochaine à savoir Paul Ntolla. L’impressionnant milieu de terrain divais a pris la direction de Vire. Toujours au registre des départs, il convient également de noter celui de Nejib Boussalia, le puissant défenseur central, qui devrait raccrocher les crampons et donc de Diégo Trégoat pour Villers-Houlgate.

Des départs mais aussi des arrivées avec déjà Guillaume Marie. Bien connu lorsqu’il était joueur dans la région, l’ancien joueur de Mondeville a, depuis, vécu une belle carrière de préparateur physique notamment avec Christian Gourcuff ou Rudi Garcia. Désireux de revenir dans la région, il a intégré le staff technique du SU Dives-Cabourg. De toute évidence un plus certain pour une équipe qui devrait encore viser les premières places la saison prochaine en Régionale 1.

En ce qui concerne les joueurs, Jimmy Auvray, formé à Avranches et qui évoluait à Douvres mais aussi Théo Bécherel, défenseur de Mondeville, sont les deux premières recrues divaises.

La situation est différente à Deauville où le mercato est encore très calme même si Florian Bresteau, le capitaine, a choisi de voguer vers Villers-Houlgate. Au registre des arrivées, Clément Le Quec, formé au SM Caen, est la première recrue officielle. Milieu récupérateur ou relayeur, il évoluait « à Bolbec en R2 et avant à Gonfeville en N3 ». A Deauville, les prochains jours promettent d’être agîtés : « Nous avons des pistes » reprend Thomas Leclerc, l’entraîneur : « qui sont à confirmer sur la fin de semaine. On essaie des joueurs encore, mais on devrait faire nos choix dans le week-end à venir. Maintenant, la satisfaction, c’est que nous conservons la quasi totalité de l’effectif ».

Un gardien de but à Mézidon et à Lisieux

En régionale 2, Villers-Houlgate, après Diégo Trégoat (Dives) et Florian Bresteau (Deauville) a enregistré l’arrivée de Romain Gosnet : « c’est un milieu de terrain » explique Erick Ledeux, l’entraîneur : « qui portait les couleurs des PTT de Caen. On le suit depuis deux ans déjà. Il était titulaire en N3. » Villers-Houlgate, très actif en ce début du mois de juin, avec aussi les arrivées également de Bryan Briki (non muté) et d’Arthur Testu. « Il a été formé au SMC » reprend Erick Ledeux : « Il jouait dans l’Eure. Il a 24 ans. Il s’entraînait déjà avec nous. Il joue dans un registre de milieu de terrain offensif… plutôt dans les couloirs. On étoffe ainsi l’effctif. Il fera partie des 20 joueurs qui sont capables de jouer avec nous ». Enfin, pour le moment, Villers-Houlgate a décidé de miser sur un jeune joueur de Saint-Désir près de Lisieux : « ce sera notre pari du mercato. Il jouait cette saison en deuxième division à Saint-Désir. Il va s’entraîner avec nous, mais on sait qu’il a un gros potentiel ».

A Lisieux, le CA Lisieux s’est attaché les services de Samuel Llorca qui a repris goût à la compétition cette saison avec la réserve de Deauville. Le CA Lisieux, sur son compte facebook, a également annoncé la signature de Julien Thierry-Grenier, un gardien de but qui portait les couleurs du SM Caen.

Un gardien de but à Lisieux, mais aussi un gardien de but à Mézidon qui a fait une grosse opération en s’attachant les services de Jean-Charles Guittard : « Il a 23 ans. Il a joué à Angers deux saisons mais aussi au Poiré-sur-Vie en national. Il aura également la responsabilité de l’école de football. » Mézidon a également enregistré l’arrivée de Dylan Vivié, qui jouait cette saison au milieu de terrain à Mondeville.

Cherbourg : la soirée électro sur le toit des Eléis n'aura finalement pas lieu !

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Le toit des Eléis n'accueillera finalement pas de soirée élector au moins de septembre.

Le toit des Eléis n’accueillera finalement pas de soirée élector au moins de septembre. (©Archives Presse de la Manche)

On connaît l’association CherBOUGEtoi pour tous les projets insolites qu’elle crée afin d’animer Cherbourg-en-Cotentin : des afterworks, les CherBARgeoises, le brunch sur la place de-Gaulle ou encore la récente deuxième édition de Cherbourg en couleurs, qui a cartonné.

Lire aussi : Revivez en images la deuxième édition de Cherbourg en couleurs

Son grand rêve pour 2019 était une grosse soirée dédiée à la musique électronique dans un endroit inédit : le toit du centre commercial des Éléis !

Lire aussi : Insolite : une grosse soirée électro à Cherbourg… sur le toit des Éléis !?

Tout était prêt… ou presque

L’association avait lancé un sondage pour connaître les désirs de ses 18 000 fans sur Facebook, et avait ainsi récolté 3000 réponses pour savoir quels artistes et DJ’s les gens aimeraient voir en live à Cherbourg. Selon la présidente Chloé Briegel :

Si les grosses têtes d’affiche sont inabordables, certains noms évoqués sont envisageables. On veut que ce soit accessible musicalement, ce ne sera pas une rave-party. Comme toujours, on aura du local et de la tête d’affiche qui vient d’ailleurs.

Date, programmation, budget, bénévoles, accord du directeur des Eléis, volonté des élus… Tout semblait bien parti pour espérer un millier de personnes sur le toit, encadrées par une équipe de sécurité…  Jusqu’à ce message posté par Chloé Briegel ce samedi 15 juin sur Facebook :

A une semaine de la fête de la musique, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer… Il n’y aura pas de soirée électro sur le toit des Eléis ! Pourquoi ? Parce que c’est un bâtiment qui n’est pas voué à recevoir ce type d’événement, et donc même si c’est un espace privé et que nous n’atteignons pas les 1500 personnes, nous devons quand même le soumettre à l’autorisation de la préfecture. Qui dit préfecture, dit mesures antiterroristes irréalisables.

« On ne pourra plus jamais vivre et s’amuser comme avant »

Et la présidente de CherBOUGEtoi de souligner :

Malheureusement, notre génération #jesuischarlie ne pourra plus jamais vivre et s’amuser comme avant, et ça nous devons faire avec. Je tiens à remercier le directeur du centre commercial Les Eléis pour son ouverture d’esprit et son envie de faire bouger la ville, ainsi que toute son équipe qui a tout fait pour que le projet aboutisse. Merci également aux deux maires de Cherbourg qui, dès le début, soutenaient le projet.

Aussitôt, les commentaires ont afflué, la plupart pour exprimer des regrets et pour soutenir l’association, qui n’a pas voulu délocaliser son événement dans un endroit moins « inédit », ce que l’on peut comprendre.

Blanco, Albaladejo, Magne... Ces joueurs de légende qui n'ont jamais soulevé le Brennus

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Serge Blanco font partie de ses nombreux internationaux français qui n'ont jamais été champions de France.

Serge Blanco font partie de ses nombreux internationaux français qui n’ont jamais été champions de France. (©Capture écran France 2)

Ils ont écrit quelques-unes des plus belles pages du rugby français, mais n’ont jamais remporté le championnat de France. Barrées par l’hégémonie d’un club, ou simplement au mauvais endroit au mauvais moment, ces légendes n’ont jamais goûté à l’ivresse d’une victoire avec leur club. Actu Rugby vous en a sélectionné quelques-uns…

Lire aussi : Dax, Brive, Montpellier… Ces équipes maudites qui n’ont jamais soulevé le bouclier de Brennus

Serge Blanco (Biarritz)

Le plus grand joueur français des années 80 n’a jamais vraiment eu de chance en finale. Élu à six reprises joueur de l’année par Midi-Olympique (1982, 1983, 1989, 1990, 1991 et 1992), son palmarès se résume à des Tournoi des Cinq Nations. Six titres tout de même, dont deux Grands Chelems en 1981 et 1987.

Lire aussi : EXCLUSIF – Serge Blanco : « Ce qui faisait la grandeur du rugby a été mis en miettes »

En championnat de France, il n’atteint la finale qu’une seule fois avec son club de Biarritz, en 1992. Les Basques perdent face à Toulon (19-14). Une carrière en club sans succès qui ne l’a pas empêché de marquer durablement le rugby français.

Jean-Michel Aguirre (Bagnères de Bigorre)

L’arrière de la grande équipe de Bagnères-de-Bigorre des années 70 aurait pu empiler les boucliers, tant l’équipe et la ligne de trois-quarts qu’il composait avec notamment Jean Gachassin et Roland Bertranne était forte. Seulement, la décennie est dominée quasiment sans partage par le grand Béziers, emmené par Richard Astre et « le sorcier » Raoul Barrière. Les 11 titres en 13 ans remportés par les Biterrois ont empêché une génération entière de talents d’approcher le bout de bois.

Lire aussi : Finale Top 14. Les cinq stats hallucinantes des Stade Toulousain – Clermont !

Gachassin stoppe sa carrière en 1978, et le Stade Bagnérais atteint la finale l’année suivante. Les Pyrénéens s’inclinent en finale face au Narbonne de Didier Codorniou (10-0). Deux ans plus tard, Aguirre retrouve le Parc des Princes pour une finale face à l’ogre biterrois. Les Bagnérais s’inclinent une nouvelle fois (22-13). 

Aguirre reste pourtant dans les mémoires pour sa carrière en équipe de France. Il fait partie de l’équipe qui remporta le légendaire Grand Chelem 1977

Pierre Albaladejo (Dax)

Sûrement le plus grand maudit de cette liste. Il a tutoyé le Brennus à quatre reprises, sans jamais le ramener dans sa ville natale de Dax. L’ouvreur landais compte pourtant 30 sélections et quatre Tournoi des Cinq Nations remportés avec le XV de France. Mais ses quatre finales disputées furent à chaque fois perdantes.

Lire aussi : Piscine, planche de surf et mie de pain… Les cinq anecdotes folles sur le Bouclier de Brennus

Il s’avance pour la première fois en finale en 1956, face au FC Lourdes de Jean Prat. Les Dacquois sont largement défaits (20-0). En 1961, c’est le Béziers d’un certain Raoul Barrière, qui bat Dax (6-3). En 1963, la finale de Championnat est un véritable derby qui voit s’affronter Dax et Mont-de-Marsan. C’est finalement les Montois, emmenés par les frères Boniface au centre de l’attaque, qui remportent le bouclier (9-6).

Lire aussi : Vidéo. En finale, le Stade Toulousain a toujours été impitoyable avec Clermont

Sa dernière chance d’être sacré Champion de France vient en 1966. Au Stadium de Toulouse, Dax s’incline une nouvelle fois en finale, cette fois-ci face à Agen (9-8). Pour sa dernière finale, Albaladéjo claque pourtant un drop, sa spécialité. Insuffisant pour remporter le bouclier. Il tire sa révérence après la finale, privé de bouclier pour toujours.

Jean-Luc Sadourny (Colomiers)

L’emblématique arrière du XV de France des années 90 n’a lui aussi jamais touché le bout de bois. Avec son club de Colomiers, il atteint pourtant la finale du championnat en 2000 face au Stade Français. Les Parisiens ont déjà remporté le championnat deux ans plus tôt, et sont encore au début de l’ère Guazzini, la plus flamboyante du club. Les Columérins s’avancent sur la pelouse du Stade France avec une belle équipe, ou figurent notamment Patrick Tabacco, Francis Ntamack ou le jeune David Skréla.

Très accrochée, cette finale bascule du côté parisien en deuxième mi-temps, qui finit par s’imposer (28-23). 

Avec 71 sélections en équipe de France et deux Coupe du monde disputées (1991 et 1995), Sadourny est l’arrière incontournable des Bleus pendant 10 ans. Il prend le relais de Serge Blanco à l’arrière de l’équipe de France, et partage avec le Biarrot ce statut de « maudit » du bouclier. Sa fidélité à Colomiers l’a quelque peu privé du Graal.

Christophe Lamaison (Agen)

Un autre joueur clé du XV de France des années 90. Christophe Lamaison, ouvreur passé par Bayonne, Brive et Agen, est le numéro 10 inamovible des Bleus de 1996 à 2001. En club, son passage à Brive entre 1996 et 2000 correspond aux années fastes du club. Il arrive en Corrèze alors que le club reste sur une finale perdue face au Stade Toulousain quelques semaines plus tôt. Le CAB ne verra plus de finale de championnat, mais se console en 1997 en remportant une Coupe d’Europe face à Leicester. 

Lamaison atteint la finale en 2002 sous le maillot d’Agen. Les Lot-et-Garonnais affrontent le Biarritz Olympique. Le BO commence ce soir-la sa période de domination du championnat qu’il va partager avec Toulouse et Paris jusqu’en 2010. Les hommes de Patrice Lagisquet s’imposent au bout des prolongations (25-22). « Titou » et les Agenais peuvent nourrir des regrets, tant ils sont passés proche du titre. Pour Lamaison, c’est sa seule et unique finale. 

Et aussi : Jean-Pierre Rives, Jean-Claude Skrela, Philippe Dintrans, Jacques Fouroux, Jean-Pierre Bastiat, Jean-Pierre Romeu, Olivier Magne, Lucien Mias, Raphaël Ibanez, Abdelatif Benazzi, Richard Dourthe, Patrice Lagisquet, Benoit Dauga…

Mathieu YERLE


Cercle celtique : chez les Bugalé de Melrand, on est prêt

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 Le bureau du cercle celtique composé de Jean François Robic président, Jean Yves Le Dortz et Marion Gautier vice présidents, Marjorie Le Goff et Mannaig Le Dortz secrétaires, Manon Corbel et Carine Corbel trésorières, met la dernière main à la préparation de ses activités.

Le bureau du cercle celtique composé de Jean François Robic président, Jean Yves Le Dortz et Marion Gautier vice présidents, Marjorie Le Goff et Mannaig Le Dortz secrétaires, Manon Corbel et Carine Corbel trésorières, met la dernière main à la préparation de ses activités.

Le cercle celtique des Bugalé de Melrand prépare sa saison estivale. Parce qu’il va falloir être sous tous les fronts !

Nouvelle chorégraphie

Tout d’abord les Bugalé ont mis au point une chorégraphie inédite, basée sur la tradition et la modernité. De son titre Eskemm ou échange, c’est un amalgame de tradition et de nouveauté dans la danse et la musique.

On inaugurera ce nouveau style le 6 juillet prochain à St Malo, lors du festival des Folklores du Monde, Pendant 13 minutes les danseurs et danseuses se produiront devant un jury qui jugera style, élégance et production. «  Si on réussit ce passage d’épreuve, signale le président jean-François Robic, la note obtenue pourra peut-être nous faire remonter en 2e catégorie que nous avons quittée il y a quelques années.

Ce serait bien pour nous, cela nous donnerait évidemment une meilleure cote. »

Manon, l’ambassadrice

Lors des fêtes d’Arvor qui auront lieu à Vannes le 15 août, on élira miss Arvor. Le cercle melrandais mettra en lice sa jeune danseuse Manon Corbel.

«  Nous serions heureux qu’elle se classe bien, poursuit Jean-François. Elle a un bon potentiel et le brodeur du cercle Gaby Onno met la dernière main à son costume qui devrait être un sérieux plus pour un bon classement ».

Avoir la reine d’Arvor dans le groupe nous donnerait aussi un bel atout supplémentaire

En septembre, le cercle entrera dans la composition du jury pour le patrimoine de Bretagne. On jugera les meilleurs danseurs entrant dans le style Gavotte Pourleth. Une reconnaissance aussi pour le cercle qui saura prendre ses responsabilités.

Lire aussi : Les Bugalé de Melrand fêtent leur 45e anniversaire

De grandes espérances aussi, fondées sur la mise en place d’une activité danse pour de très jeunes enfants. Elle sera fonctionnelle à la rentrée prochaine. On espère un bon petit groupe, il y a déjà plusieurs inscriptions.

Le président est aussi heureux de signaler le bon programme de sorties pour la période estivale. Ce sera entre autres la fête de la musique à Melrand, le folklore du monde à St Malo, les fêtes d’Arvor à Vannes, la fête de l’huître à Locmariaquer, la fête de l’andouille à Guémené et aussi une participation au festival Presquil Breiz à Houat et Quiberon.

Longues-sur-Mer. Mathieu Boutet se lance dans la production de spiruline, "l'aliment du futur"

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Formé par la Fédération des spiruliniers de France, Mathieu Boutet a commencé à produire cette algue aux qualités nutritives exceptionnelles voilà quinze jours.

Formé par la Fédération des spiruliniers de France, Mathieu Boutet a commencé à produire cette algue aux qualités nutritives exceptionnelles voilà quinze jours. (©Frédéric Bourgeois/La Renaissance le Bessin)

Mathieu Boutet, 35 ans, a pris un virage à 180°. Pour se lancer dans un projet qui lui permettra d’avoir du temps pour sa famille. « Laure et moi sommes parents de quatre enfants et nous passions quotidiennement de longues heures dans nos voitures pour aller travailler (Laure est ingénieure et moi scaphandrier). Par conséquent, pendant la semaine, les échanges avec nos enfants se limitaient à de courts moments. Il était temps pour nous de changer tout ça et d’investir toutes nos économies dans un projet commun nous permettant, nous et nos enfants, de nous épanouir ».

Mathieu Boutet a mis son équipement de scaphandrier au placard pour poser ses valises à Longues-sur-Mer (Calvados) où il gère un gîte – La Ferme de Longues – avec sa compagne et où il est devenu depuis un mois un agriculteur pas comme les autres. Sous une serre de 760 m2, il a installé quatre bassins sur un plancher chauffant par géothermie. Il dispose de 560 m2 de surface d’eau sur laquelle flotte une pépite. La spiruline, sous la marque La Spiruline des Vikings. Une algue microscopique, une cyanobactérie qui fait partie des premières formes de vie sur Terre. Mathieu Boutet explique :

Elle est apparue il y a 4,5 milliards d’années. Elle a joué un rôle primordial dans l’apparition et le développement du vivant en produisant de l’oxygène à partir de gaz carbonique à travers un phénomène de photosynthèse. Par conséquent, qui dit oxygène dit développement de la vie.

La spiruline pousse de façon optimale dans une eau saumâtre (12 g de sel par litre d’eau) maintenue à une température comprise entre 30 et 35 °C. « Je surveille aussi le pH de l’eau qui est de 10, donc assez élevé, pour éviter le développement de parasites. Lors de la récolte, l’eau extraite repart dans les bassins, en circuit fermé ».

« Il ne lui manque que la vitamine C »

Sous une serre de 760 m2, Mathieu Boutet a installé quatre bassins et dispose de 560 m2 de surface d'eau sur laquelle flotte une pépite : la spiruline

Sous une serre de 760 m2, Mathieu Boutet a installé quatre bassins et dispose de 560 m2 de surface d’eau sur laquelle flotte une pépite : la spiruline (©Frédéric Bourgeois/La Renaissance le Bessin)

Le travail de scaphandrier, que Mathieu Boutet reprendra sans doute l’hiver, est peu commun et très varié. « J’ai fait de la construction et de la maintenance d’ouvrage d’art (écluses, ponts), de l’expertise de coque de bateau… Je me suis rendu en Afrique (Congo et Sénégal) et en Europe ». Il a d’ailleurs découvert la spiruline et ses bienfaits lors de ses voyages en Afrique.

Là-bas, elle permet de réduire la mortalité infantile due à la sous-nutrition grâce à ses qualités nutritives exceptionnelles. Par conséquent, ce fut une évidence pour moi de consacrer une partie de notre champ à sa culture et de mettre en avant cet aliment exceptionnel (il ne lui manque que la vitamine C) trop peu connu.

Dès 1974, l’ONU déclare la spiruline « nourriture du futur ». Dès 2005, l’OMS reconnaît officiellement la spiruline comme l’aliment le plus efficace pour lutter contre la malnutrition et les famines.

65 % de protéines

La spiruline sèche est composée de 65 % de protéines. « Elle contient deux fois plus de protéines que le soja et trois fois plus que le poisson et la viande crue. Elle renferme également des minéraux tels que le fer, le cuivre, le magnésium et le zinc. Ces minéraux servent à combattre la fatigue. Elle possède aussi des quantités non négligeables de sodium, de phosphore, de potassium, de sélénium et de manganèse. Des éléments très utiles qui développent notre système immunitaire. On y trouve aussi des pigments tels que la chlorophylle ou le caroténoïde ».

Pas plus de 5 g par jour

Pour récolter cette algue, une pompe aspire la pellicule verte à la surface de l’eau. L’eau extraite repart dans le bassin et la spiruline passe dans une presse à vide. « La pâte obtenue contient encore 20 % d’eau. À l’aide d’un poussoir, la spiruline est mise sous forme de spaghettis pour faciliter le séchage qui est effectué à 28 °C afin de conserver toutes ses propriétés nutritives ».

Mathieu Boutet vend sa production en boîte biodégradable de 100 g et sous formes de brindilles afin de conserver toutes ses qualités nutritives. « Il faut prendre entre 3 grammes (une cuillère à café) et 5 grammes (une cuillère à soupe) par jour. La seule chose qu’il n’y ait pas dans la spiruline, c’est la vitamine C. Donc, je conseille de la prendre le matin dans un jus de fruit. On peut aussi la mettre dans un yaourt, une compote, dans des salades… »

Écoresponsable et solidaire

Mathieu Boutet suit un code écoresponsable et solidaire. « Je ne produirai pas l’hiver, car cela obligerait à chauffer la serre. J’adhère à la Fédération des spiruliniers de France qui vise au partage des connaissances et à l’entraide entre ses adhérents. Celle-ci œuvre au développement de fermes de spiruline dans les pays frappés par la sous-nutrition notamment en Afrique (Togo, Burkina Faso…). Chaque adhérent reverse 0,2 % de son chiffre d’affaires à l’association Spir’sol qui se charge de développer des fermes dans les pays du tiers-monde ».

« C’est le bidule vert ? »

Clotilde Eudier, vice-présidente de la Normandie en charge de l'agriculture, a dégusté cette spiruline en "quatre" façons.

Clotilde Eudier, vice-présidente de la Normandie en charge de l’agriculture, a dégusté cette spiruline en « quatre » façons. (©Frédéric Bourgeois/La Renaissance le Bessin)

Une visite de cette ferme de spiruline a été organisée mardi, en présence de Clotilde Eudier 11e vice-présidente de la Région, en charge de l’agriculture. Elle même dans l’agriculture, l’élue se montre toujours très intéressée par ces visites. Et n’a pas son pareil pour aller à l’essentiel. « La spiruline, c’est le bidule vert », interroge-t-elle en montrant la surface de l’eau où des filaments verts s’accumulent. Elle n’a pas hésité à goûter cette algue à la source. Directement dans le bassin de production ! Avant de déguster la pâte déshydratée à 80 % que Mathieu Boutet a proposée en trois façons : nature, citron et huile d’olive, guacamole. La Région Normandie soutient ce projet d’installation de ferme de production de spiruline à hauteur de 80 200 € dont 60 150 € au titre du Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP). Dans le Calvados, Mathieu Boutet est le quatrième à se lancer sur ce segment. Dans le Bessin, une ferme de spiruline est également implantée à Étréham.

Clotilde Eudier, vice-présidente de la Normandie en charge de l'agriculture n'a pas hésité à goûter cette algue à la source

Clotilde Eudier, vice-présidente de la Normandie en charge de l’agriculture n’a pas hésité à goûter cette algue à la source (©Frédéric Bourgeois/La Renaissance le Bessin)

La Spiruline des Vikings, 10, route d’Arromanches, à Longues-sur-Mer. Ouvert du lundi au jeudi et le samedi, de 14 h à 19 h. Possibilité de visiter la ferme sur rendez-vous. Contact : laspirulinedesvikings@gmail.com ou 07 66 14 42 58.

MOBIL'RETRO A LONS LE SAUNIER Embouteillage festif et d'un autre âge en centre-ville

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Défilé du Mobil'Rétro dans les rues de Lons-le-Saunier, samedi 15 juin 2019

Défilé du Mobil’Rétro dans les rues de Lons-le-Saunier, samedi 15 juin 2019 (©Voix du Jura)

Il y a comme un goût de bouchon en centre-ville de Lons-le-Saunier, ce samedi 15 juin 2019 en début d’après-midi. Mais il s’agit d’un embouteillage festif, organisé par le Mobil’Rétro, à l’occasion de la parade des voitures anciennes en centre-ville, accompagnées par des groupes musicaux.

Voici une galerie photo de ce défilé, sachant que toutes ces voitures d’une autre époque, et bien d’autres encore, sont exposées durant tout ce week-end au Parc des Bains de Lons-le-Saunier.

Lire aussi : Les Américaines à l’honneur du 17e Mobil’retro jurassien au Parc des Bains de Lons-le-Saunier

Animations et entrées gratuites.

Le Football Club du Pays du Neubourg est sur les rails

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Avec le maire d'Epégard, Pascal Demare (à droite), la municipalité du Neubourg était bien représentée autour du nouveau président, Yves Breitenbach.

Avec le maire d’Epégard, Pascal Demare (à droite), la municipalité du Neubourg était bien représentée autour du nouveau président, Yves Breitenbach.

C’est officiel, il n’y a plus qu’un seul club de football au Neubourg. Après dissolution, le FC Epégard Neubourg et le FC Plateau du Neubourg ont fusionné pour donner naissance au Football Club du Pays du Neubourg. Le bébé, tout vêtu de rouge, devra dans un premier trouver ses marques. Il a été présenté mardi dernier 4 juin par la municipalité, très impliquée, et principalement l’adjoint Francis Davoust. Après la constitution du comité directeur (voir encadré ci-dessous) le bureau a été composé, et sans surprise, Yves Breitenbach a été élu président. L’homme, déjà bien connu sur le Plateau, avait permis en 1984 à l’équipe féminine de l’US Neubourg de devenir championne de France de 2e division : « J’ai été entraîneur au Neubourg pendant 19 ans. Mais mon club formateur est Elbeuf, aujourd’hui le FC Saint-Aubin, ou j’ai été joueur et entraîneur pendant 30 ans. J’y ai terminé la saison, pour venir ici retrouver une partie de mes racines, où à l’époque j’ai vécu de très belles choses. J’espère que ce nouveau club qui se met en place puisse fonctionner aussi bien ».

Priorité aux jeunes

Dans son discours, Yves Breitenbach a été très clair sur l’axe prioritaire de travail : « Il sera fait sur les jeunes, l’école de football, et la formation des éducateurs. Plus nos éducateurs seront formés, plus on pourra faire évoluer le niveau de nos jeunes. Peut-être pas l’année qui vient, mais dans les suivantes il faut absolument arriver à faire passer des équipes U15 et U18 de district au niveau ligue. C’est l’avenir du club pour qu’il évolue ». Dans l’organigramme, un éducateur aura en charge l’école de football, des U7 aux U13.

Directeur technique

Pour donner la ligne directrice et le bon tempo, un directeur technique rejoindra le club à partir du 1er octobre : « Ce sera Francisco Da Costa. Il travaillera sur l’ensemble des catégories et sera là pour aider les éducateurs et répondre à leurs demandes. Cela n’empêchera pas bien sûr, dans chaque catégorie, à l’éducateur responsable d’amener sa touche personnelle », explique le président.

Avec quel effectif ?

Pour l’heure, la grosse interrogation se situe au niveau du nombre d’équipes seniors que le FCPN pourra aligner la saison prochaine : deux, trois, quatre ? Car avec les départs des deux entraîneurs, Rachid Arbi et Rudy Jolibois, un bon nombre de joueurs qui étaient venus avec eux repartent : « L’idée était de les laisser en place, ils avaient fait du bon boulot. Mais vendredi soir ils m’ont dit qu’ils ne repartaient avec nous. Cette décision tardive nous place dans la difficulté. J’ai cependant un contact sérieux. Mais ce possible entraîneur veut avoir des certitudes sur l’effectif qu’on pourra mettre à sa disposition. Il va donc falloir très vite se réunir avec les joueurs pour faire le point », commente le président. « Des entraîneurs et des joueurs, ne vous cassez pas la tête, il va y en avoir. Il faut avoir confiance en ce qui va se mettre en place », ajoute l’adjoint Francis Davoust.

L’idée d’un club house

Pour la cohésion de groupe, l’identité du club, et la convivialité, l’idée d’un club house a été lancée. « C’est important d’avoir un point de chute au club. Même si dans un premier temps c’est un préfabriqué, se retrouver après les matches permet de créer un état d’esprit », insiste Yves Breitenbach. « Il faut qu’on y réfléchisse, on trouverait bien un endroit pour mettre un bungalow », pointe Francis Davoust.

Égalité filles garçons

« Et pour les filles, comment ça va se passer ? », demande une maman. « Pas de souci particulier. Il faut bien se mettre en tête que les filles seront traitées sur un pied d’égalité avec les garçons. Au niveau des terrains, ils seront mis à disposition de la même manière, et la hiérarchie de la division sera respectée. Une rencontre de régionale sera prioritaire à une rencontre de district », lui répond le président.

Une bonne assistance salle du Haut Phare pour assister aux premiers pas du FCPN.

Une bonne assistance salle du Haut Phare pour assister aux premiers pas du FCPN. (©Le Courrier de l’Eure)

Comité directeur et bureau
Liste des membres du comité directeur : Christophe Acker, Christiane Bachelet, Laurent Bacquart, Jovanni Berthelin, Jacky boudier, Yves Breitenbach, Francis Davoust, Joël Davoust, Pascal Demare, Elga Desrues, Carole Levavasseur, Pascal Levavasseur, Eric Petit, Patrice Perrier, Sébastien Quenneville.
Composition du bureau : Président : Yves Breitenbach; Vices Présidents : Laurent Bacquart et Jacky Boudier; Secrétaire : Carole Levavasseur; Secrétaire adjoint : Elga Desrues; Trésorier : Christiane Bachelet; Trésorier adjoint : Pascal Levavasseur; Sponsoring /animation : Giovanni Berthelin; Equipements/matériel : Eric Petit/Sébastien Quenneville

Une grande partie du comité directeur en compagnie du nouveau président Yves Breitenbach, assis, entouré de Francis Davoust et Pascal Demare, les représentants des deux municipalités du Neubourg et Epégard.

Une grande partie du comité directeur en compagnie du nouveau président Yves Breitenbach, assis, entouré de Francis Davoust et Pascal Demare, les représentants des deux municipalités du Neubourg et Epégard.

Quimper : week-end culturel brésilien autour de la capoeira

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Un stage de capoeira est prévu les 22 et 23 juin 2019.

Un stage de capoeira est prévu les 22 et 23 juin 2019. (©Acamab)

Mélanie Toulhoat et son ami brésilien Francisco ont fondé en août 2017 l’association Capoeira Angola Marrom e Alunos en Bretagne (Acamab). Du 21 au 23 juin 2019, ils organisent à Quimper (Finistère) différentes animations autour de la capoeira.

Pour Mélanie Toulhoat, il était évident qu’après avoir vécu 4 ans au Brésil où elle préparait une thèse en histoire contemporaine, et de retour à Quimper en 2016, elle se devait de poursuivre sa pratique de la capoeira. Elle a créé pour cela en août 2017 l’association Capoeira Angola Marrom e Alunos en Bretagne (Acamab).

Roda et samba

Mélanie et Francisco donnent des cours à la MPT de Penhars à Quimper. Désireux de partager leur passion et faire connaître cette pratique culturelle brésilienne, ils proposent durant trois jours, diverses animations.

Vendredi 21 juin, ils présenteront avec leurs élèves, à l’occasion de la fête de la musique, place Médard, une roda de capoeira Angola. Une ronde au centre de laquelle deux participants combattent accompagnés par les percussions et berimbau.

Mélanie Toulhoat précise :

Il s’agit d’un combat théâtralisé, les coups ne sont pas portés, on ne compte pas les points. L’idée de jeu, de dialogue est omniprésente, en complète connexion avec la musique. Cette capoeira est basée sur le rythme, le tambour. Chacun y met ce qu’il veut.

Stages, cinéma, photos

Pour ceux qui souhaitent apprendre ou se perfectionner en capoeira, l’association organise un stage de capoeira Angola et de samba de roda, samedi 22 et dimanche 23 juin, en présence de Mestre Marrom et de Contra Mestra Tatiana (tous deux de Rio de Janeiro).

Une soirée cinéma est prévue samedi 22 avec la projection du documentaire Jogo de Corpo en présence du réalisateur, historien et pratiquant de capoeira, Matthias Assunçao. « Il s’est rendu en Angola en quête de danses guerrières et pour faire une passerelle entre ce pays et le Brésil ».

Dimanche après-midi, la photographe Marich Devise, présidente de l’association Clichés Urbains, installera son studio photo mobile, sur le parvis de la MPT de penhars et photographiera ceux qui le souhaitent dans une mise en scène brésilienne.

Infos pratiques
• Vendredi 21 juin, place Médard à Quimper, en soirée.
• Stage samedi 22 juin de 10 h à 18 h et dimanche 23 de 12 h 30 à 18 h 30, à la MPT de Penhars, 39 bd de Bretagne.
Tarifs : 70 euros les 2 jours ou 40 euros la journée.
Ouvert à tous. Inscriptions asso.camab29@gmail.com et 06 87 11 23 89. 
• Soirée cinéma, samedi 22 juin à 20 h 30 au Quai Dupleix. Tarif : 5,20 euros.

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