C’est le printemps, Marcouville s’éveille. Tandis que l’allée de cerisiers fleuris située à l’entrée du quartier pontoisien lui confère une beauté quasi poétique, la convention de partenariat signée le 17 mars entre l’État, la Région Île-de-France et l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) lui assure de bénéficier d’une partie des deux milliards d’euros qui seront investis à l’échelle nationale « pour renforcer l’attractivité des quartiers oubliés ». Marcouville figure en effet sur la liste des 43 projets d’intérêt régional (Prir) d’Île-de-France. De quoi redonner des couleurs à ce grand ensemble de plus d’un millier de logements sorti de terre en 1971.

Jo.C.