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Municipales 2020. Georges Lemarchand présente sa liste, « Un nouvel élan pour Fontenay-le-Pesnel »

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Absents sur cette photo : Marielle Porée, 40 ans, fonctionnaire, Cassandra Le Saout, 25 ans, opératrice de production, et Cyrille Houel, 25 ans, agent de fabrication.

Absents sur cette photo : Marielle Porée, 40 ans, fonctionnaire, Cassandra Le Saout, 25 ans, opératrice de production, et Cyrille Houel, 25 ans, agent de fabrication. (©La Renaissance le Bessin)

Georges Lemarchand conduit la liste « Un nouvel élan pour Fontenay-le-Pesnel » pour les Municipales 2020. 15 conseillers, 7 femmes et 8 hommes de 19 à 61 ans, soit une moyenne d’âge de 40 ans. Les premières préoccupations de cette liste seront, en cas d’élection, de « dépolluer la commune des 20 000 tonnes de déchets toxiques RBA comme à Versainville près de Falaise ».

La liste souhaiterait aussi faire venir une grosse entreprise pourvoyeuse d’emplois sur le territoire communal, redémarrer la fête des Conviviales de Fontenay avec sons et lumières sur le plan d’eau, installer un chauffage dans l’église Saint-Aubin et un éclairage extérieur pour mettre en valeur le bâtiment ou encore réaménager les espaces pour les enfants qui sont devenus obsolètes, sécuriser les lieux en les fermant, créer un parcours sportif et baliser les chemins.

Lire aussi : Municipales 2020. Canditat à Fontenay-le-Pesnel, Georges Le Marchand veut dynamiser la commune

La liste

– Au 1er rang, de gauche à droite : Laurent David, 49 ans, responsable boucherie, Clément Mottelay, 19 ans, tourneur fraiseur, Georges Lemarchand, 58 ans, agent technique territorial et gérant d’une SCI, Sylvie Jorczak, 57 ans, assistante maternelle, Aurore Delattre, 31 ans, auxilliaire de vie, Sylvie Noé, 53 ans, employée de restauration,

– Au 2e rang : Florian Ozanne, 21 ans, volontaire service civique, Dominique Charbonnier, 52 ans, chauffagiste, Quentin Barbançon, 23 ans, employé de commerce, Nicolas Achin, 37 ans, responsable exploitation, Françoise Leblondel, 55 ans, agent technique territorial, Catherine Jacques, 61 ans, assistante maternelle.


Guet-apens à Montpellier : un jeune conducteur assassiné dans sa voiture

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INFO METROPOLITAIN/ Dernière minute : un homme âgé de 25 ans environ a été assassiné de plusieurs balles de gros calibre, ce mardi soir, au volant de sa voiture, sur le parking du centre commercial Saint-Paul, dans le quartier ouest de la Mosson, à Montpellier.

Il est tombé dans un guet-apens. Il ne serait pas officiellement identifié, mais, il avait une pièce d’identité sur lui. L’assassin présumé est en fuite. Cet assassinat ressemble à une véritable exécution digne d’un réglement de compte. Une arme à feu longue aurait été utilisée par le tueur.

Une voiture incendiée

Des témoins ont repéré le manège suspect dune voiture, une BMW de série 1, avec au moins deux occupants à bord, sur les lieux, quelques minutes avant l’assassinat. Y a t-il un lien avec une BMW qui a été volontairement incendiée un peu plus tard, dans la commune de Lattes ? Il est prématuré d’établir un rapport.

Trafic de drogue ?

A 22h15, les policiers de la Sécurité publique sont en nombre sur place, ainsi que la police technique et scientifique. Un périmètre de sécurité est installé, le parking est bouclé. Un magistrat du parquet est sur les lieux. L’enquête devrait être confiée au SRPJ de Montpellier.

Ce parking, proche de la station de tramway de la ligne 1, Mosson-Odysseum, est réputé pour être un des lieux de trafics de drogue permanent et de rivalités entre bandes des cités de Montpellier.

> Plus d’informations à suivre

Un homme a étranglé son épouse alors qu'elle donnait le biberon à son bébé, mercredi 12 février 2020 à Metz (Moselle).

Les policiers sont sur place ce soir (©Illustration/Guillaume Laurens/Actu Toulouse)

Pour Patrick Richard, de nouvelles idées avant « le sprint final » à Ault

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Le premier adjoint a réuni ses colistiers dans la base nautique du village.

Le premier adjoint a réuni ses colistiers dans la base nautique du village. (©L’Éclaireur du Vimeu)

Patrick Richard le constate, la campagne à Ault (Somme) est entrée dans « le sprint final ». C’est pour cela qu’il a réuni ses colistiers le 22 février 2020 à la base nautique.

Le premier adjoint a défini avec eux les points du programme que chacun exposera lors de la réunion publique du 26 février (18 h 30 à l’ancien Casino), se targuant de la présence prévue du député Emmanuel Maquet, de son prédécesseur Jean-Claude Buisine, de l’ancien maire aultois Jean-Yves Cauchois en soutien.

Une exposition des grands projets

Les électeurs pourront aussi à cette occasion découvrir une exposition présentant « les projets structurants » du programme que sont l’aménagement du centre-bourg, le centre culturel et le plan vélo.

Un programme qui a connu plusieurs modifications depuis sa présentation à la mi-janvier. « On a mis le site internet à jour pas plus tard que ce matin », avoue le candidat.

Parmi les nouveautés, l’ancien enseignant insiste sur la volonté de tenir des réunions de quartiers, profitant d’avoir des colistiers qui viennent de chacun d’entre eux.

État des lieux des voiries

L »équipe de « Agir ensemble pour Ault » promet un diagnostic complet de l’état des voiries, « pour établir un plan de travaux à court, moyen et long terme ».

D’autres travaux concerneront, en lien avec un conseil départemental « encore un peu réticent », avoue Patrick Richard, la mise en place de ronds-points aux carrefours de la Cavée Verte et de l’accès au Bois de Cise.

Sur la fiscalité, le candidat promet une baisse de la taxe foncière d’un point par an durant la mandature et une exonération totale pendant 5 ans pour les logements neufs.

De l’aide pour les façades

Une aide financière pour la rénovation des façades commerçantes sera allouée, « pour 50 % du budget avec un plafond de 5 000 € ». Les particuliers auront droit à la même somme ou au maximum à 20 % du budget du chantier.

Le premier adjoint justifie aussi la renaissance de l’association des commerçants. « On veut avoir un collectif en face de nous », du syndicat d’initiative, « dans un local en coeur de ville pour compléter l’offre de la communauté de communes des Villes Soeurs (CCVS) », et de l’association de sauvegarde de l’Église Saint-Pierre, « un vecteur important pour obtenir les subventions de rénovation et organiser les visites ».

L’équipe révèle également être ouverte au débat sur la vidéosurveillance « face au sentiment d’insécurité que nous ont décrit les Aultois ».

Municipales 2020 à Lille. Ce que l'on retient du débat entre Baly, Aubry, Spillebout, Poix et Daubresse

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Martine Aubry, Stéphane Baly, Marc-Philippe Daubresse, Julien Poix et Violette Spillebout, candidats aux municipales à Lille, ont débattu à Sciences Po.

Martine Aubry, Stéphane Baly, Marc-Philippe Daubresse, Julien Poix et Violette Spillebout, candidats aux municipales à Lille, ont débattu à Sciences Po. (©JB/Lille actu)

Cinq candidats aux municipales de Lille mais aussi cinq caractères ont confronté leur programme, mardi 25 février 2020, lors d’un débat organisé par l’Arène de Sciences Po Lille.

Martine Aubry (PS), Stéphane Baly (EELV), Marc-Philippe Daubresse (LR), Julien Poix (LFI) et Violette Spillebout (LREM) ont confronté leurs idées en matière de logement, de sécurité et d’environnement. Voici ce qu’il faut retenir de leurs échanges.

Lire aussi : Débat des municipales à Lille : deux retransmissions en direct annulées à Sciences Po

Martine Aubry défend son bilan

Martine Aubry (PS), maire sortante a défendu son bilan pendant le débat.

Martine Aubry (PS), maire sortante a défendu son bilan pendant le débat. (©JB/Lille actu)

Favorite des sondages, la maire sortante a dû, face à ses quatre concurrents, défendre son bilan. Elle l’a fait avec combativité, renvoyant parfois ses adversaires dans les cordes en répétant à plusieurs reprises « je connais un peu le sujet », pour asseoir son expérience. 

Martine Aubry a dû assumer également ses revirements, notamment sur la vidéoprotection. Ce qui a fait dire à Julien Poix qu’elle a « baissé les bras sur l’humain d’abord ».

Lire aussi : Martine Aubry présente sa liste et les priorités de son programme

Sujet le plus sensible à la fois de son bilan et de son programme, la friche Saint-Sauveur. « Nous voulons débétonner », a-t-elle assuré. Pas forcément un argument qui parviendra à convaincre les plus verts de ses concurrents.

Stéphane Baly, en douceur

Stéphane Baly (EELV) a pu sembler plus en retrait lors du débat.

Stéphane Baly (EELV) a pu sembler plus en retrait lors du débat. (©JB/Lille actu)

En douceur, voire en retrait, le candidat EELV, pourtant donné deuxième dans les derniers sondages, s’est montré moins offensif que ses concurrents. Stéphane Baly a surtout déroulé les grands axes de son programme qui, sans surprise, implique une végétalisation importante de la ville (notamment sur Saint-Sauveur) et des mesures phares comme la piétonnisation de la Grand’Place ou l’ouverture de « salles de shoot ».

Lire aussi : Les Verts de Stéphane Baly dévoilent leur programme : 10 mesures fortes

Seul éclat du candidat écologiste sur la question (sensible) de la vidéoprotection. À Marc-Philippe Daubresse qui se targuait que la vidéoprotection avait permis l’arrestation d’un chauffard qui a tué une personne, Stéphane Baly, farouche opposant aux caméras, a vivement rétorqué : « Mais vous n’avez pas empêché le meurtre ! »

Julien Poix à l’offensive

Julien Poix (LFI) s'est volontiers montré taquin voire offensif avec les autres candidats.

Julien Poix (LFI) s’est volontiers montré taquin voire offensif avec les autres candidats. (©JB/Lille actu)

Au contraire de Stéphane Baly, le candidat de La France Insoumise s’est montré taquin et offensif, multipliant les piques à l’égard des autres candidats. « Il ne faudrait pas que le débat tourne à la réunion de cabinet entre Violette Spillebout et Martine Aubry », a-t-il par exemple asséné. Violette Spillebout a qui il a gentiment rappelé son étiquette LREM sur la question du logement, priorité du programme LFI : « Quand on soutient le gouvernement à qui l’on doit la loi Elan et la baisse des APL… »

Lire aussi : Julien Poix de La France Insoumise présente son programme

Julien Poix a voulu mettre en avant un programme « qui vient des Lillois, de la rue ». « Enfin de 7 % de la rue », lui a rétorqué Violette Spillebout en référence aux derniers sondages. Pas de quoi impressionner le candidat LFI qui a rappelé ses engagements en faveur de la démocratie participative et sur le logement, notamment la réquisition du parc vacant.

Violette Spillebout veut incarner la rupture

Violette Spillebout (LREM) a voulu incarner la rupture malgré les attaques de ses adversaires.

Violette Spillebout (LREM) a voulu incarner la rupture malgré les attaques de ses adversaires. (©JB/Lille actu)

Dans la droite ligne de sa campagne, la candidate LREM a voulu marquer la rupture avec ce que certains appellent l’ancien monde. « Vous avez le choix de changer d’une équipe en place depuis 25 ans, faire que tout change », a-t-elle déclaré en conclusion. Pas facile lorsqu’on a longtemps travaillé au cabinet du maire de Lille, comme certains lui ont rappelé. Martine Aubry ne l’a pas épargnée : « Votre programme, c’est vrai qu’il a beaucoup changé. »

Lire aussi : Qui sont les 61 candidats sur la liste de Violette Spillebout (LREM) ?

Mais malgré les attaques, Violette Spillebout a maintenu sa ligne axée sur l’écologie. « Vous n’êtes pas le seul à proposer la réduction de la voiture en ville », a-t-elle tenu à rappeler à Stéphane Baly qui propose, « pour l’écologie, de préférer l’original à la copie ».

Marc-Philippe Daubresse, l’outsider

Marc-Philippe Daubresse (LR) veut déjouer les pronostics qui le donnent perdant.

Marc-Philippe Daubresse (LR) veut déjouer les pronostics qui le donnent perdant. (©JB/Lille actu)

Le candidat LR, a en croire les sondages, n’a pas vraiment les faveurs des Lillois. Celui qui a été maire de Lambersart de 1988 à 2017, mais aussi député, ministre du Logement et sénateur, a tenu à mettre en avant son expérience. Mais aussi celle de ses nouveaux colistiers, Thierry Pauchet, qui a tenté le course en dissident, et Valérie Petit, candidate malheureuse à l’investiture LREM. « Deuxième mesure quand je serai maire, je vais chez le cordonnier et je vais faire trois clés pour le bureau du maire », a-t-il promis.

Lire aussi : Un nouveau sondage place cette fois Martine Aubry largement en tête

Sans surprise, le candidat de la droite a mis l’accent sur la sécurité, principalement son attachement à la création d’un grand centre de supervision urbain. Sur l’écologie, il a fustigé « le dogmatisme » et a, maladroitement, tenté de convaincre que « l’accélération des problèmes écologiques date d’environ deux ans ».

Le candidat LR a également annoncé qu’il commanderait son propre sondage, pour tenter de déjouer les pronostics qui ne lui sont pas favorables. Néanmoins, le vrai crash-est reste le premier tour des élections municipales qui a lieu le 15 mars prochain.

Météo : le Val-d'Oise placé en vigilance jaune neige et verglas cette nuit

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Il devrait neiger dans le Val-d'Oise cette nuit jusqu'en milieu de matinée.

Il devrait neiger dans le Val-d’Oise cette nuit jusqu’en milieu de matinée. (©Stock.adobe.com)

Soyez très prudents si vous devez vous déplacer dans la nuit de mardi 25 au mercredi 26 février 2020.

En effet, Météo France a placé le département du Val-d’Oise en vigilance jaune neige et verglas pour cette nuit. Les températures pourraient descendre jusqu’à 1 degré.

Températures positives

À partir de midi, mercredi 26 février 2020, le Val-d’Oise sera placé en vigilance jaune orages et vents violents.
Les températures devraient se radoucir dans la matinée pour monter jusqu’à 8 degrés dans

La neige pourrait tomber demain jusqu’à 10h du matin. Mais grâce au redoux progressif, en Île-de-France, le risque de neige s’atténue dès la fin de matinée.

[EN IMAGES]. Clap de fin pour cette 146e édition du Carnaval de Granville

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La bataille de confettis, un moment toujours très apprécié par les carnavaliers.

La bataille de confettis, un moment toujours très apprécié par les carnavaliers. Côté Manche – Vincent Giard)

Après cinq jours de festivités, la 146e édition du Carnaval de Granville (Manche) touche à sa fin.

Lire aussi : L’IMAGE. Un char Lubrizol au carnaval de Granville par « solidarité » avec les Rouennais

Malgré la météo chaotique (pluie, vent, grêle), les carnavaliers ont, comme à l’accoutumée, répondu présent

C'est le déluge. Tous aux abris !

C’est le déluge. Tous aux abris ! Côté Manche – Vincent Giard)

Une fin en apothéose

Les diablotins étaient dans la place.

Les diablotins étaient dans la place. Côté Manche – Vincent Giard)

Mardi 25 février 2020, pour ce dernier jour de fête, les chars étaient de nouveau de sortie.

Les carnavaliers ont enfilé une dernière fois le costume à l’occasion de la grande cavalcade humoristique et satirique.

Certains carnavaliers ont fait dans l'originalité, ce qui donne de superbes résultats.

Certains carnavaliers ont fait dans l’originalité. Cela donne de superbes résultats. Côté Manche – Vincent Giard)

Le départ a été donné à 13 h 30, au rond-point du Calvaire.

Un déguisement coloré.

Un déguisement coloré. Côté Manche – Vincent Giard)

Les 47 chars se sont tous retrouvés sur le port de Granville pour le jugement de sa majesté Gémof Trône 1er.

Pas de miracle pour le Bonhomme Carnaval de cette 146e édition : comme le veut la tradition, il a été exécuté dans le port devant des carnavaliers… trempés, mais heureux.

À mort ! 🔥🔥🔥

Publiée par Carnaval de Granville sur Mardi 25 février 2020

Puis, tout le monde a pris la direction du Cours Jonville pour le moment tant attendu : la grande bataille de confettis.

En guise de conclusion, la Nuit des intrigues attendait les carnavaliers pour une ultime soirée, où le principe est d’arpenter les rues, les restaurants et les bars, de frapper aux portes des particuliers. Le tout sans se faire démasquer.

En voilà un qui est prêt pour la Nuit des intrigues.

En voilà un qui est prêt pour la Nuit des intrigues. Côté Manche – Vincent Giard)

La galerie photos

Montpellier : une interpellation et 23 verbalisations au Karnaval des Gueux

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Incendies volontaires ce soir dans l'Écusson. Photo D.R.

Incendies volontaires en 2019 dans l’Écusson à Montpellier : aucun incident ce soir Photo D.R.

250 à 300 manifestants, parmi lesquels de nombreux anars connus sur la place de Montpellier, ont bravé ce mardi soir, les arrêtés d’interdiction du préfet de l’Hérault et du maire de la ville, après les violents incidents qui ont émaillé le Karnaval des Gueux, en 2018 et l’année dernière, où des policiers de la Sécurité publique avaient été blessés.

> Notre vidéo 

Dispositif en tenaille

Le dispositif des forces de l’ordre, dont des CRS et des gendarmes mobiles en renfort de la police nationale et municipale opérationnel ce soir -une forme de grande tenaille pour limiter les déplacements des participants- a été efficace.

Selon un bilan communiqué à 22h45 par la préfecture de l’Hérault, les policiers ont procédé à une interpellation d’un individu équipé de matériel interdit, dont un fumigène et de 23 manifestants verbalisés pour participation à une manifestation interdite.

Lire aussi : Montpellier : un arrêté municipal pour interdire le Karnaval des Gueux

Au Loroux-Botttereau, Leclerc construit son Drive

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La construction de cet ensemble a démarré.

La construction de cet ensemble a démarré au Loroux-Bottereau. (©Hebdo de Sèvre et Maine)

Alors que la zone commerciale de l’Aulnaie ne grandira pas à Saint-Julien-de-Concelles, à quelques centaines de mètres de là, l’enseigne Leclerc construit son Drive, sur le secteur de la Haute Landelle au Loroux-Bottereau.

Lire aussi : Extension refusée de la zone commerciale de Saint-Julien-de-Concelles : l’incroyable scénario

A défaut de pouvoir implanter un hypermarché comme le souhaitait le groupe de grande distribution, à l’issue d’une longue bataille politique entre les élus locaux qui n’a pas abouti en sa faveur, la marque avait obtenu ce compromis : l’installation d’un Drive où les clients pourront retirer leurs achats commandés sur Internet. Le service sera situé à 9 km du centre commercial de Pôle Sud à Basse-Goulaine. L’enseigne a l’habitude de gérer ce type de distance. C’est le cas à Cholet par exemple (4 km).

Terminer cet été ?

Le bâtiment est sorti de terre. Les travaux devraient durer jusqu’à l’été. Situé route de Nantes, il sera doté de huit points de retrait. Sur cet ensemble de 4 000 m2, l’enseigne prévoit de créer une station-service et de lavage, un bâtiment de contrôle technique automobile et un entrepôt composé de deux cellules. Dont pour l’instant les enseignes ne sont pas connues.

Lire aussi : A Vallet, les Gilets jaunes manifestent devant Hyper U contre le projet de la ZAC du Brochet

Bien qu’imaginé il y a 5 ans, le projet avait été freiné. D’une part par une association de riverains qui avait obligé, en raison de la présence de zones humides, Leclerc à revoir son projet. Surtout, d’autre part, le projet avait fait l’objet d’un recours devant le tribunal administratif puis devant la cour administrative d’appel. Un parcours juridique qui s’était terminé en mars 2018.

Le groupe Intermarché qui possède un magasin dans le centre-ville a été à chaque fois débouté. Il craignait « pour son affaire », avait pointé « les nuisances sur l’environnement (imperméabilisation des sols) » et « la forte augmentation du trafic routier ». Sans en apporter la preuve.


Jeu. Gagnez vos places pour le math entre le TFC et le Stade Rennais FC à Toulouse

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Gagnez vos places pour le match TFC/Stade Rennais FC, samedi 29 février 2020 à 20h, avec Actu Toulouse.

Gagnez vos places pour le match TFC/Stade Rennais FC, samedi 29 février 2020 à 20h, avec Actu Toulouse. (©Patrice Nin – Mairie de Toulouse)

Dans le cadre de la vingt-septième journée de Ligue 1 Conforama, les Violets du Toulouse Football Club reçoivent le Stade Rennais FC sur la pelouse du Stadium, samedi 29 février 2020 à 20 heures.

Des places à gagner jusqu’au 27 février à 17h00

Pour jouer et tenter de gagner vos places (2 par gagnant), complétez le formulaire ci-après avant jeudi 27 février à 17 heures. Les gagnants seront contactés par téléphone dès 17h30.

Bonne chance à tous !

Coronavirus : le département de Seine-Saint-Denis prend des mesures de précaution

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Face à l'épidémie de Coronavirus Covid-19, le département de Seine-Saint-Denis annonce des mesures de précaution.

Face à l’épidémie de Coronavirus Covid-19, le département de Seine-Saint-Denis annonce des mesures de précaution. (©Adobe Stock/Illustration)

Pas de cas de Coronavirus Covid-19 en Seine-Saint-Denis et pourtant le Département a dévoilé, mercredi 26 février 2020, des mesures de précaution.

Lire aussi : Coronavirus en Seine-Saint-Denis : des élèves interdits de piscine par précaution sanitaire

« Afin de prévenir la propagation de l’épidémie de Covid-19 (« Coronavirus »), et conformément aux préconisation formulées par
l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Île-de-France, le Département de Seine-Saint-Denis met en place des mesures à destination de ses agent.e.s et de la population« , explique le Département.

Des mesures qui sont à prendre très au sérieux selon l’institution qui souhaite que les habitants soient protégés.

Trois mesures importantes

La première mesure concerne l’affichage dans l’ensemble des établissements recevant du public des consignes de l’ARS, et notamment les crèches et centres de protection maternelle infantile (PMI).

La seconde mesure concerne le relais des consignes de l’ARS sur les réseaux de la part du Département mais aussi des communes de Seine-Saint-Denis. Et plusieurs villes ont commencé à le faire dès ce mercredi, comme ici la commune de Saint-Denis.

Enfin, la dernière mesure concerne plus précisément les agents du département. « Un message a été envoyé a tous les agents du département les invitant à signaler, à leur direction, tout séjour dans les zones à risques, via la mise en place d’une adresse mail dédiée », confie le Département.

Dans le cas d’une suspicion de contamination, il y aura une obligation de maintien à domicile des agents qui travaillent auprès de publics vulnérables. Pour les autres agents, une adaptation du poste de travail (mesures d’hygiène, limitation des contacts, des réunions, port du masque…) sera décidée.

Cherbourg : un homme arrêté à un péage puis condamné pour possession de drogues

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Les gendarmes ont retrouvé 27 kg de drogue.

Arrêté au péage de Beuzeville sur l’A13, un Cherbourgeois transportait 100 grammes de cannabis et 30 grammes de cocaïne dans sa voiture. (©Echo Sarthois/illustration)

En septembre dernier, au péage de Beuzeville dans l’Eure, sur l’A13, un Cherbourgeois de 30 ans, ouvrait sa voiture pour un contrôle douanier.

Sur le siège, il y avait un sac à dos, avec, à l’intérieur, 100 grammes de cannabis et 30 grammes de cocaïne. Le jeune homme revenait de Rouen où il s’était fourni en stupéfiants, pour lui et pour ses copains qui alimentaient régulièrement une cagnotte pour faire face à leurs besoins. C’est lui qui faisait le voyage, ses amis le dédommageant de ses frais.

Lire aussi : Violences conjugales : dans la Manche, il frotte le visage de sa compagne contre un mur et la brûle

Durant 9 mois

Les douaniers ont évidemment alerté les gendarmes. À ceux-ci, le prévenu a dit avoir fait cinq voyages entre décembre 2018 et ce jour fatidique de septembre, pour un « service » (il n’aime pas le mot « trafic ») global d’un kilo de résine et de 55 grammes de cocaïne.

Pourquoi à Rouen, voire dans le 93 et pas à Cherbourg ? C’est que la drogue y est de meilleure qualité et, faut-il le dire ? Quand on ramène du haut de gamme, on peut le couper et donc augmenter les bénéfices… Mardi 11 février, le jeune homme répondait de ses actes devant les juges.

Il n’a pas contesté le chiffre d’affaires de ces neuf mois de transport, oscillant entre 40 500 euros et 54 000 euros. Mais pour lui, il ne s’agit pas de trafic, mais d’arrangement entre copains consommateurs qui se fournissent à la débrouille.

Le procureur s’est donc senti obligé de lui rappeler la rigueur des termes : achat de produit stupéfiant, plus transport, plus cession des produits, ça s’appelle un trafic de drogue, et c’est punissable au maximum de dix années d’emprisonnement.

« Le service rendu n’est pas tout à fait du même ordre que de ramener une baguette de pain à un ami qui en manque » a commenté à son tour un magistrat qui assistait la juge qui présidait l’audience.

Lire aussi : Cherbourg : balayage, menaces, couteau… un homme trahit un « ami » en pleine rue pour le voler

En récidive

Les Douanes, elles, ont fait leur compte, et elles adressent à cet homme une ardoise de 25 250 euros.

Le problème pour le prévenu, c’est qu’il a été pris alors qu’il était sous le coup d’une mise à l’épreuve à la suite d’une précédente condamnation. Il était donc en récidive. Il devait s’attendre à être condamné à de la prison ferme : six mois, a décidé le tribunal, plus deux mois qui proviennent de la révocation du sursis précédent. Sa livraison est confisquée.

Et la juge lui a souligné qu’il devra régler aux Douanes la somme demandée : 25 250 euros.

Lire aussi : Cotentin : régulièrement ciblé, un radar fixe de nouveau vandalisé

Météo : la Gironde est placée en vigilance jaune vent violent ce jeudi

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Le département de la Gironde est placée jeudi 27 février 2020 en vigilance jaune vent violent.

Le département de la Gironde est placée jeudi 27 février 2020 en vigilance jaune vent violent. (©le Républicain – Archives)

Météo France a placé en vigilance jaune vent violent le département de la Gironde, jeudi 27 février 2020, de 8h jusqu’à 16h.

« Soyez prudents lors de vos déplacements ou activités extérieures », recommande la préfète de la Nouvelle-Aquitaine et de la Gironde.

Lire aussi : Gironde. Élections municipales à La Réole : Ce qu’il faut retenir de la rencontre entre Bruno Marty et les habitants

Météo France ajoute :

Soyez attentif si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d′un rivage ou d′un cours d′eau ; des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux sont en effet prévus  ; tenez-vous au courant de l’évolution de la situation

La carte de vigilance météorologique de Météo France du mercredi 26 février 2020 à 16h.

La carte de vigilance météorologique de Météo France du mercredi 26 février 2020 à 16h. (©Météo France)

Lire aussi : Gironde. Elections municipales à Saint-Loubert : Alain Clech présente sa liste

Voici quelques conseils de prudence de Météo France :

  • Limitez vos déplacements. Limitez votre vitesse sur route et autoroute, en particulier si vous conduisez un véhicule ou attelage sensible aux effets du vent.
  • Ne vous promenez pas en forêt [et sur le littoral].
  • En ville, soyez vigilants face aux chutes possibles d’objets divers.
  • N’intervenez pas sur les toitures et ne touchez en aucun cas à des fils électriques tombés au sol.
  • Rangez ou fixez les objets sensibles aux effets du vent ou susceptibles d’être endommagés.

 

2019, les bons chiffres de l'auto

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Lionel Foissac, nouveau président du syndicat des concessionnaires automobiles, fait le point sur le secteur.

Lionel Foissac, nouveau président du syndicat des concessionnaires automobiles, fait le point sur le secteur. (©Christophe Cozette)

Lionel Foissac, directeur général de Nippon Automoto et du Comptoir d’Importation Automobiles (soit quatre marques : Toyota, Volkswagen-Audi, Suzuki et Faw, une nouvelle marque chinoise), est depuis peu, président du SPCA, le syndicat polynésien des concessionnaires automobiles, pour un mandat deux ans, renouvelable. Il succède à Gilles Bonvarlet du groupe Sodiva, qui nous avait dressé le bilan du marché de l’automobile 2018, en début d’année dernière, une année qui avait vu la poussée des voitures chinoises et des véhicules propres. Avec 38 ans au service du marché automobile au compteur et fervent partisan d’un lieu de loisirs consacré aux véhicules, Lionel Foissac nous confirme cette tendance du secteur, pour 2019.

Combien de véhicules ont été vendus en 2019 ?

On a fait un peu mieux avec 7 600 véhicules vendus, soit environ 3 % de plus qu’en 2018. Cela reste une année confortable en revanche, il y a une répartie au niveau des marques et des modèles qui a beaucoup évolué. Autant le volume est resté similaire, autant le volume de chaque marque a évolué avec notamment les véhicules chinois. Ce n’est pas le record qui est de 8 200 véhicules vendus, en une année.

Les marques chinoises représentaient 8,3 % en 2018…

Elles sont passées à plus de 12 %. Avec des marques supplémentaires, arrivées en 2019.

Quel autre changement ?

Il y a également les véhicules dits propres qui progressent, hybrides ou électriques. On est à 13-14 % environ (11 % en 2018, NDLR), mais tout cela fait évoluer le marché dans un sens différent de celui qu’on a connu par le passé.

Les pick-up et les SUV ont toujours la cote ?

Oui, bien sûr. Le SUV compact conserve sa part de marché (23 % en 2018), celle du pick-up a tendance à diminuer légèrement, mais les bases restent les mêmes.

Votre prédécesseur, Gilles Bonvarlet, voyait, en 2019, d’un bon œil les mesures gouvernementales en faveur du marché de l’automobile. Sont-elles maintenues ?

Grâce aux mesures que le gouvernement a prises il y a maintenant trois ans, on a pu faire renaître le marché de l’automobile favorablement car nous étions dans un état assez catastrophique il y a quelques années. En effet, le gouvernement a reconduit une partie de ces mesures en l’occurrence, l’exonération de la taxe de mise en circulation pour les pick-up dans les îles, l’exonération sur les véhicules hybrides et électriques, l’exonération de la taxe d’entrée sur les véhicules de moins de 4CV. Seule la prime à l’environnement n’a pas été renouvelée. Logiquement, tout cela devrait être maintenu en 2020.

Pourrait-on imaginer de nouvelles mesures ?

Ce système a eu le mérite de rebooster le secteur de l’automobile. C’est important, cela permet de faire vivre les concessionnaires et les importateurs de façon normale, avec l’emploi que cela entraîne. Cela a permis de réembaucher. C’est un bon point. En matière automobile, on n’a pas à envier à quiconque grandchose. On a toutes les dernières technologies, on a quasiment 50 marques automobiles, c’est trop mais on les a. Il suffit juste que l’économie fonctionne et cela sera parfait.

Dans le classement 2018, on avait la Dacia Duster, numéro 1 des ventes…

En 2019, c’est Toyota qui est en tête des ventes des marques, tous modèles confondus, comme en 2018. Nous avons 300 véhicules de plus que le second Kia et en troisième position, c’est
Peugeot.

Cela vous conforte dans la gamme tout hybride de Toyota…

Exactement, la marque est numéro 1 grâce à l’apport de l’hybride.

La crise du coronavirus venue de Chine perturbe le business dans votre secteur ?

Cela peut, oui. Cela a déjà eu un impact, on a des bateaux qui venaient de Chine qui n’ont pas embarqué nos véhicules car les bateaux ne se sont plus arrêtés dans les ports chinois et de ce fait, on a déjà un mois de décalage dans nos commandes. Sur les autres marques, cela n’a pas
d’incidence pour le moment.

Parlez-nous du SPCA. Ce syndicat semble efficace et uni, n’est-ce pas ?

Le syndicat est très important pour nous, c’est un lieu où l’on peut échanger entre importateurs et où l’on essaie de gérer au mieux notre profession. On tente de trouver des compromis acceptables pour que tous les importateurs aient accès au marché de façon équitable. Quand il y a un souci ou un problème, c’est le syndicat qui peut en référer en plus haut lieu.

Vous sollicite-t-on pour des sujets annexes à l’automobile, comme la construction de routes, par exemple ?

On est quelques fois sollicité par le gouvernement pour des questions relatives à l’environnement, la circulation et à l’automobile, évidemment.

Le marché de l’emploi dans le secteur s’élève à 800-900 emplois, n’est-ce pas ?

Oui, ce sont les emplois directs, au niveau des importateurs.

Le marché de l’occasion est toujours un peu en berne ?

Le marché de l’occasion a souffert de la prime à l’environnement. Mais aujourd’hui, du fait que
cette mesure n’a pas été renouvelée, il reprend du poil de la bête. Cela va se régulariser, il va y avoir un rééquilibrage entre le neuf e t l ’ occasion qui va s’opérer.

Il y a encore beaucoup de personnes qui importent des véhicules, des États-Unis, par exemple ?
Non, c’est anecdotique. C’est compliqué d’importer une marque, d’assurer le service après-vente et il faut réussir à avoir des prix qui tiennent la route. Il n’y a pas de marché parallèle important qui nous pose souci. Il y a des résidents ou des fonctionnaires qui reviennent avec leurs véhicules, mais ce n’est pas pour faire du business.

Le salon de l’auto reste le moment fort pour les ventes ?
C’est le rendez-vous de l’automobile. Cela correspond, sur septembre-octobre, à
20 % des ventes annuelles. Le salon de Raiatea se tiendra lui, du 21 au 25 avril.

Propos recueillis par Christophe Cozette

Seine-et-Marne. La Vallée Village touchée par les conséquences du coronavirus

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A la Vallée Village, les touristes d’origine chinoise représentent 39 % de la fréquentation. (Image d'archive)

A la Vallée Village, les touristes d’origine chinoise représentent 39 % de la fréquentation. (Image d’archive) (©La Marne)

La Vallée Village, à Serris, compte 120 boutiques de grandes marques et une clientèle touristique originaire de 170 pays différents. Dont… 39 % sont originaires de grande Chine selon les chiffres recensés en 2018 par Seine-et-Marne Tourisme ! L’épidémie de coronavirus qui sévit dans le pays du Soleil Levant, impacte-t-elle la fréquentation de ce haut lieu du shopping touristique ? En 2018, la clientèle étrangère représentait en effet la moitié des ventes annuelles.

Pour l’heure, l’administration de la Vallée Village ne donne aucun chiffre et demande encore quelques semaines avant de se prononcer. Pourtant, dans les boutiques outlet du petit village, la baisse de fréquentation des touristes chinois est palpable. Chez Prada, on constate bien une baisse des effectifs : « Habituellement c’est une clientèle très présente chez nous et là, on n’en voit même plus, c’est très marqué », reconnaît le vendeur de la marque milanaise.

Lire aussi : Coronavirus en Seine-et-Marne : La piscine de Chelles victime de psychose ?

Même constat chez Burberry. La responsable explique : « Les touristes chinois représentent 90 % de nos clients ! Pour nous la baisse est très importante, elle représente trois quart de fréquentation en moins ». Dans sa boutique, ce manque se ressent depuis la fin du mois de janvier. « On va former nos vendeurs et tenter d’accompagner davantage les clients pour compenser. »

Chez la marque de bagagerie Samsonit, le constat est un peu différent : « Nous avons quand même beaucoup travaillé ces dernières semaines, il y a bien sûr une baisse des clients d’origine chinoise mais on a une augmentation d’autres nationalités », explique la responsable. « Notamment des clients qui viennent du Nord de l’Afrique et du Moyen-Orient. »

Et la Vallée Village n’est certainement pas le seul lieu touristique à constater cette diminution. Pourtant, assure Seine-et-Marne Attractivité (agence départementale de développement et de réservations touristiques), « nous ne pouvons pas considérer que l’épidémie a déjà des conséquences directes sur l’activité touristique ». Ces professionnels du tourisme reconnaissent tout de même un impact « probablement très localisé sur les sites dont la clientèle Chinoise est majoritaire ». Par exemple « sur les Châteaux de Fontainebleau et de Vaux-le-Vicomte et les destinations de shopping ».

Pour rappel, le tourisme d’origine chinoise pèse lourd au niveau national : il représentait 7 % des recettes touristiques en 2018.

Téléphonie mobile et Internet : le casse-tête des zones blanches en pays de Bray

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Plusieurs zones blanches existent encore en pays de Bray.

Plusieurs zones blanches existent encore en pays de Bray. (©Pixabay)

Passer un appel ou envoyer un sms peut relever du casse-tête en pays de Bray (Seine-Maritime). Dans ces cas-là, il encore plus difficile d’utiliser son smartphone et ses applications.

Les zones blanches sont encore fréquentes et parfois incomprises, à l’heure ou le déploiement de la fibre optique est en cours sur les différentes communes du territoire. 

Lire aussi : Le pays de Bray sera couvert par la fibre d’ici 2023

Etes-vous concerné par les zones blanches ? N’hésitez à nous faire un retour en votant !

 


1/3 Municipales à Forges-les-Eaux : Frédéric Godebout répond aux candidats

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Frédéric Godebout estime ne pas avoir pu mettre en place sa vision de Forges-les-Eaux

Frédéric Godebout estime ne pas avoir pu mettre en place sa vision de Forges-les-Eaux (©L’Eclaireur La Dépêche)

Questions de Michel Lejeune à Frédéric Godebout

Michel Lejeune : Si vous êtes élu le 22 mars, comment envisagez-vous le développement et l’avenir touristique de la commune nouvelle de Forges-les-Eaux sachant que Monsieur Pierre Turban, votre colistier, manifeste à chaque occasion son opposition au fait que Forges soit classée station de tourisme (inutile à ses yeux) ?

Frédéric Godebout : A plusieurs reprises, Pierre Turban s’est effectivement interrogé sur la nécessité du classement de notre commune comme Station de tourisme considérant les contraintes qui en découlent. Le conseil municipal ne doit-il pas être un lieu de débat et de réflexion ?

Par ailleurs, ce n’est pas un classement, ni des labels qui font l’attractivité d’une ville. Mais avant tout, la qualité de l’accueil avec, par exemple, des trottoirs, une voirie en bon état, un musée des faïences digne de ce nom, et des wc publics accessibles et bien entretenus…

Enfin, le développement touristique doit reposer sur un vrai travail en commun avec les acteurs locaux et les représentants du tourisme en Pays de Bray (ComCom, PETR).

Michel Lejeune : Si vous êtes élus, qui va diriger la mairie ? Mr Pierre Turban ? Mme Régine Sortambosc ? ou autre…?

Frédéric Godebout : Étant à la tête de la liste Ensemble, Forgeons l’Avenir, tous les Forgions et Fosséens ont bien compris qu’en cas de victoire, je dirigerai l’équipe qui administrera notre commune.

Monsieur le Maire, vous êtes-vous posé cette même question en 2001 lorsque vous avez proposé à Bernard Caillaud de vous rejoindre et aujourd’hui à Patrick Dury ?

Ceci étant, à travers votre question, vous reconnaissez que j’ai su fédérer et m’entourer de colistiers de grande qualité : je vous en remercie.

D’autre part, pour ce qui est de mes compétences que vous semblez oublier, souvenez-vous que vous m’avez accordé votre confiance en 2014 en me promouvant 1er adjoint pour vous suppléer éventuellement en cours de mandat et, au plus tard, en 2020.

Lire aussi : Municipales 2020 : Frédéric Godebout présente sa liste Ensemble forgeons l’avenir pour Forges-les-Eaux

Questions de Pascal Roger à Frédéric Godebout

Premier adjoint aux finances sortant, vous inscrivez en priorité sur votre programme « ce projet de gestion nouvelle … ». Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ne pas l’avoir mis en place au fil de vos différents mandats précédents ?

Il ne vous aura sûrement pas échappé que, lors de mes mandats précédents, je n’étais pas maire. Et que, malgré mes initiatives, je n’ai pas réussi à infléchir suffisamment la gestion de plus en plus solitaire et opaque du maire sortant.

Néanmoins, le premier rapport de la Chambre Régionale des Comptes en 2010 note : « les comptes de la commune présentent de tels désordres que les résultats affichés ne peuvent être qualifiés de sincères et véritables ».

Il convient de relever la variation importante du poste de subventions : 748 K€ à + 1 M€ entre 2003 & 2006, retour à 890 k€ en 2008. Aujourd’hui +/- 650 K€

Personnel : 68 agents en 2002, 111 en 2008, stable aujourd’hui.

La Chambre régionale des comptes observe, qu’une meilleure appréciation de la situation financière a été faite lors du budget 2009, et une diminution des charges de personnel, sous mon impulsion.

Je me suis attaché tout au long de mes mandats à vouloir appliquer cette rigueur mais on peut regretter des dérives budgétaires imposées car engagées par le maire.

Concernant ces interminables travaux de voirie dans Forges, avez-vous d’une part mesurer les conséquences pour la vie commerciale et prévu des actions en ce sens et d’autre part, avez-vous dans vos projets de réalisation tenu compte des déplacements des personnes âgées, à mobilité réduite et aux cyclistes ?

Comme chacun le sait, ces travaux d’eau et d’assainissement, et non pas de voirie, étaient indispensables. Plus de 200 branchements plomb ont été remplacés et 1,5 km de réseau changé.

Pour ce qui est de l’impact sur le commerce, j’ai pu en mesurer l’importance et toutes les conséquences au quotidien. Était-ce évitable ? Non. Était-il possible de les diminuer ?

Probablement mais il aurait fallu que le maire de Forges s’implique de façon raisonnée.

La rénovation de la voirie se fera en concertation avec les riverains et les commerçants et intégrera bien sûr le stationnement, les voies douces et l’accès pour les personnes à mobilité réduite.

Météo dans l'Hérault et le Gard : pluies le matin, soleil l'après-midi, ce jeudi

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Météo

Nuages, pluie et soleil ce jeudi (©Météo)

Les conditions météo seront dominées par l’arrivée d’une perturbation, ce jeudi matin dans l’Hérault et le Gard. Elle durera toute la journée.

Une importante couverture nuageuse engendrera des pluies, par moments conséquentes, notamment aux abords des Cévennes. Au fil des heures, en seconde partie de journée, le temps se calmera et le soleil réapparaîtra, mais les pluies continueront près des reliefs.

Vent jusqu’à 80 km/h

Le vent sera également présent sous forme de rafales, avec des bourrasques de l’ordre de 50 à 60 km/h, localement, de 70 à 80 km/h au plus près des hauteurs de l’Hérault. Ces rafales seront également présentes dans le Gard, mais uniquement dans sa partie Ouest, en limite avec l’Hérault.

Concernant les températures minimales, elles s’annoncent froides par endroits et étant donnée la nuit dégagée qui aura eu lieu, quelques petites gelées seront possibles, notamment dans les environs de Bagnols-sur-Cèze avec 2 petits degrés ou encore à Uzès avec 1°C.

Ailleurs, il fera un peu plus doux avec 5°C à Bédarieux, Clermont-l’Hérault, La Salvetat-sur-Agout et au Grau-du- Roi, 6°C à Montpellier, Frontignan et Sète.

Concernant les températures maximales, elles demeurent toujours aussi stationnaires et douces. Nous aurons par exemple 15°C à Clermont-l’Hérault, Bédarieux et au Vigan, 16°C à Nîmes, Montpellier et Béziers, 17°C à Sète. 

> Nous fêterons les Honorine

Températures minimales de ce jeudi

Températures minimales de ce jeudiTempératures maximales de ce jeudi

Municipales 2020. A Poligny, Roland Chaillon présente sa liste

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Roland Chaillon, conseiller municipal de la minorité sortante, professeur retraité a déjà une longue carrière politique à Poligny.

Roland Chaillon, conseiller municipal de la minorité sortante, professeur retraité a déjà une longue carrière politique à Poligny. (©DR)

Une liste divers-gauche préoccupée par le social et la préservation de l'environnement.

Une liste divers-gauche préoccupée par le social et la préservation de l’environnement. (©DR)

C’est fait. Roland Chaillon, professeur retraité, conseiller municipal sortant, est officiellement candidat aux élections municipales de Poligny. Il présentera une liste de gauche. Il revient sur cette candidature.

> Le différend avec Antoine Seigle-Ferrand

« Il est vrai que ça nous a titillés mais cela ne suffisait pas pour repartir comme élu pour 6 ans. Ce qui nous a motivés, c’est l’erreur qui a été commise par la liste Seigle-Ferrand : ne pas faire appel à toute une partie de la gauche polinoise ce qui ouvrait un boulevard à Dominique Bonnet. Notre candidature doit permettre un 2e tour qui aurait été illusoire si nous n’étions pas présents. L’idée, c’est d’essayer de réduire la largeur du boulevard. Mais la liste Seigle-Ferrand est légitime tout comme la nôtre qui sera divers-gauche. »

« Une liste pour gagner »

« Je n’ai pas l’intention d’être le faire-valoir de Dominique Bonnet pendant encore 6 ans. Mais il est impossible de gagner seul. A un moment ou à un autre, il faudra faire alliance avec la liste Seigle-Ferrand. »

> Les grands axes du programme

« Le premier axe sera le social et l’écologie. Nous faisons des propositions fortes pour progresser dans ces deux domaines. Il y a des projets sur la table. La chaufferie bois permettrait d’éliminer 75 % des émissions de CO2 pour le chauffage collectif, immeubles et bâtiments administratifs inclus. Elle faisait partie de nos propositions lors de l’élection de 2014. La politique sociale de la ville sera revue. Les actions du CCAS, Centre communal d’action sociale, structure paramunicipale, seront redéfinies pour lui donner plus de dynamisme et pour qu’il fasse un travail plus social. Le système d’aide aux familles pour les cantines, les séjours et les classes de découvertes seront revus. Nous aiderons également les élèves ruraux à poursuivre leurs études supérieures. Actuellement, ils ne sont 17 % de ruraux à le faire contre 34 % de citadins. On mettra en place un système de bourses très ciblées, sous condition de ressources, pour inciter les étudiants pour aller au-delà du bac. Le 3e point sera le recrutement d’un troisième agent de police pour régler les problèmes du quotidien dont les petites incivilités. On préfère avoir affaire à des humains plutôt qu’à des caméras de surveillance. Un 4e point consistera à venir en aide aux personnes isolées et qui ont des difficultés à se déplacer. Chaque fois qu’elles auront une démarche administrative à faire, un agent se déplacera à leur domicile et les aidera dans les démarches administratives. La Ville d’Avignon a mis en place ce service, il pourrait parfaitement convenir au territoire de la Communauté de communes ».

« Ces mesures, faciles à mettre en place, pourraient changer la vie », souligne Roland Chaillon.

> L’environnement est une autre priorité

« La Ville peut devenir productrice d’énergie renouvelable, on a des toitures pour le photovoltaïque et on sait très bien qu’il faut diversifier absolument les sources d’énergie. Même chose pour les déplacements doux, il faut sécuriser ces déplacements en repérant les cheminements qui peuvent être facilement fermés. Lorsque j’étais adjoint, nous avons travaillé sur un travail de fond avec un organisme lyonnais mais la Ville a perdu ce document ».

> Des projets plus aboutis

« Je suis attentif à la proposition de Dominique Bonnet concernant la construction d’une salle des fêtes/salle des sports mais ce n’est pas cohérent, le sport, c’est comme la fête ça se pratique durant le temps libre et donc souvent en partie le week-end. Si la compétence festive reste à Poligny, la compétence sportive passe à la com-com. Le maire a sans doute dans l’idée de faire payer l’équipement par la com-com. On a besoin d’une salle des fêtes moderne et d’un équipement adapté pour organiser des petits salons. En libérant l’ancienne salle des fêtes, on pourrait imaginer à la place une maison des associations avec une partie sport et l’hébergement d’associations qui n’ont pas de locaux tandis que le nouvel équipement embellirait l’entrée de ville. »

La liste de Roland Chaillon « Poligny Aujourd’hui »
Roland Chaillon, 63 ans, retraité, conseiller sortant, Catherine Wycztak, 34 ans, agent de laboratoire, Jean-François Dhôte, 52 ans, informaticien, bénévole associatif, conseiller sortant, Annie Perrier, 61 ans, professeur, ancienne conseillère, Cyril Amery, 48 ans, adjoint technique, bénévole associatif, Sylvie Barthet, 59 ans, technicienne en chimie, Nicolas Vescovi, 52 ans, professeur des écoles, ancien conseiller,  Morgane Limoges, 31 ans, conseillère principale d’éducation, bénévole associative, Thierry Dromard, 63 ans, biographe, Georgette Guillot, 65 ans retraitée, Karim Haouara, 24 ans, technicien de laboratoire, Sylvie Gy, 61 ans, retraitée, Tristan Martelet, 23 ans, ingénieur en logistique industrielle, Delphine Quinaux, 43 ans, agent d’entretien, bénévole associative, Pascal Loureiro, 44 ans, technicien méthodes, ancien conseiller, Marie-Noëlle Rigaud, 68 ans, retraitée, Emilien Berland, 24 ans, cuisinier, Béatrice Paiva Da Silva, 46 ans, magasinière, Canonur Gul, 26 ans, assistant en ressources humaines, Karine Bertrand, 40 ans, professeur, Denis Chatot, 57 ans, inspecteur pédagogique, ancien conseiller, Myriame Comtet, 54 ans, gestionnaire de payes, Olivier Bassigny, 50 ans, chauffeur livreur, ancien conseiller, Catherine Thibaut, 60 ans, vigneronne, Daniel Clerget, 60 ans, retraité, Françoise Girard, 67 ans, retraitée, bénévole associative, Dominique Fridez, 64 ans, architecte en retraite.

 

PAPARA - Un dépôt sauvage de déchets en pleine nature.

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Ces gestes d'incivisme sont punis par une amende, a rappelé l'adjoint au maire de Papara, Bernard Roure, en charge de l'environnement.

Ces gestes d’incivisme sont punis par une amende, a rappelé l’adjoint au maire de Papara, Bernard Roure, en charge de l’environnement. (©Charles Taataroa)

Une administrée de Papara a publié, dimanche dernier, sur la page de “My Beautiful Papara”, un coup de gueule pour non respect de l’environnement. En effet, ces photos montrent un tas de déchets en plastique en pleine nature. Elle explique qu’elle a fait cette découverte sur le chemin qui mène au site de Tia’mape dans la vallée de la Taharuu, au PK 39,500.

Joint par téléphone hier après-midi, Bernard Roure, adjoint au maire en charge de l’environnement, s’est dit très attristé par cette situation. Il a cependant indiqué se rendre sur les lieux pour constat et surtout retrouver le ou les auteurs. Il rappelle que cet acte d’incivisme est puni par une amende de plus de 7 000 F.

Le site de Tia’mape est géré par l’association des chasseurs de cochons sauvage de Papara. En 2003, l’association a fait aménager un refuge avec un maximum de confort, permettant de recevoir plusieurs groupes de personnes. Des comités d’entreprise, des groupes d’amis ou des associations font souvent appel aux chasseurs de Papara pour encadrer des randonnées dans cette belle vallée de Tia’mape. Ces randonnées se poursuivent même jusqu’à Papeno’o.

Manche : quatre ans après un accident tragique, les travaux avancent pour La Maison d'Emma et Lorick

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Quelques membres de l'association devant la maison à la toiture flambant neuve avec, de gauche à droite, Emma, Micheline Lecourt, Lætitia, Sylvain et Lucie, deux membres de l'association.

Quelques membres de l’association devant la maison à la toiture flambant neuve avec, de gauche à droite, Emma, Micheline Lecourt, Lætitia, Sylvain et Lucie, deux membres de l’association. (©La Presse de la Manche)

En décembre 2014, un terrible accident de la route  à Sainte-Marie-du Mont (Manche) endeuillait une famille. Cyril, jeune père de famille et Lorick son jeune fils y ont laissé la vie. Miraculeusement, sa fille Emma échappait à un destin funeste.

Ce drame a détruit en une fraction de seconde tous les projets de ce jeune couple. Sa compagne Laetitia a cependant relevé le défi de mener à bien la rénovation en cours de la maison de famille au Bout Es Loups et une association La Maison d’Emma et de Lorick a été créée en juillet 2015.

Sa présidente Micheline Lecourt, épaulée par des membres déterminés a remué ciel et terre pour collecter des fonds pour permettre la poursuite des travaux, explique : 

Grâce aux associations et aux particuliers qui nous sont venus en aide, nous avons collecté 40 000 euros, ce qui nous a permis de mettre une charpente et un toit sur la maison dans le respect du projet de Cyril. Un grand merci à tous les donateurs qui nous ont permis de financer ce chantier et un merci particulier à Hyacinthe Lefrançois qui s’est chargé bénévolement de la pose de la toiture. Cet élan de solidarité nous fait chaud au cœur. 

Tous les membres de l'association vous souhaitent une bonne année 2020 et une bonne santé ! Pour La maison d'Emma et…

Publiée par Lucie Lesseline sur Dimanche 12 janvier 2020

Lire aussi : Grâce à la solidarité des gens du Cotentin, Katia et Ludovic ont enfin pu emménager dans leur maison

Entière responsabilité du chauffeur polonais

Pour l’association, l’effort se poursuit d’autant plus que le volet judiciaire est bien loin d’être terminé :

En octobre dernier, près de quatre ans après les faits, la justice a définitivement attribué au pénal l’entière responsabilité de l’accident au camion irlandais conduit par un chauffeur polonais. Maintenant, l’affaire va passer au civil et cela peut encore prendre des années. 

Blessée par quelques rumeurs et calomnies qui ont pu circuler, Laetitia ne veut conserver en mémoire que le magnifique élan de solidarité qui va se poursuivre dès le 29 février avec le tournoi des associations de l’Entente Sportive du Plain à Picauville qui reversera une partie des bénéfices à l’association.

Lire aussi : Obsèques de Christelle : l’appel à la solidarité a fonctionné

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