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Bourse aux vêtements et aux jouets de Château-du-Loir : quels rendez-vous en 2020 ?

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L'assemblée générale s'est tenue au Centre Chevallier de Château-du-Loir.

L’assemblée générale s’est tenue au Centre Chevallier de Château-du-Loir. (©Le Petit Courrier)

L’association Bourse aux vêtements et aux jouets de Château-du-Loir, présidée par Josiane Quasimodo, a tenu son assemblée générale.

Lire aussi : Bourse aux vêtements : qui veut reprendre le flambeau à Château-du-Loir ?

Le bilan des 4 bourses de l’année 2019 affiche un très bon résultat, excepté pour la bourse de vêtements et matériels de sport, organisée lors de Destin’Asso :

« Nous resterons dans cet événement si tous les inconvénients que l’on a rencontrés sont résolus ».

Don pour l’école

L’association présente donc un excédent conséquent dans son bilan financier : « Nous ne sommes pas là pour faire du bénéfice. Nous n’allons plus faire payer les 10 % aux volontaires pour le dépôt, et on va faire un petit don à l’école du Point du Jour » qui accueille chaque année les bourses.

L’association est ensuite revenue sur les organisations des bourses pour l’année 2020 : limitation des peluches et des livres pour adulte, changement d’horaires pour les nocturnes, plus d’exigence quant aux vêtements et jouets…

Plus de 2000 vêtements vendus en 2019

La Bourse aux vêtements et aux jouets, qui compte 53 volontaires, a vendu plus de 2000 vêtements en 2019.

Pratique

Dates des bourses 2020 : Printemps du 1 mars au 9 mars, Automne du 4 octobre au 12 octobre, Jouets du 2 novembre au 11 novembre, et Destin’Asso premier week-end de septembre.


PHOTO. Granville : un superbe cliché posté sur Twitter

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En prenant de la hauteur, la ville de Granville (Manche) vous dévoile ses atouts. Avouez que ça en jette !

En prenant de la hauteur, la ville de Granville (Manche) vous dévoile ses atouts. Avouez que ça en jette ! (© Twitter – La Pastèque)

Waouh ! Cette photo postée, vendredi 24 janvier 2020, sur Twitter n’est pas passée inaperçue.

Lire aussi : Manche : si vous recherchez un déguisement pour le Carnaval de Granville, voici une solution

Un internaute – La Pastèque – a partagé un superbe cliché de la ville de Granville (Manche), avec ce commentaire : « Plus belle ville du monde ? »

Yvelines. Plaisir : les profs dénoncent « un manque de préparation » dans les nouvelles épreuves du bac

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Ce lundi matin, professeurs et lycéens ont manifesté devant le lycée Jean-Vilar à Plaisir.

Ce lundi 27 janvier, professeurs et lycéens ont manifesté devant le lycée Jean-Vilar à Plaisir. (©78actu.fr)

Opération « lycée mort » ce lundi matin à Jean-Vilar à Plaisir (Yvelines). Dès 7h30, une centaine d’élèves et de professeurs ont manifesté devant l’établissement. Tous entendaient protester contre la tenue des épreuves du contrôle continu (E3C) du baccalauréat prévues toute la semaine pour les élèves de 1ère.

La moitié des enseignants de l’établissement étaient mobilisés pour cette action.

C’est assez rare dans le lycée. Je n’avais jamais fait ça avant, reconnaît un professeur d’histoire-géographie. Mais on ne nous écoute pas autrement. »

Les grévistes dénoncent « un manque de préparation » dans l’organisation de ces nouvelles épreuves portant sur l’histoire-géographie et les langues vivantes mais aussi les mathématiques pour la filière technologique.

« Très difficile de préparer les élèves »

On n’a découvert les sujets que le 10 décembre. Certains ont été ajoutés durant les vacances de Noël. Les barèmes ont changé début janvier…, déplorent deux profs d’anglais et d’espagnol. C’est très difficile de préparer les élèves dans ces conditions. »

Les manifestants pouvaient compter sur le soutien de parents d’élèves. Laurence Fortier, présidente de l’Unaape (Union nationale des associations autonomes de parents d’élèves) de Plaisir, est venue « exprimer son inquiétude  » par rapport à la tenue de ces examens. « Les épreuves continues, je trouve cela bien sur le principe. Mais toutes les informations sont délivrées au compte-goutte et tardivement. »

Une action du même type s’est déroulée ce lundi au lycée des 7 Mares à Maurepas.

Bayonne. Blocage du lycée René Cassin, le jour des épreuves du bac pour dénoncer la réforme du lycée

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Les lycéens et les enseignants se sont mobilisés devant le lycée Renée Cassin contre la réforme du lycée.

Les lycéens et les enseignants se sont mobilisés devant le lycée Renée Cassin contre la réforme du lycée. (©Bastien Claverie / Actu Pays Basque)

Lundi 27 janvier, le lycée René Cassin a été bloqué par des élèves qui protestent contre la réforme des lycées. Ce matin, les trois épreuves du bac pour les élèves de première. Malgré le blocus et l’appel des enseignants de la grève des surveillances, les épreuves d’Anglais et d’Espagnol ont eu lieu selon le lycée René Cassin.

Lire aussi : Bayonne. Les manipulateurs radio en grève demandent la reconnaissance de leur métier

Les élèves ainsi que les enseignant  demandent d’avoir les épreuves plus tard dans l’année. Ces épreuves ne sont plus nationale et chaque établissement s’organise pour faire passer les épreuves aux élèves de première générale et technologiques.

Une grande partie des enseignants du lycée René Cassin étaient en grève, ils étaient une cinquantaine à se mobiliser lundi 27 janvier 2020. Une enseignante au lycée René Cassin, Isabelle Boin explique les raisons de cette mobilisation :

Ces épreuves arrivent beaucoup trop vite dans l’année puisque la préparation n’a pu être faite avec le temps dont nous avons besoin pour enseigner

Les lycéens et les enseignants se sont mobilisés devant le lycée Renée Cassin contre la réforme du lycée.

Les lycéens et les enseignants se sont mobilisés devant le lycée Renée Cassin contre la réforme du lycée. (©Bastien Claverie / Actu Pays Basque)

Les enseignants du second degré précisent que ces épreuves sont programmés trop tôt et demandent depuis un mois le report de celle-ci.

Les sujets sont différents, selon les établissements et les épreuves se font en un jour, deux jours ou trois jours selon les lycées

Selon l’enseignante, la réforme est aussi en convergence avec la réforme des retraites.

Ces deux réformes ont pour objectif d’anéantir de démolir le statut des enseignants

Toutes les entrées du lycée Renée Cassin étaient bloqués par les elèves.

Toutes les entrées du lycée Renée Cassin étaient bloqués par les elèves. (©Bastien Claverie / Actu Pays Basque)

Les syndicats : CGT, FO, DSU et solidaires ainsi que des gilets jaunes sont venus les rejoindre pour montrer leur solidarité avec le mouvement de grève.

De nouvelles actions sont prévues dans d’autres établissements au Pays basque.

Fermée après des dégradations, la chapelle du XVIIe de nouveau ouverte au public, près de Fougères

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La chapelle Sainte Anne de la Bosserie (Romagné).

La chapelle Sainte Anne de la Bosserie (Romagné). (©Chronique républicaine)

La chapelle Sainte Anne de la Bosserie, à Romagné, vient de rouvrir après trois semaines de fermeture, consécutives à des dégâts causés par des visiteurs le 31 décembre dernier.

Dans l’après-midi de ce dernier jour de l’année, une ou plusieurs personnes oavaient pénétré dans la chapelle pour y dérober de l’argent (dans le tronc) et pour y rechercher des objets précieux.

Des dégâts avaient été causés à du mobilier se trouvant dans cette chapelle édifiée au début du XVIIe siècle. Préjudice estimé : 1600 €.

Une enquête a été entamée par la gendarmerie.

Ouverte tous les jours

L’association des Amis de Sainte Anne de la Bosserie a rouvert l’édifice en fin de semaine dernière. La chapelle est en effet ouverte chaque jour, « du lever du jour à la nuit grâce à nos bénévoles » précise son président, Nicolas Garel : « Les Amis de Sainte Anne remercient toutes les personnes qui ont compati à ce triste événement et remercie les bénévoles qui ont contribué à sa réouverturet.

La chapelle est située entre Fougères et Romagné, au bord de l’ancienne RN 12.

Chaque année, fin juillet, elle sert de cadre à un pardon suivi par des milliers de fidèles.

Lire aussi : Fougères : une voiture en feu avenue de la Verrerie

Trois titres par équipe pour l'ACRLP au championnat de Bretagne de cross-country

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Après avoir été sacrées championnes du Morbiohan il y a quinzae jours, les juniors filles de l'ACRLp ont remis ça à Quimper en remportant le titre régional par équipe.

Après avoir été sacrées championnes du Morbihan il y a quinze jours, les juniors filles de l’ACRLP ont remis ça à Quimper en remportant le titre régional par équipe. (©La Gazette du Centre Morbihan)

Le collectif, la cohésion, l’esprit « club », c’est la force de l’ACRLP qui revient des championnats de Bretagne de cross-country avec trois titres régionaux par équipe et une médaillée de bonze en individuel.

Maïwenn Pellé, 3e

A Quimper, sur un terrain boueux, ce sont les cadettes qui ont donné l’impulsion, en montant sur la plus haute marche du podium par équipe (six athlètes mais sont pris en compte les quatre meilleurs résultats). Devant, s’il vous plaît, des clubs « gros calibre » que sont le Haute Bretagne Athlétisme (Rennes) et le Quimper Athlétisme.

Lire aussi : Cross-country. 8 titres départementaux pour l’ACRLP qui brille sur ses terres

Et avec comme chef de file une excellente Maïwenn Pellé, déjà sacrée championne du Morbihan, quinze jours plus tôt à Pontivy. En forme, la protégée de Rémi Le Yaouanq s’adjuge, sur ce parcours rendu boueux par la pluie, la médaille de bronze, derrière Lisa Guéganton (Le Soufle des Abers) et Enora Toupin (Stade Rennais).

Derrière, le reste de l’équipe a fait le « job » avec Romane Le Bihan (19e), Angèle Garaud (30e) et Noémie Gautier (34e).

Revoilà les masters !

Le sacre aussi pour les juniors filles de l’ACRLP qui réalisent surtout un beau tir groupé en plaçant trois de ses athlètes dans les quinze premières. Et en surprenant des clubs comme l’Athlé Pays de Vannes (2e) et le Stade Rennais (3e).

Elisa Gastineau (9e), Marine Le Dour (11e), Typhaine Le Gal (14e) et Lisa Lesiourd (44e) offrent le titre au club, elles qui avaient déjà été sacrées championnes du Morbihan à Pontivy.

Lire aussi : Cross-country. 8 titres départementaux pour l’ACRLP qui brille sur ses terres

Enfin, ils l’ont fait ! Les masters hommes qui avaient perdu leur titre l’an dernier pour un tout petit point, ont réussi l’exploit de le récupérer ! En l’emportant par équipe devant le Quimper Athlétisme et le CIMA. Il faut dire que les quatre représentants Acrlpistes sont classés dans les 25 premiers de la course : Jacques Emeraud (9e), Thierry Collet (16e), Lodovic Josse (19e) et Fabriche Chérel (23e). 

Il y aura donc encore une belle délégation d’Acrlpistes à se déplacer à la prochaine étape : les demi-finales du championnat de France (interrégionaux) qui auront lieu à Carnac le 16 février.

Seine-et-Marne. Villeneuve-le-Comte : il pousse la voiture dans laquelle se trouvait son ex dans le fossé

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Il a poursuivi la voiture dans la quelle se trouvait son ex, avant de la pousser dans le fossé.

Il a poursuivi la voiture dans la quelle se trouvait son ex, avant de la pousser dans le fossé. (©Illustration)

Le mardi 21 janvier vers 00h30, les gendarmes de Rozay-en-Brie sont intervenus à Villeneuve-le-Comte pour des violences au sein d’un couple.

La victime, âgée de 20 ans, est sortie au restaurant avec des amis. Son ex-copain, avec lequel elle est restée trois ans en couple, apprend la nouvelle et tente de la retrouver en voiture.

C’est à Villeneuve-le-Comte qu’il arrive à la retrouver et suit d’abord le véhicule, dans lequel se trouve la victime.

Il va le doubler et le percute ensuite l’avant de la voiture et le pousse dans le fossé.

La jeune femme sort de la voiture pour s’expliquer avec son ex-compagnon, mais il la gifle à deux reprises et l’insulte.

Il est placé en garde à vue puis déferré au TJ de Meaux.

Le jeune homme est jugé en comparution immédiate pour les faits de violence aggravée par deux circonstances, suivie d’une ITT de mois de 8 jours, en état de récidive légale.

Il est condamné à 5 mois de prison ferme.

Yvelines. [Vidéo] Réforme des retraites : les avocats plaident leur cause par le silence

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Ce lundi 27 janvier, les avocats des Yvelines ont manifesté par le silence lors de l'audience solennelle de rentrée au palais de justice de Versailles (Yvelines).

Ce lundi 27 janvier, les avocats des Yvelines ont manifesté par le silence lors de l’audience solennelle de rentrée au palais de justice de Versailles (Yvelines). (©78actu)

[Vidéo] La colère des avocats du barreau de Versailles (Yvelines) n’a pas perdu en intensité. Ce lundi 27 janvier, les robes noires ont une nouvelle fois occupé le terrain pour protester contre la réforme des retraites. Ils enchaînent les actions depuis le 6 janvier dernier : flash-mob dans la rue, saut en parachute

Lire aussi : Yvelines. Réforme des retraites : les avocats de Versailles entrent dans la partie

Cette fois, les avocats ont plaidé pour leur cause en usant d’un silence quasi religieux, presque assourdissant. Le tout a un moment clé de la vie du palais de justice, celle de l’audience solennelle de rentrée.

Une haie silencieuse

Cette audience se déroule chaque année, au mois de janvier. Elle obligatoire, d’un point de vue légal. Son but est de dresser l’activité du palais de justice, de présenter les nouveaux et les nouveautés. Elle rassemble large : élus, commissaires de police, directeur de la police, procureure de la République accompagnée de ses substituts, président du tribunal, juges, greffiers, représentants de la gendarmerie.

Et des invités de marque, comme Gérard Larcher, le président du Sénat, pour cette année 2020.

Les avocats de Versailles ont donc décidé de marquer le coup, sobrement mais avec efficacité. Du hall d’accueil jusqu’à l’entrée de l’ancienne salle des assises, au premier étage, ils ont formé une grande haie. Pas d’honneur, mais de silence.

Le rabat blanc (porté au niveau du col : Ndlr) avait été remplacé par un rabat rouge. Certains portaient une corde autour du cou, d’autres des ballons gonflés à l’hélium. Tous arboraient une pancarte mentionnant le nom d’un barreau de France, titrant « En colère », « En grève » ou « SOS retraite ».

« Nous sommes là, inquiets »

« Notre idée est bien de marquer les esprits sans générer de nuisances particulières et surtout sans troubler cette audience solennelle de rentrée. Nous sommes là, inquiets, mécontents, en grève. Nous le montrons par notre silence », résume l’un des manifestants.

L’occasion pour le bâtonnier, Frédéric Champagne, de redire la détermination de la profession à ne rien lâcher. Elle veut défendre son régime autonome « qui fonctionne très bien. Ce matin, nous avons donc voté une quatrième semaine de grève, qui courra jusqu’au lundi 3 février. »

Déjà 436 affaires renvoyées

Elle conservera sa forme, à savoir l’absence de désignation d’un ou plusieurs avocats de permanence, pour défendre les prévenus ou les victimes. Rien que pour les deux premières semaines, cela a provoqué « le renvoi de 436 affaires. Je crains que le temps perdu ne se rattrape guère », a estimé Christophe Mackowiak, le président du tribunal de Versailles.

À sa suite, la procureure de la République a déclaré comprendre les inquiétudes de la profession

« Ces combats sont les vôtres en ces lieux que nous partageons […] Mais je ne peux que m’attrister d’une juridiction qui juge moins, avec des justiciables qui attendent », a poursuivi Maryvonne Caillibotte.

À tous les étages du palais de justice, on redoute la poursuite de ce mouvement défini dès le départ comme « durable et dur » par les barreaux français. Car son effet va se ressentir dans le temps. Les affaires qui sont, pour la très grande majorité, renvoyées devront être jugées un jour. Ce qui va considérablement allonger la durée des audiences et contraindre à réorganiser la vie des chambres correctionnelles. Le tout avec des moyens qui reste toujours assez limités, humainement parlant. On a toujours évoqué la justice comme étant la cinquième roue du carrosse.


Job d'été à la plage : une association forme des maîtres-nageurs sauveteurs à Bordeaux

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Des formations sont organisées à Bordeaux pour décrocher le BNSSA.

Des formations sont organisées à Bordeaux pour décrocher le BNSSA. (©pixabay)

L’Association APNES organise des sessions en Gironde pour obtenir des diplômes de surveillance de baignade, de sécurité et de sauvetage ou toutes sortes de formations en secourisme (gestes qui sauvent, premiers secours, préventions et secours…). 

Lire aussi : Les métiers de l’été : ils sont saisonniers dans un camping naturiste

En complément, il est possible aussi de passer son permis bateau, jet-ski ou de se perfectionner pour le sauvetage en mer. Certaines formations peuvent être passées à partir de 11 ans. 

95 % de réussite

Créé en 1994, le taux de réussite des examens est de 95 %.  Si toutes les formations sont différentes, certaines d’entre elles sont indispensables en période estivale. 

Les dates clés :
Surveillant de baignade :  Vacances de Pâques : du 20 au 25 Avril 2020.
En mai et juin : du samedi 9 mai au 13 Juin 2020. 
BNSSA : 
Du 11 janvier au 15 février, tous les samedis en début d’après-midi. 
Formation de groupes scolaires du 22 février au 7 mars. 
Stage de révision du 3 au 6 mars 2020. 

Par exemple, le titulaire du BNSSA (brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique) peut surveiller une plage, un lac ou une piscine d’accès gratuit (camping, municipalité, centres de vacances…).

Mérignac, Talence, Pessac…

« Nos formations de sauvetage aquatique (BSB et BNSSA) se déroulent principalement sur les piscines de la métropole de Bordeaux : Mérignac, Villenave d’Ornon, Pessac et Talence », déclare Alain Fourcade, président de l’association. 

Site internet : www.apnes.fr
Contact : Alain Fourcade : 06.12.76.85.50

Reconnu coupable d'avoir écrit un "faux mail", le maire de Ouistreham condamné à 5000 € d'amende en appel

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En discussion avec son avocat Me Ludovic Binello, le maire de Ouistreham (Calvados), Romain Bail se réserve le droit de se pourvoir en cassation après la décision de la cour d'appel de Caen, lundi 27 janvier 2020.

En discussion avec son avocat Me Ludovic Binello, le maire de Ouistreham (Calvados), Romain Bail se réserve le droit de se pourvoir en cassation après la décision de la cour d’appel de Caen, lundi 27 janvier 2020.

Romain Bail, le maire de Ouistreham (Calvados) présentait un sourire radieux, lundi 27 janvier 2020, à la sortie de la salle d’audience de la cour d’appel de Caen. Les juges venaient de rendre leur arrêt dans l’affaire dite du « faux mail », dans laquelle il avait été condamné en première instance à un an de prison avec sursis pour « faux et usage de faux ».

Lire aussi : Faux et usage de faux : le maire de Ouistreham Romain Bail condamné à 12 mois de prison avec sursis

Culpabilité confirmée, peine infirmée

Cette fois, les juges ont considérablement réduit la peine, alors que le ministère public avait requis la même sanction, lors du procès en appel, le 21 octobre 2019. Romain Bail a été condamné à payer une amende de 5000 €. Toutefois, comme l’a rappelé le président de la cour d’appel, la culpabilité du premier magistrat de la station balnéaire de la côte de Nacre a bien été confirmée. 

Romain Bail, dans un communiqué, a rappelé qu’il estimait que « l’enquête de gendarmerie (était) très lacunaire) et (avait) été menée à charge uniquement ».

Pour rappel, il était reproché à Romain Bail d’avoir écrit lui-même un « faux mail », sensé émaner du Normandy Mémorial Trust (NMT), et promettant d’apporter la contribution du NMT au projet ouistrehamais, à hauteur de 2,5 millions de Livres.

Il lance la campagne électorale à la sortie du tribunal

À quelques semaines des élections municipales, le candidat à sa propre succession a donc accueilli cette décision avec une « grande satisfaction » :

Je souhaite poursuivre mon travail et continuerai d’œuvrer dans l’intérêt des Ouistrehamais, comme je le fais depuis le début de mon mandat.

De quoi animer la campagne électorale, dès ce lundi 27 janvier 2020, date du dernier conseil municipal de la mandature.

En vidéo, la réaction de Romain Bail à la sortie de l’audience de la cour d’appel de Caen (Calvados).

Toulouse. Disney-sur-Glace, Dani Lary et gospel : notre sélection de sorties de la semaine

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Le spectacle de Disney-sur-glace, au Zénith, sera la grande attraction toulousaine, du 31 janvier au 5 février 2020.

Le spectacle de Disney-sur-glace, au Zénith, sera la grande attraction toulousaine, du 31 janvier au 5 février 2020. (©Disney-sur-glace)

Voici notre sélection de sorties à faire à Toulouse et dans la métropole du jeudi 30 janvier au mercredi 5 février 2020.

Disney-sur-Glace au Zénith

Le phénomène Disney-sur-Glace débarque au Zénith avec son nouveau spectacle, « La magie éternelle ». Vous passerez un bon moment en compagnie de Disney, Némo, Aladdin, la Reine des Neiges ou encore les héros de Toy Story. C’est le spectacle familial incontournable de cet hiver à Toulouse !

Du vendredi 31 janvier au jeudi 6 février 2020, au Zénith. 11, avenue Raymond Badiou.
Tarifs : de 25,50 à 54 euros.
Infos et réservations sur zenith-toulousemetropole.com

Dani Lary au Casino

Dani Lary, le magicien de la démesure et référence planétaire dans son domaine, se fait maître des horloges pour ce nouveau spectacle. Avec « Tic-Tac », il passe en revue 40 ans de magie avec du mentalisme, du close-up, de l’illusion, de la démesure et de la poésie.

Dimanche 2 février 2020 au casino, à 15 h. 18, chemin de la loge.
Tarif : à partir de 35 euros

Du Feydeau au centre-ville

Le Collectif des Bâtards dorés met en scène, au ThéâtredelaCité, « Cent millions qui tombent », pièce de Georges Feydeau qui a la particularité d’avoir été inachevée. Dans le salon de Paulette, se succèdent valets, amants et maris. Dans ce boulevard hystérique, les personnages s’agitent. Jusqu’à ce que la machine se dérègle…

Jeudi 30 et vendredi 31 janvier 2020, à 20 h au ThéâtredelaCité. 1, rue Pierre Baudis.
Tarifs : de 13 à 30 euros

Spectacle Jeune public à l’Aria

La salle de Cornebarrieu (Haute-Garonne), à l’ouest de Toulouse, propose « Abuela », un spectacle pour les plus de 5 ans qui met en scène une légende de la Bolivie, et évoque la question de la pluie et de la gestion de l’eau.

Mercredi 5 février 2020 à 16 h, à l’Aria de Cornebarrieu. Rue du 11 novembre 1918.
Tarifs : de 5 à 8 euros
Plus d’infos sur cornebarrieu.fr

Live Heart Gospel à Balma

Loïc Geffray et le One Heart Gospel proposent leur nouveau spectacle alternant les standards du gospel et les adaptations de chansons venant d’autres univers. Un spectacle pour la bonne cause puisque la recette sera reversée pour la lutte contre la mucoviscidose.

Vendredi 31 janvier 2020 à L’Odyssée, à Balma (Haute-Garonne), à 21h. 14, place de la Libération.
Tarifs : de 12 à 15 euros

Danse à Odyssud

La Cie Tie Break (avec des danseurs issus du groupe Pockemon Crew) présente son spectacle « Lobby », avec une plongée dans l’univers des grands hôtels (room service, réceptionniste, le quotidien dans les chambres et les ascenseurs…). Un rythme effréné pour un show explosif… et sur la musique de Nina Simone !

Vendredi 31 janvier 2020 à Odyssud Blagnac (Haute-Garonne), à 20 h 30. Samedi 1er février à 15 h et 20 h 30 et dimanche 2 février à 15 h.

Un jeune talent de l’humour à la Comédie

Avocha, étudiant à l’Insa, est l’une des révélations 2019 de l’humour et du stand up à Toulouse. Il jouera son spectacle « Avant le chaos 3.0 » à la Comédie de Toulouse. Il parle de la planète qu’il faut sauver, de la famille qui est sacrée, de la sexualité et de ses insoupçonnables découvertes…

Vendredi 31 janvier 2020 à 20 h 30. 16, rue Saint-Germier.
Plus d’infos sur lacomediedetoulouse.com
Tarif unique de 15 euros

Lire aussi : Toulouse : entre stand up et humour noir, ces humoristes sont (peut-être) les stars de demain

Shakespeare à Saint-Orens

La Cie de l’Esquisse « s’attaque » au « Songe d’une nuit d’été » de William Shakespeare avec une libre adaptation de chef-d’œuvre. Entre fugue d’amoureux, dispute entre roi et reine des fées et vagabond nocturne maladroit… Le réel et l’imaginaire s’affrontent jusqu’à se confondre.

Samedi 1er février 2020 à Altigone Saint-Orens (Haute-Garonne), à 21 h. Place Jean Bellières.
Tarifs : de 8 à 18 euros
Infos et réservations sur le site d’Altigone

Une entreprise de produits d'équipements industriels à Château-Gontier investit dans un centre de contrôle

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Laurent Lairy, P-dg de Protecthoms à Château-Gontier (Mayenne) a inauguré son centre de contrôle et de maintenance des EPI de classe 3.

Laurent Lairy, P-dg de Protecthoms à Château-Gontier (Mayenne) a inauguré son centre de contrôle et de maintenance des EPI de classe 3. (©Haut Anjou)

Basée dans la zone industrielle ouest, Protecthoms, le spécialiste des EPI (équipements de protection individuelle et vêtements professionnels) à Château-Gontier (Mayenne) a inauguré son centre de contrôle et de maintenance des EPI classe 3 (à risque mortel) vendredi 17 janvier 2020.

Les fournisseurs, les prospects commerciaux ont visité, vendredi 17 janvier, le centre de contrôle et de maintenance des EPI classe 3 chez Protecthoms, premier distributeur français d’équipements de protection individuelle.

Depuis juin 2018, le centre est opérationnel. Il s’est accompagné de deux embauches, celles d’un responsable technique et SAV (service après-vente) et d’un technicien de contrôle.

Laurent Lairy, P.-dg de Protecthoms déclare :

Nos produits sont validés par la Carsat  (caisse d’assurance retraite) et l’INRS (une référence dans les domaines de la santé au travail et de la prévention des risques professionnels).  

Le centre a coûté à l’entreprise  Protect’Homs 150 000 €. Il permet de contrôler en interne les EPI de classe 3, « c’est-à-dire des équipements qui présentent des risques mortels », indique Laurent Lairy.

Lire aussi : Loi Travail : Pour Laurent Lairy « cela va dans le bon sens »

Que sont les EPI classe 3 ?

Dans cette classification des produits à risque mortel, figurent par exemple des produits tels que les harnais de sécurité, les gilets de sauvetage automatiques, les appareils respiratoires ventilés, les défibrillateurs, les détecteurs de gaz…

Laurent Lairy :

Nous avons ainsi trois familles : les produits de classe 3 anti-chute, respiratoires et de flottaison.  Ils sont contrôlés une fois par an, et évidemment avant chaque utilisation. 

Anthony, le responsable technique et SAV explique :

Pour un harnais, le contrôle est visuel. On vérifie les points de couture. Pour tout ce qui est tissu, le produit a une durée de vie de dix ans. Pour les produits en métal, c’est à vie. Toute anomalie détectée entraîne la réforme du produit. 

L’expérience de Protecthoms dans le domaine des EPI (équipements de protection individuelle) est déjà longue de 27 ans. Fort de 23 000 références, le groupe possède treize sites. Il fournit des produits pour la protection, l’hygiène et la sécurité des personnes sur leur lieu de travail, soit plus de 12 000 clients.

Lire aussi : Protect’Homs : santé, hygiène, sécurité au travail

Le chiffre d’affaires de Protecthoms avoisine les 40 M€. L’entreprise a racheté une entreprise textile du nord de la France pour fabriquer des vêtements de travail et les livrer en circuit-court. A Château-Gontier, Protecthoms s’étend sur 9 000 m2 dans la zone industrielle ouest de Bazouges à Château-Gontier-sur-Mayenne, et emploie sur ce site 90 salariés.

Vie quotidienne : pour les seniors, pensez à la téléassistance

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télé (©(©Illustration Fotolia / Actu.fr))

Notre partenaire l’UFC Que Choisir donne ses conseils en matière de vie quotidienne. Cette semaine, pour les séniors, pensez à la téléassistance

Selon vous, technologie et troisième âge ne font pas bon ménage ? Détrompez-vous ! Certains produits hi-tech s’avèrent très utiles pour les personnes âgées et leurs proches ! Nous vous faisons découvrir la téléassistance.

Le téléopérateur évalue l’urgence de la situation

La téléassistance est un système qui permet à une personne âgée de prévenir instantanément un téléopérateur en cas d’urgence et en cas de chute notamment.

Un médaillon placé autour du cou de la personne ou une montre portée au poignet permettent de déclencher une alarme 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Une fois l’alarme déclenchée, la personne peut communiquer avec le téléopérateur via des haut-parleurs installés dans le logement.

Lire aussi : Vie quotidienne : le passage piéton et le non-respect de la zone tampon

Le téléopérateur évalue l’urgence de la situation. Si le problème n’est pas grave, il contacte un proche susceptible de se rendre rapidement chez la personne, un voisin par exemple, pour s’assurer que tout va bien. Si en revanche la personne est en danger, il contacte immédiatement les secours.

Pour disposer de la téléassistance, vous pouvez souscrire un abonnement auprès de structures associatives, de sociétés privées, ou vous adresser à vos collectivités. Par ailleurs, contactez votre point d’information local ou votre mairie pour savoir si vous pouvez bénéficier d’aides. Pour trouver les coordonnées de votre point d’information local, rendez-vous sur le site : pour-les-personnes-agees.gouv.fr.

De plus, le coût de la téléassistance peut être pris en charge au titre de l’Allocation personnalisée d’autonomie et permet de bénéficier d’un avantage fiscal de 50 % pour les personnes imposables ou non. Et enfin les mairies, les caisses de retraites et les mutuelles peuvent participer, sous certaines conditions, aux frais d’installation et aux frais d’abonnement.

Lire aussi : Vie quotidienne : que faire si votre logement est indécent

Infos pratiques
UFC Que choisir. Permanence à Fougères tous les jeudis (saufs fériés) de 14 h 30 à 18 h 30 aux Urbanistes et le 1er et 3e mercredi de chaque mois de 10 h à 12 h aux Ateliers. Renseignements : www.ufcquechoisir-rennes.org (rubrique : permanence Fougères) ou 02 23 51 41 57.

Saint-Malo, le mardi de 17h à 19h30, et le jeudi de 10h à 12h. 8 E av. de Moka. Tel : 02 99 56 80 47

A Vitré, les 1er et 3e jeudis de chaque mois de 9h à 12h au centre social, 27 rue Notre-Dame.   

Plus de renseignements ici

Elections municipales 2020. Valérie Tonin lance sa campagne à Barbaste

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Valérie Tonin mène la liste

Valérie Tonin mène la liste (©Le Républicain)

Valérie Tonin est une enfant du pays. « J’aime profondément Barbaste, ce village où j’ai grandi, où je me suis mariée, où mes enfants sont nés. C’est ce village qui m’a construit. J’ai intégré l’école municipale en 1979 où j’ai suivi toute ma scolarité jusqu’au collège de Lavardac ».

Toujours fortement engagée dans la vie locale à travers l’amicale laïque, le comité des fêtes, les parents d’élèves, le club de tennis et encore aujourd’hui élue au conseil municipal.

Servir Barbaste

Conseillère municipale à Barbaste, voilà 5 ans que Valérie Tonin siège au conseil départemental, vice-présidente de la commission des politiques éducatives en charge de l’enseignement supérieur auprès de Nicolas Lacombe.

Mode de gouvernance participative

Depuis le mois d’avril 2019, Valérie Tonin travaille sur sa liste, elle a pris le temps de rencontrer, d’échanger et elle a choisi des personnes avec qui elle souhaitait collaborer.

Même si elle s’inscrit dans la continuité des actions menées en 2020, Valérie Tonin souhaite, pour son mandat, impliquer les barbastais. « La liste Barbaste ensemble est constituée de 19 colistiers, 9 de l’ancienne liste et 10 nouveaux. Je souhaite développer un mode de gouvernance participative afin que les barbastais puissent participer aux grands projets. »

Un autre dossier lui tient à cœur « Je veux donner une grande place aux enfants, aux écoles et aux parents. Un coup de pouce financier sera attribué aux familles qui utilisent les transports scolaires. »

Contre la fusion

Le dossier concernant la fusion Barbaste-Lavardac avait fait grand bruit l’an passé. Valérie Tonin tient à préciser, une nouvelle fois, qu’au sein du conseil municipal, elle était contre ce projet de fusion. « J’ai étudié ce dossier mais je ne l’ai pas soutenu. Je suis opposée à cette fusion, de bonnes relations de voisinage valent mieux qu’un mariage forcé ! »

Duel de femmes. Dans la course à la mairie de Barbaste, Valérie Tonin sera opposée à Bernadette Jayles qui a annoncé sa candidature cette semaine. Conseillère municipale depuis 1989, Bernadette Jayles se présente aux municipales de 2008 et remporte la mairie, elle est battue en 2014 par la liste menée par Jacques Llonch et se retrouve dans l’opposition. Elle conduira donc une nouvelle liste en mars prochain, un beau duel de dames en perspective !

 

Christelle Lapeyre

André Gautier, maire de Lapenty, veut briguer un second mandat

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Lors de la cérémonie des vœux, André Gautier, le maire a annoncé officiellement qu'il se représentait.

Lors de la cérémonie des vœux, André Gautier, le maire a annoncé officiellement qu’il se représentait. (©La Gazette de la Manche)

La cérémonie des vœux qui s’est tenue vendredi 17 janvier 2020 a attiré les administrés, venus en nombre, à la salle polyvalente de Lapenty, près de Saint-Hilaire-du-Harcouët (Manche). Le maire a dressé la rétrospective de l’année écoulée.

Au niveau de l’état civil, la commune a enregistré cinq naissances, deux mariages et un décès. Parmi les importants projets, figurait la réfection du bourg. « C’est globalement une réussite puisque je n’ai, à mon niveau, que de bons échos. »

La fibre presque installée

La réfection de trois chemins a été effectuée pour un coût de 64 000 € TTC. Côté fibre optique, la commune est pratiquement raccordée, sauf la route de Milly. Le maire rappelle aux exploitants qui ont des arbres près des lignes de les élaguer. L’opération argent de poche « est une affaire qui marche bien », souligne le maire.

Le prochain chantier se tiendra pendant les vacances de février. La commune a constaté une diminution de nids de frelons asiatiques détruits. Pour rappel 15, en 2018 et huit, en 2019. « Mais il faut rester vigilants. »

Concernant les élections municipales, André Gautier n’a pas tergiversé. « 2020 est comme on dit une année électorale et je vous annonce officiellement ce soir qu’après mûre réflexion, je vais me représenter au suffrage universel avec une bonne partie de l’équipe », a-t-il annoncé.

Des factures à payer

« Nous avons un joli bourg mais pour le moment, nous n’avons payé que les travaux des marches de l’église ! En effet avec notre système de maîtrise d’ouvrage déléguée, c’est le département qui a payé le reste pour le moment. Mais rassurez-vous, nous sommes dans le budget prévu, soit 250 000 € TTC dont 115 000 € de subventions. »

Des plaques supplémentaires sur les poteaux de village seront posées pour indiquer les numéros de boîtes aux lettres pour celles qui ne sont pas apparentes de la route. Concernant le réaménagement du bout de l’étang, tout est à reprendre car le paysagiste n’a jamais répondu à la demande de devis. Des finitions sont à faire dans le bourg : pose de panneaux de rues, plantations dans les nouveaux espaces et implantation d’un radar pédagogique.

À la fin de son allocution, le maire a remercié tous les présidents d’associations, l’équipe paroissiale, tous les bénévoles qui se dévouent pour la fête et les illuminations de fin d’année.

« C’est grâce aux efforts des bénévoles que notre village garde son âme et il faut que cela perdure », a conclu le maire, André Gautier.


La "nouvelle" grenade lacrymogène GM2L est produite en Sarthe par Alsetex

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Le 10 janvier 2020, des manifestants du collectif anti-répression avait manifesté devant l'usine Alsetex de Précigné.

Le 10 janvier 2020, des manifestants du collectif anti-répression avait manifesté devant l’usine Alsetex de Précigné. (©Les Nouvelles de Sablé)

Dimanche 26 janvier 2020, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé le retrait immédiat d’une grenade lacrymogène (Gli F4).
Utilisée par les forces de l’ordre lors de manifestations, ce modèle controversé est à l’origine de graves blessures.

Invité sur le plateau de l’émission « Dimanche en politique » sur France 3, le ministre s’est expliqué.

L’annonce de Christophe Castaner fait-elle figure de nouveauté ? Pas vraiment…

Pourquoi Alsetex a remplacé ce modèle

En effet, depuis 2014, la société Alsetex, installée à Précigné (Sarthe) ne produit plus ce type de grenade, remplacé depuis par un autre (GM2L).

En 2014, un accident avait causé la mort d’une salariée de l’usine. L’entreprise a été récemment mise en examen dans cette affaire.

La même année, sur le site du barrage de Sivens (Tarn), un homme, Rémi Fraisse, avait été tué par une grenade offensive, ce qui a entraîné son interdiction.

C’est l’une des raisons qui a poussé Alsetex à ne plus produire ce modèle. D’autre part, contrairement à la GM2L « la Gli-F4 n’est pas exportable », indique un document de la société Alsetex. « Le seul client est le ministère de l’Intérieur français. »

De plus la Gli-F4 comportait des « obsolescences d’approvisionnement » ; des défauts de fabrication qui ont définitivement poussé l’entreprise à en stopper la production.
Dès 2018, la GM2L a commencé à la remplacer.

Quelles différences entre les deux modèles ?

Considérée comme « une arme de guerre », la grenade Gli-F4 comporte un explosif. Sa remplaçante, la GM2L (grenade modulaire 2 effets lacrymogène) contient une « composition pyrotechnique », selon le catalogue d’Alsetex.

Le calibre (56 mm), l’effet sonore (160 dB à 10 mètres) restent identiques. La GM2L existe aussi en version 40 mm.

Lire aussi : VIDEO. Sarthe : manifestation devant l’usine Alsetex fabriquant les LBD

Le fonctionnement est similaire : la grenade est composée d’un corps en plastique. À l’intérieur : un « effet sonore » (explosif pour la GLi-F4, pyrotechnique pour la GM2L) et une poudre lacrymogène : cet ingrédient est plus présent dans la 2e version (15 g au lieu de 10 g) mais présente une « moins grande dégradation » selon le fabriquant du fait de l’absence d’explosif.

La Gli-F4 a été mise en cause dans des cas de mutilations. La GM2L est donc plus identifiable : la cartouche est de couleur rouge orangé, et munie d’un logo interdisant de la ramasser.

Elections municipales à Dol-de-Bretagne : Denis Rapinel présente sa liste Dol avec vous

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La liste « Dol avec vous » menée par le maire sortant Denis Rapinel. De gauche à droite, au premier rang: Florence Rouyez, Jérôme Dolbois, Isabelle Quemener, Cyril Doudard, Charlotte Gregoire, Denis Rapinel, Maguaëna Mauduit, Catherine Prunier, Arthur Da Silva, Simonne Anodeau, Julien Levergneux, Emmanuelle de Beaucorps. Au deuxième rang: Paul Salardaine, Odile Jouquan, Jonathan Guihard, Anne-Sophie Gras, Jean-Yves Loiseau, Catherine Desblés, Stéphanie Cherel, Marie-Odile Mabile, Jean-Marie Gazengel, Soïzic Williams. Au troisième rang: Karine Seiche, Xavier Coadic, Jean-Luc Tonneau, Jean-Marc Poulain, Jean-Marie Malécot, Sébastien Hertel, Patrice Collet, Séverine Thébault, Jean-Marc Bertin.

La liste « Dol avec vous » menée par le maire sortant Denis Rapinel. De gauche à droite, au premier rang: Florence Rouyez, Jérôme Dolbois, Isabelle Quemener, Cyril Doudard, Charlotte Gregoire, Denis Rapinel, Maguaëna Mauduit, Catherine Prunier, Arthur Da Silva, Simonne Anodeau, Julien Levergneux, Emmanuelle de Beaucorps. Au deuxième rang: Paul Salardaine, Odile Jouquan, Jonathan Guihard, Anne-Sophie Gras, Jean-Yves Loiseau, Catherine Desblés, Stéphanie Cherel, Marie-Odile Mabile, Jean-Marie Gazengel, Soïzic Williams. Au troisième rang: Karine Seiche, Xavier Coadic, Jean-Luc Tonneau, Jean-Marc Poulain, Jean-Marie Malécot, Sébastien Hertel, Patrice Collet, Séverine Thébault, Jean-Marc Bertin. (©DR)

Le maire sortant Denis Rapinel est, à ce jour, le seul candidat à sa propre succession, dimanche 15 mars 2020, pour le 1er tour des élections municipales, à Dol-de-Bretagne.

À moins qu’un adversaire ne se fasse connaître d’ici le 27 février (date limite pour déposer sa candidature), il ne devrait donc pas y avoir beaucoup de suspens dans la cité doloise. Toujours est-il que la liste « Dol avec vous » a prévu une première réunion publique le mardi 11 février, à 20 h 30, salle Nominoé.

Lire aussi : Elections municipales à Dol-de-Bretagne : le maire Denis Rapinel se représente

Basket - Ligue 2. Cansu Koksal, des débuts pleins de promesses à l'USO Mondeville

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Cansu Koksal a réalisé des débuts prometteurs avec Mondeville contre La Tronche Meylan.

Cansu Koksal a réalisé des débuts prometteurs avec Mondeville contre La Tronche Meylan. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Cansu Koksal a attendu 15 secondes, pas une de plus, pour marquer ses premiers points sous le maillot de l’USO Mondeville. La recrue arrivée quelques jours plus tôt en Normandie s’est distinguée dès l’entame de son premier match, samedi 25 janvier 2020 devant La Tronche Meylan (87-70). Par un trois-points, pour le symbole.

Lire aussi : Basket. Cansu Koksal, internationale turque, signe à Mondeville

Après six minutes de jeu, elle avait déjà inscrit 10 points sans rater un seul panier. L’adresse a ensuite fui l’internationale turque, qui terminera la rencontre avec 13 points, mais ses premiers pas en rouge sont pour le moins porteurs d’espoir. « Ce sera mieux dans les semaines à venir », promet, en plus, la shooteuse de grande taille. « Cansu doit nous apporter beaucoup de sérénité pour bonifier notre jeu », exposait l’entraîneur Romain L’Hermitte avant son arrivée. Comme par hasard – ou pas – Kim Gaucher a réalisé sa meilleure prestation de la saison (26 points) le jour de ses débuts. Romain L’Hermitte :

Cansu permet d’écarter le jeu. Elle libère Kim. Quand la balle bouge mieux, c’est positif pour tout le monde.

Cansu Koksal a beaucoup tenté à trois points (11 tirs) avec une grosse réussite seulement au départ.

Cansu Koksal a beaucoup tenté à trois points (11 tirs) avec une grosse réussite seulement au départ. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« Je rêvais de venir jouer en Europe »

Cansu Koksal, 25 ans, arrive de Turquie. Avant de signer à Mondeville, elle n’avait jamais quitté son pays natal. Elle a passé la première partie de saison à Botas, avant-dernier du championnat. « On ne s’est pas entendu avec mon ancienne équipe », dit-elle sans insister sur le sujet. L’USOM, de son côté, cherchait une joueuse prête à performer, dont la plus-value ne ferait pas l’ombre d’un doute. Cansu Koksal peut à la fois débloquer bien des situations par son shoot à trois points et servir son secteur intérieur (elle a offert 6 passes décisives contre La Tronche). Bref, un combo gagnant-gagnant.

J’ai eu l’opportunité de venir à Mondeville. Je rêvais de venir jouer en Europe. J’ai saisi ma chance.

Cansu Koksal a fait quelques pas de danse avec les supporters turcs venus la voir.

Cansu Koksal a fait quelques pas de danse avec les supporters turcs venus la voir. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

L’internationale turque, qui avait fait déplacer une forte communauté nationale à la Halle Bérégovoy, s’est engagée jusqu’à la fin de la saison. Avec, comme idée sous-jacente, une prolongation en cas de montée en Ligue féminine. « Mon objectif, c’est la montée. Je suis là pour ça, et pour apporter mon expérience aux jeunes. » Si la mission n’aboutit pas, Cansu Koksal peut espérer se faire remarquer par des clubs plus huppés du niveau supérieur. 

Un bénéfice à tous les étages

En attendant, Mondeville met toutes les chances de son côté en vue des playoffs. L’arrivée de Cansu Koksal permet un rééquilibrage global. « C’est quelqu’un qui nous apporte dans le scoring mais aussi dans la lecture du jeu, expose sa coéquipière Jodie Cornélie-Sigmundova. Elle est calme, elle transmet sa sérénité. C’est cependant lors des gros matchs qu’on pourra réellement se rendre compte de son apport. » Avant cela, le bénéfice se doit d’être quotidien. Romain L’Hermitte :

Cansu élève le niveau de l’entraînement. On est à fond dans le principe de « coohésion » : cohésion et compétition. Avant, on était parfois trop dans la cohésion au détriment de la compétition. Le curseur va être rééquilibré.

Cansu Koksal apporte aussi son esprit de compétition dans les rangs mondevillais.

Cansu Koksal apporte aussi son esprit de compétition dans les rangs mondevillais. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Cansu Koksal rejouera jeudi 30 janvier 2020 avec Mondeville contre le Centre Fédéral. Une longue trêve s’en suivra jusqu’au déplacement à Strasbourg le 22 février 2020. Le premier vrai test aura lieu à Reims, samedi 8 mars 2020.

A Vire Normandie, le bureau de Poste va être en travaux

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L'agence de La Poste va se moderniser.

L’agence de La Poste va se moderniser. (©La Voix Le Bocage)

Dans le cadre de la modernisation du bureau de poste de Vire Normandie (Calvados), des travaux sont prévus du 30 mars au 1er juin.

Pendant la période des travaux sans fermeture (du jeudi 2 avril au mardi 26 mai inclus), la continuité de service est assurée intégralement sur site: toutes les opérations seront disponibles au bureau de poste de Vire aux horaires habituels.

Lire aussi : Au cinéma de Vire Normandie, une fréquentation élevée qui se stabilise au-delà de 60 000 entrées

Pendant la période de fermeture (du 30 mars au 1er avril et du 27 au 30 mai inclus), pour le retrait des courriers et colis en instance au centre courrier de La Poste, Place de la gare du lundi au vendredi : 8h à 17h30 et le samedi : 8h à 12h. Toutes les opérations seront disponibles au bureau de poste le plus proche : bureau de poste de Saint Sever, 10 place Président Albert Lebrun, du lundi : 14h-17h, Mardi au Vendredi : 9h à 12h / 14h-17h, Samedi : 9h à 12h.

Lire aussi : Le Musée de Vire Normandie ne rouvrira pas avant la fin de l’année 2020

Elections municipales à Miniac-Morvan : Olivier Compain dévoile sa liste

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La liste « Un nouvel élan pour Miniac-Morvan ».

La liste « Un nouvel élan pour Miniac-Morvan ». (©Le Pays Malouin)

Dans le cadre des prochaines élections municipales à Miniac-Morvan (35), commune proche de Saint-Malo, La liste UNE, ou « Un Nouvel Elan pour Miniac-Morvan », composée de 27 membres, et de deux suppléants, sera conduite par la tête de liste Olivier Compain, qui vient d’en dévoiler les membres.

Lire aussi : Saint-Malo : C’était la dernière séance du maire Claude Renoult

Les membres de la liste

De gauche à droite sur la photo. 1er rang (bas) : Laurence Hougron-Rivet, 58 ans directrice des Ressources Humaines pour une chaîne de restaurants. Raymond Mousson, 74 ans retraité agricole, conseiller municipal sortant. Virginie Boudan, 41 ans comptable. Jean-Yves Blouin, 70 ans ingénieur consultant. Sophie Souloumiac, 39 ans agent territorial mairie de Saint-Malo (service urbanisme et propreté). Hubert Goger, 62 ans graphiste PAO indépendant, président de l’association « Les Sortous de Nitée ». Aurélie Clergue, 39 ans manager de salon de coiffure, membre du Comité des Fêtes. Arnaud Pullano, 42 ans chef commercial, membre de l’AC (Athlétic Club) Miniac-Morvan. Gisèle Thieulant 60 ans secrétaire retraitée.
2e rang (milieu) : Daniel Garçon, 69 ans, inspecteur des impôts retraité, ancien conseiller municipal. Valérie Lavoué, 52 ans, maîtresse de maison en foyer de vie, secrétaire AC (Athlétic Club) Miniac-Morvan. Éric Martin, 54 ans gestionnaire de collège public, conseiller municipal sortant. Martine Prioul, 65 ans Conseiller clientèle EDF-Retraitée, administratrice de la Ligue contre le cancer (35), Conseillère municipale sortante. Olivier Compain (tête de liste) 45 ans, chef d’entreprise. Sylvie Martin, 45 ans chef d’exploitation agricole. Jean-Yves Macé, 65 ans chef d’équipe travaux publics à la retraite, membre de l’ACCA (chasse). Christine Guillaume, 64 ans retraitée comptable, membre de l’association « Au fil des vents ». Josian Marcille 31 ans, docker port de Saint-Malo, fondateur du collectif « Non au bitume Miniac-Morvan ».
3e rang (haut) : Fabrice Debray, 43 ans ouvrier port de Saint-Malo. Demba Loisel, 37 ans infirmière diplômés d’État. Mickaël Briand, 43 ans responsable de point de vente pour le BTP, encadrant bénévole de l’ASMM (football). Sandrine Chevestrier, 20 ans étudiante infirmière. Anthony Cos, 34 ans, transporteur, gérant d’entreprise. Karine Rossignol, 42 ans responsable logistique. Tanguy Briand, 31 ans marin pêcheur. Marie-Christine Helgen, 42 ans, secrétaire, représentante des parents d’élèves école publique, vice-présidente APEL Collège privé et Florian Dubois 32 ans couvreur.
Suppléants (absents sur la photo) : Susie Gicquel, 39 ans Clerc de notaire et David Guélé, 44 ans, Colonel d’Infanterie et de soutien logistique parachutiste.

Contact : Site Internet miniac2020.fr

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