Les réactions de Pascal Dupraz après la victoire du Stade Malherbe Caen au Paris FC (via Foot Normand) : « On a réalisé une première mi-temps très intéressante lors de laquelle nous n’avons pas été beaucoup mis en danger. On a deux occasions franches mais aussi des coups pas très bien joués. Ensuite, on galvaude tout ça en restant au vestiaire bien trop longtemps puisque le match avait repris. On a laissé les Parisiens revenir dans la partie qui semblait maîtrisée par le Stade Malherbe.
On va se réjouir malgré tout de la réaction d’orgueil à 1-1. Je voyais l’équipe mal embarquée. Ce n’est jamais bon signe quand on fait semblant, et on a fait semblant pendant 10 minutes. Cette fois-ci, ça n’a pas été préjudiciable parce qu’on a su reprendre l’avantage. On croyait se mettre à l’abri en marquant le premier penalty qui nous offrait deux buts d’avance, mais on pèche encore parce qu’on prend un but.
On va disséquer tout ça. Il faut laisser la joie aux joueurs qui ont remporté une victoire qui, semble-t-il, est méritée, même si elle n’est pas suffisamment maîtrisée. Il y aurait dû y avoir moins de suspense et on aurait dû l’emporter plus largement. »
Un match nul 0-0 entre Nancy et Lens vendredi 25 octobre 2019, mais des sentiments très différents entre les deux équipes de ligue 2. Si les Lorrains auront bien des regrets, les Lensois pouvaient se montrer heureux de repartir avec un point.
Les Lorrains ont en effet complètement dominé les joueurs sang & or. Mais le gardien lensois Jean-Louis Leca était dans un très grand jour tandis que les attaquants nancéiens n’étaient pas assez tueurs.
Le RC Lens reste deuxième, Nancy est dixième. Retour sur le match en 10 tweets.
Le Caen Basket Calvados a décroché une victoire précieuse devant Vitré, vendredi 25 octobre 2019 (83-55). Bryson Pope ne cache pas que cette rencontre comptant pour la septième journée de N1 revêtait déjà un lourd enjeu.
On avait besoin de cette victoire. Après, ce n’est qu’un match, mais c’était un match très important pour nous après trois défaites de suite. On voulait absolument gagner, surtout à domicile, pour nous relancer sur la bonne voie.
Caen a fait la différence dans le deuxième quart-temps après une entame plutôt timorée.
Le début de match n’était pas dégueu mais il y avait moins d’adresse. On a commencé vraiment à bien défendre dans le deuxième quart-temps. Les gars sortis du banc avaient une vraie volonté de lancer la machine.
Derrière, tout s’est enchaîné pour les Caennais, auteurs d’un 21-0 à cheval entre les deux premières périodes, et plus jamais inquiétés par la suite.
C’est vraiment notre intensité défensive qui a été prépondérante, dans la mesure où elle nous a permis de relancer la balle en contre-attaque et de trouver des paniers faciles. On a aussi su mettre nos shoots ouverts.
Le CBC ne s’enflamme pas pour autant après ce succès de près de 30 points. Si « c’est bien de jouer avec l’euphorie à domicile », Bryson Pope a conscience que son équipe doit encore « stabiliser le jeu d’attaque ». Mardi 29 octobre 2019, elle aura encore droit à une autre adversité face à Angers, leader invaincu…
C’est un bon challenge pour nous. Il faudra être prêt à aller au combat mais je ne suis pas inquiet.
Voilà plusieurs jours déjà que le cirque Arlette-Gruss a pris ses quartiers à Nancy (Meurthe-et-Moselle), et plus précisément place Carnot. Toutefois, si certains badauds ont fait le choix d’assister aux représentations proposées, d’autres, au contraire, ont décidé d’exprimer leur désaccord.
Ainsi, ce samedi 26 octobre 2019 à 13h30, quarante personnes ont répondu présentes à l’appel à manifester, lancé par l’association 269 Life. Munis de pancartes et entonnant des slogans, les manifestants se sont placés aux abords du cirque, motivés à alerter l’opinion publique.
Le cirque oui, mais sans animaux
Si les circassiens voient généralement ce genre d’événement d’un mauvais œil, Lucie Méline, référente 269 Life à Nancy, a tenu à exprimer sa position et celle des personnes présentes.
Nous ne dénonçons pas le cirque, mais l’exploitation des animaux. On sait qu’il y a de belles choses dans ce milieu, et certainement des bonnes personnes, mais il n’est pas justifiable d’exploiter des individus dotés de sentiments pour le simple fait de se divertir.
Le climat entre les circassiens et les manifestants restant tendu, la préfecture a toutefois pris la décision d’éditer quelques consignes. Parmi elles, le fait que les opposants ne s’installent pas près de la billetterie par exemple.
En revanche, en ce qui concerne les badauds, la cause ne semble pas perdue. Lucie Méline est d’ailleurs revenue pour Lorraine Actu, sur une belle anecdote.
En règle générale, les gens qui vont au cirque et assistent à nos actions le prennent mal, soit ils baissent la tête, soit ils nous insultent, ou se moquent. Par contre, lorsque l’on manifestait à Vandœuvre devant le cirque Medrano, trois personnes qui allaient à l’une des représentations et qui nous ont vus, ont décidé de faire demi-tour, d’aller se garer, et de nous rejoindre. C’était vraiment chouette !
Une chose est sûre : qu’ils soient ou non concernés par la cause animale, les passants n’ont pu passer outre les slogans « Animaux en cage esclavage » ou encore « Liberté pour tous les animaux », et être touchés par l’émotion de ceux qui les scandaient.
On savait le tirage difficile pour Fougères : un match à l’extérieur, à l’autre bout de la Bretagne, contre une équipe de Plabennec qui joue le haut du tableau dans la même division.
Et qui avait corrigé Fougères en début de saison (4-2)
De match, il n’y a pas eu.
Fougères a vécu un calvaire et sort de la Coupe de France après avoir encaissé un score lourd : six buts à un.
Les Finistériens ont ouvert la marque dès la 4e.
Et quand Delaunay a ouvert le compteur fougerais (42e), les Jaune d’un soir étaient déjà irrémédiablement distancés (4 à 0).
Les joueurs de l’AGL Drapeau vont désormais pouvoir se consacrer à l’opération maintien en N3.
Selon le maire-adjoint, deux jeunes se trouvaient à cet abri-bus vers 18 h 45. « A 19 h 30, un riverain m’a appelé pour me dire qu’ils venaient de saccager l’abri-bus. Mais il n’a pas osé intervenir », raconte le maire-adjoint qui a prévenu le maire Pascal Lebruman.
« Une plainte sera déposée lundi », assure le maire-adjoint.
La jeune étudiante était portée disparue depuis septembre 2018.
C’est Yolande Renzi, procureure de la République de Strasbourg,qui l’a annoncé dans un communiqué ce samedi 26 octobre 2019 dans la soirée.
« Les analyses ADN viennent de révéler que le profil génétique féminin mis en évidence est identique au profil génétique de Sophie Le Tan », a annoncé la magistrate. Les analyses ont été confiées à l’Institut national de la police scientifique (INPS).
Des résultats d’analyses encore en cours « sont attendus pour le début de cette semaine », selon le parquet de Strasbourg.
Une conférence de presse de la procureure de la République de Strasbourg est prévue ce lundi après-midi, au parquet en présence de la directrice de la Direction interrégionale de la Police judiciaire en charge de l’enquête.
Sophie Le Tan n’a plus donné signe de vie le 7 septembre 2018, le jour même de son 20e anniversaire, alors qu’elle allait visiter seule un appartement à Schiltigheim, commune limitrophe de Strasbourg.
Jean-Marc Reiser, qui avait posté l’annonce, a été arrêté quelques jours plus tard. Déjà condamné pour viols et acquitté au bénéfice du doute pour la disparition d’une jeune femme dans les années 1980, il a été mis en examen et incarcéré pour assassinat, enlèvement et séquestration.
Déjà condamné pour viols et acquitté au bénéfice du doute pour la disparition d’une jeune femme dans les années 1980, il a été mis en examen pour assassinat, enlèvement et séquestration.
En dépit de traces du sang de Sophie Le Tan retrouvées chez lui, le suspect a réaffirmé, lors d’une audition devant la juge d’instruction le 5 octobre, être innocent. Il a affirme qu’il aurait soigné la jeune femme blessée à la main, avant qu’elle ne quitte son domicile.
C’est un commerce atypique et rare que vous propose Cécile Marchi au 158 rue Gambetta à Lille (Nord) : un salon de thé avec des chats ! Depuis 4 ans, la passionnée de chats et ses 8 amis à moustache vous accueillent. Où ça ? Au « Chat voir vivre » bien sûr !
Le but est d’offrir une pause douceur à Lille, pour que les gens se sentent comme à la maison !
Après avoir lancé son commerce avec une associée, Cécile Marchi est désormais seule à tout gérer, l’accueil, le service, la cuisine, et les soins à apporter aux chats. Un dévouement auquel elle s’adonne volontiers malgré la fatigue. Elle habite juste au-dessus de son commerce, pour rester près de ses chats. Le café, c’est leur maison.
8 équipiers autour de Cécile
Car l’équipe de choc du « Chat voir vivre », ce n’est pas seulement Cécile, mais aussi Patchouli, Octave, Kirikou, Oscar, Wilde, Divine, Cannelle et Petite Plume.
Contrairement au Waf, le café chiens de Lille, le lieu ne propose pas de chats à adopter. « Ce sont mes chats, tous adoptés, sauf Patchouli, Octave et Kirikou qui sont nés chez moi d’une maman que j’ai recueillie ».
Cependant, elle sert d’intermédiaire à une association, l’Orphelinat de Luna, qui cherche des familles d’accueil. « En 4 ans, j’ai dû aider à faire adopter une trentaine de chats. »
Cécile n’aime pas l’expression « bar à chats », car « cela donne un côté commercial et consommateur. Dans un bar à ongles ou à vins, on achète une prestation. Ici, les chats ne sont pas des objets… Ce n’est pas une affaire commerciale comme une autre. C’est une aventure humaine et animale. »
Elle préfère salon de thé avec chats, ou mieux encore, avec l’humour qui la caractérise, « chalon de thé ». Tout est dit !
Une décoration « féline »
La déco est féline bien sûr ! Les chats sont sur les sets de table, les salières, et même les sacs ! « Toute la décoration, ce sont des cadeaux de clients. Un jour, une jeune est venue me demander si elle pouvait dessiner mes chats. J’ai accepté bien sûr. Elle est revenue avec des tote bag à l’effigie de chaque chat, que je vends au profit du local ! », sourit Cécile encore émue de ces petites attentions.
Respect animal
Les chats vont et viennent à leur guise. Plusieurs arbres à chats avec nichoirs sont à disposition. Il y a des hamacs en hauteur, des jouets style plumeau. Ils peuvent s’isoler facilement s’ils en ont marre du bruit. « Ils disposent de 3 salles de repos accessibles uniquement par châtière ».
Cécile insiste sur le respect dû à l’animal. « On n’est pas ici pour caresser des chats ou jouer avec eux. C’est le chat qui décide. Parfois, ils ont envie de jouer, parfois non. Parfois, ils viennent sur les tables réclamer un câlin, parfois non. Il faut le comprendre, surtout quand on vient avec des petits ».
Elle est attentive à cela, même si un enfant a déjà déplacé 3 vertèbres à Wilde…
Ici, cela peut être un lieu d’apprentissage de valeurs : le respect, la patience, la bienveillance. Les chats nous apprennent beaucoup. Et les bienfaits de la ronronthérapie sont prouvés ! Moi, je suis une grande anxieuse. Vivre avec des chats me donne un état d’esprit hyper positif.
Le lieu donne aussi sa place à d’autres rendez-vous. Des artistes exposent régulièrement leurs toiles, et pas seulement sur le thème des chats. Une fois par moi, une hypnothérapeute adepte du reiki donne des cours de yoga dans le bar. Il y a déjà eu des soirées méditations, des rencontres avec une médiatrice animale, des mini-concerts et même du théâtre d’impro.
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Une alimentation fait maison
Cécile n’est pas seulement attentive aux chats. Elle veut aussi proposer une éthique alimentaire à ses clients. C’est pourquoi vous ne trouverez pas chez elle de Coca, Fanta ou autres boissons industrielles. « Je fais de la citronnade et de la limonade maison ! » Elle a aussi une liste de thés impressionnantes : Rubis d’Osaka, lavande citron, litchi, Babouchka bergamote…
Ses plats et gâteaux sont tous faits maison. « Mes plats salés sont végétariens ou véganes ; mes pâtisseries sont classiques et véganes. Il y a toujours de la soupe prête ! », sourit-elle.
Elle n’a pas pu s’empêcher de créer des « chablés », des sablés en forme… de chats bien sûr !
Son rêve : proposer le même type de services, mais dans une vraie maison, avec un jardin.
Au 158 rue Gambetta. Ouvert de 13 h à 19 pendant les vacances, puis de 14 h à 19 h (horaire à confirmer sur la page facebook du Chat voir vivre). Pâtisseries maison, classiques et véganes ; soupes à tout heure ; boissons maisons (pas de marques industrielles). Repas le midi sur réservation. Plats à emporter sur demande. Privatisation possible. Site internet, cliquer ici.
Les bars à chats sont rares : dans les Hauts-de-France, on en trouve un à Amiens, un à Lille, un à Valenciennes. Deux sont en préparation : à Boulogne-sur-Mer et à Dunkerque.
L’hospitalité, l’accueil, le partage sont des valeurs portées très haut depuis toujours par la famille Barron à La Brède (Gironde) au Château Méric et Château Chante l’Oiseau.
Le bio a toujours fait partie du domaine. Pierre Barron, le père de François, a toujours été proche de la nature et convaincu de ses bienfaits.
Il a créé après la guerre (il a été déporté) un parcours sportif au sein du domaine et au grand air (le centre hébertiste).
« Il faut être fort pour être utile », disait-il. Il avait souffert lors de sa captivité de fatigue et de dénutrition.
Il avait alors pris conscience de l’importance d’être en bonne santé en mangeant sainement et en pratiquant une activité physique régulièrement. Cet adage était son quotidien.
C’est ainsi qu’avec deux autres personnes (lui dans les Graves, une seconde dans l’Entre-Deux-Mers et une troisième à Bordeaux) ayant les mêmes convictions que lui, ils créèrent le mouvement Nature et Progrès en 1964.
C’est une association de production biologique contrôlée Culture et Vinification (incluant la partie vinification dans son cahier des charges).
« Depuis 55 ans, on a tenu bon »
Sylvie Barron, l’épouse de François, explique :
On est toujours contrôlé tous les ans sur ces deux postes de travail culture et vinification. Depuis 55 ans, et malgré les critiques, on a tenu bon. On savait que l’on était dans le vrai avec le bio. Aujourd’hui, on est très heureux d’en être là. On travaille en totale confiance et transparence
Après Pierre et son épouse, Sylvie et François, il y a maintenant leurs fils Benjamin et Aurélie son épouse qui constituent la nouvelle génération.
Ils ont trois enfants et ont suivi cette réflexion et ce mouvement.
Cette huitème génération a de grands projets pour le domaine.
Aurélie Barron explique :
On continue et on développe ce qui existe déjà et l’on voudrait créer un dépôt-cave, je suis en lien avec une AMAP on pourrait proposer des échanges de produits de producteurs bio et locaux en boutique, toujours dans cette idée d’échange et de service ainsi que le développement de la partie œnotourisme
Les tables sont grandes chez la famille Barron car on aime recevoir dans cette grande maison.
Le domaine est ouvert sur d’autres activités : un accueil à la nuit pour les camping-caristes, plusieurs emplacements sont mis à leur disposition (réseau France Passion), mais aussi la location de salles pour des mariages (Eugénie, la sœur de Benjamin, est weeding planer), des séminaires d’entreprises, des soirées privées ou à thème.
Et également un gîte (La demeure de Méric) qui accueille de 2 à 10 personnes, en plein coeur du vignoble bio.
Autre activité : la cueillette de pommes et de raisins bio par les particuliers.
Sylvie ajoute :
Les gens viennent avec les enfants et se promènent librement dans le verger. Ils y cueillent des pommes (les 35 variétés de pommiers et autant de saveurs, plantés en 1977). Ce sont des pommes et des raisins (muscat bio) vendus sur place à 1€ et 3 € le kilo. On accueille le public en prenant toujours du temps pour leur expliquer notre culture. Ici on est connecté avec la nature, on reçoit beaucoup d’enfants, écoles, centres spécialisés, crèches, etc.
Château Méric et Château Chante l’Oiseau, c’est une gamme de vins rouges, blancs et un rosé avec deux cuvées spéciales Le Benjamin de Méric (rosé) et La Cuvée Eugénie (rouge), une sélection réalisée sur parcelle et élevée en barriques.
L’année 2019 s’annonce déjà comme une année exceptionnelle dans les Graves.
Trois jours plus tôt, il avait dormi sur le canapé de cette colocation à Agen (Lot-et-Garonne) et avait eu un rapport sexuel consenti avec une femme. De retour entre les murs, cette nuit de septembre 2018, après une nuit encore un peu trop arrosée, l’homme pense rejoindre cette colocataire.
La mauvaise chambre
Malheureusement, le trentenaire se trompe de chambre et de femme. Il se déshabille, se met dans le lit et commence à caresser celle qui se trouve dans le lit.
Elle mord l’homme trop entreprenant
La jeune fille repousse l’homme un peu trop entreprenant qui, pour autant, n’arrête pas ses avances. La jeune victime a même crié : « Dégage », comme le révèle nos confrères de la Dépêche du Midi. Une scène qui s’éternise pour la victime. Environ dix minutes de lutte pour repousser cet homme qu’elle parvient à mordre au bras.
Une plainte a été déposée et l’agresseur présumé a été jugé, en fin de semaine, par le tribunal correctionnel d’Agen.
Une addiction à l’alcool
Pour sa défense, le trentenaire a avancé une addiction à l’alcool répétant qu’il ne se souvenait plus de grand chose et qu »il regrettait ». Il a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et obligation de soins pour soigner son addiction à l’alcool. En outre, il devra verser 1200€ à la victime pour préjudice moral.
Après les crues à Béziers et alentour, notamment à Villeneuve-lès-Béziers, qui ont provoqué des dégâts matériels très importants, encore non chiffrés officiellement -mais, la facture sera salée-, après la période du nettoyage, la procédure auprès des compagnies d’assurance est venue.
Des experts rendent déjà visite aux sinistrés. Et dans la semaine, le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner va signer, le décret lançant la procédure accélérée de catastrophe naturelle, comme l’a promis Élisabeth Borne, la ministre de la Transition écologique solidaire, lors de son déplacement jeudi, dans le Biterrois.
Le maire de Béziers, Robert Ménard a interpellé la ministre pour l’informer que la sous-préfecture de l’Hérault avait souffert des intempéries. L’arrêté d’état de catastrophe naturelle va permettre « l’indemnisation systématique des victimes des dommages provoqués par divers agents naturels tels que les inondations ».
Les sinistrés vont devoir respecter le délai et les obligations fixés par cette procédure administrative. L’urgence, si ce n’est déjà fait, c’est d’aviser sa compagnie d’assurance, qui va se pencher sur le contrat d’indemnisation en cours. « Il est vivement recommandé de prendre le plus de photos possible, de montrer des documents attestant de l’état des lieux avant les inondations ou les dommages causés par le vent, avec factures des biens les plus coûteux à l’appui », conseille un assureur.
Le décret de catastrophe naturelle signé dans la semaine par le gouvernement concernera Béziers et Villeneuve-lès-Béziers, au vu des dégâts très importants, mais devrait englober d’autres communes mitoyennes, sans déterminer pour l’heure, la zone qui sera retenue. Les maires de communes impactées attendent la publication de l’arrêté au Journal Officiel, le JO.
Commission spéciale
Les dossiers de demandes d’indemnisations seront soumis à une commission spéciale. Quand le décret sera publié au JO, les particuliers auront dix jours pour se rapprocher de leur assurance, qui devrait les indemniser rapidement. « Pour les communes qui ne sont pas concernées par un décret, tout ne sera pas perdu, les assurances ont placé des clauses dans les contrats permettant une indemnisation en cas de dommages causés par les crues », indique la préfecture de l’Hérault.
Ces inondations ont fait un mort, une retraitée emportée par une vague devant son domicile à Cazouls-d’Hérault, au Nord de Pézenas et qui est décédée noyée dans une vigne, cent mètres plus loin.
Ce fut long à se dessiner, mais l’essentiel a été acquis pour le FC Dieppe avec une qualification pour le 7 tour de la coupe de France qui, on le rappelle, verra l’entrée en lice des clubs de Ligue 2.
Avant cela, il y a eu, au stade Jean-Dasnias, ce samedi 26 octobre, un match entre Dieppe et Alençon, un match longtemps fermé avec très peu d’occasions de but.
Une nouvelle fois, il a fallu deux coups de pied arrêtés (un coup franc et un penalty) pour voir les hommes de Guillaume Gonel faire la différence face à des adversaires qui ont laissé passer leur chance en loupant un penalty alors que le score était encore nul et vierge.
La première mi-temps est bien terne avec peu de rythme et logiquement peu de situations de but.
A la 12e minute, on note une frappe de Tessier pour Alençon, mais Guichaux se montre vigilant.
Le vent violent ne facilite pas le jeu et Dieppe se crée une occasion (déjà) sur un coup franc de Mortoire qui provoque un cafouillage dans la surface de réparation visiteuse, mais l’action s’arrête suite à un hors-jeu.
Face à ses anciens partenaires, Etamé veut tout faire et même parfois un peu trop et ses ardeurs sont freinées par un carton jaune.
Peu avant la pause, le jeu est interrompu suite à une blessure de Garnier qui sort sur une civière avant de revenir sur le terrain.
Heureusement, la seconde période va être un peu plus palpitante.
On joue ainsi depuis moins de dix minutes lorsque Khadrejnane s’échappe et lorsqu’il est bousculé par Etamé dans la surface de réparation, l’arbitre désigne le point de penalty.
El Hamdaoui s’élance pour une frappe que détourne Guichaux au prix d’une belle détente.
Les visiteurs ont laissé passer leur chance car ils n’auront ensuite pratiquement plus d’occasions d’’approcher du but du portier dieppois.
La lucarne de Mortoire
En revanche, les hommes de Guillaume Gonel sentent désormais que le coup est jouable.
Après une tête d’Etamé puis une autre de Fall au-dessus du but, Dieppe va prendre l’avantage grâce à son Monsieur coup de pied arrêté.
Suite à une faute de Luntala sur Hébert, Mortoire tire le coup franc et loge le ballon dans la lucarne (1-0, 63e).
Le plus dur est fait pour le FCD, mais malheureusement par la suite, le match va être arrêté pendant de très longues minutes.
Sur un centre venu de la gauche, le choc tête contre Tête entre Etamé pour Dieppe et K. El Hamdaoui pour Alençon va laisser les deux hommes à terre.
Si le Dieppois se relève quelques instants plus tard, ce ne sera pas le cas du défenseur visiteur et cela va nécessiter l’intervention des sapeurs pompiers pour l’évacuer vers l’hôpital de Dieppe.
Penalty de Levasseur
Difficile de reprendre la rencontre par la suite et après plusieurs minutes, le FCD va faire le break.
Après une première faute non sifflée sur Hénoc, la suivante sur Levasseur est la bonne : l’arbitre siffle penalty et Levasseur se fait justice en trompant Couillard (2-0, 82e).
Plus rien ne sera marqué et Dieppe se qualifie ainsi pour le 7e tour de la coupe de France ; il ne reste plus qu’à attendre le tirage au sort qui sera effectué cette semaine.
Les usagers du réseau Stan de Nancy ne sont pas au bout de leur surprise. Ce samedi 26 octobre 2019, un tram TVR Bombardier est sorti de son rail au niveau de la station Vélodrome (Vandoeuvre-lès-Nancy), dans la métropole de Nancy.
Vers 18h20, le véhicule qui prenait la direction du CHU de Brabois est sorti de son itinéraire en montant sur le trottoir. Les galets qui permettent de suivre le rail se seraient relevés et le tram n’était pas manœuvrable puisque en « conduite automatique ».
L’incident, dont l’origine doit encore être confirmée par la « boîte noire » du transport en commun n’est pas encore officiellement connue.
📣Info Trafic, 18h20 panne sur le site Tram, véhicule immobilisé à la Station Callot vers Chu. Retard à prévoir.
L’incident a fait un blessé léger : une jeune femme de 20 ans présente dans le tram. Elle est tombée au moment du freinage du véhicule, Elle a été prise en charge à l’hôpital central de Nancy, selon les sapeurs-pompiers appelés sur place.
La circulation dans le secteur a été perturbée durant une bonne heure : de gros bouchons se sont formés dans le secteur Vélodrome, une artère stratégique de la métropole pour les voitures et les bus. Le réseau a également été perturbé notamment la circulation de la ligne Tempo 1.
Le Lions Club Sète Saint-Clair organise son troisième salon de la gastronomie et des plaisirs gourmands, salle Georges Brassens, à Sète, samedi 23 et dimanche 24 novembre. Deux dates à retenir d’ores et déjà, car, ce salon est un rendez-vous solidaire.
De nombreux producteurs et exposants feront découvrir leurs produits du terroir, une action organisée est au bénéfice des enfants hospitalisés dans le service de neurologie infantile du CHU de Montpellier.
Chèques au service pédiatrique du CHU de Montpellier
« Améliorer le quotidien des enfants hospitalisés et de leur famille est depuis sa création de ce salon sétois, une de nos préoccupations majeures. Cette thématique a toujours fait partie des œuvres sociales du club. C’est ainsi que par le passé des expositions d’art et des soirée dansantes ont été organisés, afin de récolter des fonds », explique un responsable du Lions Club Sète Saint-Clair.
« Depuis 2017, il organise en fin d’année ce salon de la gastronomie et des plaisirs gourmands, dont tous les bénéfices sont destinés à l’amélioration du quotidien des enfants hospitalisés. Les profits réalisés, lors des éditions précédentes ont permis de remettre des chèques au service pédiatrique du CHU Lapeyronie, à Montpellier », confirme ce responsable.
Au programme : dégustations -incontournables tielles, produits de l’étang de Thau, muscat, vins etc.- démonstrations, animation musicale, possibilité de se restaurer sur place, tombola etc.
En venant à ce salon, vous ferez incontestablement un bon geste pour tous les enfants souffrants et alités.
> Pratique : salon de la gastronomie et des plaisirs gourmands, samedi 23 novembre de 9h à 21h et dimanche 24 novembre de 9h à 18h. Salle Georges Brassens, route de Cayenne, espace du Mas Coulet, Sète. Entrée libre. Infos sur la page Facebook du Lions Club Sète Saint-Clair : https://m.facebook.com/lionsclub.setesaintclair
Les fans – et ils sont très nombreux – de Kendji Girac vont être aux anges. Celui qui avait triomphé de la saison 3 de The Voice (avec Mika comme coach) va devenir coach de la version kids du programme de TF1.
Une grande première
Celui qui est originaire de Périgueux (Dordogne) sera, aux côtés pour la septième saison de The Voice Kids en 2020, de Jennifer, Patrick Fiori et Soprano.
Un nouveau coach va rejoindre #TheVoiceKids la saison prochaine, le chanteur Kendji Girac, qui a remporté la 3ème édition du programme dans sa version adultes, sera aux côtés de Jenifer, Patrick Fiori et Soprano. pic.twitter.com/4tllQf8T2M
C’est une grande première ! Jamais un vainqueur de ce radio-crochet ne s’était assis sur le célèbre fauteuil rouge. C’est Nikos Aliagas qui a annoncé la nouvelle, ce vendredi 25 octobre 2019, à l’issue de la finale de la sixième saison de The Voice Kids qui a vu la victoire de Soan, du haut de ses onze ans.
Kendji Girac, l’interprète de Color Gitano, Andalouse, Conmigo ou Elle m’a aimé remplacera Amel Bent qui rejoint la version adulte de ce programme où elle retrouvera Lara Fabian, Marc Lavoine et Pascal Obispo.
Il ne sera pas dépaysé
Kendji Girac ne sera pas perdu et retrouvera trois artistes qu’il côtoie, depuis 2016, dans la grande famille des Enfoirés. Le Périgourdin prend son rôle à cœur et avec « honneur’. Et comme il a expliqué à nos confrères du Parisien : « Je ne veux pas les juger mais plutôt les conseiller ».
Privé de beaucoup d’éléments (Maah, El Mokeddem, Isidor, Baba Cissé, Lebeau, Belon et Robic), le Stade lavallois s’impose difficilement à Vertou (N3) après la séance de tirs au but (0-0, 4-5).
Les joueurs d’Olivier Frapolli se qualifient pour le septième tour de la coupe de France. Les clubs de Ligue 2 vont entrer en lice.
L’entraînement a été utile
Plusieurs fois, à la fin de l’entraînement, les Tango se sont retrouvés d’un côté du terrain pour effectuer une séance de tirs au but. « Il faut se préparer à tout », selon Olivier Frapolli.
Tomas, Gendrey, Soares, Gomis et Bouadla ont tous marqué.
Panne offensive
Pour la deuxième fois de rang, les Lavallois sont restés muets (après la défaite contre Pau, 0-1).
Le secteur offensif est dépeuplé. Maah, Isidor, El Mokeddem et Robic sont absents.
Quelques jeunes
Comme au tour précédent, à Brétignolles (Vendée), Olivier Frapolli a fait appel à plusieurs jeunes joueurs : Antoine Cottereau (20 ans), Wessou Cissé (19 ans), Bilal Camara (17 ans) et Luderic Etounde (19 ans).
Seul le plus âgé a débuté la rencontre. Les autres sont rentrés au fil du match.
Une semaine après avoir disposé de Mont-Blanc aux tirs au but, le Hockey Club de Caen a remis ça, samedi 26 octobre 2019 à Marseille ! Des buts de Pierre-Antoine Devin et Joni Lavonen ont fait la différence lors de la séance fatidique, puisque les Provençaux n’ont pas réussi à tromper Ronan Quemener.
Caen s’impose donc 4-3 mais prend deux points au lieu des trois réserves habituellement au vainqueur, Marseille empochant le troisième. Les Caennais ont mené 3-1 grâce à des buts d’Igor Halas, Pierre-Antoine Devin et Jaroslav Prosvic avant de se faire rejoindre. Mais leur série de victoire se prolongé avec un sixième match en championnat, un huitième toutes compétitions confondues !
Lors du conseil municipal d’avril, à Trévou-Tréguignec, une voie nouvellement créée a été baptisée rue Mez an Goff. Le nouveau quartier du Vival poursuit son développement avec le démarrage imminent des travaux du futur cabinet infirmier.
La construction est initiée par Laurence Burot et Nathalie Drains, infirmières libérales actuellement installées dans le cabinet médical vacant depuis le départ du docteur Dehlinger.
Des professionnels médicaux ou paramédicaux attendus
Outre le cabinet infirmier, le bâtiment disposera de trois cellules proposées à la location à d’autres professionnels médicaux ou paramédicaux. Elles seront disponibles à la location dès juin 2020 (contact : tél. 06 58 55 63 51).
Après le garage, la station de lavage auto, l’installation d’une diététicienne, du cabinet de kinésithérapie et les commerces existants, ce quartier devient un lieu important d’activités et de nouveaux services.
Les membres du club de kayak de La Roche-Derrien ont accueilli leur champion. Et ils ont profité du passage de Steven Henry à la base du Prajoù pour le remercier de faire honneur à sa formation d’origine sur les podiums internationaux.
« Label Henry pour les médailles d’or »
Le président du club, Simon Delattre, a chaleureusement félicité le jeune champion, rendant également hommage à Margaux, l’aînée de la fratrie Henry, grande collectionneuse de trophées nautiques (championne du Monde l’an dernier, à 20 ans, en canoë biplace mixte avec le Rennais Yves Prigent).
On peut parler de label Henry pour les médailles d’or. C’est important de montrer le travail de tous au sein du club pour en arriver à ce résultat. Nous remercions Steven, sa famille, les bénévoles ainsi que tous les jeunes qui un jour seront à sa place.
« 4 500 € le bateau »
En effet, les deux jeunes ont remporté de nombreux prix. Steven Henry a notamment été champion d’Europe à 17 puis à 18 ans.
Son objectif à présent : les JO de 2024, sur le lac de Vaires-sur-Marne, où se passent déjà les sélections nationales :
Je souhaite y participer, seul ou à plusieurs, selon la décision des sélectionneurs. Mais il me faut trouver des partenaires financiers pour m’aider à préparer ce projet. Acheter un bateau, c’est un budget de 4 500 €. Le club m’aide à hauteur de 500 €.
Contact : tél. 06 37 71 68 37 ou hsteven@orange.fr
Montpellier recevait Angers à l’occasion de la 11e journée de Ligue 1. À domicile, les Montpelliérains n’ont pas réussi à être efficaces malgré les nombreuses tentatives. Angers peut se satisfaire de ce match nul (0-0) et de ce point pris au stade de la Mosson.
Occupant la 8e place du classement, Montpellier recevra Nancy mercredi pour les 16e de la coupe de la Ligue avant de retrouver le championnat samedi pour un déplacement à Metz.
Comme attendu, Michel Der Zakarian titularisait pour la première fois Téji Savanier mais devait se passer de Jordan Ferri absent de la feuille de match. Dans un schéma classique, les Montpelliérains étaient confrontés au 4-4-1 appliqué et athlétique des Angevins.
Les Montpelliérains étaient les premiers à se montrer dangereux. Delort de l’extérieur du droit centrait pour Laborde qui voyait sa tentative de la tête frôler le montant gauche de Butelle (2′). Santamaria répliquait d’une superbe frappe de 25 mètres que Rulli détournait en corner (4′). Sur un centre d’Oyongo, Laborde échouait une nouvelle fois à cadrer sa tête (13′). Angers se montrait dangereux en contre. Ninga centrait pour Bahoken dans la surface mais l’attaquant n’ajustait pas sa reprise (18′). Bien lancé par Fulgini, ce dernier se présentait une nouvelle fois devant le portier argentin qui sortait avec beaucoup d’à propos dans ses pieds pour écarter le danger (23′). Rulli devait ensuite s’employer sur une frappe de Pereira-Lage (28′).
À la lutte avec deux défenseurs, Laborde dans une tentative acrobatique ne pouvait contrôler le ballon (30′). À Le Tallec de se montrer ensuite dangereux et d’obliger Butelle à un arrêt compliqué (31′). Les Montpelliérains multipliaient les assauts sur la défense angevine mas il ne parvenait pas à trouver la solution. À l’image de Delort qui, après avoir éliminé son adversaire d’une feinte de corps, échouait dans son face à face avec Butelle (40′). Ou quelques minutes plus tard quand Mendes à la réception d’un coup franc tiré par Savanier ne trouvait pas le cadre (44′).
Pas plus de succès en seconde période
De retour sur la pelouse, Montpellier poursuivait sur les mêmes intentions. Laborde à la lutte avec un défenseur angevin s’écroulait dans la surface mais l’arbitre ne bronchait pas (46′). Après une première période timide à l’image du collectif, Savanier sortait de sa boîte. D’abord en obtenant un coup franc aux abords de la surface après un slalom parmi plusieurs angevins (48′) puis avec une frappe puissante de 20 mètres qui ne trouvait pas le cadre (52′). Laborde, encore très courageux ce soir, voyait sa reprise de volée stoppée heurtait la montant droit puis le dos de Butelle mais le ballon se refusait à rentrer (57′).
Angers se rappelait aux bons souvenirs de la défense montpelliéraine. Mangani adressait une frappe puissante que renvoyait avec difficulté Rulli (64′). Fulgini s’amusait ensuite dans la surface au milieu de trois montpelliérains avant de trouver Bahoken dont la frappe dévissée passait de peu à côté (65′).
Michel Der Zakarian procédait à ses changements en faisant rentrer Chotard à la place de Savanier (70′), puis Badu à la place de Delort (81′) quelques minutes après que ce dernier ait vu une de ses tentatives frôler le montant gauche du portier angevin.
En fin de rencontre, Pereira-Lage procurait une frayeur au stade de la Mosson. Éliminant son adversaire direct à l’entrée de la surface, il s’appliquait à enrouler sa frappe mais heureusement Rulli était vigilant (90′). Laborde s’offrait un dernier slalom parmi les défenseurs angevins mais, poussant son ballon, Thomas annihilait l’occasion (90+2). Les deux équipes se quittaient sur ce score nul et vierge.