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Au sommaire du Trégor du jeudi 12 septembre : les entreprises de Lannion embauchent tous azimuts

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Ce numéro du Trégor est disponible en version numérique

Lannion : les entreprises embauchent tous azimuts

Le secteur économique à Lannion embauche à tous les niveaux de formation.

Le secteur économique à Lannion embauche à tous les niveaux de formation. (©Christophe Ganne)

Depuis un an et demi, les embauches sont régulières dans les entreprises à Lannion, à tous les niveaux. Et des formations ouvrent des emplois immédiats.

Lannion. Parc expos : les travaux vont démarrer

Les élus ont voulu une architecture impressionnante pour le parc des expositions de Lannion, dessiné par Brûlé architectes.

Les élus ont voulu une architecture impressionnante pour le parc des expositions de Lannion, dessiné par Brûlé architectes.
(©Brûlé architectes.)

Les travaux du parc des expos vont démarrer à Lannion. La nouvelle salle proposera 4 000 places pour des événements sportifs, culturels et économiques. 5 000 m2, 600 places de parking, 7,6 millions d’euros : un équipement impressionnant.

Lannion. Second Lidl : permis refusé

Près du centre Leclerc de la route de Perros, la parcelle de 10 000 m2 où doit s’implanter le nouveau magsin Lidl.

Près du centre Leclerc de la route de Perros, la parcelle de 10 000 m2 où doit s’implanter le nouveau magsin Lidl. (©Le Trégor)

La ville de Lannion a refusé le permis de construire d’un futur Lidl, route de Perros, au niveau du rond-point d’Orange Labs.

Lannion. Bonobo, Cache Cache et Bréal quittent le centre

Le magasin Cache Cache est installé rue Geoffroy-de-Pontblanc, dans le centre de Lannion.

Le magasin Cache Cache est installé rue Geoffroy-de-Pontblanc, dans le centre de Lannion. (©Amélie Thomas)

Les enseignes Bonobo, Cache-Cache et Bréal, installées en centre-ville de Lannion, rejoignent la zone de Keringant. Les trois marques seront réunies dans un seul magasin.

Trédrez. La tortue fugueuse a retrouvé ses maîtres

Réunis à Trédrez-Locquémeau, François, Aïcha, la tortue Victoire, Jean-Claude et Marie-Hélène.

Réunis à Trédrez-Locquémeau, François, Aïcha, la tortue Victoire, Jean-Claude et Marie-Hélène. (©Jean-Paul Leclercq)

Victoire, une tortue d’Hermann, avait échappé à la vigilance de ses maîtres alors que ceux-ci s’apprêtaient à rentrer chez eux, après deux semaines de vacances en gîte à Trédrez. Ils sont revenus pour une semaine de vacances, retrouvant avec un grand bonheur leur reptile préféré.

Ploumanac’h. Camping du Ranolien : « Rester au top »

Jérôme Drouhin est le nouveau directeur du camping Le Ranolien de Perros-Guirec, épaulé par Christelle Tilly.

Jérôme Drouhin est le nouveau directeur du camping Le Ranolien de Perros-Guirec, épaulé par Christelle Tilly. (©Amélie Thomas)

Le groupe Sandaya est désormais aux manettes du camping du Ranolien à Ploumanac’h (Perros-Guirec). Des investissements seront menés pour améliorer les infrastructures.

Lannion. La première fête de la bière artisanale ce week-end

L’association Bock à bloc donne le ton de la rentrée avec une première fête de la bière artisanale à Lannion.

L’association Bock à bloc donne le ton de la rentrée avec une première fête de la bière artisanale à Lannion. (©Christophe Ganne)

La toute jeune association Bock à bloc organise samedi et dimanche à Lannion la première fête de la bière artisanale. 18 brasseurs vont proposer pas moins de 80 bières différentes, et dans le parc à Sainte-Anne, des stands vont accueillir 33 créateurs. Des concerts sont aussi prévus.

Football. Trois blessés à l’US Ploubezre : le comportement de Scrignac mis en cause

Yannick Le Kerneau (US Ploubezre) a perdu trois joueurs à Scrignac : « C’est tout sauf du football… »

Yannick Le Kerneau (US Ploubezre) a perdu trois joueurs à Scrignac : « C’est tout sauf du football… » (©Bernard Guilcher)

L’US Ploubezre a perdu trois joueurs dimanche dernier à Scrignac. Son entraîneur Yannick Le Kerneau est colère. Il dénonce le comportement des Finistériens.

42 km 195. C’est parti pour le marathon Paimpol-Perros

Parmi les partenaires réunis autour de Denis Penndu, Katell Besson du Leclerc Paimpol a annoncé la distribution d’un panier garni de produits bretons à chacun des coureurs.

Parmi les partenaires réunis autour de Denis Penndu, Katell Besson du Leclerc Paimpol a annoncé la distribution d’un panier garni de produits bretons à chacun des coureurs. (©Le Trégor)

Le 3e marathon Paimpol-Perros programmé le 22 septembre est déjà lancé pour les nombreux bénévoles et partenaires de ce défi ouvert aux individuels, aux relais à deux ou même à quatre.

Gens d’ici. Lannion : elle rêve d’être pilote de chasse depuis l’âge de 7 ans

A tout juste 18 ans, Manon Gantier a déjà 33 heures de vol à son actif à l’aéro-club de Lannion. Et se rapproche de son rêve : devenir pilote de chasse.

A tout juste 18 ans, Manon Gantier a déjà 33 heures de vol à son actif à l’aéro-club de Lannion. Et se rapproche de son rêve : devenir pilote de chasse. (©Isabelle Philippet)

C’est le show de la Patrouille de France, vu toute gamine à Perros-Guirec, qui a déclenché sa vocation. A 18 ans, Manon Gantier enchaîne les heures de vol à l’aéro-club de Lannion et rêve de devenir pilote de chasse.

 

Et aussi :
Politique : les dossiers de rentrée du député Eric Bothorel
Mémoire : des Poilus du Trégor reposent en Belgique.
Insolite : les notaires en selle samedi.
Agriculture : les producteurs bio s’organisent.
Breton : des cours avec Ti ar vro dans 13 communes.
Agglo : 1 550 arrêts de bus à desservir !
Lannion : un million pour les Urgences de l’hôpital 
Lannion : Municipales, de l’électricité dans l’air.
Lannion : action en justice pour les arbres du jardin public.
Lannion : l’école Diwan fête ses 40 ans.
Lannion : l’Enssat mise sur l’apprentissage.
Lannion : l’IUT va surfer sur le tourisme et Internet.
Lannion : l’espace Corinne-Erhel inauguré.
Lannion : Eco-compteur piste les cyclistes à Paris.
Perros-Guirec : à la Clarté, la carrière Rébillon vendue.
Perros-Guirec : en mer, les tourelles reprennent des couleurs.
Trébeurden : la Potinière, c’est (re)parti pour durer.
Louannec : trois jeunes athlètes récompensés.
Trébeurden : les travaux lancés rue des Plages.
Trégastel : le label Qualivilles dans le viseur.
Trélévern : le site de Port l’Epine revalorisé.
Plestin : une saison touristique d’exception.
Plestin : la perception va fermer.
Ploumilliau : un mur de colis devant la Poste fermée.
Trédrez : une nouvelle école de football.
Plouaret : commerce, des atouts à valoriser.
Plouaret : choucas et sangliers font jaser.
Plounévez-Moëdec : le bourg rénové séduit.
Tonquédec : 20 tonnes de patates en vente.
Plounérin : une nouvelle équipe de football féminine.
Plounérin : la commune rachète le Capri.
Guerlesquin : les Journées des plantes ce week-end.
Locquirec : Michel Priziac sort son 6e roman.
Camlez : le roman d’Emilie Bonnafous-Armengol.
Plouguiel : le trail de l’Estran sur les rails.
Plouguiel : la nouvelle bibliothèque ouverte.
Penvénan : internet et téléphone, le ras-le-bol.
Penvénan : un court-métrage en tournage en octobre.
Plougrescant : le premier roman de Gwen Caillet.
Pédernec : les parents d’élèves toujours mobilisés.
Pédernec : les anciens présidents d’associations à l’honneur.

Et bien d’autres infos dans les pages locales, les loisirs de la semaine et l’actualité des sports.

 


Pays de Fougères : y'a quoi dans la Chronique cette semaine ?

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Désormais, on peut passer une IRM à l'hôpital de Fougères.

Désormais, on peut passer une IRM à l’hôpital de Fougères. (©La Chronique républicaine)

La Chronique républicaine, l’hebdomadaire de Fougères et sa région, est sortie ce jeudi 12 septembre. Et, si vous ne pouvez (voulez) pas vous la procurer dans les points de ventes habituels, la Chronique se lit également en version numérique.

 

Pour vous faire une idée, voici un (petit) aperçu du programme de la semaine.

La Une de la semaine

La Une de la semaine (©La Chronique républicaine)

A la Une

Handicapé par la maladie de Lyme, Julien a un espoir en Allemagne... Mais ça coûte cher...

Handicapé par la maladie de Lyme, Julien a un espoir en Allemagne… Mais ça coûte cher… (©La Chronique républicaine)

Avenir. Retour du train à Fougères ? L’étude est lancée

 

Santé. A Fougères, on peut désormais passer une IRM

 

L’Histoire. Handicapé par la maladie de Lyme, Julien a un espoir en Allemagne… Mais ça coûte cher…

L'étude pour le retour du train à Fougères est lancée...

L’étude pour le retour du train à Fougères est lancée… (©Région bretagne)

Vous trouverez aussi…

Portrait. Cosplay : quand Maëva devient Kyôki-Chan.

Portrait. Cosplay : quand Maëva devient Kyôki-Chan. (©Grils & Cosplay)

Portrait. Cosplay : quand Maëva devient Kyôki-Chan

 

Entreprise. A Fougères, Nutri Concept nourrit les animaux depuis 30 ans.

 

Faits divers. Accidents, blessés et fuite de gaz.

 

Sans oublier…

Rencontre avec quatre familles qui ont choisi de s'installer à Fougères.

Rencontre avec quatre familles qui ont choisi de s’installer à Fougères. (©La Chronique républicaine)

À Fougères, nouvelle rubrique : les conseils conso de l’UFC-Que choisir ; rencontre avec quatre familles qui ont choisi de s’installer dans la cité médiévale ; insolite : les collégiens ont réclamé (et obtenu) un cours de grec ancien ! ; coup de gueule : station de lavage : un été très, très long… ; Le Greta propose des formations rémunérées ; l’école diwan chercher de nouveaux locaux ; zoom sur le Q.G ; et bien d’autres sujets…

 

Autour de Fougères, Agriculture. Sandrine va créer un élevage de 400 veaux ;

A Louvigné, journée festive : un dimanche au Wadada remet le couvert ;

Dans le Coglais, A Montours, une pétition contre le développement de la carrière ;

Autour de Val Couesnon, Nouvelle saison culturelle ; la billetterie en ligne ;

A Saint-Aubin-du-Cormier, Le site patrimonial remarquable avance ;

A Liffré, comment la ville va accueillir 42 cars près du lycée…

Un dimanche au Wadada remet le couvert à Louvigné-du-Désert.

Un dimanche au Wadada remet le couvert à Louvigné-du-Désert. (©La Chronique républicaine)

Mais également…

 

Les bébés de la semaine et surtout de nombreux articles sur la vie locale dans toutes les communes de notre zone de couverture.

Sans oublier deux pages pour organiser vos sorties et quatre pages sportives, dont le trombinoscope de Fougères basket (N2) qui entame sa saison à domicile ainsi que les ambitions du rugby en Fédérale 3 et des handballeurs…

 

La Chronique, enfin, ne serait pas complète sans ses pages de petites annonces, de cinéma, de programme TV et bien sûr de jeux.

 

Bonne lecture ! Et à la semaine prochaine.

Tango, soirée Bollyciné... Nos idées de sorties en Seine-Maritime, ce jeudi

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Tango

Venez découvrir les activités de Port Tango.

Venez découvrir les activités de Port Tango. (©Adobe Stock.)

L’association Port Tango organise une soirée portes ouvertes. L’occasion de s’initier au tango avec Luis Bruni et sa partenaire, Juliette Dias.

Infos pratiques :
Jeudi 12 septembre 2019, de 16h à 22h, au Magic Mirrors, quai Frissard, au Havre.
Entrée libre.

Bollyciné

«Once again», une projection unique dans le cadre d'une soirée Bollyciné, au Sirius, au Havre.

«Once again», une projection unique dans le cadre d’une soirée Bollyciné, au Sirius, au Havre. (©Arsenal Filmverleih.)

Bollyciné organise une séance exceptionnelle au Sirius et présente le film indien, Once again. Il est possible de déguster un plat indien sur place, en amont de la projection.

VIDÉO. La bande-annonce de Once again :

Infos pratiques :
Jeudi 12 septembre, à 20h45, au Sirius, 5 rue Du Guesclin, au Havre. L’assiette indienne (de 8 à 10 euros) est servie au café du Sirius, à partir de 19h.
Réservations au 07 71 85 73 78.
Tarif séance cinéma : 5,80 euros.

Oldelaf et Alain Berthier

Sur le ton de la chanson humoristique, le duo joue sur le principe du clown blanc et de l’auguste, en multipliant les gags et les vannes. Au programme, humour absurde et autodérision. Laissez-vous conter la folle histoire de Michel Montana.

VIDÉO. Écouter Oldelaf et Alain Berthier :

Infos pratiques :
Jeudi 12 septembre, à 20 heures, au théâtre À l’ouest, quai Gaston Boulet, à Rouen.
Tarifs : de 16 à 20 euros.

So!triO

Au programme du So!triO, du jazz, de l’improvisation, des compositions, le tout avec trois instruments : violoncelle, batterie, guitare. So!triO, c’est Olivier Soubeyran, Hakim Molina et Yann Auger. Réservations : sotriogroup@gmail.com 

Infos pratiques :
Jeudi 12 septembre, à 20h30, à l’Almendra, rue Paul Baudoin, à Rouen.
Tarif : 12 euros.

Le spécialiste des robes de mariée Pronuptia en liquidation judiciaire

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Le groupe Pronuptia cherche un repreneur.

Le groupe Pronuptia cherche un repreneur. (©Le Courrier de la Mayenne)

Est-ce la fin des robes de mariée Pronuptia ? Le groupe installé à Louverné (Mayenne) a été placé en liquidation judiciaire le mercredi 4 septembre 2019. L’entreprise est en cessation de paiement depuis le 2 août.

Le tribunal de commerce de Laval a toutefois autorisé la poursuite de l’activité pendant trois mois. D’ici le 4 décembre, Philippe Macé, le P-Dg du groupe, et les salariés espèrent trouver un repreneur.

234 emplois menacés partout en France

Au total, 234 salariés sont menacés par cette liquidation judiciaire, que ce soit au siège à Louverné ou dans les différents magasins du groupe répartis un peu partout en France.

Les difficultés ne sont pas nouvelles pour le groupe. Ce dernier avait été placé en redressement judiciaire en juin 2013.

La faute aux gilets jaunes et à la hausse du dollar

Mais en juin 2019, impossible d’honorer l’échéance prévue dans le plan de continuation. Le groupe Pronuptia donne deux explications.

« Dans un contexte de marché difficile, aggravé par les mouvements sociaux de début d’année, au plus fort de notre saison en janvier, février et mars, nous avons subi, comme beaucoup d’acteurs du commerce de détail, une baisse de chiffre d’affaires importante qui est venue anéantir notre rentabilité habituelle. »

Au tribunal de commerce, Philippe Macé a aussi mis en avant l’augmentation des coûts de production liée à l’augmentation de la valeur du dollar.

Honorer les commandes

Le tribunal a instamment demandé au groupe d’honorer les commandes en cours.

Lire aussi : Loto : le gagnant des 7 millions d’euros a validé son ticket à Louverné

Toulouse. L'aéronautique et le spatial recrutent : un salon propose des offres d'emploi à la pelle

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L'aéronautique et le spatial, des secteurs qui recrutent énormément à Toulouse

L’aéronautique et le spatial, des secteurs qui recrutent énormément à Toulouse (©Airbus / C. Sadonnet)

Ce sont 1000 offres d’emploi dans l’aéronautique et le spatial qui seront proposées au salon Synergie.aero, mardi 24 septembre 2019. Salon qui se déroule au stade Ernest-Wallon à Toulouse,  9 heures à 18 heures.

Airbus, Cnes, Safran, Latécoère, Liebherr : les géants de l’aéronautique et du spatial seront présents avec des emplois en intérim, mais aussi des contrats de type CDD et CDI dans  les nombreux métiers liés à la production, à la technique ou encore à l’encadrement.

Salon ouvert à tous les profils

Le salon synergie.aero est ouvert à tous quel que soit votre profil : que vous soyez en recherche d’emploi, à la recherche d’une formation ou que vous souhaitiez vous informer sur le secteur de l’aéronautique et du spatial.

L’entrée est gratuite, et les inscriptions sont déjà en ligne sur le site du groupe Synergie, une entreprise spécialisée dans le recrutement. 

Pour en savoir plus sur les offres proposées, sur les entreprises présentes et sur les profils recherchés, retrouvez notre article complet :

>> Toulouse. Airbus, Cnes… : des milliers d’offres à pourvoir lors d’un événement au Stade Toulousain<<

Première en Normandie : la collecte des algues commence pour fabriquer du plastique biodégradable

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Un ingénieur normand veut valoriser des algues échouées sur la côte de Nacre dans le Calvados.

Un ingénieur normand veut valoriser des algues échouées sur la côte de Nacre dans le Calvados. (©Liberté Caen)

À Douvres-la-Délivrande près de Caen (Calvados), Ecovalgue rentre dans le vif du sujet. Le ramassage des algues et leur valorisation vont commencer avant la fin du mois de septembre. Pour cela, à Douvres, la société dispose désormais d’un bâtiment de 400 m où deux séchoirs sont attendus.

Lire aussi : Près de Caen, une start-up se lance dans la collecte et la valorisation des algues de la Côte de Nacre

À l’extérieur, la laveuse est, elle, déjà arrivée. Tout comme la machine à dents. C’est elle qui sur la côte du Calvados, entre Ver-sur-Mer et Lion-sur-Mer, ramasse les algues. Ensuite direction Douvres en tracteur, où ce possible or vert sera lavé, dessablé, dessalé et séché.
La destination finale ? Souvent la Bretagne où des industriels savent valoriser l’algue fraîche. Dans l’entrepôt des algues seront également desséchées pour être utilisées pour du bio plastique par exemple.

Un an d’expérimentation

Pour Stéphane Dobriansky qui a créé Ecovalgue en 2017, c’est enfin le début de la phase concrète de son projet. Président-fondateur de cette SAS, il a pu investir après une augmentation de capital, suite à l’arrivée de deux actionnaires à hauteur de 30 % au total.
Persuadé de l’intérêt de la chimie bleue (l’équivalent marin de la chimie verte qui respecte l’environnement) : « l’avenir de l’algue », il est le premier entrepreneur en Normandie à collecter et à valoriser les algues. La Région (15 000 €) et l’Europe (17 000 €) ont d’ailleurs décidé de subventionner une première année d’expérimentation.

Sur 42 semaines, 400 à 1 000 tonnes d’algues vont être traitées. Dans un an, on dressera le bilan. Nous menons aussi une étude d’impact sur la collecte : pour savoir ce qui se passe sur l’estran et quelles sont les conséquences.

Lire aussi : Algues : les Normands s’engagent dans leur valorisation industrielle

Stéphane Dobriansky avec la machine qui ramasse les algues sur la plage.

Stéphane Dobriansky avec la machine qui ramasse les algues sur la plage. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

À terme, si le résultat est probant, Ecovalgue envisage de traiter 12 000 tonnes par an. Une goûte dans l’océan. « En juillet à Courseulles, ce sont 4 000 tonnes d’algues qui s’échouent », sourit Stéphane Dobriansky, qui se dit « confiant ».
Bientôt un conducteur de ligne et un responsable R&D (Recherche et Développement) vont rejoindre Ecovalgue qui entend travailler avec la filière normande de l’algue. Par exemple avec le centre de recherche de biotechnologie marine d’Algaia basé à Saint-Lô (Manche).

Lire aussi : Innovation : des Manchois misent sur les algues

Stéphane Dobriansky le fondateur d'Ecovalgue à Douvres-la-Délivrande à côté de l'unité qui lave les algues.

Stéphane Dobriansky le fondateur d’Ecovalgue à Douvres-la-Délivrande à côté de l’unité qui lave les algues. (©Arnaud Héroult/Liberté Le Bonhomme Libre)

L'une des premières boutiques partagées de la Somme devrait ouvrir avant fin 2019

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Suite à la fermeture en 2016 de la maison de la presse au 65, rue Charles de Gaulle à Gamaches, (Somme) la ville, qui s'est portée acquéreur du local, prévoit l'ouverture d'une boutique partagée pour la fin de l'année 2019.

Suite à la fermeture en 2016 de la maison de la presse au 65, rue Charles de Gaulle à Gamaches, (Somme) la ville, qui s’est portée acquéreur du local, prévoit l’ouverture d’une boutique partagée pour la fin de l’année 2019 (©L’Éclaireur du Vimeu).

Ça y est. Les choses se concrétisent pour les locaux de l’ancienne maison de la presse de Gamaches (Somme), au 65, rue Charles de Gaulle.

Une boutique partagée devrait y ouvrir ses portes pour les fêtes de fin d’année 2019. Une bonne nouvelle pour le commerce local !

Un magasin, mais lequel ?

Depuis la fermeture surprise de la maison de la presse à l’été 2016, la municipalité de Gamaches n’a eu de cesse de travailler sur le dossier. Après avoir fait l’acquisition du local, elle a multiplié les réflexions et les idées. À chaque fois, une seule constante : créer un commerce.

En effet, le local se situe dans un périmètre, allant du magasin Intermarché aux feux tricolores, où les surfaces commerciales ne peuvent pas être transformées en logement.

Finalement, après plusieurs rencontres avec les responsables de Boutique de Gestion Espace Picardie (BGE), la commune a décidé de s’orienter vers une boutique partagée, « pour la redynamisation du centre-ville » rappelle le maire Daniel Destruel.

Pour une dizaine de commerçants

Toujours selon l’élu, l’idéal serait d’avoir une dizaine de commerçants. À ce jour, BGE serait déjà en contact avec une demi-douzaine de personnes.

Mais attention, il ne s’agit pas d’accueillir physiquement les commerçants, mais plutôt de leur offrir une vitrine pour qu’ils proposent leurs produits.

André Renoux, premier adjoint au maire, précise :

 Ce concept de boutique partagée offre la possibilité à des gens de vendre des produits, sans pour autant faire l’acquisition d’un pas-de-porte. C’est ouvert à tout le monde, et cela concerne n’importe quel type de produits.

Par exemple, un producteur de cidre ou de miel, une créatrice de bijoux…

Le but étant aussi de proposer des produits complémentaires de ceux déjà vendus par les autres commerçants de la commune.

Viser une opération blanche

Pour faire aboutir ce projet, une convention va être signée avec BGE. C’est ce réseau d’accompagnement qui sera chargé, en collaboration avec la commune, de rédiger un appel à projets pour le recrutement des commerçants. Il sera aussi chargé d’assurer l’installation des commerçants ou encore la comptabilité de la boutique.

En contrepartie, la municipalité s’engage notamment à faire rénover le local. Précisons également que la convention prévoit une participation financière de la commune, qui devra verser 5 000 euros TTC par an à BGE Picardie, le temps de la convention.

Pour tenter de réaliser une opération blanche, tout en respectant le caractère modéré imposé par la convention, la municipalité a décidé de fixer le montant du loyer à 45 euros par mois et par commerçants la première année. Ainsi, en se basant sur une dizaine de commerçants, cela permettrait d’amortir les 5 000 euros de cotisation annuelle à BGE.

Enfin, le dossier, en phase de finalisation, devrait aboutir assez vite. La ville de Gamaches espère une ouverture de sa boutique partagée pour les prochaines fêtes de fin d’année.

Dans la Sarthe, une coiffeuse envoie au recyclage les cheveux coupés

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Virginie coupe les cheveux d'un client, ils sont récupérés dans un sac... À droite, Nadège, la propriétaire du salon de coiffure.

Virginie coupe les cheveux d’un client, ils sont récupérés dans un sac… À droite, Nadège, la propriétaire du salon de coiffure.

Une deuxième vie pour vos cheveux ! C’est ce que propose le salon de coiffure « Miss T’Hair » qui s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire en intégrant l’association « Coiffeurs justes ».

Depuis la semaine dernière, les cheveux coupés sont collectés et envoyés à un Esat (Établissement et service d’aide par le travail), pour être recyclés.

Collectés dans des sacs ensuite adressés à des Esat

Depuis plus de trois ans, cette association, créée par Thierry Gras et domiciliée dans le Var, s’est penchée sur la valorisation du cheveu auprès des coiffeurs, s’inscrivant dans une démarche écologique autour de la récupération et la réutilisation du cheveu qui représente 50 % des déchets d’un salon de coiffure.

Tous les jours, des milliers de coiffeurs coupent, colorent, taillent, brushent, les cheveux ! Et après ? « La majorité des coiffeurs les jette »

Les responsables de cette association se sont posé la question de savoir quelle pourrait être leur utilisation ? Comment cette matière organique pourrait-elle être valorisée ?

Après bien des réflexions, Thierry Gras a décidé de créer un simple sac à cheveux, pour en permettre le stockage et le transport ! Il développe aussi, avec des acteurs de la Provence verte, l’idée de mettre des containers dans certaines villes pour le ramassage des cheveux.

Nadège Miss, la propriétaire du salon « Miss T’Hair », adhère totalement à cette démarche puisqu’elle utilise, déjà dans son salon, des produits végétaux, teinture pour les mèches, argile…

Du compost, de l’isolant, des boudins anti-marées noires !

Les cheveux sont collectés dans le sac à cheveux : le résultat d’environ 220 coupes. Les sacs sont envoyés à Brignolles où les cheveux sont transformés… et pourront alors servir de fertilisant mélangé à du compost, d’isolant renforçateur de béton, ou pour la filtration des eaux et des hydrocarbures sous forme de boudins en cas de marée noire. Le cheveu étant lipophile – il retient les substances grasses – les hydrocarbures s’agglutinent, en effet, sur les boudins,

Cette ressource naturelle pourrait atteindre une production annuelle de 4 000 tonnes.

Actuellement en Sarthe, seul un autre salon de coiffure de Sillé-le-Philippe adhère à l’association.

Coût annuel : environ 50 € entre l’adhésion et l’achat des sacs, plus le coût du transport.

Renseignements auprès de Miss T’Hair 02 43 97 21 15.


Seine-et-Marne. La combat reprend pour l'accessibilité de la gare de Melun

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Nathalie Raoul et Jean-Luc Delarue avaient commencé leur mobilisation pour l'accessibilité de la gare de Melun à l'été 2018

Nathalie Raoul et Jean-Luc Delarue avaient commencé leur mobilisation pour l’accessibilité de la gare de Melun à l’été 2018 (©La Rep 77)

Alors que les travaux d’accessibilité des gares du Mée-sur-Seine, de Cesson et Savigny-le-Temple sont en cours, la gare de Melun reste à ce jour difficile d’accès pour les personnes en situation de handicap, ou plus largement à mobilité réduite. Jean-Claude Delarue, le président de la Fédération des usagers des transports et des services publics (SOS Usagers), a repris sa mobilisation. 

Lire aussi : Gare de Melun. Quand les politiques s’emparent du sujet de l’accessibilité 

Avant les municipales

Mercredi 4 septembre, il a repris son mégaphone afin de sensibiliser les usagers de la gare de Melun. Mais aussi de passer un message. « En reprenant le combat dès la rentrée, je veux montrer aux politiques qui se sont engagés à nos côtés qu’on oublie pas les promesses qui ont été faites, confie-t-il. Il y a eu des échanges avec Ile-de-France Mobilités et la SNCF, mais depuis, plus rien. »

Pour relancer le mouvement, Jean-Claude Delarue compte bien se servir de la période préélection municipale pour faire accélérer les choses. « Les politiques vont avoir intérêt à bouger et à faire avancer les lignes, souffle-t-il. Il est quand même inconcevable qu’une gare comme celle de Melun, qui accueille près de 40 000 visiteurs, ne soit pas accessible. »

Nouvelles mobilisations ?

À l’été 2018, en compagnie de Nathalie Raoul, de l’association des paralysés de France (APF), il avait engagé une mobilisation pour demander l’accessibilité de la gare de Melun. C’est leur mobilisation au Mée-sur-Seine qui avait déclenché une levée de boucliers, aboutissant à des travaux dans ces trois gares.

« L’accessibilité concerne de nombreuses personnes, des seniors avec des valises lourdes par exemple, mais aussi des parents avec des poussettes ou des jeunes avec des béquilles, insiste-t-il. Ils ont intérêt à montrer qu’ils bougent. » Et de promettre : « On ne baissera pas les bras et nous resterons inflexibles sur ce combat. Si les mobilisations ne suffisent plus, nous passerons alors à des actions plus vigoureuses. »

Yvelines. Municipales 2020 à Vélizy : l'opposition part en campagne et parle de censure

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Amoroze Adjuward, élu d'opposition au conseil municipal de Vélizy.

Amoroze Adjuward, élu d’opposition au conseil municipal de Vélizy.

Ils évoquent un « déni de démocratie », un « muselage de l’opposition ». Amroze Adjuward, conseiller municipal d’opposition à Vélizy-Villacoublay (Yvelines) et Didier Blanchard, également dans l’opposition, membre du groupe Ensemble pour Vélizy font cause commune en cette rentrée 2019. En cause, la non-publication de leurs tribunes dans le journal municipal de septembre.

À la place des tribunes en effet, la page est vide et il y est simplement écrit qu’en raison de la période préélectorale, elles ne sont pas publiées.

Le 2 juillet, la responsable de la communication de la ville a sollicité les différents groupes du conseil pour transmettre au plus tard le 15 juillet leur texte de tribune libre à publier dans le journal municipal de septembre, raconte Didier Blanchard. Coup de tonnerre le 30 août. Un message lapidaire nous informe qu’elle ne sera pas publiée. »

Démocratie locale

Le message, très court, indique en effet : « Comme vous le savez, les dates des élections municipales ont été fixées au 15 et 22 mars 2020. La période de réserve commençant le 1er septembre, nous ne publions plus les tribunes libres. »

Mais pour les groupes d’opposition, la mairie s’est arrogé un droit qu’elle n’a pas, au regard de la jurisprudence et du code des collectivités.

Rien ne permet au maire de s’opposer à la publication d’articles dans la tribune libre, quand bien même ils seraient assimilables à de la propagande électorale, explique Amroze Adjuward. Les dispositions des articles L.52-1 et L.52-8 du code électoral n’ayant en effet pas pour objet de restreindre le droit des conseillers municipaux d’opposition. »

Le maire peut, en revanche, s’opposer à la publication d’une tribune si celle-ci revêt un caractère diffamatoire, puisque l’édile est également directeur de publication.

« Il s’agit d’un manquement grave à la démocratie locale et une tentative claire de museler l’expression des oppositions », conclut Amroze Adjuward. « Nous sommes face à un déni de démocratie locale avec la seule volonté de bâillonner les oppositions », ajoute Didier Blanchard.

Les deux conseiller municipaux d’opposition viennent d’envoyer une lettre cosignée au préfet Jean-Jacques Brot lui demandant de « faire respecter notre droit d’expression jusqu’aux élections municipales de mars 2020 ».

Le maire, Pascal Thévenot, est quant à lui serein. « Lorsque l’on entre dans la période des six mois de période préélectorale, nous ne publions plus les tribunes. »

Il explique sa décision dans son édito de septembre :

Si aucune liste ou candidat n’est encore déclarée, les règles en termes de communication sont très strictes et à appliquer à partir du premier jour du sixième mois précédant le mois pendant lequel ont lieu des élections, soit le 1er septembre. Aussi, pour éviter toute confusion entre les communications institutionnelles et électorales, nous avons décidé de ne plus publier les tribunes libres et de restreindre l’expression de mon édito. »

Le maire voit plutôt dans cette levée de boucliers des oppositions l’amorce de la campagne des municipales 2020.

Football. Ligue 1 : Brest - Rennes vu par les Finistériens du Stade brestois 29

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Brendan Chardonnet, Mathias Autret et Gautier Larsonneur ont tous les trois été formés à Brest.

Brendan Chardonnet, Mathias Autret et Gautier Larsonneur ont tous les trois été formés à Brest. (©SB29/Michel Rousseau)

En l’absence d’En Avant Guingamp et du FC Lorient cette saison en Ligue 1, le Stade brestois 29 et le Stade Rennais y sont les deux seuls représentants bretons. Et les deux clubs vont s’affronter samedi, 14 septembre 2019, au stade Francis-Le Blé à Brest.

Brendan Chardonnet, Gautier Larsonneur et Mathias Autret, tous les trois Finistériens et formés à Brest, nous parlent de ce match à part.

Lire aussi : Football – Ligue 1 : avec Jean-Kévin Duverne, le Stade brestois 29 clôt son mercato

Rennes, la référence bretonne chez les jeunes

Brendan Chardonnet : «Mon plus gros souvenir, c’est le quart de finale de Coupe Gambardella en 2012. On avait gagné 10-9 aux tirs au but. Pourtant, j’avais raté le mien en tentant une panenka !»

Gautier Larsonneur : «Rennes, c’est toujours l’épouvantail chez les jeunes. Je me souviens d’un match où Ousmane Dembélé avait dribblé plusieurs joueurs, moi y compris, avant d’attendre devant le but vide pour marquer.»

Mathias Autret : «Depuis qu’on est jeunes, jouer contre Rennes est toujours l’occasion de se mesurer à ce qui se fait de mieux en Bretagne. Quand on avait joué contre eux en U18, je m’étais dit que c’était un autre monde et qu’il me restait beaucoup de travail pour atteindre le monde professionnel.»

Lire aussi : Football – Ligue 1 : Alexandre Mendy a signé à Brest

Des retrouvailles plus rares chez les pros

B. C. : «Ce dont je me souviens, c’est la frappe de Nolan Roux en 2011. Je n’étais pas encore dans le groupe professionnel et j’étais en tribunes. Le stade Francis-Le Blé avait explosé.»

G. L. : «J’avais fait le déplacement à Rennes lors de la saison 2011-2012 (il avait alors 14 ans). Ce qui m’avait surtout marqué, c’est que j’avais reçu le maillot de Steeve Elana à la fin du match.»

Lire aussi : Stade brestois 29 – Toulouse : les images de la rencontre

La suprématie régionale en jeu

G. L. : «Le derby contre Guingamp reste plus chaud et plus important dans l’esprit des supporters brestois. Mais cela reste un derby régional, surtout cette année où nous sommes les deux seuls clubs bretons en Ligue 1.»

M. A. : « Les derbies contre Rennes sont plus calmes que contre Lorient ou Guingamp mais ça reste un derby. Encore plus à Brest où les supporters nous en parlent régulièrement dans la rue. »

Infos pratiques :
Samedi 15 septembre 2019 à 20h au stade Francis-Le Blé, 26 route de Quimper à Brest
www.sb29.bzh

VIDEO. FOOTBALL "Régional 3" Entame de championnat victorieuse pour l’Oison

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Alassane Sall, très percutant à la pointe de l’attaque de l’Oison.

Alassane Sall, très percutant à la pointe de l’attaque de l’Oison. (©Le Courrier de l’Eure)

VALLEE OISON : L’herminez- Lemos B (cap), Delesques, Hebert, Deguisne S- Lemos N, L’oison puis Pierrain (58e), Cointe puis Gueguan (78e)-Sall, Jacoby, Deguisne D.

D’entrée de jeu l’Oison est conquérant et sérieux, cela va payer très vite. Tout d’abord sur une contre-attaque amorcée par Alassane Sall et relayée par Damien Deguisne, qui voit sa frappe passer de peu à côté (5e). Ce n’est que partie remise pour celui-ci. Après une action individuelle et une percée rageuse, il trouve le montant. Mais opportuniste, et profitant d’un cafouillage, Alassane Sall ouvre la marque (15e).

Le jeu s’équilibre et les défenses prennent le pas sur les attaques. À plusieurs reprises l’ESVO a l’opportunité de faire le break. Mais ni la frappe de Jonathan Cointe (28e), ni les coups de boutoirs d’Alassane Sall (30e et 32e) ne permettent de creuser l’écart. Cela va se faire à la 34e sur une frappe des 25 m d’Adrien Loison qui fait mouche (2-0). Ce score à la mi-temps va être flatteur pour les visiteurs, tant les joueurs de l’Oison enchaînent les occasions, sans concrétiser !

C’est sur une incompréhension totale que redémarre la deuxième période. Un ballon repoussé de la poitrine par Sébastien Delesques, et l’arbitre siffle un penalty pour une faute de main ? Les visiteurs jusqu’alors inoffensifs transforment l’offrande (49e / 2-1). Ce sera la seule erreur d’un arbitre maîtrisant parfaitement cette rencontre.

À ce moment, les travers de la saison dernière resurgissent. Les joueurs de l’Oison reculent et arrêtent de jouer. Heureusement, les joueurs de Pitres n’en profiteront pas. Le tableau d’affichage restait inchangé, avec au bout, une première victoire pour l’Oison.

 

Landes. 1,5 million d'euros pour le projet de vague artificielle dédiée au surf

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Le projet de parc aquatique dédié au surf à Castets, dans les Landes.

Le projet de parc aquatique dédié au surf à Castets, dans les Landes. (©Wavelandes)

Le projet de vague artificielle dédiée au surf, dont l’ouverture est annoncée à l’été 2021 à Castets, dans les Landes, est estimé à 40 millions d’euros.

L’ouverture de ce « premier surf parc de France » qui permettrait aux surfeurs de s’entraîner toute l’année, reste néanmoins suspendu au bouclage financier de l’équipement, proposé par les sociétés Wavelandes et Linkcity.

Teaser Wavegarden

Teaser wavegarden

Publiée par Wavegarden Landes Castets sur Mercredi 29 août 2018

Lire aussi : Gironde. Admirez le mascaret vu du ciel grâce à cette vidéo tournée par un drone

Vasconie capital annonce un investissement de 1,5 million d’euros

Pour l’instant, la seule annonce est celle de Vasconie capital, entreprise basée à Biarritz, qui annonce un investissement de 1,5 million d’euros, rapporte Sud Ouest.

Le projet a été approuvé par la municipalité de Castets qui a pris un arrêté pour autoriser la société Linkcity de défricher un peu plus de 10 hectares de terrain.

 

Voilà à quoi devrait ressembler le futur wavegarden à Castets. Le wavegarden Cove en forme de triangle de 150m de…

Publiée par Wavegarden Landes Castets sur Vendredi 31 août 2018

Lire aussi : Wavelandes, le premier parc aquatique dédié au surf va ouvrir dans les Landes

900 vagues par heure

Six zones de surf, pas moins de 900 vagues/heure, une superficie supérieure à deux stades de foot (150 mètre sur 150 mètres), le Wavelandes affiche des ambitions à même de séduire les waveriders de toute l’Aquitaine. Il en sera attendu 160.000 par an. 

L’infrastructure comptera un bassin de baignade, des espaces d’hébergement et de restauration dans des constructions bois.

 

Météo jeudi 12 août Morbihan : retour progressif des éclaircies

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Il y aura encore de la grisaille ce jeudi matin

Il y aura encore de la grisaille ce jeudi matin (©Météo Bretagne)

Difficile d’observer les éclaircies dans la matinée. Patience ! Elles arrivent. En attendant ce matin le Morbihan reste couvert voir dans la brume par endroit. Des nuages bas sont notamment attendus vers Le Faouët.

Les températures remontent encore ce matin. Un air chaud est en train d’arrivé sur la Bretagne, annonce Météo-Bretagne et va s’y installer jusqu’à dimanche. On note 14° à Pontivy, 15° à Plouay, ou Ploërmel et déjà 17° à Carnac.

Retour des éclaircies… avec des températures en hausse

L’après-midi, le ciel va se dégager peu à peu pour offrir quelques belles éclaircies qui devraient rester pour la soirée. Cet ensoleillement va ensuite s’améliorer pour le reste du weekend.

Ce jeudi 12 septembre laisse entrevoir quelques premières éclaircies qui gagneront du terrain ensuite ce weekend

Ce jeudi 12 septembre laisse entrevoir quelques premières éclaircies qui gagneront du terrain ensuite ce weekend (©Météo Bretagne)

Les températures grimpent encore. On dépassera les 20° sur tout le département comme pour les 21° que l’on relèvera à Baud ou les 23° à Malestroit et à La Gacilly.

En vue de futurs travaux aux Oratoriens de Poligny, les accès ont été testés mardi

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L'objectif était de vérifier si le site des Oratoriens était accessible.

L’objectif était de vérifier si le site des Oratoriens était accessible. (©DR/Gérald Cantaux, Ville de Poligny)

Dans le cadre des travaux de modernisation et d’aménagement qui seront menés dans quelques mois sur le site des Oratoriens (lycée Friant), un camion a effectué des essais dans les rues étroites de Poligny, mardi 10 septembre 2019.

« L’objectif était de vérifier si le camion était en situation d’évacuer ces gravats », souligne le maire, Dominique Bonnet. « On prépare les flux de camions qui pourraient modifier les plans de circulation ». 

Le conseil régional avait mandaté une entreprise, la société Secula logistique, de Ruffey-lès-Beaune, spécialisée dans le transport routier de déchets, pour effectuer ces essais. « On va être en mesure de trouver des adaptations car les accès sont possibles », souligne l’élu.

Ces travaux financés par le conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté débuteront en 2020. Le concours de la police municipale avait été requis pour l’occasion.

Le concours de la police municipale a été requis.

Le concours de la police municipale a été requis. (©DR/Gérald Cantaux, Ville de Poligny)


Hauts-de-Seine. Avis aux gourmets, c'est la foire aux fromages et aux vins ce week-end, à Antony

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La 33e foire aux fromages et aux vins aura lieu à Antony (Hauts-de-Seine) du vendredi 13 au dimanche 15 septembre 2019.

La 33e foire aux fromages et aux vins aura lieu à Antony (Hauts-de-Seine) du vendredi 13 au dimanche 15 septembre 2019. (©Illustration / Flickr)

C’est un week-end qui va sentir bon le terroir et les produits locaux à Antony (Hauts-de-Seine), du vendredi 13 au dimanche 15 septembre 2019. Le quartier Saint-Saturnin reçoit en effet la 33e édition de la foire aux fromages et aux vins. Un rendez-vous gourmand auquel seront présents 156 exposants. L’occasion de déguster de nombreux produits. 

Des produits de la France entière

Dans le détail, les étals accueilleront 74 vins, 31 fromages, 16 salaisons, 16 boissons non alcoolisées et 47 autres produits (comme le foie gras ou autres douceurs), en provenance des 13 régions hexagonales. La Suisse sera également représentée. Côté restauration, divers plats typiques seront proposés pour se restaurer, principalement des recettes d’hiver : tartiflette, truffade, tripoux, galettes bretonnes ou encore des crêpes… 

De nombreuses activités rythmeront la foire tout au long du week-end. Une découverte des vieux métiers, comme la fabrication du beurre à la baratte, sera proposée ainsi que des cours de cuisine donnés par le chef Jean-Yves Corvez. Des paniers garnis, produits et autres lots seront aussi mis en jeu pendant ces trois jours, dont le lancement aura lieu vendredi 13 septembre à 16 heures.

Une ouverture perturbée par la grève ?

L’année dernière, la foire avait accueilli 80 000 personnes selon la mairie. Vendredi, le jour d’ouverture pourrait être perturbé par la grève qui touche la RATP, le RER B ne circulant que très ponctuellement aux heures de pointe. Toutefois, le RER C n’est pas concerné. Il sera donc possible de se rendre à Antony en descendant à l’arrêt « Gare du chemin d’Antony ». Et de venir se régaler les papilles.

Lire aussi : Grève à la RATP : 10 lignes de métro fermées, journée noire prévue ce vendredi

Infos pratiques :
Foire aux fromages et aux vins
Quartier Saint-Saturnin, Antony
Vendredi : de 16 heures à 22h30 ; samedi : de 10 heures à 22h30 ; dimanche : de 10 heures à 19h30
Entrée gratuite
Tout le programme est à retrouver ici

Toulouse. Plus de 3000 €/m² en moyenne dans l'ancien : nouveau record immobilier

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En septembre 2019, le prix moyen dans l'ancien vient de franchir pour la première fois la barre symbolique des 3000 €/m² à Toulouse.

En septembre 2019, le prix moyen dans l’ancien vient de franchir pour la première fois la barre symbolique des 3000 €/m² à Toulouse. (©Illustration/Adobe Stock)

Depuis 2011, les prix moyens de l’immobilier à Toulouse ont progressé de 30%. La tendance relevée par Meilleursagents.com concerne toutes les grandes métropoles (Bordeaux, Rennes, Nantes, Lyon), dopée par l’attractivité démographique et des taux bancaires historiquement bas.

Lire aussi : Immobilier. Toulouse en tête du palmarès des villes où il faut investir

Hausse de 7,1% en un an

Mais l’information du jour donne une nouvelle photographie de la situation dans la Ville rose : pour la première fois, les prix dans l’ancien dépassent la barre symbolique des 3 000 euros du mètre carré. Selon le baromètre de Meilleursagents, ce prix atteint désormais 3086 €/m², soit une hausse de 7,1% en l’espace d’un an.

Paul Séjourné et Nathalie Pascot, de Valeurs immobilières 31, détaillent :

Le marché de l’agglomération toulousaine est très dynamique. Beaucoup de vendeurs veulent profiter de la hausse des prix et il y a également énormément d’acquéreurs. Leurs profils sont très variés  (familles, primo-accédants…) et beaucoup s’intéressent à l’hyper-centre de Toulouse.

Lire aussi : Immobilier à Toulouse. Voici quelles sont les rues les plus chères (et les moins chères) de la ville

Treize acheteurs pour dix vendeurs

Il y a aujourd’hui  treize acheteurs pour dix vendeurs (intra-muros). La tendance à la hausse des prix  « devrait donc s’accentuer dans les mois à venir ». Il faut en moyenne 75 jours pour vendre un bien sur Toulouse.

Le pouvoir d’achat des ménages demeure en phase avec ces hausses, ce qui soutient le marché. En moyenne, avec un endettement bancaire au plafond (33%), les acquéreurs peuvent s’offrir 51 m² dans la Ville rose. 

Lire aussi : Immobilier. Appartements, maisons : les prix flambent à Toulouse, le point quartier par quartier

En l'espace de cinq ans, les prix de l'immobilier à Toulouse ont bondi de près de 27%. Autant qu'à... Paris !

En l’espace de cinq ans, les prix de l’immobilier à Toulouse ont bondi de près de 27%. Autant qu’à… Paris ! (©Illustration/Laurent Derne/Actu Toulouse)

Autant que dans la capitale !

Sur l’aire urbaine de Toulouse, la hausse est un peu moins marquée (+4,7%, 2615 €/m² en moyenne) mais traduit tout autant le dynamisme du marché de l’immobilier. Les experts de Valeurs immobilières 31 précisent :

Autour de Toulouse, les villes les plus attractives sont Balma, notamment pour les familles bourgeoises qui apprécient la proximité des écoles privées de la Côte Pavée. Les villes du nord de Toulouse comme Aucamville et Launaguet offrent la proximité des transports en commun et commerces avec une accessibilité rapide à Toulouse. Des villes proches d’Airbus comme Blagnac et Merville font l’objet d’une demande soutenue et le marché y est dynamique.  

Au cours des cinq dernières années, les prix de l’immobilier à Toulouse ont cru de près de 27%. Soit autant qu’à… Paris.

Lire aussi : Toulouse. De gros projets immobiliers vont bientôt changer la face de ce quartier

La Fête au Village. Il y aura à voir, boire et manger les 21 et 22 septembre

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Anita Burot compte sur votre participation aux 2 jours de fête à La Milesse.

Anita Burot compte sur votre participation aux 2 jours de fête à La Milesse.

Sous la houlette de l’association Art’Com, la Fête au Village a lieu tous les deux ans. La prochaine édition se déroulera les 21 et 22 septembre, à La Milesse (Sarthe) sur le thème de l‘automobile. Retenez bien ce week-end pour vivre des moments qui sortent des sentiers battus. Rencontre avec la présidente Anita Burot.

Comment est née la Fête au village ?

Cette fête est née en 2009 suite à l’aménagement du centre-bourg. La naissance de l’association est liée à une sympathique fête organisée par la municipalité afin de célébrer la réalisation d’une excellente opération au profit de l’ensemble de la population. Un beau et dynamique bourg, c’est ce qui se dégage en premier pour donner une bonne image de notre commune.

Partant de cet outil et de cette conviction, nous avons alors créé l’association Art-Com. Elle représente les artisans, les commerçants, les professions libérales et agricoles. Elle ratisse large en somme.

 

Comment d’adhérents ?

Ça bouge tous les ans. Cette année, nous sommes 25 adhérents.

Le prix de l’adhésion ?

60 euros l’année, ça reste raisonnable.

 

La proximité avec Le Mans et La Chapelle-Saint-Aubin, une rude concurrence ?

Non. Pour nous, c’est plutôt favorable. Cette proximité crée plutôt du lien entre ces deux villes et La Milesse. Une chose est sûre, les commerçants et artisans locaux travaillent bien à La Milesse. Et les relations sont bonnes entre eux, l’association et la municipalité.

 

Qu’est ce qui vous motive pour être à la présidence d’Art’ Com ?

Je suis très proche des commerçants-artisans. Moi-même, je suis commerçante. Ma motivation première est de valoriser les commerçants et artisans locaux sans oublier le milieu agricole et les professions libérales. Par ailleurs, je suis élue. Et c’est très important d’être en phase avec la réalité du terrain. Je suis une élue de terrain et je me dois de défendre la proximité si importante pour faire tourner l’économie locale, de porter les valeurs de notre territoire.

 

Vous êtes très bien placée pour en parler, quelles sont les relations entre la municipalité et l’association ?

Très bonnes relations. Elles sont sans faille. Au niveau des subventions, de la logistique, de l’implication des agents techniques, la mise à disposition et du montage et démontage des stands et de la scène de la Fête au Village, la commune, consciente de l’importance du rôle fédérateur d’Art’Com La Milesse, joue pleinement le jeu. C’est du gagnant-gagnant en somme. Et je tiens à préciser que tout se déroule en concertation avec la ville de La Milesse mais aussi de la commune d’Aigné. Tout est fait pour ne pas se concurrencer. Mieux encore, tout mis en place pour faire la fête ensemble.

 

Qu’aviez-vous organisé comme manifestations importantes l’an dernier ?

D’abord, quand on est commerçants, on est très souvent pris par nos propres affaires. C’est extrêmement difficile de consacrer du temps pour organiser de grosses opérations. C’est pour cette raison, que nous mettons quasiment toutes nos énergies par la Fête du Village qui a lieu tous les deux ans car elle nécessite beaucoup de préparation et d’implication. Et outre l’implication de la commune, notre fête ne pourrait pas avoir lieu sans la mobilisation de nombreux bénévoles, eux aussi motivés par la volonté de donner une image dynamique de La Milesse. Bien sûr, je profite de cette opportunité pour les remercier de leur soutien.

 

Y a-t-il des commerçants ou artisans qui se distinguent ?

Pas question pour moi de mettre en avant un commerçant ou un artisan plus que les autres. Personnellement, je mets tout le monde au même niveau. Ils sont tous importants et se distinguent à leur manière. C’est leur implication que je tiens à mettre en avant. Et de ce côté-là, nos sommes plutôt gâtés à La Milesse.

En tout cas, la Fête du Village est une belle réussite collective qui fédère beaucoup de monde et solidifie les liens sociaux, et cela n’a pas de prix.

 

La fête au village, c’est pour bientôt ?

Tout à fait. Elle se déroulera le samedi 21 et le dimanche 22 septembre prochains. Nous sommes en pleine préparation de l’événement. Elle exige une préparation de longue haleine. Nous sommes dessus depuis plusieurs mois.

Le Thème ?

C’est année, c’est l’automobile. C’est un hommage à ce monde-là. Puis la Sarthe est une terre de légende avec notamment les 24 Heures automobiles. On sollicite tous les clubs et les particuliers pour venir mettre en avant leurs belles mécaniques.

Pour les expositions de voitures, il y aura deux parties : une statique place de l’Europe. Et une non statique devant le Centre Rabelais. Dans les deux cas, le public devrait admirer de superbes voitures. Il est toujours temps de nous faire signe pour participer à cette grande concentration faisant partie du patrimoine français.

Parallèlement aux voitures, la fête sera marquée par des animations notamment via le centre social intercommunal, l’association Générations-Mouvement, le Comité des fêtes l’association des parents d’élèves, le club photos et le club d’aquariophilie. Toutes les générations seront présentes en somme. C’est ce mélange de la population qui cimente une population.

Convivialité, solidarité, intergénérationnalité, dynamisme, tels sont les mots-clefs de la Fête du village, qui se veut un grand moment de partage.

C’est bien dans cet esprit-là que se dérouleront la soirée du samedi avec « Stéph et Pacha », beau spectacle avec notamment de la comédie, illusions et chansons, et le repas du dimanche midi avec pas moins de 5 cochons grillés. En plus, il y aura des animations musicales le dimanche et des trompes de chasses.

Naturellement, les repas sont payants (places vendues sur réservations (06 43 44 99 03 ou 06 50 94 44 02). En revanche, l’entrée aux deux jours de fête est gratuite.

 

Propos recueillis par Chafik AOUNI.

Bijoux, brocante, casquettes... Un collectif s'installe dans un magasin éphémère, à Paris

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La Somewhere Pop-up Gallery a ouvert ses portes début septembre 2019 dans le 11ème arrondissement de Paris.

La Somewhere Pop-up Gallery a ouvert ses portes début septembre 2019 dans le 11ème arrondissement de Paris. Elle rassemble cinq artisans membre du collectif Somewhere. (©SL / actu Paris)

« Ici, tout est à vendre », appuie Stéphane Daniel, l’un des cinq membres du collectif Somewhere, originaire de Rouen (Seine-Maritime). La Somewhere Pop-up Gallery est implantée depuis vendredi 6 septembre 2019 dans le 11ème arrondissement de Paris.

Lire aussi : Carton plein pour les boutiques parisiennes de rétrogaming !

« Créer un univers particulier »

Le magasin, à l’angle des rues Sedaine et Popincourt, est hébergé dans un « Testeur de commerces », concept de la Ville de Paris qui offrent aux entrepreneurs la possibilité de s’installer pour un court temps dans un local en parfait état. Ce sera jusqu’au 30 septembre pour l’équipe du collectif. Trois brocanteurs, une créatrice de bijoux et un couturier se partagent les 65 m².

Mais pas avec chacun son petit espace, souligne Stéphane Daniel :

Nous avons tout mélangé, pour créer un espace faussement aléatoire. Tout est fait pour que les produits de l’un mettent en avant ceux de l’autre.

Les casquettes du couturier Nicolas Le Cauchois complètent les meubles vintages chinés par les brocanteurs Stéphane Daniel ou Jean-Philippe Zwart, tandis que les bijoux de la créatrice Sophie Salomet sont exposés sur une table dégotée par l’antiquaire Jérôme Lefèvre. « Avec ce mélange, nous créons un univers particulier, du petit objet à cinq euros aux produits uniques », explique Stéphane Daniel.

Stéphane Daniel est l'un des cinq membres du collectif Somewhere à s'être installé dans le 11ème arrondissement.

Stéphane Daniel est l’un des cinq membres du collectif Somewhere à s’être installé dans le 11ème arrondissement. (©SL / actu Paris)

 
 
 
 
 
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« Notre connexion, c’est l’upcycling »

Les casquettes caPs de Nicolas Le Cauchois se vendent plusieurs centaines d’euros, car « uniques et faites à la main », avec des tissus réutilisés par le couturier depuis certaines de ses créations pour des défilés. Dont des pièces sont aussi en vente. Sophie Salomet, elle, compose des bijoux et accessoires neufs à partir de pièces chinées, démontées puis « reconditionnées à sa sauce, avec or et pierres ».

 
 
 
 
 
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Le quintet a un point commun, résume Jérôme Lefèvre : « Notre connexion, c’est l’upcycling. » À savoir la transformation de produits récupérés en objets de qualité supérieure. 

Les bijoux créés par Sophie Salomet sont faits d'autres pièces qu'elle a récupérées et reconditionnées.

Les bijoux créés par Sophie Salomet sont faits d’autres pièces qu’elle a récupérées et reconditionnées. (©SL / actu Paris)

Les cinq artisans membres du collectif se sont rencontrés à Rouen, notamment dans les marchés des brocanteurs. Jérôme Lefèvre a proposé l’idée au printemps, « ne pouvant prendre l’espace tout seul ». Les cinq quadragénaires se relaient pour tenir la boutique, ouverte tous les jours de 11 heures à 19 heures. « Ça nous permet de mieux connaître le travail des autres », sourit l’antiquaire.

Aucun d’entre eux n’avait eu de boutique parisienne avant. Stéphane Daniel, installé à Rouen depuis huit ans avec sa marque Dalala Vintage, juge cela « motivant, ça permet d’avoir de nouveaux clients ». D’ores et déjà, la boutique « intrigue les gens » qui passent devant et y rentrent. Une première réussite pour ce premier lieu éphémère pour le collectif, qui a déjà un objectif : « En ouvrir d’autres ! »

Infos pratiques :
Somewhere Pop-Up Gallery, 67 rue de Sedaine, 75011 ;
Ouvert tous les jours, de 11 heures à 19 heures.

Les objets des cinq membres du collectif sont disséminés dans la boutique.

Les objets des cinq membres du collectif sont disséminés dans la boutique. (©SL / actu Paris)

Val-d'Oise. Soixante postes à pourvoir chez Thermomix® à Beauchamp

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L’agence Thermomix® Île-de-France Nord est basée à Beauchamp.

L’agence Thermomix® Île-de-France Nord est basée à Beauchamp. (©Thermomix®)

Thermomix®inventeur du robot cuiseur multifonction – déploie la seconde édition de sa Journée nationale du recrutement dans ses 63 agences régionales. À l’occasion de cette journée, l’agence d’Île-de-France Nord ouvre ses portes et propose 60 postes de conseillers.

Emilie Simony, directrice de l’agence de Beauchamp (Val-d »OIse) située 3-15, rue Denis-Papin, accueillera les candidats vendredi 13 septembre 2019 pour une journée dédiée au partage et à l’échange. Ces derniers pourront découvrir ou redécouvrir le secteur de la vente directe, l’activité de conseiller et les valeurs de Thermomix®.

140 conseillers

Durant cet événement, l’équipe et la vie de l’agence seront présentées aux potentiels nouveaux venus. Des ateliers permettront aux candidats de se familiariser avec l’univers Thermomix® ou de présenter les différents métiers recherchés : conseiller vente directe, conseiller Vrp, conseiller responsable de secteurs.

L’équipe Thermomix® d’Île-de-France Nord se compose de 140 conseillers. Forte de son implantation dans la région, l’agence accueille tous les passionnés de cuisine. En devenant conseillers Thermomix®, tous les passionnés de cuisine, femmes et hommes, pourront s’accomplir dans une activité qui correspond à leurs attentes.

Inscription à la journée nationale du recrutement sur ici.

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