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Les sujets du bac de philo semblent avoir inspiré les candidats cette année. (photo d’illustration – © Flickr)

À la sortie des épreuves de philosophie du bac au lycée général et technologique Maupertuis de Saint-Malo, ce lundi 17 juin 2019, une question revient plus que les autres : « Ça s’est bien passé ? ». Et il semblerait que oui.

La philosophie, c’est l’une des épreuves reines du baccalauréat. Depuis 1808 et la création du bac par Napoléon Bonaparte, chaque année les élèves s’arrachent les cheveux sur les essais de Freud, Socrate ou Descartes.
Pourtant, ces épreuves du 17 juin 2019 semblent y avoir fait exception. De l’avis de plusieurs d’entre eux rencontrés après l’épreuve, c’était même « plutôt cool ».

Des sujets inspirants

Au programme cette année, des sujets comme « La morale est-elle la meilleure des politiques ? », « Le travail divise-t-il les hommes ? », « Reconnaître ses devoirs, est-ce renoncer à sa liberté ? », « Est-il possible d’échapper au temps ? », « À quoi bon expliquer une œuvre d’art ? », « Seul ce qui peut s’échanger a-t-il de la valeur ? », « Les lois peuvent-elles faire notre bonheur ? ».
Et il faut croire qu’ils ont inspiré les candidats…

Guillaume attendait cette épreuve de philosophie de pied ferme. Même si les sujets ne correspondaient pas à ce qu’il espérait, l’élève de terminale scientifique dit « avoir pris du plaisir » lors de l’épreuve. Pour lui, la philosophie est tout un art :

« Il faut donner son avis sans trop le donner pour ne pas rentrer dans du jugement de valeur ».

Lucie, elle aussi élève en filière S, est quant à elle arrivée « un peu paniquée le matin » mais elle repart finalement avec le sourire à midi. C’était même « plutôt cool », confie la jeune fille.

Des sourires se dessinaient aussi sur les visages des élèves de terminale technologique à la sortie des salles d’examen. « Ça s’est bien passé dans l’ensemble » nous explique Julia, élève en ST2S. Même sentiment chez ses camarades Sarah et Maïwenn qui sont maintenant « en attente des résultats. »

Place aux révisions des autres matières

Désormais, les élèves se concentrent sur les épreuves à venir. Pour les « scientifiques » Lucie et Guillaume, l’épreuve de mathématiques est celle qu’ils redoutent le plus. C’est « dans cette matière que le coefficient est le plus élevé. »
Chaque élève, en fonction de sa filière, devrait en effet orienter ses révisions vers une matière en particulier.

Des champions de France… et un Brennus ont débarqué chez Tonton, lundi 6 juin 2019 (©Quentin Marais / Actu Toulouse)

Sept ans que la Ville rose l’attendait : Toulouse avait soif de Brennus. Mais le Brennus avait visiblement aussi… soif de Toulouse ! Les joueurs du Stade Toulousain – équipe au complet – ont débarqué Chez Tonton Pastis Ô Maître, célèbre bar de la place Saint-Pierre, à Toulouse, lundi 17 juin 2019, en milieu d’après-midi. En vacances depuis la finale du Top 14 et leur titre de Champions de France, les joueurs du Stade Toulousain n’en oublient pas pour autant les fondamentaux d’une vie en bord de Garonne : une bonne virée Chez Tonton, une institution à Toulouse !

Le Brennus au comptoir

Sofiane Guitoune, Antoine Dupont, Alban Placines, Dorian Aldegheri, Julien Marchand, Charlie Faumuina, Arthur Bonneval, Cyril Baille, Pierre Pages, Lucas Tauzin, Guillaume Marchand, Thomas Ramos, Cheslin Kolbe, Zack Holmes, Peato Mauvaka, Gillian Galan, Carl Axtens, Joe Tekori, François Cros, Pierre Fouyssac, Yoann Huget et Romain Ntamack… Les champions de France – dont certains pourraient être appelés mardi par le sélectionneur du XV de France, pour disputer la prochaine Coupe du Monde – étaient au complet ou presque Chez Tonton, et ils ne sont pas venus les mains vides… Ils ont en effet ramené le Brennus place Saint-Pierre !

@SoGuitoune @tauzin_lucas @cheztontontlse pic.twitter.com/BQliHWywMr

— Romain Ntamack (@RomainNtamack) June 17, 2019

Chose promue chose due @cheztontontlse pic.twitter.com/kn52P4eN8T

— Clément Castets (@clementcts) June 17, 2019

Escale dans le petit train

Avis aux Toulousains : vous risquez de les croiser cette après-midi… Ils viennent de partir pour un petit tour dans le train touristique, après s’être offert une escale (amicale)… dans une voiture de police !

Chez Tonton et le Stade, c’est une longue histoire

Le Stade et Chez Tonton, c’est de la longue histoire. Toujours prompt à faire le buzz, le bar n’en est pas à son coup d’essai avec les Rouge et Noir cette saison. En avril 2019, pour la réception de l’ASM Clermont Auvergne (tiens donc !) en championnat, Chez Tonton avait organisé « Le derby du jaune ». Depuis le début de la saison, le bar anime également une tribune d’Ernest-Wallon. Objectif : ramener des étudiants pour mettre l’ambiance au stade. En mars dernier, le bar avait même installé un jacuzzi dans les tribunes… Jacuzzi dans lequel avait plongé – tout habillé et crampon visé aux pieds l’ailier Arthur Bonneval, dès le coup de sifflet final ! Quand on vous dit que ces deux-là se sont bien trouvés…

Vidéo. Les joueurs du Stade chez Tonton

Vidéo à suivre dans quelques minutes sur Actu Toulouse

Une vente au kilo de vêtements pour enfants est organisée à Lille samedi 22 juin 2019. (©Illustration / Pixabay)

Alerte bon plan. Samedi 22 juin 2019, une vente au kilo de vêtements vintage est prévue à Lille (Nord). Comme d’habitude, cet événement se déroule à l’étage du Mother, le bar de JB Lebas, et est organisé par l’équipe de Funny Vintage, une boutique de fripes située rue Gambetta.

Après les baskets, les maillots de foot, Funny Vintage lance « Kids need vintage », une nouvelle vente est entièrement dédiée aux vêtements d’enfants.

Le kilo à 25 euros

Comme ces chères petites têtes blondes grandissent bien trop vite, remplir leurs placards avec des vêtements à la bonne taille revient cher. Mais, cette fois, vous allez pouvoir faire le plein d’habits à moindre coût.

Le vintage et la mode, ce n’est pas que pour les grands. C’est pourquoi Funny Vintage déballe ses valises débordant de fringues vintage de 0 à 10 ans pour les filles et les garçons : salopettes, barboteuses, marinières, sportswear… », annoncent les organisateurs sur la page Facebook de l’événement.

Le kilo de vêtements est vendu 25 euros, et cela peut valoir vraiment le coup en fonction des pièces que vous prenez. Certaines perles rares seront cependant vendues à la pièce. Il y aura également des chaussures et quelques accessoires.

Après cette session shopping, vous pourrez boire un coup ou déguster un burger, la cuisine du Mother reste ouverte toute la journée.

Infos pratiques :
Samedi 22 juin 2019, de 13 h à 18 h
Au Mother, 29 boulevard Jean-Baptiste Lebas à Lille
Règlement « Kids need vintage » en espèces uniquement
Plus d’infos sur la page Facebook de l’événement

Josselin Chouzy est investi par LREM pour les municipales à Mayenne. (Archives) (©Publicateur)

Le parti d’Emmanuel Macron, La République En Marche a dévoilé lundi 17 juin à Paris, une première liste de 19 noms investis pour les prochaines élections municipales.

En Marche ! à Mayenne le 20/06 : https://t.co/28McOqR32a via @enmarchefr

— Josselin Chouzy (@JosselinChouzy) June 17, 2019

Parmi eux, Josselin Chouzy, sapeur-pompier professionnel, conduira une liste LREM à Mayenne. Déjà candidat sous la bannière En Marche aux élections législatives de 2017, il avait poussé Yannick Favennec au second tour.

En 2015, il avait brigué le conseil départemental cette fois sous les couleurs de la droite.

Josselin Chouzy est âgé de 41 ans, il est adjoint au maire de Belgeard depuis 2014.

Nous sommes heureux de vous présenter 19 candidats, qui incarnent nos objectifs politiques :

1️⃣ Soutenir des projets progressistes
2️⃣ Accompagner les citoyens engagés (marcheurs et nouveaux talents)
3️⃣ Aller là où la politique recule, notamment dans nos territoires ruraux pic.twitter.com/WldOnyBZDM

— Pierre PERSON (@Pierr_Person) June 17, 2019

D'après les syndicats, la Poste de Cherbourg-en-Cotentin a prévu d'externaliser la distribution des colis à compter du 18 juin.

Une nouvelle organisation du travail à La Poste va décaler les horaires de passage des facteurs dans 33 communes de l’est de l’Ille-et-Vilaine. (©La Presse de la Manche)

À compter du mardi 25 juin, les agents de la plateforme de distribution courrier de Liffré vont voir leur organisation du travail évoluer.

Désormais, la prise de service se fera, au plus tôt, à 7h30 au lieu de 6h30 actuellement.

De fait, l’horaire de passage des 58 facteurs sera décalé dans le temps sur les 33 communes de l’est de l’Ille-et-Vilaine desservies par ce site.

A savoir : Andouille-Neuville, Aubigné, Chasné-sur-Illet, Chauvigné, Chevaigné, Dourdain, Ercé-Près-Liffré, Gahard, Gosné, La Bouëxière, La Chapelle-Saint-Aubert, Landavran, Liffré, Livré-sur-Changeon, Mecé, Mezières-sur-Couesnon, Mouazé, Romazy, Saint-Aubin-d’Aubigné, Saint-Aubin-du-Cormier, Saint-Christophe-de-Valains, Saint-Georges-de-Chesné, Saint-Germain-sur-Ille, Saint-Hilaire-des-Landes, Saint-Jean-sur-Couesnon, Saint-Marc-sur-Couesnon, Saint-Médard-sur-Ille, Saint-Ouen-des-Alleux, Saint-Sulpice-la-Forêt, Sens-de-Bretagne, Val-d’Izé, Vendel, et Vieux-Vy-sur-Couesnon.

« Pas d’obligation d’horaires »

Comme lors de la mise en place de l’actuelle organisation du travail, en juin 2017, certains particuliers et entreprises vont constater que leur facteur passe un peu plus tôt ou un peu plus tard dans la journée.

La direction de l’établissement en profite pour rappeler que

dans le cadre de ses missions de service public, La Poste n’est pas tenue à des obligations d’horaires de passage de ses facteurs mais seulement à une obligation d’assurer une distribution quotidienne du courrier, 6 jours sur 7, en tout point du territoire.

Il est également à noter que cette nouvelle organisation ne modifiera pas les horaires de levée du courrier déposé dans les boîtes aux lettres jaunes et dans les établissements postaux de ce secteur.

Pourquoi une nouvelle organisation du travail ?

« À la plateforme de distribution courrier de Liffré, comme partout sur le territoire national, La Poste fait ponctuellement évoluer l’organisation et les horaires de travail de ses facteurs », explique la direction.

L’objectif est notamment de prendre en compte l’évolution des volumes de courrier (-6,31% sur ces 33 communes depuis juin 2017), de colis et petits paquets Internationaux à distribuer sur la zone desservie, les évolutions locales (créations de lotissements, implantations d’entreprises,…), l’heure d’arrivée du courrier sur le site et « la volonté de l’entreprise de proposer, par l’intermédiaire de ses facteurs, un ensemble de nouveaux services au domicile de ses clients. »

A ce sujet, la direction précise :

En effet, les facteurs de la plateforme de distribution courrier de Liffré sont en capacité de réaliser, pendant leur tournée, et pour le compte de tiers, des activités de portage de produits médiathèques, de médicaments, de relevage de compteurs (gaz, eau et électrique), de veille sociale, de collecte de papiers de bureau ou de colis expédiés depuis les boîtes aux lettres des particuliers, de validation d’Identité Numérique… Ces nouveaux services ont vocation à simplifier la vie des clients, font évoluer et pérennisent le métier de facteur.

25855. C’est le nombre d’objets (25087 lettres et 768 colis dont des Petits Paquets Internationaux) qui sont distribués quotidiennement dans les 25500 boîtes aux lettres de ces 33 communes.

Le jeune homme de 20 ans a été transporté dans un état d’urgence absolue (©Actu.fr)

Ce lundi 17 juin, les sapeurs-pompiers de l’Essonne sont intervenus pour un accident de la voie publique mettant en cause un véhicule seul de type utilitaire. A son bord, un jeune homme de 20 ans, a dû être désincarcéré par les secouristes.

Après un bilan par les services du Service mobile d’urgence et de réanimation, le SMUR, le jeune homme, en état d’urgence absolue, a été immédiatement transporté au sein du centre hospitalier le plus proche.

Parallèlement à cela, la circulation sur la N104 dans le sens Melun/Paris s’est effectué sur une seule voie au niveau de Marcoussis, lieu de l’accident.

Clément ( au centre ) et Romain ( à sa droite ), sont comme leurs camarades candidats en série STI2D.

Clément ( au centre ) et Romain ( à sa gauche ), sont comme leurs camarades candidats en série STI2D. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

En plein debriefing avec ses camarades, Clément, en série STI2D, au lycée de la Fontaine des eaux, à Dinan (Côtes d’Armor) a choisi de disserter sur le premier sujet de philosophie, du baccalauréat : ‘Seul ce qui peut s’échanger a-t-il de la valeur ?’ Son bilan :

« Ça s’est plutôt bien passé, j’ai choisi une problématique un peu différente […], je me suis appuyé sur la valeur économique, la valeur sentimentale et la valeur du savoir ».

Romain, dans la même section est également plutôt satisfait :

« Ça allait, c’était loin d’être les pires sujets. On avait déjà presque fait la deuxième question (Les lois peuvent-elles faire notre bonheur ?) en devoir ».

Il a néanmoins fait un autre choix :

« J’ai pris l’explication d’un texte de Montaigne car il y avait des questions qui permettaient de nous guider ».

L’embarras du choix

Shadé, Clémentine, Lola et Avela. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Un peu plus loin, quatre candidates de série Littéraire ont varié les plaisirs. Clémentine s’est interrogée sur la possibilité d’échapper au temps.

Lola, qui s’est lancée dans l’explication d’un texte d’Hegel a trouvé l’épreuve plus compliquée, mais reste assez satisfaite de ce qu’elle a produit.

Quant à elles, Shadé et Avela ont opté pour le deuxième sujet : À quoi bon expliquer une œuvre d’art ? Un choix facile pour elles, qui avaient plus de connaissances et plus de notions à rattacher à ce sujet-là.

Enora et Floriane. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor. )

En ce qui concerne les séries scientifiques, Florianne a décidé de composer, un peu par défaut, sur la liberté :

« Je ne voulais pas faire d’explication de texte. On n’avait vu le premier sujet qu’à la toute fin de l’année. C’était plus facile sur la liberté. Je le sens moyen, j’ai peur du hors sujet ».

De son côté, Enora s’est raccrochée à un texte de Freud :

« Je n’avais pas trop de connaissances, ça me semblait le plus facile, je ne sais pas trop quoi en penser ».

Du français aussi

Enora et Hugo.

Quelques minutes plus tard, ce sont deux autres candidats qui sortent de l’épreuve. Enora et Hugo, tous deux en section Économique et Sociale, ont assez logiquement choisi un sujet sur le travail :

« En ES, on a eu des cours de socio là-dessus donc ça aidait ».

Ludmilla (en gris) et ses camarades. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Les séries professionnelles, quant à elles, passaient l’examen de français. Le sujet, La parole en spectacle, a plu à Ludmilla et ses camarades :

« C’était un bon sujet, plus facile qu’on ne le pensait. Je suis surprise, on pensait que ça allait être plus dur ».

Il reste désormais une semaine aux candidats pour boucler l’ensemble des épreuves.

Yvain Praud

Les élèves de l'atelier de modélisation du patrimoine avec la reconstitution du donjon en 3D.

Au lycée Chevalier à Domfront (Orne), les élèves de l’atelier de modélisation du patrimoine ont reconstitué le donjon du château en 3D.

Sous la houlette de Franck Moisseron, professeur de physique-chimie, les classes de seconde du lycée Auguste-Chevalier à Domfront (Orne) ont mis en place un atelier de modélisation du patrimoine. Les élèves ont tourné un film de 5 minutes sur l’architecture du Domfrontais ancien, avec un micro-trottoir permettant de définir les connaissances des habitants sur certains faits historiques de la construction du château à sa destruction.

Un film de 5 minutes

Tournage, micro-trottoir, mais aussi recherche de documents ont nécessité plusieurs jeudis après-midi du mois de mai de travaux. Léanne Soul, réalisatrice en herbe s’est occupée plus particulièrement du montage, des fonds sonore et de la synchronisation.

Elle explique son travail :

A partir du logiciel iMovie, j’ai mis en forme ce document sonore et visuel. Cela ne m’a pas semblé très compliqué

Une maquette en 3D du donjon

En parallèle, grâce à un travail de précision et des recherches techniques, sur imprimante 3D, les lycéens ont reconstruit le donjon tel qu’il existe aujourd’hui, à l’échelle 1/200e, avec des matières composites. Les moindres détails, créneaux et ses chemins de ronde…, sont visibles.

Le proviseur, Christian Jenvrin est venu féliciter les élèves pour la qualité de leur travail mais aussi pour leur esprit collaboratif.

Un travail collaboratif récompensé

Ces travaux ont été présentés le 29 mai à Caen Ecolysciences (Campus 2) devant un jury et Cyril Marcilly, archéologue de l’Université de Paris qui effectue notamment des recherches sur les mines de Fleury-sur-Orne, lesquelles ont servi d’abri pendant la Seconde guerre mondiale. Les lycéens domfrontais ont obtenu un badge virtuel pour le travail collaboratif qui leur permet de faire figurer cette mention sur « parcours sup » lors de leur choix de poursuite de leurs études.

Les comédiens professionnels Vincent Posé et Stéphanie Rausch animeront les cours proposés par l’école Normandie Impro. (© Côté Manche)

Via sa compagnie Com’Une Impro, Vincent Posé – à la fois auteur, comédien et metteur en scène – crée une école d’improvisation théâtrale. Son nom : Normandie Impro.

S’il existe déjà quelques écoles privées de ce type en France, ce sera la première du genre en Normandie. Basée à Saint-Lô (Manche), elle ouvrira ses portes fin août 2019.

Dans les cartons depuis un moment

Créer une école privée de théâtre improvisé, Vincent Posé y pense depuis un moment. Les précisions de l’actuel entraîneur des Zimproloco, la troupe de théâtre d’improvisation saint-loise.

Ce projet, je l’avais dans un petit coin de la tête. C’est une suite logique des choses. »

Il exerce dans le milieu de l’impro depuis 2002. D’abord en amateur de 2002 à 2014, puis comme professionnel depuis 2014 avec le lancement de son activité sous le nom de Com’Une Impro.

J’anime des ateliers d’impro et des formations auprès de publics variés : enfants, ados, adultes, salariés en entreprise, personnes en situation de handicap… »

Après avoir mis en place récemment des afterworks (une parenthèse créative après votre journée de boulot), le comédien-improvisateur, qui crée ses propres spectacles, innove encore avec cette école.

Une pratique loisir et découverte

À travers des exercices ludiques et des mises en jeu improvisées, l’école proposera une pédagogie adaptée à une pratique loisir.

L’école n’a pas vocation à faire des spectacles. Ici, on vient pour se détendre et se faire plaisir, le tout sans pression. Le but étant d’allier pratique ludique et découverte d’outils d’expression artistique. Pour les plus passionnés, ce sera l’occasion d’approfondir les techniques du théâtre improvisé, qui consiste à se servir de l’improvisation comme d’une méthode de création et de jeu pour les comédiens. »

Des cours, stages et master-classes

Dans son studio situé 79, rue du Neufbourg, à Saint-Lô (Manche), l’école Normandie Impro proposera des cours jeunes (collégiens-lycéens) et des cours loisirs ouverts à tous les adultes, avec ou sans expérience théâtrale. Ils seront animés par Stéphanie Rausch ou Vincent Posé.

Les cours se déroulent par session de 10 séances (soit une durée de 4 mois) et ils sont limités à 9 participants pour une meilleure qualité de suivi et un temps de jeu optimal par atelier. »

Et ce n’est pas tout : l’école met en place des master-classes, « où on invite des comédiens qui font l’actualité du théâtre improvisé en France et dans le monde francophone », et des stages de perfectionnement.

■ Pratique. École Normandie Impro. 79, rue du Neufbourg, à Saint-Lô (Manche). Renseignements et inscriptions à retrouver sur le site internet : www.normandie-impro.fr

Accueilli par le maire Daniel Besnéhard, Jean-Marc Richard, inspecteur conseil a expliqué le sens de la démarche et a répondu aux questions

Ce projet de créer une mutuelle communale avait débuté par un questionnaire adressé par boîtage à la population et qui avait pour objet de permettre aux citoyens d’exprimer leur intérêt pour cette mutuelle.

Une trentaine de coupons positifs ont été reçus en mairie et la réunion a rassemblé une vingtaine de personnes. L’assureur Axa a initié ce projet sur la commune et en l’absence de l’interlocuteur local Mickael Chabot, agent mandataire retenu par ailleurs. C’est Jean-Marc Richard inspecteur conseil qui a présenté les aspects techniques et a expliqué le sens de la démarche pour servir les Lyrois avant de répondre aux questions.

Ce qui est proposé à tous les retraités de la commune c’est une réduction à vie de 30 % sur le tarif mutuelle santé Axa. Chacun a donc la possibilité sans aucune contrainte d’obtenir une étude comparative gratuite à son domicile dispensée par les représentants de cette compagnie. La démarche est intéressante et singulière car elle consiste à tarifer à l’aveugle sur le prix payé par l’intéressé en ne s’occupant que des garanties détenues par celui-ci et en trouvant avec lui le bon niveau de garantie à proposer parmi 80 disponibles. Les tarifs sont ensuite révélés avec impact de la réduction a vie de 30 % et mise en évidence de l’économie réalisée. L’exercice a été probant et dix rendez-vous individuels à positionner sur les prochaines semaines ont été demandés à l’issue de cette réunion.

Contact, prendre rendez-vous à la mairie de La Neuve-Lyre au 02 32 30 45 27

Ce lundi 17 juin à Saint-Nazaire des enseigants ont fait la grève de surveillances des épreuves du bac (©Echo de la Presqu’île)

Ce lundi 17 juin 2019 , premier jour des épreuves du baccalauréat (philosophie pour les classe de terminale, Français pour les classes de première), un peu partout en Franc, des enseignants ont fait la grève de la surveillance.

A Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) au lycée Aristide Briand, gros centre d’examen, 16 enseignants (selon la Proviseure, les grévistes eux parlent de 25) convoqués n’ont pas assuré la surveillance.

Toutes les épreuves se sont déroulées normalement, le Rectorat ayant fait appel aux suppléants.

Grève aussi au lycée de La Baule

Au lycée Grand Air de La Baule (Loire-Atlantique) des enseignants étaient aussi en grève.

Avec cette réforme, Je n’ai jamais connu une telle saignée

lâche Isabelle Douvisi, professeure d’Anglais au lycée de la Baule, à un an de la retraite et militante à la CGT Educ Action.

Les grévistes baulois ont rejoint le rassemblement à midi au lycée Aristide Briand tout comme des enseignants du lycée Expérimental et du collège Anita Conti de Saint-Nazaire.

La surveillance des épreuves du Brevet des 27 et 28 juin pourrait aussi être perturbée par la grève.

« Asphyxie budgétaire », réforme Blanquer, classes surchargées, manque d’effectifs … les revendications sont nombreuses chez les enseignants

Ils demandent l’annulation de la réforme du bac, le retrait de la loi Blanquer, la « fin de la précarité dans l’Education nationale » et des effectifs plus importants pour

un vrai service public d’éducation au service de tous.

Nouvelle action vendredi 21 juin avec les Urgences

Vendredi 21 juin, une nouvelle mobilisation est programmée avec un appel à la grève et la participation, à midi devant le centre hospitalier, au pique-nique citoyen de soutien aux personnels des Urgences également mobilisés depuis plusieurs semaines.

L’USM a su se montrer patient devant la ligne de Riom. (©Mélanie Rousseau)

Ce fut dur, mais c’est passé pour l’US Mouguerre en demi-finale d’Excellence B face à Riom où il a fallu beaucoup de patience pour passer l’obstacle Auvergnat. À la pause le tableau de score affichait 0-0 et grâce à sa discipline et sa patience, les Basques ont profité des fautes adverses pour prendre le score à leur compte. Belle récompense pour tout un village qui était en fête ce week-end-là… Pas besoin de donner des détails du dimanche soir sur la place du village !

Les réactions :

Jérôme Etcheverry (entraîneur de Mouguerre) : « Émotions émotions… C’est énorme de gagner une demi-finale de championnat de France et de finir aux fêtes du village ! C’est jouissif pour tous les amoureux de l’USM. Maintenant ce n’est pas fini, il faut être compétiteur et je suis bien placé pour le savoir, avec ma génération que j’adore, une finale ça se gagne ! Quant au contenu du match, on a fait une prestation honorable, mais dans certains secteurs, il faudra être meilleur pour ramener le titre ! »

Jérôme Etcheverry espère lever le bout de bois !

Pour Jérôme Etcheverry « une finale ça se gagne ! » (©Mélanie Rousseau)

Thomas Galdos (pilier de Mouguerre) : « On a affronté une jolie équipe, bien structurée, avec du gabarit, il faut le dire ! La première mi-temps a été très engagée, on a été très discipliné et patient pour finalement se voir récompensé en deuxième mi-temps. Bravo à tous, on a bien fêté ça aux fêtes de Mouguerre en rentrant, c’est là que j’ai peut-être été le meilleur ! »

Mouguerre affrontera Elne en finale, ce dimanche 23 juin à 15h.

La plus belle prise de Dayle à Jugon : cette carpe de 21 kg. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

La carpe. Plusieurs techniques pour la pêcher : « à l’anglaise » comme la pêche au swing- tip ou encore la pêche au quiver-tip.

Ces méthodes de pêche aux consonances anglaises, deux Britanniques ont voulu les tester en France pendant deux semaines. David et Dayle Hampshire ont rejoint le lac de Jugon, entre Lamballe et Dinan (Côtes d’Armor) pour s’adonner à leur passion.

Un record à 23 kg

David est un Londonien de 45 ans. Il est accompagné de son fils Dayle, 25 ans, qui réside à Manchester. Tous deux sont mordus de pêche et carpistes depuis très longtemps.

Outre l’Angleterre, ils ont déjà parcourus les rives des étangs et lacs du Canada et d’Amérique pour assouvir leur passion.

David et Dayle Hampshire, les deux carpistes anglais, ne se séparent jamais de leur drapeau « England » lors de leurs périples de pêche hors l’Angleterre. (©Le Petit Bleu des Côtes d’Armor)

Ils ont loué des chambres d’hôtes à Jugon-les-Lacs avant d’installer leur fourgon aménagé, leur matériel et accessoires de carpistes (cannes, tentes, bateau amorceur, abris de pêche, sacs de conservation indispensables pour pêcher la carpe en « no Kill » – le poisson est relâché – », matériel d’amorçage, détecteurs de touches et peson (pour peser…). Ils ont choisi l’extrémité de la passerelle du lac pour s’installer.

Pourquoi Jugon ? David explique :

« On cherchait un endroit en France. Nous avons découvert sur internet qu’un carpiste anglais était déjà venu pêcher sur ce lac et avait sorti une carpe de 23 kg. Cela nous a décidés. C’est la première fois que nous pêchons en France. Nous ne regrettons pas. En 2 jours, j’ai sorti deux carpes de 10 kg et 21 kg. Et mon fils Dayle en a fait cinq d’environ 10 kg chacune. »

En fin de semaine, ils ont quitté le lac de Jugon pour s’installer sur la rive du barrage de l’Arguenon pour encore huit jours. Cet autre plan d’eau jugonnais est aussi très réputé pour la carpe.

EN VIDEO : Jugon, station pêche, Maison Pêche et Nature des Côtes d’Armor :

Jamais appelé en équipe de France, Emerick Setiano est la grande surprise de la liste de Brunel pour la Coupe du monde au Japon. (©Icon Sport)

L’un attend ça depuis des mois, voir des années. L’autre est une sensation de cette fin de saison, dont le nom revenait sans cesse. Le dernier est une surprise totale. Le Clermontois Alivereti Raka, le Toulousain Peato Mauvaka et le Toulonnais Emerick Setiano sont les petits nouveaux du groupe France, et ils vont découvrir Marcoussis à l’occasion de la préparation à la Coupe du monde.

Setiano, la surprise du chef

Une première saison pleine avec le RCT, et Emerick Setiano jouera la Coupe du Monde en septembre prochain. Avouez-le : c’est fort. Né à Angers mais originaire de Wallis et Futuna, il débarque au centre de formation du RCT en 2014. Il goûte au Top 14 pour la première fois lors de la saison 2016/2017, avant de grappiller du temps de jeu la saison suivante. Cette saison est celle de son installation dans l’équipe première avec 28 matches pour 16 titularisations.

À 22 ans, il fait partie de cette génération dorée qui pousse du côté de Toulon, entouré par les Carbonel, Ory, Gros et Vanverberghe. Très mobile pour un pilier, c’est son style qui a plu au staff des Bleus :

On l’a pris en fonction du projet de jeu que l’on veut, fait de mouvement, de déplacement, d’activité et de réactivité. En plus, il a montré du caractère cette saison dans une saison pas facile pour son club.

Comme quoi, la saison en dents de scie du RCT n’aura pas était noire pour tout le monde…

Peato Mauvaka (Stade Toulousain) fait partie des 31 retenus pour la Coupe du monde au Japon. (©Icon Sport)

Le destin de Mauvaka

L’année qui vient de s’écouler ressemble à des montagnes russes pour Peato Mauvaka, sauf qu’elles ne s’arrêteraient jamais. Il commence la saison troisième talonneur du Stade Toulousain, et sa première apparition en pro n’intervient que le 27 octobre sur le pelouse de Perpignan. Il enchaîne des bouts de match jusqu’au Tournoi des Six Nations, où sa saison bascule.

Le talonneur titulaire et capitaine toulousain Julien Marchand se rompt les ligaments croisés face au Pays de Galles. Le 16 mars, même chose pour le numéro 2 du poste, Leonardo Ghiraldini. En un mois et demi, il est propulsé talonneur numéro 1, alors qu’arrivent les phases finales de Coupe d’Europe et la fin de saison en Top 14.

Auparavant, en décembre, il joue le match à Clermont (20-20) alors que son père vient de se décéder. Il fait l’aller-retour en Nouvelle-Calédonie, en trois jours pour rendre un dernier hommage au paternel, et enchaîne avec ce match de Top 14. Une force de caractère et un mental à toute épreuve, qui le porte aujourd’hui jusqu’en Equipe de France.

Même le sélectionneur Jacques Brunel le concédait : Mauvaka est surement le destin le plus fou des sélectionnés :

C’est une histoire incroyable ! On était inquiet à la suite de la blessure de Julien Marchand, mais il est dans le profil que l’on recherche, grâce à sa capacité à se déplacer et à gagner des duels.

Alivereti Raka va pouvoir enfin défendre les couleurs du XV de France. Et ce sera lors de la Coupe du monde. (©Icon Sport)

Raka, enfin

Au moment d’expliquer son choix de sélectionner le surpuissant ailier de l’AS Clermont, Jacques Brunel a bien résumé le sentiment général au sujet d’Alivereti Raka. Le sélectionneur sait une chose : c’est un redoutable finisseur. Ses stats sont hallucinantes : 23 essais en 29 matches lors de ses deux dernières saisons avec l’ASM :

Comme Penaud et Huget, il a énormément pesé sur les deux dernières années. Il est un peu moins bien en cette fin de saison, mais il garde des qualité au-dessus de la moyenne.

S’il n’est sélectionné qu’aujourd’hui, c’est que la naturalisation de l’ailier des Jaunards, né il y a 24 ans aux Fidji, a pris du temps. Sélectionnable depuis plus d’un an, il doit finalement attendre l’obtention de son passeport en novembre 2018 pour officiellement prétendre au maillot Bleu.

Gravement blessé en décembre 2017 à un genou, son retour n’est pour l’instant pas à la hauteur de ce qu’il pouvait faire il y a deux ans. Il a particulièrement inquiété après sa prestation catastrophique en finale de Top 14 samedi dernier. En laissant d’énormes espaces dans son dos, il a permis aux Toulousains de trouver des touches dans les 22 clermontois, et il a concédé les deux essais du match sur son aile. Espérons pour les Bleus que le Clermontois retrouve tout ses moyens d’ici septembre.

Mathieu YERLE

Le dimanche 7 avril, le Montlaurais Thomas Himeur offrait à l’équipe U19 du TFC une finale au Stade de France. (© Paul Soulie)

Thomas Himeur a brillé avec son club du Toulouse football club pendant cette campagne 2019 en coupe Gambardella terminée par une défaite en finale face à Saint-Etienne. Titulaire au Stadium face à Montpellier lors de la demi-finale, il avait notamment sorti une prestation de grande classe lors de la séance de tir aux buts, qualifiant son équipe pour la finale au Stade de France. Entretien.

Vous avez grandi à Montlaur et avez aujourd’hui 18 ans. Quand et comment êtes-vous arrivé au centre de formation du TFC ?

Je suis arrivé au TFC à l’âge de 11 ans, mais je n’ai intégré le centre de formation qu’à 15 ans. J’ai commencé le foot au Montlaur FC avant de partir à Saint-Orens. C’est là que j’ai été détecté par Toulouse avec qui je me suis d’abord entraîné avant de partir y jouer définitivement.

Quels sont vos premiers souvenirs de football ?

Cela remonte à quand je jouais avec le Montlaur FC. Ce sont principalement des souvenirs de tournoi ou de séjours passés entre amis. On s’amusait tous ensemble et on se connaissait tous très bien, c’est ce qui me plaisait. Je me souviens aussi très bien du premier penalty que j’ai arrêté, c’est un souvenir très marquant.

Étiez-vous destiné à jouer gardien ?

J’ai commencé dans les buts à l’âge de 5 ans. Ça m’a toujours plu et je n’ai jamais quitté les buts. Malgré ça je continuais à alterner joueur et gardien et ce n’est qu’à mon entrée au TFC que je me suis spécialisé.

Vous avez obtenu votre bac ES avec la mention « bien » avec un an d’avance, vous êtes en première année d’école de commerce… Pas trop dur d’allier foot et études ?

Si. Mais je mets entre parenthèses les cours à partir de la saison prochaine pour me consacrer pleinement au football. J’ai obtenu ma première année mais il est très difficile de mettre l’école et le football sur un pied d’égalité. La pratique du football de haut niveau demande beaucoup d’énergie et de temps qu’on ne peut pas mettre au service de l’école. J’ai par exemple été très régulièrement absent en cours du fait des entraînements quotidiens. En revanche nous avons des horaires aménagés pendant le lycée, ce qui n’est pas le cas en études supérieures.

Comment se passe une semaine type, entre l’école et le foot ?

Nous avons entraînement tous les jours. Parfois même deux fois par jour. On peut aussi rajouter les périodes de soins. Finalement, une journée type, c’est entraînement le matin, cours l’après-midi et soins ou entraînement le soir.

Pouvez-vous nous décrire la vie au sein du centre ? Il y a une bonne entente entre les jeunes footballeurs, malgré la concurrence ?

Ce n‘est pas toujours facile… Moi je suis passé externe, donc je rentre chez moi. Mais pendant cinq ans j‘ai dormi ici, donc forcément parfois il y a le manque de la famille. C‘est bien de s‘accorder des moments de repos un peu au calme, tout seul. Mais ça reste une incroyable expérience à vivre, d‘être en communauté, avec des joueurs et des potes qui finalement sont comme toi. Tout le monde pense football. Nous sommes tous en concurrence mais elle nous aide à devenir meilleur et n’est jamais nocive.

Vous avez des contacts avec l’équipe pro ?

L’équipe professionnelle s’entraîne juste à côté de nous. On peut donc les observer quotidiennement. Me concernant je me suis entraîné les trois dernières semaines avec les professionnels. Ça m’a permis de réellement voir ce qu’était le haut niveau et de pouvoir m’enrichir de l’expérience des gardiens professionnels.

Quel parcours cette année pour le TFC en coupe Gambardella ! Quels sont vos meilleurs et pires souvenirs dans cette compétition ?

Ce fut en effet un magnifique parcours. Nous avons tous pris beaucoup de plaisir. C’était aussi très agréable de sentir tout cet engouement autour de nous. Mon meilleur souvenir est bien évidemment la séance de tir au but contre Montpellier en demi-finale. C’était un super moment. Sentir tout le stade derrière l’équipe et la communion avec les supporters à la fin, c’était le top. Et mon pire souvenir est la défaite en finale même si c’était quand même un moment magique.

Avez-vous un joueur préféré ?

Mon joueur préféré est Sergio Ramos. C’est un joueur qui a tout gagné et qui possède le courage, l’envie et la grinta d’un grand champion. C’est un champion dans l’âme. Au poste de gardien de but, mon idole est Iker Casillas.

Quel joueur vous inspire particulièrement à votre poste de gardien ?

Actuellement, les gardiens qui m’inspirent beaucoup sont Hugo Lloris et Marc-André Ter Stegen. Ce sont deux gardiens avec un style différent mais qui font gagner des matchs. Ter Stegen est à mon sens le meilleur gardien du monde actuellement, il sait tout faire.

Propos recueillis par Chris Daza

Le chemin côtier ouvert en février 2019 à Saint-Briac est-il dangereux ? Les juges de la cour d’appel de Nantes accréditent cette thèse en annulant une partie de l’arrêté préfectoral ayant autorisé les travaux pour ouvrir ce sentier. (©Le Pays Malouin)

Après 40 ans de batailles judiciaires, nouveau rebondissement dans le dossier du sentier de Saint-Briac, qui longe plusieurs propriétés luxueuses entre la plage de la Salinette et le Perron.

La cour administrative d’appel de Nantes vient d’annuler en partie l’arrêté préfectoral de 2015, qui autorisait les travaux ayant abouti à l’ouverture du chemin côtier, effective depuis le 28 février 2019.

« Des risques d’effondrement »

Les juges nantais ont en effet estimé qu’il existait bel et bien des « risques d’effondrement » de la falaise entre l’extrémité Ouest de la plage de la grande Salinette et l’extrémité Est de la plage de la petite Salinette, et entre l’extrémité Ouest de la plage de la Petite Salinette et celle du Perron. Soit la quasi-totalité de ce nouveau sentier…

« L’étude produite par les requérants (les propriétaires de villas qui longent le sentier NDLR) indique que « le passage sur ce chemin présente à plusieurs endroits un risque réel pour les promeneurs », relève la cour administrative d’appel. «

De plus, le passage répété de nombreux promeneurs risque d’accroître et d’accélérer les phénomènes d’éboulement par érosion du sol et mobilisation des blocs instables ».

Pas de travaux de sécurisation prévus par l’Etat

Les juges estiment par ailleurs que le préfet, dans son arrêté de 2015, « se bornait à se référer à un constat du Département d’une absence de risques, sans apporter aucun élément de nature à établir celle-ci ». Il ne prévoyait en outre aucun travaux visant à réduire les risques soulevés.

Le chemin peut longer la piscine

À noter qu’un autre jugement doit être rendu prochainement dans ce dossier, suite à une procédure qui a été examinée la semaine dernière, émanant du propriétaire de la maison dont la piscine touche quasiment le nouveau sentier côtier.

Pour l’heure, les juges ont estimé que « la piscine construite au demeurant sans déclaration préalable, ne constitue pas un obstacle au cheminement des piétons. Un passage, d’environ un mètre de large, est possible entre la falaise et la piscine, des rambardes ou clôtures pouvant être installées de part et d’autre ».

Quel avenir pour le chemin ?

En dépit de cela, cet arrêt de la cour administrative d’appel de Nantes relance complètement cette affaire. L’arrêté préfectoral étant annulé, la légalité des travaux pour ouvrir le sentier est-elle remise en cause ? Va-t-il devoir fermer, pour cause de danger pour les promeneurs, le temps d’une nouvelle expertise ? L’État et les Amis du chemin de Ronde, l’association qui se bat depuis des années pour l’ouverture de ce sentier, vont-ils se pourvoir en cassation ?

Autant de questions qui restent aujourd’hui ouvertes après ce coup de tonnerre judiciaire.
D’ores et déjà, l’État a été condamné à verser 3.000 € de frais de justice aux propriétaires des résidences secondaires concernées.

Avec GF/PressPeper

Le village de Janvry regorge d'événements insolites

Il ne compte que 600 habitants et pourtant il fait beaucoup parler de lui. Janvry, ce petit village niché à l’ouest de l’Essonne se démarque des autres par des événements originaux. Plage durant l’été, l’un des plus beaux marché de Noël d’Ile-de-France, pendant l’hiver et même une piste de ski baptisée Janvoriaz…

« On aime recevoir »

Bref, ce village regorge d’idées pour animer ses rues. Et il faut dire que ça marche ! « Nous avons environ 170 000 visiteurs par an. Nous sommes petits, mais on veut montrer qu’on est bien plus qu’un petit village. Nous sommes ouverts et on aime recevoir », affirme Christian Schœttl, maire de Janvry.

Depuis 30 ans, il continue de faire connaître Janvry et attire de plus en plus de monde. « L’important, c’est que les gens qui transitent par le village passent des moments heureux et aient le sourire quand il parle de Janvry », poursuit le premier édile de la commune.

Un salon du dromadaire !

En ce moment, le village produit son traditionnel spectacle qui retrace l’histoire de Janvry. Le village a donc divers cordes à son arc. Et il ne s’arrête pas là. « En septembre, il y aura le premier salon international, en France, du dromadaire et des camélidés » avance Christian Schœttl. « On a lancé cette idée comme ça et finalement ça va se faire », explique-t-il. Pour ce salon, des personnes du monde entier sont attendus.

Une nouvelle idée qui promet de faire venir du monde de tout le département, mais aussi de toute la France. « Avec tous ces événements, je n’ai pourtant pas augmenté les impôts depuis plus de 25 ans, renseigne Christian Schœttl avec une petite pointe d’ironie. Je veux remplir mon rôle en tant que maire sans que les habitants ne soient impactés par une hausse d’impôts ».

Ainsi, Janvry est un village à part et dépaysant qui s’ouvre à tous à travers ses folies…

Bruno Lefebvre présente le distributeur automatique de pizzas, La petite Italie.

Un distributeur automatique de pizzas, équipé d’un système de vidéo surveillance et d’un service après-vente à distance, vient d’être mis en service, à Chaumes-en-Retz.

La machine est installée sur le parking de l’entreprise Dominique Leduc, zone du Butai, sur le secteur d’Arthon-en-Retz.

Avec La petite Italie, on peut déguster une pizza à toute heure du jour ou de la nuit. « Issue d’une famille de restaurateurs, j’ai moi-même été à compter de 1997, hôtelier et hôtelier-restaurateur en Seine-Maritime, explique Bruno Lefebvre. Tout en demeurant dans le domaine de la restauration, j’ai eu envie de proposer un service original. C’est dans le pays de Retz que j’ai donc créé La petite Italie avec l’objectif, dans le futur, de développer cette activité sur d’autres communes. »

Bientôt à Pornic

L’entrepreneur poursuit : « Je confectionne dans mon laboratoire les pizzas artisanales et travaille avec des fournisseurs locaux. Je nettoie la machine chaque jour avant de l’approvisionner, la capacité étant de 70 pizzas. »

L’utilisation de la machine est simple et le consommateur se fait délivrer une pizza froide en 30 secondes qu’on met ensuite dans un four à 240 °C durant quatre à cinq minutes, et une chaude en trois minutes. Le tout réglé exclusivement par carte bancaire. « Un choix d’une dizaine de pizzas est proposé chaque mois avec une variété qui diffère également selon la saison. »

Une autre machine sera installée prochainement à Pornic, à proximité du centre commercial Leclerc.

L’édition 2018 de ce critérium prix des Cycles Gouvenou, dans les rues du centre-ville de Flers (Orne). (©L’Orne combattante)

Le traditionnel critérium cycliste du centre-ville de Flers, dans le département de l’Orne, est le prix des Cycles Gouvenou, l’un des spécialistes cycles de la ville. Il aura lieu, mercredi 19 juin 2019, à partir de 20 heures sur une distance de 84 kilomètres, soit 40 tours du circuit 100 % urbain.

Cette course amateur organisée par Flers cyclisme 61, est réservée aux coureurs de 2e et 3e catégorie, aux juniors ainsi qu’aux départementaux open 1 et 2.

Le circuit emprunté est le suivant

Rue du 6-Juin (départ et arrivée) ; rue Blin ; place Claudius-Duperron ; rue du Champ-de-Foire ; rue de Belfort ; place du Maréchal- de Lattre-de-Tassigny ; rue de Domfront ; place du général Leclerc et rue du 6-Juin.

L'état de cette Citroën C3, l'une des deux voitures impliquées dans l'accident qui s'est produit lundi 17 juin 2019 à Villers-sur-le-Roule, témoigne de la violence du choc.

L’état de cette Renault Clio, l’une des deux voitures impliquées dans l’accident qui s’est produit lundi 17 juin 2019 à Villers-sur-le-Roule, dans l’Eure, témoigne de la violence du choc. (©L’Impartial)

Un accident de la circulation mettant en cause deux véhicules a fait trois blessés lundi 17 juin 2019 sur la départementale 65, hors agglomération de Villers-sur-le-Roule, entre Aubevoye et Tosny, dans l’Eure.

La collision s’est produite vers 17 h 10 dans des circonstances qui n’ont pu nous être encore communiquées par l’autorité judiciaire.

Au regard de l’état d’une des deux voitures impliquées, on imagine néanmoins que le choc a été violent.

Hospitalisés à Évreux

Trois personnes ont d’ailleurs dû être prises en charge par les sapeurs-pompiers des centres de secours des Andelys, de Gaillon et de Louviers.

Il s’agit de deux hommes âgés de 37 et 32 ans, et d’un jeune garçon de 5 ans.

Légèrement blessés, tous les trois ont été dirigés sur l’hôpital d’Évreux.