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«Je suis venue pour me dépasser»

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La jeune professeur de danse de la Mjc Les Terrasses, Cécilia. (Photo : Tf1).
La jeune professeur de danse de la Mjc Les Terrasses, Cécilia. (Photo : Tf1).

«L’eau, c’est ma phobie depuis toute petite.» Véritable battante, elle a su dépasser sa peur pour se risquer dans l’aventure sur l’île de Koh-Lanta, et ses épreuves physiques et psychologiques insoutenables. Habitante de Courbevoie, Cécilia Siharaj, âgée de 28 ans et professeur de danse à la Mjc Les Terrasses de Conflans, s’est lancée il y a quelques mois dans l’aventure dont rêvent les amateurs de sensations fortes, Koh-Lanta, l’émission présentée par Denis Brogniart. «C’est un rêve de petite fille», confesse Cécilia.

Conditions difficiles

C’est il y a tout juste deux ans que la jeune femme décide de tenter l’aventure. «Je me suis inscrite au casting et les producteurs de l’émission m’ont contactée deux jours plus tard. Mon profil les intéressait», raconte-t-elle. Par la suite, Cécilia passe quelques examens écrits, portant notamment sur «notre ambition et notre motivation. Il fallait se démarquer des autres», raconte-t-elle. Une fois arrivée sur l’île avec les autres candidats, Cécilia est directement confrontée au milieu naturel hostile et à ses conditions difficiles. «À peine arrivé, nous étions complètement trempés, dans un climat très humide. Peu importe,  je voulais des sensations fortes. J’étais venue pour me dépasser», affirme-t-elle. Et ce n’était que le début. Coupés du monde, les premiers jours ont été «très compliqués, il n’y avait pas assez à manger pour tout le monde, et on n’avait pas de quoi faire un feu», confesse-t-elle. D’ailleurs, lors de la première épreuve, les gagnants (dont Cécilia faisait  partie), en ont fait les frais : riz et petites huîtres… crus. «Ça vous laisse imaginer dans quel état on était… Au moins on a perdu du poids !»

«Une Bonne nuit»

Niveau confort, ce n’était pas non plus l’idéal, les candidats étant confrontés, de façon permanente, au froid. «Nous avons eu des nuits très compliquées, raconte-t-elle. Nous n’avions que nos vêtements en guise de coussin ou de couverture.» Mais Cécilia a la rage de vaincre, et s’est souvent retrouvée du côté de l’équipe gagnante, comme pour  l’épreuve de la grotte.  «Nous avons été tranquille une nuit, et nous avons pu manger à notre faim. Ce qui est très rare dans ce jeu», conclut-elle.


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