
Fondée en 2003, elle a pour but de démocratiser l’écriture « Nous ne nous mettons pas de barrières psychologiques en nous disant que l’écriture n’est pas pour nous, que nous n’avons pas de talent », affirme fièrement Gwenaëlle Leprat, journaliste et auteure qui coordonne et anime les ateliers.
« Or, nous sommes en général tous capables de nous exprimer. Le nom de l’association vient de la plaquette que l’on retrouve dans les anciens immeubles, parce que nous pensons que l’écriture, comme le gaz, l’eau ou encore l’électricité, est vitale. »
Activité créative
De 10h à 13h, les participants devront se soumettre à un thème et ils disposeront d’un temps limité pour élaborer leurs textes puis partageront par la suite leurs écrits.
« Des ateliers d’écriture littéraire vivants où il sera question de s’étonner de sa production, de détecter les forces et faiblesses de ses textes », ajoute Gwenaëlle.
Le déjeuner et l’après-midi seront des temps libres où ils auront la possibilité d’échanger, de se découvrir les uns les autres ou encore de parfaire leur style d’écriture.
Le stage s’achèvera avec la lecture des meilleures œuvres.
Solène MBOUSSA